Assurance vie : une seconde jeunesse grâce au capital-investissement

Bertrand Tourmente
Althos Patrimoine
Dans un contexte d’érosion des rendements du fonds en euros, les épargnants se doivent d’arbitrer massivement leur contrat d’assurance vie et d'orienter leur capital vers davantage d’unités de compte (UC). Grâce à la récente loi PACTE, les fonds de capital-investissement s’invitent désormais très largement dans l’assurance vie. Des véhicules d’investissement que les épargnants seraient bien inspirés de privilégier tant pour diversifier leur contrat que pour redonner un nouveau souffle à leur rendement financier.
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Epargne salariale : 84 % des dirigeants de TPE-PME veulent être accompagnés, d’après une étude

La Rédaction
Le Courrier Financier

Amundi — spécialiste du marché de l’épargne salariale et de la retraite — publie ce mercredi 11 mars les résultats d'une étude sur la sensibilité des dirigeants d’entreprise de moins de 50 salariés (TPE-PME) aux dispositifs de partage de profit dans l’entreprise. Le sondage a été réalisé au téléphone par OpinionWay en octobre dernier, auprès d'un échantillon de 1 001 dirigeants. La moitié d'entre eux (501 chefs d'entreprise) avait instauré un dispositif d’épargne salariale dans leur entreprise.

Enjeux de l'enquête

L’enjeu était de mesurer l’impact de la suppression du forfait social — contribution patronale de 20 % — accordée depuis le 1er janvier 2019 dans le cadre de la loi PACTE sur les dispositifs d’épargne salariale : intéressement, participation et abondement employeur. Cette enquête montre que les dispositifs d’épargne salariale et retraite sont connus même auprès des dirigeants qui n’en proposent pas au sein de leur entreprise.

Pour une majorité d’entre eux, leur mise en place renforce le rôle social de l’entreprise auprès des salariés. Elle constitue une réponse concrète face aux craintes des dirigeants de manquer d’attractivité et de capacité à fidéliser leurs collaborateurs. Freinés par des considérations psychologiques et financières, ils seraient trois fois plus nombreux à envisager la mise en place de tels dispositifs une fois informés des avantages liés à la suppression du forfait social procurés par la loi PACTE.

Impact positif de l'épargne salariale

63 % des dirigeants d’entreprise interrogés, ayant mis en place des dispositifs d’épargne salariale, l’ont fait avant tout pour motiver, récompenser ou fidéliser leurs salariés. 25 % d’entre eux l'ont fait pour profiter et faire profiter leurs salariés des avantages fiscaux associés, et 7 % par conviction sur le partage de valeur.

Pour 65 % des dirigeants d’entreprise ayant mis en place un dispositif, ce rôle social de l’entreprise auprès des salariés pourrait être élargi — pour les aider à se constituer une épargne retraite. Cette conviction est partagée par 50 % des dirigeants d’entreprise n’ayant pas mis en place de dispositif.

Les dispositifs d’épargne salariale ont une influence positive sur la motivation de leurs salariés selon 58 % des dirigeants interrogés, sur le climat social (55 %) et la fidélité (52 %). De plus, 41 % des dirigeants sondés observent un impact positif sur l’attractivité de leur entreprise, et 29 % un effet sur la croissance et le développement de leur société.

84 % des dirigeants veulent être accompagnés

Les dirigeants d’entreprise sont informés des dispositifs grâce à leurs partenaires privilégiés, en premier lieu leur banque (50 %) puis leur expert-comptable (36 %). Ce sont ces mêmes acteurs qui les aident à la mise en place et les accompagnent au quotidien dans la gestion des dispositifs d’épargne salariale. Si 25 % des dirigeants jugent la mise en place de dispositifs d’épargne salariale complexe, un dirigeant sur deux considère que cela reste assez indolore en termes d’effort consenti.

90 % des chefs d’entreprise équipés sont satisfaits des dispositifs d’épargne salariale (très ou plutôt) au regard de leurs objectifs fixés, et souhaitent continuer sur les mêmes dispositifs. C'est notamment le cas au sein des entreprises de services (33 % de très satisfaits) et des TPE (31 % de très satisfaits). Ce bon niveau de satisfaction s’accompagne d’une intention de recommandation : 78 % des dirigeants (84 % des dirigeants de PME) ayant mis en place au moins un dispositif sont prêts à les recommander.

L'obstacle des idées reçues 

La mise en place de l’épargne salariale n’est pas freinée par la méconnaissance des dispositifs : 88 % des dirigeants d’entreprise de moins de 50 salariés sans dispositif connaissent au moins la participation. Pour rappel, ce mécanisme est obligatoire au sein des entreprises de plus de 50 salariés. Par ailleurs, 87 % des dirigeants connaissent l’intéressement, 75 % le Plan d’Epargne Entreprise (PEE) et 71 % le Plan d’Epargne Retraite d’Entreprise Collectif (PERCol).

Les freins persistant sont davantage psychologiques, puisque 31 % ont tendance à s’auto-exclure et considèrent que les dispositifs ne sont pas appropriés à leur entreprise (entreprise jugée trop petite, activité trop récente…). D’autres freins plus structurels apparaissent : 18 % estiment que leur situation financière est mauvaise, 12 % pensent que la mise en place est coûteuse, 8 % manquent de ressources humaines ou encore 7 % manquent de temps.

La loi PACTE, un catalyseur

Si 61 % des dirigeants non encore dotés de dispositif d’épargne salariale n’ont pas entendu parler de la loi PACTE, en revanche 39 % savent ce que c’est. Ce chiffre monte à 48 % auprès des entreprises de 10 à 49 salariés. Par ailleurs, 11 % de l'ensemble des chefs d'entreprise interrogés déclarent savoir précisément ce qu'est la loi PACTE.

Une fois les avantages associés à cette loi présentés, 42 % des dirigeants (45 % au sein des TPE) seraient motivés pour mettre en place un dispositif d’épargne salariale. Ils n'étaient que 14 % avant la présentation de la loi. Ces avantages pourraient également inciter 57 % des dirigeants l’ayant déjà mis en place à l’enrichir (et même 66 % pour les entreprises dont l’ancienneté de mise en place est inférieure à 3 ans).

L’avantage fiscal supplémentaire accordé par la loi PACTE dans le plan d’épargne retraite d’entreprise collectif dit « PERcol » (déduction fiscale en cas de versement volontaire) apparaît également comme incitatif auprès de 43 % des dirigeants (49 % au sein des TPE) qui n'ont pas mis en place de dispositif. Cela inciterait 44 % des entreprises qui ont déjà mis en place un PERCO à le transformer en PERcol.

Enfin, 37 % des dirigeants interrogés avaient mis en place la prime Macron en 2019. Un quart d'entre 26 % ont l’intention de la reconduire en 2020 —  assortie de la mise en place d’accord d’intéressement.

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Expert-comptable en entreprise : la loi PACTE crée un nouveau statut

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'Ordre des experts-comptables — l'ordre professionnel qui regroupe les experts-comptables en France — annonce ce jeudi 27 février avoir obtenu avec la loi PACTE du 22 mai 2019 la création d'un nouveau statut d'expert-comptable en entreprise. Sous certaines conditions, les diplômés d’expertise comptable et salariés en entreprise peuvent désormais s’inscrire à l’Ordre.

Au même titre que les experts-comptables, ils peuvent dorénavant valoriser leur diplôme et marquer leur appartenance à un grand corps professionnel en partageant leurs expériences. S'inscrire à l'Ordre leur permet d'accéder à son réseau et à ses resources : documentation, événements professionnels et formations du Centre de Formation de la Profession Comptable (CFPC).

Conséquences de la loi PACTE

La reconnaissance de ce nouveau statut attractif permet à la profession de gagner en visibilité. Pour rappel, la loi PACTE avait pour objectif de simplifier la vie des PME et de favoriser leur croissance. Elle renforce notamment le rôle d’assistance et de conseil des experts-comptables auprès des entreprises. Elle facilite leur positionnement sur de nouvelles missions. Les évolutions obtenues par la profession comptable sont les suivantes :

  • un mandat de paiement : il permet de procéder au paiement des dettes et au recouvrement amiable des créances pour le compte des clients ;
  • la reconnaissance des compétences spécialisées ;
  • la possibilité de créer avec d’autres professions une société pluriprofessionnelle d’exercice (SPE) ;
  • un nouveau mode de rémunération, c'est-à-dire les honoraires de succès ;
  • la création du statut d’expert-comptable en entreprise.
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Assurance vie : Generali France fait le point sur le fonds G Croissance 2014

La Rédaction
Le Courrier Financier

Generali France — filiale française de l'assureur Generali — publie ce lundi 17 février le bilan de son fonds « G Croissance 2014 », cinq ans après son lancement. Ce véhicule d'investissement affiche une performance nette annualisée de 5,37 % depuis sa création. Comme en 2019, le renforcement des actifs non cotés — Private Equity, Dette privée et Immobilier — se poursuit dans l’allocation du fonds. Generali France proposera en 2020 une nouvelle génération de fonds Croissance en accord avec la loi PACTE.

« Dans l’environnement actuel de taux bas, le fonds G Croissance 2014 est une alternative au sein de nos contrats d’assurance vie (...) Grâce à la gestion flexible et opportuniste mise en place par notre équipe Investissements depuis 5 ans, il remplit sa promesse de performance et de garantie à terme. Forts de ce succès, nous comptons capitaliser sur notre expérience pour lancer une nouvelle génération de fonds croissance courant 2020, en ligne avec la loi
PACTE
», déclare Hugues Aubry, membre du comité exécutif de Generali France en charge de l’Epargne et de la Gestion de Patrimoine.

Bilan 2019 du fonds

En 2019, l’allocation du fonds s’est renforcée en actifs non cotés — Private Equity, Dette privée et Immobilier — et a poursuivi sa montée en puissance vers le financement de l’économie réelle et les investissements verts : Green bonds, fonds Actions ESG, notamment avec Sycomore. Depuis le 1er trimestre 2019, la poche actions est ainsi majoritairement composée de fonds respectant les critères d’investissements ESG. 

Au 4e trimestre 2019, l’équipe de gestion a baissé la duration moyenne du portefeuille obligataire. Elle a augmenté la poche monétaire pour pouvoir profiter à nouveau du marché primaire début 2020. Différents risques vont demeurer en 2020 sur l’évolution de la croissance mondiale et pourraient apporter plus de volatilité sur les marchés. L’allocation sectorielle de la poche obligataire restera défensive et diversifiée au 1er semestre 2020.

L’exposition aux marchés actions restera quant à elle prudente dans l’attente de mise en œuvre de stratégies opportunistes. La stratégie visant à renforcer les actifs non cotés dans l’allocation du fonds se poursuit. Elle permet de limiter la volatilité de la valorisation des actifs tout en confortant le rendement attendu du fonds à moyen terme.

Caractéristiques du fonds

Lancé en janvier 2015, « G Croissance 2014 » est un fonds croissance qui se situe à mi-chemin entre les fonds en euros et les supports en unités de compte (UC). Son objectif d’investissement de moyen-long terme peut s’adapter aux différents projets de vie des épargnants : financer les études de leurs enfants, épargner en vue d’un achat immobilier, se constituer un complément de revenus pour la retraite, etc.

Lors d’un investissement sur le « fonds G Croissance 2014 », le souscripteur a la possibilité d’investir au sein d’un seul et même contrat — assurance vie ou de capitalisation — sur trois engagements différents. Chacun correspond à un couple durée/niveau de garantie au terme qu’il a lui-même déterminé. La durée d’un engagement peut ainsi varier de 8 à 30 ans maximum et le niveau de garantie en capital au terme de 80 % à 100 %. Par ailleurs, le souscripteur peut diversifier son épargne en la répartissant entre fonds en euros, le fonds « G Croissance 2014 » et des supports en UC.

Le fonds « G Croissance 2014 » est notamment disponible au sein des contrats Himalia (distribué par les Conseillers en Gestion de Patrimoine), Espace Invest 5 (distribué par les Banques privées et Banques régionales) et L’Epargne Generali Platinium (distribué par les Agents généraux et Courtiers).  Il est accessible lors de la souscription d’un nouveau contrat, par transformation d’un contrat existant ou par transfert, à condition de préserver l’antériorité fiscale du contrat d’origine.

Loi PACTE et fonds Eurocroissance

La loi Plan d’Action pour la Croissance et la Transformation des Entreprises (PACTE) du 22 mai 2019 vise à multiplier par 10 les encours du fonds Eurocroissance en 2 ans. Cela revient à passer de 2 à 20 Mds€ à l’horizon fin 2022. Le principal objectif de la loi PACTE consiste à créer une nouvelle génération de fonds Eurocroissance, dont le fonctionnement et la communication seront simplifiés par rapport au fonds Eurocroissance existant afin de le rendre plus lisible pour les épargnants. 

La loi PACTE prévoit notamment la création d’un nouveau fonds Eurocroissance qui coexiste avec le fonds Eurocroissance actuel ; et la possibilité de transférer un contrat comportant l’ancien fonds Eurocroissance vers un contrat comportant le nouveau fonds Eurocroissance, selon les modalités et conditions définies par l’assureur. L’investissement net de frais sur le fonds « G Croissance 2014 » supporte un risque de perte en capital, en cas de désinvestissement avant l’échéance ou d’un niveau de garantie partiel.

Les montants investis sur le fonds « G Croissance 2014 » sont sujets à des fluctuations à la hausse ou à la baisse dépendant de l’évolution des marchés financiers. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. L'investissement sur les supports en UC supporte un risque de perte en capital puisque leur valeur est sujette à fluctuation à la hausse comme à la baisse dépendant notamment de l'évolution des marchés financiers. L'assureur s'engage sur le nombre d'UC et non sur leur valeur, qu'il ne garantit pas.

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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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Thierry Scheur – Ageas Patrimoine : personnaliser l’offre pour les CGP grâce au digital

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Agrégateur O2S, PER Zen, produits d'épargne différenciants... L'année 2020 s'annonce charnière pour Ageas Patrimoine. Comment personnaliser l'offre patrimoniale à destination des épargnants et des CGP ? Comment accompagner les Français face à la loi PACTE ?
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Grand Débat ANACOFI 2019 : technologie, loi PACTE… rendez-vous le 12 décembre

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
La semaine prochaine, l'ANACOFI organise son Grand Débat à Paris, accessible pour ses adhérents. Cette année, la transition numérique et le lancement de la loi PACTE seront à l'honneur lors des tables-rondes. Le Courrier Financier vous présente le programme.
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PER individuel : mes‑placements.fr lance Ma Solution PER avec Apicil

La Rédaction
Le Courrier Financier

Ce mardi 26 novembre, mes-placements.fr — conseil en gestion de patrimoine pour particuliers — annonce le lancement de son premier PER individuel (PERin) en partenariat avec l'assureur Apicil. Ce produit d'épargne est accessible en ligne sans frais d'entrée, ni frais sur les arbitrages en ligne — à l'exception des arbitrages des unités de compte (UC) vers le fonds euros, qui supporteront 15 euros de frais fixe plus 0,10 % par arbitrage.

S'adapter à l'épargnant

Plus des deux tiers des Français se disent inquiets pour leur retraite, d'après une étude réalisée le 10 septembre dernier par l'institut de sondage BVA pour Orange. Dans ce contexte, mes-placements.fr assure pratiquer « des frais de gestion parmi les plus bas du marché ». Objectif de « Ma Solution PER », accompagner les épargnants qui souhaitent préparer leur retraite tout en réduisant leurs impôts.

« Il s'agit d'un produit adapté à leurs besoins pour la préparation de la retraite, avec notamment la faculté de sortir intégralement en capital à l'échéance (sauf versements obligatoires), en une ou plusieurs fois. Il permet également de sortir en capital durant la phase d'épargne en cas d'achat de la résidence principale (sauf versements obligatoires). Ni les PERP, ni les Madelin ne proposent ces possibilités », déclare Eric Girault – Président & Fondateur de mes‑placements.fr.

Flexibilité de gestion

« Ma Solution PER » propose trois profils de gestion « Horizon retraite » : prudent, équilibré et dynamique. Le produit affiche 0,60 % de frais de gestion sur les UC et 0,85 % de frais de gestion sur le fonds en euros, pour 2,06 % de rendement (net de frais de gestion) sur le fonds en euros en 2018, accessible à hauteur de 60 % maximum. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. Le produit donne accès à un grand nombre de supports :

  • Plus de 320 Sicav/FCP ;
  • 26 supports immobiliers dont 17 SCPI, 5 OPCI et 4 SCI ;
  • 3 fonds de Capital Investissement.

Le contrat « Ma Solution PER » offre également à l'épargnant une grande flexibilité dans la gestion de son PER :

  • Choix entre Gestion libre ou Gestion à Horizon retraite (d'autres modes de gestion peuvent être disponibles sur demande) ;
  • Options d'arbitrage automatisé sur les UC : investissement progressif, sécurisation progressive des plus-values et arrêt des moins-values relatives ;
  • 4 offres de rentes : annuités garanties, rente majorée, rente progressive, rente viagère réversible.
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Blockchain : la France adopte une réglementation pour les services financiers

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le ministère de l'Economie et des Finances annonce ce vendredi 22 novembre l'adoption par la France d'un cadre règlementaire qui régit les applications de la Blockchain aux services financiers. Le décret n° 2019-1213 publié ce jour étend notamment cette législation aux prestataires de services sur actifs numériques (PSAN). La France souhaite conforter sa position de pionnier européen en la matière.

« Le cadre issu de la loi PACTE va favoriser le développement d’un écosystème Blockchain en France dynamique et robuste, qui allie capacité d’innovation, transparence et haut niveau de sécurité pour les épargnants et investisseurs. En étant l’un des premiers pays à se doter d’un tel cadre, Paris se donne les moyens de devenir la première place européenne de la Blockchain et conforte son engagement en faveur de l’innovation financière », déclare Bruno Le Maire, ministre de l'Économie et des Finances.

Cadre créé par la loi PACTE

L'Hexagone a été l’un des premiers pays au monde à donner force de loi à l’utilisation de la technologie Blockchain en matière d’inscription et de transfert de titres financiers. La France complète ainsi « l’un des cadres les plus exhaustifs au monde en matière d’actifs numériques, qui couvre aussi bien les aspects réglementaires que fiscaux ou encore comptables », indique le ministère dans un communiqué. Le nouveau décret vient le cadre juridique spécifique à ces actifs numériques créé par la loi PACTE.

Sur le marché primaire, il était déjà possible pour les émetteurs de solliciter auprès de l’Autorité des marchés financiers (AMF) un visa préalablement à leur émission d’actifs numériques (Initial Coin Offering – ICO), en application directe de la loi PACTE. Sur le marché secondaire, le décret vient préciser les contours des statuts applicables aux prestataires sur actifs numériques. Il leur ouvre la possibilité de s’enregistrer et de solliciter un agrément auprès de l’AMF.

Obtention de l'agrément AMF

L’obtention de cet agrément est conditionnée au respect de dispositions prévues par la loi. Il s’agit notamment d’obligations sur la sécurité des systèmes informatiques —  en termes de fonds propres ou d’assurance —  et d’obligations spécifiques à chaque service. Un service de conservation devra par exemple restituer la maîtrise des actifs numériques conservés. Cet agrément optionnel impose à certains prestataires de s'enregistrer, dans le cadre de la lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme.

Par ailleurs, le décret renforce l’accès aux services bancaires pour les émetteurs qui ont reçu un visa de l’AMF sur leur émission. C'est aussi le cas pour les prestataires de services sur actifs numériques enregistrés ou agréés. En cas de refus injustifié — même implicite —  d’accès aux services de comptes et de dépôts, les émetteurs ou prestataires pourront exercer un recours auprès de l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) en vue de déclencher une procédure de droit au compte.

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La SCPI Pierre Expansion Santé cède un actif parisien

La Rédaction
Le Courrier Financier

Au terme d’une consultation restreinte, PIERRE EXPANSION SANTÉ a cédé un hôtel particulier d’environ 1 000 m² et ses dépendances, anciennement à usage de maison de retraite, au groupe DELTA IM, dans le cadre d’un projet de réaménagement en établissement d'enseignement.

Cette cession permet à la SCPI de dégager une plus-value conséquente sur un actif détenu depuis 1996, et à l’acquéreur d’associer un bâtiment historique à un programme neuf en cours de construction sur une parcelle contiguë.

Le site est intégralement pré-loué à un prestigieux établissement d’enseignement italien dans le cadre d’un bail de longue durée.

La SCPI PIERRE EXPANSION SANTÉ était conseillée par les sociétés Flabeau et BNP Paribas Real Estate, ainsi que par l’Etude Michelez Notaires.

L’acquéreur était conseillé par l’étude Monceau Notaires.

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L’ANACOFI Finance d’Entreprise innove avec son Observatoire des Signaux Faibles

La Rédaction
Le Courrier Financier

La section s’est renforcée par la mise en place d’une Commission Finance d’Entreprise pilotée par Jean-Louis PICOLLO qui s’appuie sur le soutien du Président Confédéral David CHARLET.

Composé d’une dizaine de professionnels reconnus, qui rencontrent au total près de 500 chefs d’entreprise par an, elle se réuni tous les 4 mois et elle apporte aux adhérents une réflexion et une visibilité sur leurs métiers, sur les bonnes pratiques, sur les formations, et initie des contacts qui viennent ainsi enrichir notre écosystème.

Pour 2024, la section Finance d’Entreprise innove avec son OBSERVATOIRE des SIGNAUX FAIBLES.
Loin des prévisions aléatoires et des statistiques utopiques, cet OBSERVATOIRE basé sur nos remontées du terrain, a pour objectif de donner une information rapide et synthétique à nos adhérents et aux clients de nos adhérents sur des indices naissants pouvant influencer les prises de décisions des prochains mois.

Les membres de la Commission Finance d’Entreprise :

  • Fabienne GRETEAU- COFINGEST
  • Sébastien ROUZAIRE – KERIUS FINANCE
  • Ludovic SARDA – PYTHAS CAPITAL
  • Guy COHEN – INGÉNIERIE SOCIALE
  • Florent GUIGUE – EMERGEANCES
  • Nathalie DESSEAUX et Franck MAGNE – EAVEST
  • Julien DRAY – UNCONFLICTED MANAGEMENT
  • Edouard SEGUIN – PIMENT & Co
  • Jean-Louis PICOLLO – RESOLVYS
    Invités : David GANDAR et Nébojsa SRECKOVIC.
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La Parole aux Assos’ – CNCGP (2/3) : Sommet BFM Patrimoine, loi PACTE et PER, fonds en euros

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Dans « La Parole aux Assos' », Le Courrier Financier vous présente l'actualité de la CNCGP en novembre 2019. Sommet BFM Patrimoine, loi PACTE et PER, fonds en euros... Dans ce 2e épisode, nous parlons événements et débats d'actualité. Où trouver des opportunités commerciales en 2020 ? Julien Séraqui, Président de la CNCGP, répond à nos questions.
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Epargne retraite : Aviva France lance son PER individuel, Aviva Retraite Plurielle

La Rédaction
Le Courrier Financier

Aviva France — acteur mondial de l’assurance — annonce ce jeudi 14 novembre le lancement de son Plan d'épargne retraite individuel (« PERIN ») « Aviva Retraite Plurielle ». D'après un récent sondage Aviva France/Deloitte, les Français confirment leur intérêt en faveur d’un fléchage de l’épargne retraite vers les nouveaux produits proposés par la Loi PACTE.

Après avoir été le premier acteur à annoncer la création d’un Fonds de Retraite Professionnelle Supplémentaire (FRPS) en 2018, Aviva France réaffirme sa position en devenant l’un des premiers assureurs français à lancer un produit PER sur le marché. Près d’un millier d’affaires nouvelles ont déjà été réalisées par les agents et courtiers d’Aviva France au cours des premiers jours de commercialisation.

Trois modes de gestion

Le marché de l’épargne retraite en France se développe depuis l’entrée en vigueur de la loi PACTE, le 1er octobre 2019. Dans ce contexte, le PERIN Aviva Retraite Plurielle propose trois modes de gestion financière aux épargnants :

  • Évolutive : qui se sécurise progressivement et automatiquement à l’approche de la retraite ; 
  • Sous mandat : en bénéficiant de l’expertise d’Aviva Investors France en matière de gestion ISR ou de Rothschild & Co Asset Management Europe ;
  • Autonome : avec plus de 80 supports au choix en gestion libre.

Un produit labellisé ISR

Les Français se montrent de plus en plus intéressés par les produits d’épargne socialement responsables. « Aviva Retraite Plurielle » leur propose une épargne responsable, avec les supports Aviva Vie Solutions Durables. Certains supports proposés disposent ainsi du label Investissement Socialement Responsable (ISR), d’autres proposent d’orienter l’épargne vers des enjeux de société tels que l’emploi en France ou les énergies propres. Tous ces supports se retrouvent dans la GSM conseillée par Aviva Investors France.

« Alors que 63 % des Français se disent aujourd’hui préoccupés par leur niveau de revenus lors de la retraite, deux tiers d’entre eux n’ont jamais entendu parler des produits issus de la loi PACTE, selon notre récent sondage. En tant qu’acteur majeur de l’assurance et de la retraite privée en France, notre rôle est de poursuivre nos actions de conseil et de pédagogie à destination des épargnants », déclare Arthur Chabrol, Directeur Général Délégué d’Aviva France et Directeur de l’Expertise Technique Vie.

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