Fidelity International obtient la note A+ à l’occasion de l’évaluation annuelle des PRI

La Rédaction
Le Courrier Financier

Hong Kong, le 10 août 2020 : Pour la troisième année consécutive, Fidelity International a obtenu la meilleure note dans toutes les catégories examinées, à l’occasion de l'évaluation annuelle des Principes pour l'Investissement Responsable (PRI).

Les PRI ont attribué à Fidelity International la note A+ dans sept catégories d'investissement, y compris pour son offre en actions et en obligations, ainsi que pour sa stratégie et sa gouvernance.

Paras Anand, Directeur Asie Pacifique de la Gestion d’Actifs chez Fidelity International, déclare : "C'est un grand honneur d'être reconnu en tant qu’investisseur responsable de premier plan par l'organisation la plus réputée dans ce domaine. Cette reconnaissance témoigne de l'engagement continu de Fidelity pour avancer en matière d'investissement durable et pour promouvoir un actionnariat actif".

Jenn-Hui Tan, Responsable mondial de l'investissement durable chez Fidelity International, ajoute : "Chez Fidelity, nous avons développé une approche de l'investissement durable qui repose sur l'analyse extra-financière intégrée, l'engagement ainsi que la collaboration. Chacun de ces
éléments est conçu pour améliorer le rendement des investissements de nos clients et encourager les entreprises dans lesquelles nous investissons à atteindre leurs objectifs en termes d’ESG. Je suis fier de voir nos réalisations dans ce domaine reconnues par les PRI".

Depuis 2012, Fidelity International est signataire des Principes pour l'Investissement Responsable (PRI), une organisation de premier plan soutenue par les Nations unies, qui promeut l'intégration des questions environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans les décisions
d'investissement et les pratiques d’actionnariat. En tant que signataire, l'entreprise est tenue de soumettre un rapport annuel détaillant sa manière d’intégrer les enjeux ESG dans son analyse des investissements pour toutes les classes d'actifs. Vous pouvez lire le rapport complet ici.

À propos du processus d'investissement intégré ESG de Fidelity International

L'analyse environnementale, sociale et de gouvernance (ESG) fait partie intégrante du processus d'investissement de Fidelity. Les études montrent que les enjeux de l’investissement durable, allant du risque climatique au bien-être des travailleurs, en passant par la rémunération des dirigeants entre autres, peuvent avoir un impact significatif sur la rentabilité à long terme et, par conséquent, sur le rendement des investisseurs.

Fidelity a ainsi intégré les considérations ESG dans l'ensemble de ses franchises d'investissement et a officialisé cette démarche en 2019 avec la création de son système de notation propriétaire des enjeux de durabilité. Ces notations s'appuient sur nos capacités de recherche étendues et notre
accès régulier aux équipes de direction des entreprises, pour ainsi fournir une évaluation prospective de l'orientation et de la trajectoire des entreprises au regard des questions ESG au sein de l'ensemble de notre univers d'investissement. Le cadre de notation divise cet univers
d'investissement, composé de plus de 4 000 entreprises, en 99 sous-secteurs, chacun se distinguant selon des critères spécifiques à l’industrie considérée, qui détermineront la notation d’un émetteur par rapport à ses pairs, selon une grille de notations allant de A à E. Nos notations propriétaires se concentrent sur les principales problématiques ESG de chaque secteur, et sont intimement associées à nos décisions d'investissement. Ces notations prospectives sont également critiques à la définition de notre politique d'engagement actif.

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Les PRI attribuent à AllianzGI la meilleure note de stratégie et gouvernance ESG pour la quatrième année consécutive

La Rédaction
Le Courrier Financier

26 août 2020. Allianz Global Investors, l'un des leaders mondiaux de la gestion d’actifs, a obtenu pour la quatrième année consécutive la note A+ attribuée par la PRI Association (en charge des Principes pour l’investissement responsable) pour son approche ambitieuse de la stratégie et gouvernance ESG (environnement, social et gouvernance). Cette catégorie englobe les politiques, objectifs et adhésions ESG, et prend en compte les moyens que l’entreprise met en place pour promouvoir les efforts ESG en interne et à l’extérieur de l’entreprise.
En attribuant la note la plus élevée, à savoir A+, les PRI couronnent les politiques d’engagement d’AllianzGI dans cinq catégories : Stratégie et gouvernance, Actions cotées – Entreprises, Capital d'infrastructure et, pour la première fois, Actions cotées - Actionnariat actif et Obligations - Entreprises non financières.
Dans ses rapports d'évaluation annuelle individuelle, la PRI Association analyse comment les signataires progressent en matière d’intégration des facteurs ESG dans les décisions d'investissement et vise à apporter un bilan aux signataires afin de contribuer à l’évolution permanente de leurs références ESG.

Le rapport d'évaluation des PRI vise à apporter un feedback aux signataires afin de contribuer à un développement et un apprentissage permanents.
Pour chaque catégorie, les notes sont comprises entre « A+ » (la note maximale) et « E » (la note la plus faible). Les notes sont calculées à partir
d’une série d’indicateurs propres à chaque catégorie. Les scores relatifs à l'année 2020 ont trait à la période allant de janvier à décembre 2019, et
ceux de 2019 à la période de rapport qui s'étend de janvier à décembre 2018.

Deborah Zurkow, responsable mondial des investissements et membre du comité exécutif chez AllianzGI, commente :
« Avec des références ESG qui remontent à deux décennies, l'investissement durable fait partie intégrante de la proposition de valeur et de la gamme de produits d'AllianzGI. Ces récompenses reflètent notre engagement à stimuler la performance dans le cadre de notre approche d'investissement durable, en faisant constamment évoluer notre offre et en renforçant notre approche de gérant actif afin de garantir que ces dernières répondent aux besoins de nos clients et aux problématiques du monde réel. »

AllianzGI est un pionnier de l’investissement durable et est signataire des Principes pour l’investissement responsable (PRI) depuis 2007. Les PRI constituent l’une des initiatives mondiales les plus importantes et les plus puissantes pour promouvoir l'investissement responsable. Elle compte plus de 2.700 signataires représentant plus de 100.000 milliards de dollars d’actifs.
Par ailleurs, AllianzGI a été présélectionnée pour les PRI de cette année dans la catégorie « Initiative de l'année en matière d'impact sur le monde réel » pour son travail innovant dans le domaine de la finance mixte.

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ESG : les PRI récompensent la stratégie de LFDE

La Rédaction
Le Courrier Financier

La Financière de l'Echiquier (LFDE) — société de gestion entrepreneuriale, filiale à 100 % de Primonial — annonce ce mardi 4 août avoir été distinguée par les Principes pour l’Investissement Responsable (PRI) des Nations unies. LFDE a reçu la note A+ pour les piliers « Strategy & Governance » et « Listed Equity – Incorporation » de sa stratégie de gestion qui intègre des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG).

Améliorer la démarche ISR

C'est une première pour LFDE, qui obtient ainsi la plus haute récompense possible. Les trois autres piliers de sa stratégie de gestion reçoivent la note A, soit une récompense au-delà du score médian. Ces résultats viennent récompenser une longue démarche d'investisseur responsable. Après avoir signé les PRI en 2008, LFDE a développé cette initiative jusqu'à réunir plus de 3 400 membres — contre seulement 250 en 2008.

De nouveau cette année, l’évaluation des UN PRI servira de base au travail d’amélioration continue pour l’équipe ISR de LFDE. Dans une optique de transparence, et dans le cadre de sa démarche d’investisseur responsable, la société de gestion met à disposition des investisseurs sur son site internet le Rapport de Transparence et le Rapport d’Evaluation des UN PRI.

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PRI : NN Investment Partners obtient de nouveau la note maximale A+

La Rédaction
Le Courrier Financier

NN Investment Partners (NN IP) — gestionnaire d'actifs de NN Group N.V., société cotée en bourse sur Euronext Amsterdam — annonce ce mardi 4 août ses résultats à l'évaluation 2019 des Principes pour l'investissement responsable des Nations unies (PRI NU). NN IP obtient la note maximale (A+) pour sa stratégie et sa gouvernance en termes d'investissement responsable et d'intégration environnementale, sociale et de gouvernance (ESG).

L’initiative PRI — affiliée aux Nations Unies, totalement indépendante — est le principal promoteur de l'investissement responsable à travers le monde. Les PRI étudient les implications de l’intégration des critères ESG et soutiennent le réseau international d'investisseurs signataires dans l’intégration de ces critères au sein de leurs pratiques d'investissement et d’actionnariat actif. Les PRI agissent dans l'intérêt long terme des signataires, des marchés financiers et des économies.

Amélioration du score de NN IP

Ces notes reflètent l’efficacité de l'approche de NN IP en matière d'investissement responsable. NN IP obtient également la note maximale A+ et des points sur toutes les catégories liées aux actions et pour la sélection et le suivi externe de NN IP (Altis). NN IP a amélioré ses scores dans les catégories fixed income, atteignant la note A sur les trois sous catégories.

NN IP est un signataire des PRI des Nations Unies depuis 2008 et actif dans le domaine de l'IR depuis la fin des années 1990. La participation active de NN IP à cette initiative montre l'intérêt de la société de gestion pour l'investissement responsable, l'intégration des critères ESG et la bonne gouvernance d'entreprise dans les décisions d'investissement.

Engagement auprès des entreprises

« Ces scores élevés et les améliorations dans certains domaines sont le résultat d'une attention accrue et des efforts combinés de nos collaborateurs pour faire avancer les choses. En plus de l’élargissement de l'intégration des facteurs ESG à davantage de classes d'actifs, nous cherchons à diffuser l'investissement responsable à l’ensemble du secteur de l'investissement », réagit Valentijn van Nieuwenhuijzen, Chief Investment Officer chez NN IP.

« C’est le résultat de nos efforts pour susciter le changement par l’engagement auprès de nos participations. Et plus particulièrement de notre volonté constante de renforcer la manière dont nous engageons les entreprises des secteurs liés à l'énergie et notre mobilisation dans le cadre d'initiatives de collaboration telles que la Climate Action 100+ », ajoute Jeroen Bos, responsable Specialised Equity & Responsible Investing chez NN IP.

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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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PRI : quels outils de finance durable pour la reprise post Covid-19 dans l’UE ?

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le groupe d’experts techniques (TEG) sur la finance durable de l’Union européenne (UE) publie ce lundi 27 avril une note sur les outils nécessaires à la reprise post Covid-19. Ce groupe a été créé pour conseiller la Commission Européenne sur la mise en œuvre du plan d’action sur le financement de la croissance durable.

Les experts estiment que la taxonomie verte, les normes de l’UE sur les obligations vertes ainsi que le « Paris-Aligned and Climate Transition Benchmarks » peuvent accompagner les secteurs public et privé pour sortir de la pandémie de Covid-19, y compris à travers la feuille de route pour une reprise économique récemment dévoilée par le Conseil européen.

Une crise sans précédent

Tandis que les gouvernements, les institutions publiques et les acteurs du secteur privé se concentrent de toute urgence sur la protection de la santé et la sauvegarde des entreprises et des salariés, « la crise du Covid-19 nous rappelle que le renforcement de nos capacités de production et la résilience de nos systèmes économiques et sociaux nous offrent les meilleures protections possibles en temps de crise », indique le TEG.

Perte de la biodiversité et développement des épidémies sont étroitement liés. Il faut aussi prévoir une plus grande volatilité du climat, en raison de l'action humaine sur le changement climatique. S'il dépasse 1,5 degrés Celsius à l’échelle mondiale, « nous serons alors confrontés à une multiplication des perturbations et risques catastrophiques, à la fois en raison des mesures inévitables à prendre pour réduire rapidement les émissions de CO2 de nos économies et de l’impact des changements de l’environnement naturel sur notre santé et notre bien-être » alerte le TEG.

Actuellement, les autorités préparent des plans de relance économique pour sortir de la pandémie de Covid-19. Les gouvernements et les acteurs du secteur privé doivent toutefois se montrer attentifs aux détails de « ce que doit être une reprise résiliente, durable et juste — comme dans la pratique — afin d’assurer une plus grande résilience aux crises environnementales et sociales futures ».

Priorités politiques et secteur privé

Les membres du Conseil européen ont insisté sur le rôle central du « Green Deal » dans leur feuille de route pour une relance et une sortie de la pandémie de Covid-19. Le « Green Deal » comprend un objectif de neutralité climatique à horizon 2050 et un objectif climatique à horizon 2030. Ces objectifs climatiques doivent être utilisés afin de calibrer les réponses à cette sortie de crise.

Les plans de relance économiques « ne devraient pas soutenir les activités nuisibles à l’environnement ou à la société, ce qui aggraverait les crises actuelles et futures, enfermerait l’activité économique dans des infrastructures hautement polluantes ou favoriserait les activités qui ne contribueront pas au bien-être social pour les décennies à venir ». Le secteur privé a un rôle à jouer pour garantir l’accès au financement dans le cadre d’une reprise économique durable.

Les stratégies des entreprises et des investisseurs qui se contentent de maintenir des approches existantes — et leur niveau actuel de performance environnementale — accumulent des risques financiers et favorisent des perturbations sociales futures liée au changement climatique, affirme le TEG. Les plans du secteur privé doivent donc être « plus transparents et clairs quant à leur alignement sur les objectifs environnementaux et sociaux de l’UE » afin de permettre et de renforcer un ciblage plus efficace des mesures publiques de reprise économiques.

Bons outils et objectifs à atteindre

Le TEG a été créé pour fournir une expertise sur les nouveaux outils à prendre en compter pour financer un avenir durable. A l’heure où des décisions doivent être prises sur les politiques de relance économique, « nous considérons qu’il est désormais essentiel d’utiliser les bons outils pour réaliser ce vaste chantier et atteindre les objectifs environnementaux et sociaux », expliquent les experts.

Le TEG a ainsi développé trois outils qui peuvent immédiatement guider les plans de relance des gouvernements et du secteur privé. La taxonomie verte, les standards sur les obligations vertes (« Green Bonds ») et le « Paris-Aligned and Climate Transition Benchmarks ». Ces outils encouragent des contributions significatives aux objectifs environnementaux et sociaux, y compris de la part des entreprises et des acteurs financiers qui ne sont pas pleinement alignés aujourd’hui sur les objectifs environnementaux :

  • La taxonomie verte fournit un cadre pour les futures mesures de relance économique. Cet outil met en lumière la performance environnementale et les normes sociales minimales « nécessaires aux activités économiques pour atteindre nos objectifs climatiques et environnementaux, y compris la neutralité climatique d’ici 2050 et des objectifs ambitions à horizon 2030 ». Cette taxonomie s'applique bien aux nouveaux investissements nécessaires à la transition économique, « en montrant comment réduire les émissions de carbone, renforcer la résilience des activités économiques au changement climatique, optimiser les chaînes d’approvisionnement vers le développement durable et, enfin, stimuler l’emploi ».
  • Les normes sur les obligations vertes (« Green Bond Standard » ou GBS ») constituent un « modèle de bonnes pratiques dont les éléments peuvent être appliqués par tous les émetteurs d’obligations pour expliquer comment leur financement contribue à une stratégie durable la plus large possible et aux impacts environnementaux et sociaux de l’émetteur ». Le cadre du GBS peut également améliorer la transparence en matière d’impact social et de résultats financiers.
  • Le « Paris-Aligned and Climate Transition Benchmarks » est un ensemble d’outils qui permettent d’accompagner l’allocation d’un montant important de capital privé vers la transition climatique. Ces outils permettent « d’aligner la sélection du portefeuille des investisseurs sur les objectifs de changement climatique », notamment la trajectoire de 1,5 degré Celsius du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC).

Il est temps de se mettre au travail

D'après le TEG, il est temps d'agir. « Cette crise du Covid-19 n’est pas la dernière épidémie à laquelle nous serons confrontés. Le pronostic de nos scientifiques nous montre que nos objectifs climatiques sont essentiels pour réduire le risque de crises catastrophiques à l’avenir », expliquent-ils.

Les experts se déclarent prêts « à travailler avec la Commission européenne pour la durée restante de son mandat, en fournissant des orientations sur la mise en œuvre des outils par les secteur public et privé pour permettre à la finance de jouer pleinement son rôle dans une reprise économique durable ».

Le TEG voit dans la relance post Covid-19 « l'opportunité d’une reprise économique résiliente, durable et juste ». Les experts encouragent donc tous les gouvernements, les institutions publiques et les acteurs du secteur privé à s’y engager pleinement.

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PRI : Amundi Private Equity Funds rejoint l’Initiative Climat International

La Rédaction
Le Courrier Financier

Amundi Private Equity Funds (PEF) — filiale d’Amundi dédiée au Capital investissement — annonce ce jeudi 5 décembre avoir signé le Manifeste de l’Initiative Climat International, afin d'amplifier son action contre le réchauffement climatique. Amundi PEF s’engage — en ligne avec les Accords de Paris — à réduire les émissions de gaz à effet de serre de ses sociétés en portefeuille ; et à mettre en place un plan d’adaptation au changement climatique.

« En signant le manifeste de l’Initiative Climat International, nous nous sommes engagés à mobiliser les dirigeants des entreprises dans lesquelles nous investissons autour des enjeux climatiques et des risques qu’ils comportent. En tant qu’investisseur, nous avons un rôle moteur à jouer pour accompagner ces entreprises sur le long terme dans la réduction de leur empreinte carbone », Pedro Arias, Directeur du Métier Actifs Réels et Alternatifs d’Amundi.

Investissement responsable stratégique

Amundi PEF va ainsi renforcer l’accompagnement des entreprises qui inscrivent les enjeux climatiques au cœur de leur stratégie et les aider à développer une analyse sur les risques de transition ou d’adaptation. Cette initiative s’inscrit dans la stratégie d’Amundi qui a fait de l’investissement responsable l’un de ses quatre piliers fondateurs.

L'assureur a d’ailleurs annoncé un plan d’action en octobre 2018 pour amplifier son engagement dans ce domaine. Dans le sillage d’Amundi et depuis plus de 5 ans, Amundi PEF intègre une analyse extra financière, en plus de l’analyse financière des entreprises dans lesquelles elle investit.

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Banque responsable : le groupe Pictet adhère aux Principes des Nations Unies

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le groupe Pictet — groupe bancaire spécialisé dans la gestion de fortune et d'actifs — annonce ce mardi 5 novembre s'engager à respecter les Principes pour une banque responsable (en anglais) définis par les Nations Unies. En 2007, Pictet a adhéré aux Principes pour l’investissement responsable (PRI) des Nations Unies. Ils précisent le rôle d’actionnaire des gérants d’actifs, et posent des bases pour la prise en compte des questions environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) pendant le processus d’investissement.

« Le développement durable est au cœur de la philosophie de Pictet. Grâce à notre structure collégiale, nous jouissons d’une indépendance financière qui nous permet de nous concentrer sur les intérêts à long terme (...) Cette approche va de pair avec l’intégration au quotidien du développement durable dans nos décisions d’investissement, ainsi que dans la conception des produits et des solutions proposés à nos clients. C’est dans cet esprit que nous avons fait le choix d’adhérer aux Principes pour une banque responsable », explique Renaud de Planta, associé senior du groupe Pictet.

Six principes pour une banque responsable

Les Principes pour une banque responsable marquent une nouvelle étape importante. Ils établissent des lignes directrices complémentaires, axées sur les types de produits proposés à la clientèle, ainsi que sur la manière dont ils permettent de créer de la valeur pour les clients et l’ensemble de des partenaires d'un établissement bancaire. Lancés en septembre, lors de la session annuelle de l’Assemblée générale des Nations Unies, les Principes pour une banque responsable sont au nombre de six :

  • Harmonisation – Pictet va adapter sa stratégie d’entreprise pour qu’elle soit en phase avec les besoins humains et les objectifs sociétaux — tels qu’énoncés dans les Objectifs de développement durable, l’accord de Paris sur le climat et les dispositifs nationaux et régionaux correspondants — et contribue à leur concrétisation.
  • Impact et fixation d’objectifs – Pictet souhaite renforcer de manière continue l’impact positif de ses activités, de ses produits et de ses services sur l’homme et l’environnement, tout en réduisant leur impact négatif et en gérant les risques qui en découlent. A cette fin, Pictet va définir des objectifs pour les domaines où son action pourra avoir le plus fort impact. Ils seront rendus publics.
  • Clients – Pictet annonce établir une collaboration responsable avec ses clients, dans le but d’encourager les pratiques durables et de favoriser les activités économiques qui assureront une prospérité partagée aux générations actuelles et futures.
  • Partenaires – Pictet veut favoriser de manière proactive et responsable la concertation, le dialogue et l’esprit de partenariat avec les acteurs concernés, afin d'atteindre ses objectifs sociétaux.
  • Gouvernance et culture – Pictet entend concrétiser son adhésion aux Principes par la mise en place d’une gouvernance efficace et la promotion d’une culture bancaire responsable.
  • Transparence et responsabilité – Pictet s'engage à évaluer régulièrement la mise en œuvre individuelle et collective des Principes. Le groupe rendra compte en toute transparence de son impact positif et négatif ainsi que de sa contribution à l’atteinte des objectifs sociétaux.
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PRI : Mirabaud obtient la notation A+ pour ses stratégies d’investissement durable

La Rédaction
Le Courrier Financier

Mirabaud — groupe bancaire et financier suisse — annonce ce lundi 9 septembre la progression de son score PRI (en anglais Principles for responsible investment) décerné par les Nations Unies. Le groupe a obtenu la note globale la plus élevée A+ grâce à ses stratégies d’investissement durable. Signataire des PRI depuis 2011, Mirabaud s’est placé au-dessus du niveau de référence dans tous les modules évalués.

Améliorer les inititatives ESG du groupe

« Notre score PRI dépasse de loin le niveau de référence et vient confirmer notre expertise en matière d’investissement responsable, segment dans lequel Mirabaud est actif depuis des années. L’engagement fait partie des valeurs intrinsèques de notre structure et il s’inscrit dans l’intérêt à long terme des parties prenantes », déclare Lionel Aeschlimann, Associé gérant de Mirabaud et CEO de Mirabaud Asset Management.

« Cette année, le rapport des PRI tient compte des initiatives de Mirabaud prises pour renforcer et améliorer son approche ESG au sein de l’ensemble du groupe », relève Camille Vial, Associée gérante de Mirabaud et Présidente du Comité Exécutif de Mirabaud & Cie SA. Hamid Amoura, Directeur de l'investissement responsable, ajoute que « ce très bon score est d’autant plus valorisant que, depuis quelques années, les investisseurs accordent de plus en plus d’importance à ces Principes pour l’investissement responsable. »

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La SCPI Pierre Expansion Santé cède un actif parisien

La Rédaction
Le Courrier Financier

Au terme d’une consultation restreinte, PIERRE EXPANSION SANTÉ a cédé un hôtel particulier d’environ 1 000 m² et ses dépendances, anciennement à usage de maison de retraite, au groupe DELTA IM, dans le cadre d’un projet de réaménagement en établissement d'enseignement.

Cette cession permet à la SCPI de dégager une plus-value conséquente sur un actif détenu depuis 1996, et à l’acquéreur d’associer un bâtiment historique à un programme neuf en cours de construction sur une parcelle contiguë.

Le site est intégralement pré-loué à un prestigieux établissement d’enseignement italien dans le cadre d’un bail de longue durée.

La SCPI PIERRE EXPANSION SANTÉ était conseillée par les sociétés Flabeau et BNP Paribas Real Estate, ainsi que par l’Etude Michelez Notaires.

L’acquéreur était conseillé par l’étude Monceau Notaires.

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L’ANACOFI Finance d’Entreprise innove avec son Observatoire des Signaux Faibles

La Rédaction
Le Courrier Financier

La section s’est renforcée par la mise en place d’une Commission Finance d’Entreprise pilotée par Jean-Louis PICOLLO qui s’appuie sur le soutien du Président Confédéral David CHARLET.

Composé d’une dizaine de professionnels reconnus, qui rencontrent au total près de 500 chefs d’entreprise par an, elle se réuni tous les 4 mois et elle apporte aux adhérents une réflexion et une visibilité sur leurs métiers, sur les bonnes pratiques, sur les formations, et initie des contacts qui viennent ainsi enrichir notre écosystème.

Pour 2024, la section Finance d’Entreprise innove avec son OBSERVATOIRE des SIGNAUX FAIBLES.
Loin des prévisions aléatoires et des statistiques utopiques, cet OBSERVATOIRE basé sur nos remontées du terrain, a pour objectif de donner une information rapide et synthétique à nos adhérents et aux clients de nos adhérents sur des indices naissants pouvant influencer les prises de décisions des prochains mois.

Les membres de la Commission Finance d’Entreprise :

  • Fabienne GRETEAU- COFINGEST
  • Sébastien ROUZAIRE – KERIUS FINANCE
  • Ludovic SARDA – PYTHAS CAPITAL
  • Guy COHEN – INGÉNIERIE SOCIALE
  • Florent GUIGUE – EMERGEANCES
  • Nathalie DESSEAUX et Franck MAGNE – EAVEST
  • Julien DRAY – UNCONFLICTED MANAGEMENT
  • Edouard SEGUIN – PIMENT & Co
  • Jean-Louis PICOLLO – RESOLVYS
    Invités : David GANDAR et Nébojsa SRECKOVIC.
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PRI : Neuberger Berman obtient la note A+ pour ses critères ESG

La Rédaction
Le Courrier Financier

Neuberger Berman — société de gestion indépendante — annonce ce jeudi 29 août avoir obtenu les meilleurs scores fin 2018 dans toutes les catégories du rapport d'évaluation des Principes pour l'Investissement Responsable (PRI), soutenus par l'ONU pour ses efforts liés à l'intégration des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) fin 2018.

La société de gestion a obtenu le score le plus élevé A+ pour son approche ESG globale de la stratégie et de la gouvernance. En outre, Neuberger Berman a reçu la même note pour l'intégration ESG sur toutes les classes d'actifs. Par ailleurs, Neuberger Berman a également été retenu pour participer au prix inaugural des PRI dans la catégorie « ESG Incorporation Initiative of the Year » pour son projet de « Climate VaR Intégration ».

Mieux gérer le capital des clients

Signataire des PRI depuis 2012, la société a notamment amélioré ses résultats sur l’obligataire (corporate non-financière) et en Private Equity. Cette année, Neuberger Berman a obtenu A+ pour son actionnariat actif sur les titres cotés, un score obtenue seulement par 13 % des sociétés de gestion ayant plus de 50 milliards de dollars d'actifs sous gestion.

« Cette reconnaissance de la part de l'industrie reflète le travail de nos analystes et de nos gérants à l'échelle de la société, pour intégrer de façon transparente notre philosophie ESG et nos systèmes de notation ESG propriétaires à toutes les classes d'actifs. Nous pensons que se concentrer sur les facteurs ESG matérialisables au niveau financier nous permet de mieux gérer le capital de nos clients », conclut Jonathan Bailey, Responsable des investissements ESG chez Neuberger Berman.

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PRI : DPAM obtient la note maximale A+ pour la 3e année consécutive

La Rédaction
Le Courrier Financier

Degroof Petercam Asset Management (DPAM) — société de gestion active, aux encours de 35,9 milliards d'euros — annonce ce jeudi 22 août avoir obtenu la note maximale A+ pour la troisième année consécutive, dans le cadre de son évaluation pour les Principes pour l'Investissement Responsable (PRI) de l'ONU.

Soutenir le développement durable

Ces six Principes visent à promouvoir les meilleures pratiques afin d'encourager l'adoption des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) et ainsi favoriser une industrie financière plus responsable et orientée vers le long terme. DPAM est signataire des PRI depuis 2011 et publie un rapport annuel obligatoire depuis 2013.

Les PRI encouragent l'engagement et interrogent les parties prenantes sur ce sujet en général et sur les stratégies relatives aux changements climatiques en particulier. « Le développement durable est au cœur de notre ADN. DPAM n'est pas seulement une entreprise engagée pour l’investissement responsable, mais aussi un concepteur et un fournisseur de stratégies en développement durable », explique Hugo Lasat, PDG de DPAM.

DPAM se distingue en conservant son A+

« C’est une grande réussite, surtout si l'on tient compte de l’exigence croissante du questionnaire au fil des ans, à mesure que les PRI relèvent les conditions d’éligibilité. Les PRI représentent aujourd'hui 2 450 signataires à travers le monde et 82 000 milliards de dollars d'actifs sous gestion », précise Ophélie Mortier, Responsible Investment Strategist.

A+ est la meilleure note globale mais DPAM a également obtenu le maximum dans plusieurs domaines d'expertise. Pour l’ensemble des signataires, la note médiane (A) est restée stable au cours de la dernière année, sauf en ce qui concerne l'intégration des critères ESG, où la tendance est négative. La note médiane s'y est abaissée à B ces trois dernières années.

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