Entreprises : la cybersécurité, nouvel enjeu stratégique

Benoît Peloille
VEGA IM
La guerre en Ukraine a entraîné une série de sanctions économiques envers la Russie. Du côté des entreprises, le conflit remet la cybersécurité en pleine lumière. Comment aborder ce risque stratégique ? Les explications de Benoît Peloille, Stratégiste et Gérant chez VEGA IM.
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Ukraine : les marchés financiers veulent garder espoir

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Ce vendredi 18 février, les tensions restent vives dans l'est de l'Ukraine. Aux Etats-Unis et en Europe, les marchés financiers s'accrochent néanmoins à l'espoir d'une résolution diplomatique du conflit. Quel bilan de la situation ? Le point avec Le Courrier Financier.
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Marchés actions : quels risques pour notre système financier ?

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Cette semaine, la Banque de France et l'Autorité des marchés financiers (AMF) publient plusieurs documents d'analyse des marchés actions en France. Face aux incertitudes en 2022, les investisseurs particuliers sont-ils trop exposés aux risques ? Le point avec Le Courrier Financier.
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Marchés financiers : face aux risques de court terme, des perspectives de moyen terme

Benjamin Melman
Edmond de Rothschild
La persistance de l'inflation sur les marchés financiers sème le doute sur son caractère transitoire. Comment faire face aux risques de court terme ? Quelles perspectives pour les investisseurs ? Le point avec Benjamin Melman, Global Chief Investment Officer, Asset Management chez EDRAM.
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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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Risques financiers liés au déclin rapide de la biodiversité : une étude qui alerte

François Lett
Ecofi
Le 27 juillet dernier, la Banque de France a publié une étude sur les risques financiers liés à la biodiversité en France. Quels sont les risques identifiés par cette étude ? Comment les investisseurs peuvent-ils s'en prémunir ? L'éclairage de François Lett, Directeur du département éthique et solidaire chez Ecofi.
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L’Afghanistan et l’environnement de marché

Hervé Goulletquer
Depuis le 15 août dernier, les Talibans ont repris le pouvoir à Kaboul. Les Américains et leurs alliés occidentaux sont supposés avoir quitté le pays d'ici le 31 août prochain. Quel impact géopolitique cet évènement va-t-il avoir sur les marchés financiers ?
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Devoir de vigilance : une loi ambitieuse mais peu appliquée

Cesare Vitali
Ecofi
Depuis 2017, les entreprises de plus de 5 000 salariés sont légalement soumises à un devoir de vigilance. Elles doivent garantir le respect des droits humains sur toute leur chaîne de production. Comment prévenir les risques liés à leurs performances extra-financières ? L'éclairage de Cesare Vitali, Responsable ISR chez Ecofi.
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Développement durable : les risques liés à l’eau, d’après une étude DWS

La Rédaction
Le Courrier Financier

DWS — Deutsche Asset & Wealth Management — publie ce lundi 30 novembre une étude sur les risques liés à l’eau (en anglais). L'enquête a été menée par Francesco Curto, Responsable mondial de la recherche, Michael Lewis, Responsable de la recherche thématique ESG, et Murray Birt, Stratégiste senior ESG chez DWS. L'entreprise fait partie d'un groupe de travail, organisé par le Forum économique mondial (WEF), sur les « transformational investments ».

Cette initiative vise à mettre en place de nouvelles approches pour convertir les risques systémiques mondiaux en un rendement durable, l'eau étant considérée par le WEF comme l'un des six risques systémiques. Les dépenses annuelles nécessaires jusqu'en 2030 pour atteindre les objectifs durables liés à l'eau sont estimées à 670 milliards de dollars US. K'eau est le risque pour lequel les progrès ont été les plus faibles.

Traiter les risques liés à l'eau

Les risques auxquels l'humanité est confrontée sont potentiellement catastrophiques puisqu'aujourd'hui, 785 millions de personnes ne disposent pas d'une source d'eau potable de base et deux milliards de personnes n'ont pas accès à des installations sanitaires élémentaires. Le manque d'assainissement et d'hygiène a entraîné près de 1,6 million de décès en 2017, soit plus que les décès dus aux suicides, aux homicides, aux conflits armés et au terrorisme réunis.

Un tiers des décès dus aux maladies diarrhéiques touchent des enfants de moins de cinq ans. En outre, si l'environnement naturel continue à se dégrader et si des pressions non durables sont exercées sur les ressources mondiales en eau, on estime que d'ici 2050, 52 % de la population mondiale, 45 % du PIB mondial et 40 % de la production céréalière mondiale seront menacés.

L'incapacité à traiter correctement les risques liés à l'eau est probablement due à des facteurs tels que le caractère fragmenté de la régulation de l'eau, les caractéristiques des investissements dans l'eau et la conviction erronée que l'eau est abondante et bon marché.

Qu'est-ce qu'un « transformational investment » ?

En outre, la croissance démographique, le changement climatique et l'incapacité à réparer les dommages causés par les actions passées sont susceptibles d'aggraver encore une situation déjà mauvaise. DWS considère qu'un « transformational investment » doit commencer par un « cadre transformationnel » qui :

  • garantit que le citoyen lambda, le consommateur final, l'investisseur particulier et les investisseurs institutionnels sont conscients des risques liés à la durabilité et à l'eau ;
  • réévalue les rôles des différentes fonctions le long de la « chaîne logistique » en ramenant le concept de séparation des pouvoirs d'Aristote et de Montesquieu. Les gouvernements devraient légiférer : en utilisant la Charte européenne de l'eau pour orienter les politiques. Les commissaires aux comptes devraient mesurer, parce que les gérants ont besoin de principes comptables ESG mondialement acceptés (GAAP) complets avec un audit des pays, des entreprises et des investisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux complets ; les investisseurs doivent investir : mettre en œuvre un cadre d'investissement pour toutes les catégories d'actifs en établissant une distinction claire entre « ne rien faire », intégration des facteurs ESG (extérieur-intérieur) et investissement d'impact/de transformation (intérieur-intérieur).
  • les produits d'investissement qui traitent réellement des risques liés à l'eau et/ou à d'autres facteurs ESG devraient être assortis de frais moins élevés que les produits d'investissement non ESG ou non transformationnels. Les gouvernements devraient appliquer une « redevance de durabilité » aux produits d'investissement qui ne relèvent pas du défi de la durabilité. Les frais les plus élevés devraient être appliqués aux produits d'investissement qui ne font rien, les frais intermédiaires aux produits d'investissement qui intègrent les facteurs ESG et les frais de durabilité gouvernementaux plus faibles ou nuls pour les investissements

Mieux anticiper les risques

L'absence de cadre transformationnel exposera probablement l'eau et éventuellement d'autres facteurs ESG aux risques que les investisseurs tentent simplement d'éviter, même s'ils deviennent le prochain grand défi pour l'humanité d'ici la fin de cette décennie.

DWS invite donc les sociétés de gestion d'actifs à envisager le risque lié à l'eau d'une manière différente, moins cloisonnée et plus holistique, à anticiper les dynamiques et la législation futures et à adopter une charte de l'eau en vue de piloter leurs propres opérations ainsi que leurs activités d'investissement, et éventuellement en collaboration avec d'autres sociétés de gestion d'actifs, demander aux sociétés de faire de même.

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La SCPI Pierre Expansion Santé cède un actif parisien

La Rédaction
Le Courrier Financier

Au terme d’une consultation restreinte, PIERRE EXPANSION SANTÉ a cédé un hôtel particulier d’environ 1 000 m² et ses dépendances, anciennement à usage de maison de retraite, au groupe DELTA IM, dans le cadre d’un projet de réaménagement en établissement d'enseignement.

Cette cession permet à la SCPI de dégager une plus-value conséquente sur un actif détenu depuis 1996, et à l’acquéreur d’associer un bâtiment historique à un programme neuf en cours de construction sur une parcelle contiguë.

Le site est intégralement pré-loué à un prestigieux établissement d’enseignement italien dans le cadre d’un bail de longue durée.

La SCPI PIERRE EXPANSION SANTÉ était conseillée par les sociétés Flabeau et BNP Paribas Real Estate, ainsi que par l’Etude Michelez Notaires.

L’acquéreur était conseillé par l’étude Monceau Notaires.

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L’ANACOFI Finance d’Entreprise innove avec son Observatoire des Signaux Faibles

La Rédaction
Le Courrier Financier

La section s’est renforcée par la mise en place d’une Commission Finance d’Entreprise pilotée par Jean-Louis PICOLLO qui s’appuie sur le soutien du Président Confédéral David CHARLET.

Composé d’une dizaine de professionnels reconnus, qui rencontrent au total près de 500 chefs d’entreprise par an, elle se réuni tous les 4 mois et elle apporte aux adhérents une réflexion et une visibilité sur leurs métiers, sur les bonnes pratiques, sur les formations, et initie des contacts qui viennent ainsi enrichir notre écosystème.

Pour 2024, la section Finance d’Entreprise innove avec son OBSERVATOIRE des SIGNAUX FAIBLES.
Loin des prévisions aléatoires et des statistiques utopiques, cet OBSERVATOIRE basé sur nos remontées du terrain, a pour objectif de donner une information rapide et synthétique à nos adhérents et aux clients de nos adhérents sur des indices naissants pouvant influencer les prises de décisions des prochains mois.

Les membres de la Commission Finance d’Entreprise :

  • Fabienne GRETEAU- COFINGEST
  • Sébastien ROUZAIRE – KERIUS FINANCE
  • Ludovic SARDA – PYTHAS CAPITAL
  • Guy COHEN – INGÉNIERIE SOCIALE
  • Florent GUIGUE – EMERGEANCES
  • Nathalie DESSEAUX et Franck MAGNE – EAVEST
  • Julien DRAY – UNCONFLICTED MANAGEMENT
  • Edouard SEGUIN – PIMENT & Co
  • Jean-Louis PICOLLO – RESOLVYS
    Invités : David GANDAR et Nébojsa SRECKOVIC.
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Marchés financiers : léger vent d’optimisme

Karamo Kaba
Cette semaine, le revirement de Donald Trump sur le soutien à l'économie américaine semble rassurer les marchés financiers. Comment évoluent les indices boursiers ? Pourquoi les investisseurs favorisent-ils la prise de risque ? Les explications de Karamo Kaba, Directeur de la recherche économique chez Ecofi.
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Transition climatique : risques et performances

Petra Pflaum
DWS
Tout le monde parle des grandes tendances qui émergent face à la pandémie. Nous observons également que les entreprises réagissant au changement climatique ont bénéficié de l'épidémie.
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