Partenariat : DWS et Nippon Life prolongent leur alliance stratégique

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le Groupe DWS — gérant d'actifs mondial, avec 821 milliards d’euros sous gestion — annonce ce jeudi 16 mars le prolongement son alliance stratégique avec Nippon Life pour cinq années supplémentaires, à compter du 11 mars 2023. Ce pilier important pour les deux entreprises permettra d'ancrer leur croissance dans des domaines de collaboration bien définis.

« La signature de notre accord d'alliance stratégique en 2018 a été motivée par la conviction que nous allions former un partenariat fructueux au bénéfice de nos clients et de nos parties prenantes. Les cinq dernières années témoignent des forces et des atouts de ce partenariat. Nous sommes donc fiers de pouvoir prolonger cette collaboration pour cinq années supplémentaires, d'intensifier notre engagement commun et de viser à créer encore plus de valeur pour les deux entreprises », commente Stefan Hoops, PDG de DWS.

Plusieurs initiatives

Dans ce cadre, DWS et Nippon Life continueront à étendre la portée de la distribution, l'innovation en matière de produits et l'acuité de la recherche. Les initiatives comprennent :

  • l’identification des fonds que chaque société et ses filiales chercheront à distribuer dans leurs canaux de distribution respectifs ;
  • l'introduction d'un plus grand nombre d'ETF auprès des investisseurs japonais ;
  • une collaboration plus étroite entre DWS et Nippon Life dans les domaines du conseil et des solutions d'assurance pour les filiales de cette dernière, ainsi que pour les clients tiers ;
  • l’intégration des capacités de recherche les plus performantes de l'une et de l'autre afin de répondre aux besoins de compréhension et de cultiver les talents de recherche des deux entreprises.

Poursuivre l'alliance

« Cette alliance stratégique nous permettra de travailler sur des initiatives qui, au fil du temps, porteront leurs fruits. En combinant les forces de chacun et en travaillant sur des aspects tels que le renforcement des investissements, la distribution, le partage des connaissances et la collaboration en dehors du Japon, cet accord permettra aux deux entreprises de se positionner favorablement pour développer leurs activités de gestion d'actifs à l'échelle mondiale », explique Minoru Kimura, directeur général de Nippon Life Insurance Company.

L'accord d'alliance stratégique a été signé pour la première fois en mars 2018, et avait suscité un solide consensus à tous les niveaux des deux entreprises. Au cours des cinq dernières années, l'alliance a vu une augmentation des investissements réalisés par Nippon Life dans les solutions de produits de DWS, la distribution conjointe de produits grâce à l'établissement d'un réseau mutuel, et une nouvelle collaboration commerciale avec les affiliés du groupe Nippon Life.

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Julien Delrieu & Guillaume Pajczer — Vertuo Conseil – Square Management : crise bancaire, « la faillite de SVB est un cas d’école »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Depuis la faillite de SVB aux Etats-Unis, l'Union européenne (UE) redoute la propagation de la crise. Faut-il craindre un risque systémique dans le secteur bancaire ? De quels outils l'UE dispose-t-elle pour s'en protéger ? Julien Delrieu et Guillaume Pajczer seniors manager chez Vertuo Conseil - Square Management, répondent au Courrier Financier.
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Philippe Blez – Kirao AM : Kirao Smallcaps, « nous profitons du regain d’intérêt des investisseurs »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Kirao Asset Management (Kirao AM) — société de gestion indépendante entrepreneuriale — présente ses perspectives 2023. Après la saison des publications de résultats des entreprises, comment Kirao AM oriente-elle son stock picking ? Quels secteurs intéressent particulièrement les investisseurs ?
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Réunion de la BCE — 3 questions à… Sylvain Bersinger, économiste chez Asterès

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Ce jeudi 16 mars, la Banque centrale européenne (BCE) annonce une hausse des taux de 0,5 point de pourcentage. Quels enjeux derrière cette décision de politique monétaire ? Sylvain Bersinger, économiste chez Asterès, répond en exclusivité aux questions du Courrier Financier.
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Assurtech : Finovox signe un partenariat avec Sunlight Solutions

La Rédaction
Le Courrier Financier

Finovoxstartup française spécialisée dans la détection de faux documents — annonce ce jeudi 16 mars la signature d'un partenariat avec Sunlight Solutions, progiciel qui couvre l'ensemble des processus métiers de l'assurance. Les deux entités entendent mutualiser leurs compétences pour permettre à l’ensemble de l'écosystème de l’assurance d’optimiser et de sécuriser leurs opérations en luttant contre la fraude notamment.

Digitaliser l'administratif

Les acteurs du monde de l’assurance sont aujourd’hui confrontés à de nouveaux défis liés au besoin d’innovation : flexibilité et fiabilité, collecte et analyse des données, modernisation du service client, détection de la fraude, etc. Finovox et Sunlight Solutions s’associent afin d’offrir une solution clé-en-main et sur-mesure.

Objectif, gagner en temps et en efficacité en réalisant à travers une seule interface leurs tâches administratives et leurs vérifications documentaires. Tous les utilisateurs du système de gestion de Sunlight Solutions ont donc désormais accès au logiciel de détection de falsifications documentaires de Finovox, directement via leur système back-end.

En France et aux Etats-Unis

Pour Finovox, déjà présente sur le marché auprès de plusieurs acteurs de l’assurance (dont Luko et Parachut), ce partenariat représente également une opportunité d’accélérer son développement commercial en France et aux Etats-Unis.

« Nous sommes ravis de nous associer à Sunlight Solutions pour proposer un produit inédit et clé en main à tous les assureurs. Aujourd’hui, intégrer la technologie (blockchain, IA, etc.) est essentiel pour proposer des produits et des services performants et adaptés aux demandes des assurés, notamment pour les acteurs traditionnels du secteur. » déclare Marc de Beaucorps, CEO et co-fondateur de Finovox.

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Girardin : Meyon propose en 2023 des rentabilités de 10 % à 13 %

La Rédaction
Le Courrier Financier

Meyonapplication de conseil en investissement — lance ce jeudi 16 mars son offre de placements Girardin, en partenariat avec InterInvest et Ecofip. Les rentabilités de ces produits iront de 13 % pour l’enveloppe classique à 10 % pour l’enveloppe assortie d’une garantie de bonne fin financière et fiscale.

Pourquoi investir en Girardin ?

La loi Girardin codifiée aux articles 199 undecies B et C du Code Général des Impôts (CGI) permet aux contribuables d'obtenir une réduction d'impôt au titre de leurs investissements dans les secteurs prioritaires du développement économique, énergétique et social des départements et collectivités d'outre-mer. Les résidents fiscaux français bénéficient ainsi d'une réduction d'impôt sur le revenu (IR) dès l'année suivante, s'ils investissent dans des matériels industriels neufs ou des logements sociaux neufs.

Si les conditions sont bien respectées, la réduction d'impôt obtenue est supérieure au montant de l'investissement. Cet investissement n'est pas exempt de risques. Si l'entreprise ultramarine ne respecte pas les conditions du dispositif ou si le matériel n'est pas loué pendant les cinq années requises, l'administration fiscale peut remettre en cause cette réduction d'impôt. Il est donc essentiel de sélectionner avec soin son investissement.

Jusqu'à 13 % de rentabilité

Meyon propose des opérations structurées par des acteurs locaux, capables de mutualiser et de suivre les investissements pour le compte de ses clients. Les rentabilités en début d’année iront de 10 %, pour profiter de la garantie de bonne fin financière et fiscale qui assure à l’investisseur ses gains même en cas de remise en cause du dispositif par l’administration, à 13 % pour ses enveloppes « classiques ». Les enveloppes d’investissement sont limitées, et les rentabilités des souscriptions pourraient baisser en cours d’année.

Après un parcours 100 % digital et un entretien obligatoire avec un conseiller Meyon, les clients accèdent à leur investissement pouvant procurer jusqu’à 60 000 euros de réduction d’impôt. « Nous sommes très heureux de proposer aux épargnants français cet investissement Girardin performant et compétitif dans un cadre maîtrisé et sécurisé. Nous offrons une expérience utilisateur unique en ligne et accompagné d’un conseiller pour garantir la parfaite adéquation du placement avec la situation fiscale de nos clients », déclare Ludovic Farnault, CEO de Meyon.

Conseil en gestion de patrimoine

En complément de cette offre Girardin, Meyon propose un véritable service de conseil en gestion de patrimoine ainsi qu’un accès à une offre complète et lisible de placements. Objectif, permettant aux épargnants d’optimiser leur épargne en investissant dans des secteurs tels que l’immobilier, les innovations technologiques, la transition énergétique, le private equity et les produits structurés.

Certains sont accessibles 100 % en ligne d’autres nécessitent de passer par un conseiller Meyon. Ces entretiens peuvent se faire chez Meyon, chez les clients ou en visioconférence. Meyon permet de bénéficier de conseils en investissement ainsi que d’une gamme de placements innovants depuis son ordinateur ou son smartphone tout en étant accompagné par des vrais conseillers !

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Marchés financiers : le cygne de silicone

Florent Wabont et Olivier Guillou
Ecofi
En l’espace de quelques jours, les banques américaines Signature Bank, Silvergate Bank et Silicon Valley Bank ont fait faillite. Si les deux premières sont intimement liées à l’univers des cryptos actifs, c’est surtout sur la dernière (car plus « traditionnelle ») que l’attention s’est portée. Les explications de Florent Wabont, économiste et Olivier Guillou, directeur de la gestion chez Ecofi.
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Marc Braun – Scalable Capital : « Les ETF donnent un accès simple et diversifié aux actions qui peuvent offrir un rendement supérieur à l’inflation »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Pourquoi les ETF se démocratisent-ils auprès des Français ? Comment ces fonds indiciels permettent-ils de protéger son épargne contre l'inflation ? Marc Braun, Responsable France & Pays-Bas chez Scalable Capital, répond au Courrier Financier.
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Banques et système financier : des différences majeures entre l’Europe et les États-Unis

Ben Laidler
eToro
Depuis la faillite de la Silicon Valley Bank (SVB) le 10 mars dernier, les Etats-Unis ont plongé dans la crise bancaire. L'Europe doit-elle craindre la contagion ? De quels outils le Vieux Continent dispose-t-il pour se protéger ? Le point avec Ben Laidler, Global Markets Strategist pour eToro.
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BCE : Christine Lagarde va devoir rassurer les investisseurs dans un contexte de stress des marchés

Julien Russo
Swiss Life Asset Managers France
La faillite de la Silicon Valley Bank (SVB) devrait rester un évènement contenu et ne devrait pas détourner la BCE d’une augmentation de ses taux de 50 points de base lors de sa réunion de ce jeudi 16 mars. Le point avec Julien Russo, gérant de portefeuille senior, Marchés monétaires, chez Swiss Life Asset Managers France.
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La CNCEF lance son Académie de l’économie durable

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le Groupe Chambre Nationale des Conseils Experts Financiers (CNCEF) — première organisation professionnelle créée en 1957 — annonce ce vendredi 17 mars le lancement de son Académie de l’économie durable. Cette structure s’adresse à tous les professionnels libéraux qu’elle regroupe dans les domaines du patrimoine, de l’assurance, du crédit, de l’immobilier de placement et du développement de l’entreprise. La CNCEF considère que ces experts financiers ont un rôle important à jouer face à trois défis contemporains : 

  • le renforcement de la souveraineté économique ;
  • la promotion d’une économie durable ;
  • L’amélioration de l’éducation et de la formation par la pédagogie financière. 

8 000 membres de l'Académie

Espace d’échanges et d’initiatives s’inscrivant dans le temps long, l’Académie se donne pour objectif de réfléchir aux évolutions profondes des métiers de la finance et souhaite apporter sa contribution au service de l’intérêt général et national — plus largement, du client final. Elle souhaite aussi s’adresser à la jeunesse (étudiants, universitaires, jeunes professionnels, etc.) pour favoriser la transmission et le dialogue entre les générations. 

L’Académie de l’économie durable est pilotée par les administrateurs de la CNCEF et animée par Pierre-Jean Gaudel. Elle regroupe les 8 000 adhérents de la CNCEF auxquels s’adressent prioritairement les événements qu’elle organise. Ces derniers sont également ouverts aux personnalités extérieures, notamment aux universitaires ainsi qu’aux nouveaux entrants dans la profession financière. 

Les initiatives de l’Académie 

L’Académie organise, chaque année, un concours destiné aux étudiants de France sur un sujet économique d’intérêt général. En 2023, le sujet était : « La sobriété est-elle l’avenir de notre économie ? ». Elle publie par ailleurs, les meilleures contributions reçues à l’occasion de ce concours annuel.  

Par ailleurs, l'Académie promeut les documents d’intérêt général publiés par les associations de la CNCEF — guides de bonnes pratiques, guides pour promouvoir l’usage du français dans nos métiers, etc. Elle propose également les formations de la CNCEF et de ses partenaires sur les bonnes pratiques professionnelles (déontologie, investissement responsable, etc.). Enfin, l'Académie se propose de nourrir la réflexion doctrinale et favoriser le partage d’expériences.

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Nue-propriété : le Groupe Inter Invest commercialise un programme à Mougins

La Rédaction
Le Courrier Financier

Inter Invest Immobilier — entité du Groupe Inter Invest, spécialiste de la structuration et la commercialisation d’opérations immobilières — annonce ce mercredi 15 mars l’acquisition d’un nouveau programme en démembrement de propriété à Mougins (Alpes-Maritimes), à proximité de Cannes.

Accessible avec 37 % de décote

Cette cité médiévale est perchée à 260 mètres d’altitude. Elle offre un panorama exceptionnel sur la baie de Cannes, les îles de Lérins, le massif de l’Estérel et les Préalpes d’Azur. Mougins figure parmi les cinq villes fondatrices de la technopole Sophia Antipolis, et représente plus d’un millier d’entreprises. C’est à quelques minutes du centre historique de la ville qu’Inter Invest réalise sa première opération immobilière en nue-propriété dans la région.

La résidence « Le Basile » est scindée en quatre petits immeubles, qui regroupent un total de 22 appartements. Elle propose des prestations avec une Haute Qualité Environnementale (HQE). Pour cette opération, Inter Invest Immobilier a sélectionné 11 appartements qui vont du deux au quatre pièces. Tous bénéficien d’une surface extérieure, d’au moins un parking (15 places en sous-sol et 1 en extérieur) et d’une cave.

La durée de démembrement de ce programme est fixée à 17 ans. Les appartements sont accessibles à partir de 221 754 euros, avec une décote de 37 % et un prix moyen en nue-propriété de 4 026 euros/m² (hors parking). « La résidence intimiste « Le Basile », est au cœur d’un environnement résidentiel alliant calme et sérénité. Elle offre des logements avec des surfaces extérieures exceptionnelles sur un marché immobilier local en pleine croissance », commente Isabelle Peene-Dupont, Directrice Générale d’Inter Invest Immobilier.

Promoteur et bailleur du projet

La résidence « Le Basile » est réalisée par le promoteur Ametis — acteur national implanté sur l’ensemble des territoires. Objectif, « mettre la qualité et l’innovation architecturales au service d’un habitat pour tous », précise Inter Invest Immobilier dans un communiqué. Le projet est également porté par le bailleur institutionnel 3F Sud — filiale du Groupe Action Logement.

Ce bailleur propose des habitations à loyer modéré aux personnes à revenus modestes. 3F intervient sur toute la chaîne de valeur : construction, entretien et rénovation des résidences, gestion locative, vente de logements pour favoriser l’accession sociale à la propriété, renouvellement urbain et développement territorial.

Avantages de la nue-propriété

Cette solution donne la possibilité à l’investisseur d’acquérir la nue-propriété d’un bien immobilier, pendant que l’usufruit locatif social (ULS) est cédé à un bailleur institutionnel de premier plan pendant une période pouvant aller de 15 à 20 ans. Ces opportunités en démembrement de propriété permettent ainsi aux investisseurs privés de se projeter à long terme. Ces opérations incluent plusieurs avantages :

  • une décote importante qui peut aller de 30 % à 40% de la valeur du bien immobilier et qui correspond à l’ensemble des loyers que l’investisseur aurait pu percevoir pendant la période d’usufruit. Le nu-propriétaire bénéficie ainsi d’un investissement sécurisé au titre du prix d’acquisition ;
  • un investissement sans contrainte pendant la période d’usufruit, ce qui signifie : aucune gestion locative avec la suppression du risque d’impayés, celui-ci étant directement supporté par le bailleur institutionnel qui achète l’Usufruit ; aucune charge financière puisque l’ensemble des charges locatives et des travaux ainsi que la taxe foncière sont pris en charge par l’Usufruitier ; une fiscalité optimisée c'est-à-dire pas d’IR, non soumis à l’IFI, imposition minorée sur les plus-values en fin de période d’usufruit et une fiscalité allégée en cas de transmission ; un modèle souple où l’investisseur est libre de revendre à tout moment pendant la durée de l’usufruit (sans durée minimale de détention) et au débouclage, lors de la reconstitution automatique de la pleine propriété, il peut choisir de vendre, d’habiter ou de louer son bien ; et une solution idéale pour préparer sa retraite en anticipant des revenus complémentaires futurs à terme. La nue-propriété s’adresse à des épargnants désireux d’acquérir un bien immobilier de qualité, dans l’optique d’y vivre à la retraite ou de se constituer un patrimoine sans subir les aléas de la gestion locative.
  • la possibilité d’investir en démembrement de propriété via un crédit immobilier.
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Crise bancaire : choc déflationniste

Sylvain Bersinger
Asterès
La faillite de la Silicon Valley Bank (SVB) aux Etats-Unis plonge le secteur bancaire dans la crise. Quels sont les mécanismes économiques à l'œuvre ? Quelles conséquences sur la politique monétaire ? L'analyse de Sylvain Bersinger, économiste chez Asterès.
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UBS LA MAISON de Gestion lance le fonds LMdG France & Innovation

La Rédaction
Le Courrier Financier

UBS LA MAISON de Gestion — société de gestion, joint venture dont 51 % du capital détenu par UBS France et 49 % détenu par LA MAISON et ses grands actionnaires — lance le fonds LMdG France & Innovation, qui investit dans les meilleures entreprises innovantes en France.

Les nouvelles technologies sont portées par la régulation française et européenne. Le secteur bénéficie d’un fort accompagnement des pouvoirs publics. C'est l’un des facteurs-clés de la compétitivité, souveraineté et capacité d’innovation de l’économie nationale. Les investisseurs ont un rôle à jouer dans le développement de cet environnement French Tech. UBS LMdG va capitaliser sur la valeur ajoutée de l’innovation, et favoriser cet écosystème en croissance.

Une cinquantaine de valeurs

Géré par Joris Dupraz, le fonds est composé d’une cinquantaine de valeurs combinant grandes (environ 40 %), petites et moyennes capitalisations (environ 60 %) issues de secteurs variés, dont la dimension innovante constitue un avantage compétitif.

LMdG France & Innovation investit également, à titre accessoire, dans des entreprises cotées à l’étranger qui, à travers une de leurs spécificités — nationalité du fondateur, localisation de la technologie développée, etc. — participent au rayonnement français à l’international.

Enfin, le fonds intègre à sa gestion des critères extra-financiers (ESG), notamment via l’exclusion de certains secteurs ou de certaines thématiques et via une approche « Best in class » qui privilégie les meilleures entreprises en terme ESG.

L'innovation qui génère de la valeur

« Il est désormais acquis que les nouvelles technologies, qu’elles concernent le numérique, le process industriel, l’agroalimentaire ou la santé, figurent au premier rang des moteurs de croissance pour l’économie française. Le fonds LMdG France & Innovation se donne pour stratégie d’identifier les entreprises dont les efforts sont susceptibles de porter leurs fruits, et qui seront à l’origine de gains de compétitivité, de productivité, et in fine de croissance rentable », précise Joris Dupraz, gérant du fonds.

« La période actuelle est riche en transformation dans les domaines aussi variés que les énergies nouvelles, l’intelligence artificielle, l’automatisation ou le secteur de la santé. Savoir distinguer les entreprises dont le modèle innovant permettra de tirer profit de ces progrès, est le facteur clef de succès pour l’investisseur. Notre ambition est de générer de la performance en apportant du capital aux entreprises dont les projets sont créateurs de valeur, tant vers des start-ups aux projets audacieux que des leaders mondiaux », ajoute-il.

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