Centres-villes : l’urgence de rénover pour redynamiser nos territoires

Cédric Nicard
Horizon AM
Lutter contre la perte d’attractivité des centres-villes représente à la fois un enjeu économique, social et urbain. Promoteurs immobiliers et investisseurs doivent redoubler d’efforts pour rénover les immeubles existants. Cette ambition doit permettre de freiner l’étalement urbain, source de problèmes environnementaux majeurs, et de ramener la vie dans nos centres-villes.
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Droit de la copropriété : la réforme exclut le plan pluriannuel de travaux, la FNAIM réagit

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le projet d’ordonnance portant réforme du droit de la copropriété — prévue par la loi ELAN — a été adoptée le mercredi 30 octobre en Conseil des ministres. Dans un communiqué publié le lendemain, la Fédération Nationale de l’Immobilier (FNAIM) a salué une réforme « relativement équilibrée ». Elle déplore cependant la disparition du plan pluriannuel de travaux (PPT) obligatoire, une mesure « pourtant approuvée à l'unanimité par l'ensemble des acteurs de la profession et des associations de consommateurs ». Pour la FNAIM, c'est « une occasion manquée ».

Prévenir la dégradation des immeubles 

La mise en place obligatoire d’un plan pluriannuel de travaux (PPT) pour les copropriétés de plus de 15 ans a disparu du texte final de la réforme. La FNAIM regrette le retrait de cette mesure, qui aurait permis d’assurer une rénovation du bâti dans la durée. Le PPT aurait ouvert la voie à « une plus grande anticipation pour les copropriétaires, notamment grâce à l’obligation d’abonder les fonds travaux à hauteur de 2,5 % minimum du PPT », assure Jean-Marc Torrollion, Président de la FNAIM.

« Concrètement, cette mesure aurait permis de mieux prévenir la dégradation des immeubles et d’éviter des drames comme ceux de la rue d’Aubagne à Marseille (...) C’est pour les professionnels de la copropriété une réelle déception. Nous attendons les explications du gouvernement sur les moyens qu’il compte mettre en place pour lutter contre le délabrement de nombreux bâtiments », ajoute Jean-Marc Torrollion.

Régime unique et contrat socle

D'après la FNAIM, le maintien d’un régime unique de gestion de la copropriété est une mesure positive. Elle garantit une égalité des copropriétaires face au droit, quelle que soit la taille de la copropriété. Les petites copropriétés bénéficient cependant d’aménagements. « Le risque était de créer un régime de copropriété à deux vitesses, qui aurait pu engendrer une rupture en matière de services proposés aux copropriétés de 5 lots au plus ou bien 15 000 € de budget pendant 3 années consécutives en les faisant sortir de la gestion professionnelle », ajoute Jean-Marc Torrollion.

La réforme donne également la possibilité aux syndics de proposer un contrat socle. Cette mesure marque une avancée concrète pour les services proposés par le syndic, au-delà du contrat type qui limitait jusqu’alors cette possibilité. « Cela permettra au syndic de proposer aux copropriétaires toute une gamme de prestations répondant aux attentes et besoins des copropriétaires conciergerie, gardiennage, babysitting, dogsitting, etc. qui pourront-être autant d’éléments apportés au bien vivre au sein de la copropriété », précise Jean-Marc Torrollion.

Renforcement du rôle du conseil syndical

Le projet maintient la mise en concurrence obligatoire du syndic à chaque échéance, malgré les interrogations de la profession. Cependant, la FNAIM a obtenu que la mise en concurrence se place sous la responsabilité unique du conseil syndical. Le non-respect du processus par le conseil syndical n’aura aucune incidence sur la validité du contrat. « Cela permet au syndic de travailler avec sérénité et que sa mission ne puisse être remise en cause dans le cas où la mise en concurrence ne serait pas appliquée dans les délais », indique Jean-Marc Torrollion.

Le renforcement du rôle et des pouvoirs du conseil syndical sera un levier d’amélioration de la gestion des immeubles en copropriété. La FNAIM cite notamment le renforcement des pouvoirs du président du conseil syndical, et l’encadrement de la délégation des pouvoirs accordée au conseil syndical pour l’exécution de certaines décisions. Pour Jean-Marc Torrollion « Le conseil syndical reste dans son rôle et il n’a pas été donné suite à l’idée, évoquée pendant un certain temps, d’un conseil d’administration dans les grandes copropriétés qui ne correspondait pas à notre vision de la gestion des immeubles collectifs en France, et aurait remis en cause l’esprit de la loi de 1965, basé sur un fonctionnement « démocratique » de la copropriété ».

Plus de fluidité dans la gestion

De nombreuses dispositions présentes dans ce texte vont permettre de faire primer la gestion collective sur les intérêts particuliers. Objectif, assurer un fonctionnement plus fluide et plus efficace de la copropriété. Par exemple :

  • l’interdiction à la copropriété de faire obstacle à des travaux de mise aux normes handicapées sur les parties communes ;
  • la facilitation du vote par correspondance ;
  • la portabilité des documents dématérialisés lors de changement de syndic ;
  • l’obligation pour toutes les copropriétés gérées par un syndic professionnel d’ouverture d’un compte bancaire séparé ;
  • la mise en place de mesures facilitées pour le recouvrement des charges ;
  •  ou encore, l’abaissement des majorités afin de faciliter les prises de décisions.

« Bien que le pragmatisme l’ait emporté dans beaucoup des mesures et que cette réforme préserve les équilibres indispensables au bon fonctionnement de la copropriété, la FNAIM regrette le manque d’ambition dans certaines mesures pourtant essentielles, à l’image du plan pluriannuel de travaux », conclut Jean-Marc Torrollion.

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Immobilier non coté : l’ASPIM publie la 1ère étude d’impact socio-économique

La Rédaction
Le Courrier Financier

L’Association française des Sociétés de Placement Immobilier (ASPIM), présente ce mercredi 9 octobre 2019 la première étude d’impact socio-économique des fonds d’investissement immobiliers non cotés — SCPI, OPCI, OPPCI et autres FIA en immobilier — réalisée par l'ASPIM et le cabinet EY pour mieux mettre en avant le rôle actif de l'ASPIM. Le document s'intitule, L’investissement immobilier, une dynamique au service des territoires. Il traite la contribution du secteur dans le développement économique, sociétal et environnemental des territoires.

« Partenaire de long terme des entreprises et des territoires, au service de la croissance, de l’emploi et de l’attractivité économique, l’immobilier non coté est au cœur de grands enjeux structurants pour l’avenir : transition écologique, accessibilité, financement des retraites, risque de dépendance, évolution des modes de vie, de travail et de consommation. Cette étude vient enfin éclairer l’ampleur de la contribution de notre secteur à la collectivité », déclare Frédéric Bôl, Président de l’ASPIM.

Contribution significative à l’économie française

L’étude détaille dans un premier temps le poids économique du secteur. Les fonds d’investissement immobiliers non coté ont contribué à hauteur de 2,6 Mds€ au financement de la construction de bâtiments neufs en 2018, via les opérations en VEFA. S'y ajoutent 578 M€ de travaux d’entretien et de restructuration. Ces fonds financent les autres acteurs de la filière de l’immobilier et de la ville : architectes, ingénieurs, experts immobiliers, promoteurs, constructeurs, commerciauxs, property et facility managers. Cela représente 43 000 emplois locaux — non délocalisables — créés ou pérennisés par l’activité du secteur de l’immobilier non coté en 2018.

Les fonds d’investissement immobiliers représentent également une solution de financement incontournable des besoins des entreprises en immobilier. En France, 1,5 million de salariés travaillent et innovent au sein des actifs détenus par les FIA en immobilier. Les 59 millions de m2 d’actifs détenus sont principalement des bureaux (18,5 %) et des commerces (18,2 %). Ils hébergent également des activités de logistique (11,7 %), des établissements de santé (4 %), des logements (3,3 %) et des hôtels et centres de loisir (3,1 %).

Partenaire de long terme des territoires

Le parc immobilier des fonds non cotés se situe à 53 % en région, et seulement 8 % à Paris. Ces derniers ont ainsi contribué aux finances publiques locales à hauteur de 1,8 Md€ en 2018, via la fiscalité perçue par les collectivités. Les investissements peuvent également contribuer au développement des territoires. Par exemple, les SCPI ne se limitent pas aux grandes métropoles régionales. Dans les principales régions françaises, entre 24 % et 40 % des actifs sont situés à l’extérieur des métropoles.

De plus, dans ces trois régions, les SCPI détiennent des actifs au sein de la majorité des communes de plus de 20 000 habitants (jusqu’à 83 % en Auvergne-Rhône-Alpes). En tant qu’investisseur final, elles contribuent au dynamisme de la construction et de la rénovation sur les territoires, comme au financement des plans d’urbanisme. Le député des Alpes-Maritimes Cédric Roussel constate le secteur exerce « une influence significative sur le développement et l’attractivité économique » et que « les fonds d’investissement immobiliers représentent un levier incontournable pour le financement de l’immobilier tertiaire tels que les bureaux et les commerces ».

Des entreprises au cœur de nombreux défis

Le secteur de l’immobilier non coté est pleinement engagé dans l’amélioration constante de son impact sur la société. Les professionnels travaillent ainsi avec les pouvoirs publics à la création d’un label Investissement Socialement Responsable (ISR). Il s'appliquera aux fonds d’investissement immobiliers non cotés qui devraient voir le jour d’ici la fin de l’année. Par ailleurs, les investissements en immobilier non coté doivent répondre aux besoins de l’ensemble de la population. Le secteur a ainsi multiplié par cinq la taille du parc consacré à la santé entre 2013 et 2018.

« Outre les aspects économiques, notre activité est également au cœur
de grands enjeux structurants pour l’avenir : transition écologique,
accessibilité, financement des retraites, risque de dépendance, évolution
des modes de vie, de travail et de consommation, etc.
» a détaillé le
Président de l’ASPIM Frédéric Bôl. De même, les fonds non cotés ont pris le virage des transformations de l’immobilier, correspondant par exemple à la mutation des modes de travail (coworking, flex office, innovations digitales) ou à la flexibilité d’usage des immeubles.

Les fonds français parmi les premiers en Europe

Enfin, l’étude d’EY met en exergue la position de leader des fonds français par rapport à l’étranger, en particulier en Europe. Avec 180 Md€ d’actifs sous gestion, les fonds d’investissement immobiliers français se situent à la deuxième place parmi les acteurs européens du secteur non coté en 2018, derrière l’Allemagne. Par ailleurs, sur les trois dernières années, les fonds français enregistrent la deuxième plus forte croissance de l’encours parmi les 10 tête de gondole du marché. Sur la période 2013-2018, l’actif brut des SCPI et des OPCI a en effet plus que doublé (+141 %).

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Marcelina Stark – Angelys Group : La loi Denormandie « plus lisible que le Pinel »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Rénover les centre-villes pour dynamiser les territoires, c’est l’objectif principal de la loi Denormandie. Quelles sont les caractéristiques de ce dispositif ? Quelles différences avec la loi Pinel ? Marcelina Stark, Directrice Associée chez Angelys Group, répond en exclusivité aux questions du Courrier Financier.
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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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L’Hôtel Dieu, rénovation et réouverture d’un symbole lyonnais

Roxane Nojac
Le Courrier Financier
Joyau architectural et lieu emblématique de la capitale des Gaules, l’Hôtel Dieu vient de renaître de ses cendres. À l’occasion de la réouverture partielle du lieu, fin mai, le promoteur GENERIM, aux mains de ce projet d’envergure avec Eiffage, a souhaité recevoir ses partenaires, pour une visite privée dans les coulisses de la plus grande restauration historique de France.
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Spie Batignolles se rapproche d’Entreprise Boyer

La Rédaction
Le Courrier Financier
Spie batignolles poursuit son développement par le rapprochement avec Entreprise Boyer, troisième opération de croissance externe réalisée cette année, après celles de Médiane et de MG Industries.
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Perial AM fait peau neuve à Velizy

La Rédaction
Le Courrier Financier
Perial Asset Management rénove un de ses bâtiments au sein du parc tertiaire Vélizy Plus à Vélizy-Villacoublay (78)
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Réhabilitation du marché Saint Germain

La Rédaction
Le Courrier Financier

Après la rénovation de la Halle Secrétan, inaugurée le 1er octobre 2015, et qui est devenue depuis sa réouverture, un pôle de vie, de restauration et de shopping, Banimmo, sous l'impulsion du directeur général Olivier Durand, poursuit ses ambitions de modernisation des cœurs de villes. Son nouveau défi architectural et commercial :  la rénovation du Marché Saint-Germain, des halles couvertes historiques bâties en 1813.

« On nous parle du boom des ventes sur Internet. Mais l'avenir du commerce, c'est la ville autant que le web. Chacun des projets que nous menons est un succès car il répond à un besoin de proximité et de beaux projets architecturaux. Le commerce de centre ville est un réel enjeu économique mais aussi social et politique. Nous souhaitons tout autant réserver nos vacances et acheter notre machine à laver depuis notre canapé que nous voulons avoir en bas de chez nous des commerces ouverts tard, proposant des offres différentes, du service, de la grande qualité», confie Olivier Durand.

Parmi les enseignes que les parisiens pourront retrouver après la rénovation se trouvent Nespresso, Uniqlo, Yves Camdeborde, Hugo Desnoyer, et le troisième Apple Store de la capitale. Si l'ouverture au public est prévue pour l'automne, Banimmo prévoit, dès l'été, d'animer le lieu de façon événementielle.

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La SCPI Pierre Expansion Santé cède un actif parisien

La Rédaction
Le Courrier Financier

Au terme d’une consultation restreinte, PIERRE EXPANSION SANTÉ a cédé un hôtel particulier d’environ 1 000 m² et ses dépendances, anciennement à usage de maison de retraite, au groupe DELTA IM, dans le cadre d’un projet de réaménagement en établissement d'enseignement.

Cette cession permet à la SCPI de dégager une plus-value conséquente sur un actif détenu depuis 1996, et à l’acquéreur d’associer un bâtiment historique à un programme neuf en cours de construction sur une parcelle contiguë.

Le site est intégralement pré-loué à un prestigieux établissement d’enseignement italien dans le cadre d’un bail de longue durée.

La SCPI PIERRE EXPANSION SANTÉ était conseillée par les sociétés Flabeau et BNP Paribas Real Estate, ainsi que par l’Etude Michelez Notaires.

L’acquéreur était conseillé par l’étude Monceau Notaires.

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L’ANACOFI Finance d’Entreprise innove avec son Observatoire des Signaux Faibles

La Rédaction
Le Courrier Financier

La section s’est renforcée par la mise en place d’une Commission Finance d’Entreprise pilotée par Jean-Louis PICOLLO qui s’appuie sur le soutien du Président Confédéral David CHARLET.

Composé d’une dizaine de professionnels reconnus, qui rencontrent au total près de 500 chefs d’entreprise par an, elle se réuni tous les 4 mois et elle apporte aux adhérents une réflexion et une visibilité sur leurs métiers, sur les bonnes pratiques, sur les formations, et initie des contacts qui viennent ainsi enrichir notre écosystème.

Pour 2024, la section Finance d’Entreprise innove avec son OBSERVATOIRE des SIGNAUX FAIBLES.
Loin des prévisions aléatoires et des statistiques utopiques, cet OBSERVATOIRE basé sur nos remontées du terrain, a pour objectif de donner une information rapide et synthétique à nos adhérents et aux clients de nos adhérents sur des indices naissants pouvant influencer les prises de décisions des prochains mois.

Les membres de la Commission Finance d’Entreprise :

  • Fabienne GRETEAU- COFINGEST
  • Sébastien ROUZAIRE – KERIUS FINANCE
  • Ludovic SARDA – PYTHAS CAPITAL
  • Guy COHEN – INGÉNIERIE SOCIALE
  • Florent GUIGUE – EMERGEANCES
  • Nathalie DESSEAUX et Franck MAGNE – EAVEST
  • Julien DRAY – UNCONFLICTED MANAGEMENT
  • Edouard SEGUIN – PIMENT & Co
  • Jean-Louis PICOLLO – RESOLVYS
    Invités : David GANDAR et Nébojsa SRECKOVIC.
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