Marchés financiers : ont-ils raison d’être aussi optimistes ?

Johannes Müller
DWS
La divergence entre le ratio cuivre/or et les rendements réels suggère qu'une certaine prudence s'impose. Johannes Müller, Responsable de la recherche macro chez DWS.
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Matières premières : des résultats d’entreprises sous le signe de la hausse des coûts de production

Thomas Planell
DNCA
Début 2021, le renchérissement des matières premières place la saison des résultats d'entreprises sous le signe de la hausse des coûts de production. Quel sera l'impact de la répercussion des prix sur les clients finaux des entreprises ? Quel enseignement en tirer sur l'inflation ?Le point avec Thomas Planell, Gérant-analyste chez DNCA.
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Or et actions : la fin d’un paradigme ?

Thomas Planell
DNCA
Face à la crise du coronavirus, les banques centrales ont mis en place des programmes massifs de rachats d'actifs. A la clé, des liquidités abondantes. Ce phénomène inédit soutient donc en même temps les actions et l'or, valeur refuge par excellence. Quelles conséquences pour ce changement de paradigme ? Les explications de Thomas Planell, Gérant-analyste chez DNCA.
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Cours de l’or : un placement victime de son succès

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le Comptoir National de l'or — société française spécialisée dans l'or investissement et l’expertise de bijoux — revient sur la dégringolade du métal jaune. Le cours de l’or a fortement corrigé ce vendredi 28 février, pour la dernière séance du mois.

A Londres, l’once cotait 1 609 dollars à 15 heures — soit une correction de 2,5 % environ, en dollar comme en euros. Mais à New York, le cours a perdu jusqu’à près de 5 % en séance. Pourquoi l’or corrige-t-il de la sorte alors que les facteurs d’incertitudes s’accumulent, en particulier ceux liés au coronavirus ? Pour une raison technique : la prise de bénéfices.

Qu'on les couvre d'or !

L’or est en quelque sorte victime de son succès. Chaque fin de mois, de nombreux investisseurs professionnels doivent payer le solde de leurs positions en produits dérivés actions. Et comme les actions ont chuté fortement au cours du mois de février dernier (10 % en moyenne), les investisseurs ont dû couvrir les pertes.

Il est bien plus pratique de prendre les bénéfices sur les positions qui montrent un profit. Et l’or affichait un gain de 5 % sur le mois. Faisons un parallèle avec 2008 : en septembre — mois de la faillite de Lehman Brothers — l’or avait gagné plus de 10 %. Il avait corrigé de 8 % environ en octobre 2008, en raison du même phénomène de prise de bénéfices. En Novembre, il avait rebondi de plus de 11 %.

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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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Or, argent, platine, palladium : une conjoncture des plus favorables

Benjamin Louvet
OFI AM
Le cours de l'or affiche une belle progression en 2019. Qu'en est-il des autres métaux précieux ? Quelles perspectives se dessinent pour les investisseurs à long terme ? Benjamin Louvet, Gérant matières premières chez OFI AM, partage son analyse.
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Cours de l’or : la fin du Central Bank Gold Agreement

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le Comptoir National de l’or — spécialiste de l'investissement en or  et en expertise de bijoux — a commenté ce lundi 29 juillet la fin de l'accord de Washington. D'après cette société française spécialisée dans le marché physique de l'or, le message est clair. Dorénavant, les banques centrales ne revendent plus ce métal précieux, elles l'achètent.

Un accord devenu obsolète

En 1999, les banques centrales des principaux pays détenteurs d’or en Europe — y compris la Suisse — se sont mises d’accord pour limiter collectivement leurs ventes d’or à 400 tonnes par an. Cela faisait suite à l’annonce de ventes importantes par le Royaume-Uni, qui risquaient de fortement déstabiliser le marché. Pour rappel, le pays a vendu environ 400 tonnes d’or entre 1999 et 2002 à un cours moyen d’environ 275 dollars.

Cet accord a été renouvelé trois fois et prolongé jusqu’en 2019. Dans un communiqué (en anglais) publié le 26 juillet dernier, la Banque Centrale Européenne (BCE) a annoncé que l’accord ne serait pas reconduit une fois de plus... puisqu’il ne sert plus à rien. Le graphique ci-dessous — réalisé par la BCE — montre que les ventes d'or en tonnes restent aujourd'hui très loin du seuil à ne pas dépasser selon l'accord, voire même inexistantes.

Source : BCE

Aucune vente à court ou moyen terme

Depuis 2015, les ventes sont devenues pratiquement nulles. Et pour cause ! « D’une manière générale, les banques centrales ainsi que d’autres institutions officielles sont au contraire devenues des acheteurs nets sur le marché de l’or », souligne la BCE dans son communiqué.

L’abandon du Central Bank Gold Agreement — en plus de sa dimension symbolique — envoie donc un signal clair aux marchés financiers. Les investisseurs ne doivent attendre aucune vente de métal jaune sur le court et moyen terme, de la part des 21 signataires de l’accord.

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Cours de l’or : taux réels en baisse, prévisions des banques en hausse

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le Comptoir National de l'Or — spécialiste français de l'investissement dans l'or — revient ce jeudi 27 juin sur la récente envolée des cours du métal précieux. Celle-ci a poussé quelques banques d’investissement à revoir leurs prévisions à la hausse, suite à la baisse des taux réels.

Un potentiel de hausse considérable

Ainsi Morgan Stanley — la banque d’affaire américaine — voit-elle désormais un cours moyen de 1 435 dollars au second semestre. L'établissement note que des taux réels américain en terrain négatifs pourrait « générer un potentiel de hausse considérable pour l’or ».

Les taux réels à 10 ans sont actuellement en dessous 0,3 %, ce qui correspond approximativement au niveau de référence lors de l’élection de Donald Trump en novembre 2016. La baisse depuis le début de l’année de près de 70 points de base est particulièrement prononcée. Cette tendance a soutenu l’envolée récente de l’or.

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Métaux précieux : Bank of America détient 1,5 milliard de dollars d’or

Laurent Schwartz
Le Comptoir National de l'Or — société française spécialisée dans l'or investissement et l'expertise de bijoux — souligne la position significative en or prise par l'investisseur institutionnel Bank of America en 2019. Quelles conclusions pouvons-nous en tirer sur l'état du marché du métal précieux ? Laurent Schwartz, Directeur du Comptoir National de l'Or, partage son analyse.
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La SCPI Pierre Expansion Santé cède un actif parisien

La Rédaction
Le Courrier Financier

Au terme d’une consultation restreinte, PIERRE EXPANSION SANTÉ a cédé un hôtel particulier d’environ 1 000 m² et ses dépendances, anciennement à usage de maison de retraite, au groupe DELTA IM, dans le cadre d’un projet de réaménagement en établissement d'enseignement.

Cette cession permet à la SCPI de dégager une plus-value conséquente sur un actif détenu depuis 1996, et à l’acquéreur d’associer un bâtiment historique à un programme neuf en cours de construction sur une parcelle contiguë.

Le site est intégralement pré-loué à un prestigieux établissement d’enseignement italien dans le cadre d’un bail de longue durée.

La SCPI PIERRE EXPANSION SANTÉ était conseillée par les sociétés Flabeau et BNP Paribas Real Estate, ainsi que par l’Etude Michelez Notaires.

L’acquéreur était conseillé par l’étude Monceau Notaires.

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L’ANACOFI Finance d’Entreprise innove avec son Observatoire des Signaux Faibles

La Rédaction
Le Courrier Financier

La section s’est renforcée par la mise en place d’une Commission Finance d’Entreprise pilotée par Jean-Louis PICOLLO qui s’appuie sur le soutien du Président Confédéral David CHARLET.

Composé d’une dizaine de professionnels reconnus, qui rencontrent au total près de 500 chefs d’entreprise par an, elle se réuni tous les 4 mois et elle apporte aux adhérents une réflexion et une visibilité sur leurs métiers, sur les bonnes pratiques, sur les formations, et initie des contacts qui viennent ainsi enrichir notre écosystème.

Pour 2024, la section Finance d’Entreprise innove avec son OBSERVATOIRE des SIGNAUX FAIBLES.
Loin des prévisions aléatoires et des statistiques utopiques, cet OBSERVATOIRE basé sur nos remontées du terrain, a pour objectif de donner une information rapide et synthétique à nos adhérents et aux clients de nos adhérents sur des indices naissants pouvant influencer les prises de décisions des prochains mois.

Les membres de la Commission Finance d’Entreprise :

  • Fabienne GRETEAU- COFINGEST
  • Sébastien ROUZAIRE – KERIUS FINANCE
  • Ludovic SARDA – PYTHAS CAPITAL
  • Guy COHEN – INGÉNIERIE SOCIALE
  • Florent GUIGUE – EMERGEANCES
  • Nathalie DESSEAUX et Franck MAGNE – EAVEST
  • Julien DRAY – UNCONFLICTED MANAGEMENT
  • Edouard SEGUIN – PIMENT & Co
  • Jean-Louis PICOLLO – RESOLVYS
    Invités : David GANDAR et Nébojsa SRECKOVIC.
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Métaux précieux : un contexte favorable à la hausse de l’once d’or

Benjamin Louvet
OFI AM
L’endettement public élevé des économies occidentales rend improbable toute hausse des taux d’intérêt réels. Ce facteur contribue à soutenir le marché de l’or pour des investisseurs en quête de diversification. Quelles perspectives se dessinent pour le métal précieux en 2019 ? Benjamin Louvet, Gérant matières premières chez Ofi AM, partage son analyse.
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Métaux précieux : l’or des Européens sous la tutelle de la BCE

Laurent Schwartz
Suite aux interrogations de deux eurodéputés italiens, la Banque Centrale Européenne (BCE) a confirmé le 27 mars 2019 sa souveraineté sur la gestion des réserves d’or des pays de la zone euro. Laurent Schwartz, Directeur du Comptoir National de l'Or, explique pourquoi cette information n’est pas une révélation.
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