Investissement responsable : Keren Finance signe les PRI de l’ONU

La Rédaction
Le Courrier Financier

Keren Finance — société de gestion 100 % indépendante — annonce ce mardi 6 octobre avoir décidé d'officialiser sa politique d’investissement responsable. Dans le cadre de son évolution, Keren Finance devient signataire des Principes pour l’Investissement Responsable (UNPRI) en engageant en 2020 les mesures nécessaires au statut.

Focus sur Keren Finance

Keren Finance a reçu l'agrément AMF en janvier 2001. Elle revendique actuellement près d’1,2 Md€ sous gestion. Son activité se décline en deux métiers : la gestion privée au travers de mandats de gestion de portefeuille via des comptes titres, PEA, et assurances vie — françaises et luxembourgeoises — et la gestion collective. Sa gestion s'articule autour des petites et moyennes capitalisations, de l’obligataire et l’immobilier coté.

En 2016, Keren Finance a créé un fonds de dotation au sein du Fonds de Dotation Transatlantique. Le Fonds Mécénat Keren a pour mission de favoriser, de soutenir et de développer des projets de recherche médicale et d’accompagner des personnes hospitalisées ou en souffrance, en particulier dans le domaine de la pédiatrie. Finance et philanthropie soutiennent ainsi la recherche, la lutte contre le cancer et l'aide aux enfants malades.

Critères ESG

La société applique les PRI dans ses investissements et dans ses interactions quotidiennes avec ses relations d’affaires. Keren Finance intègre depuis de nombreuses années des facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) — notamment en rencontrant de manière très fréquente les managements des sociétés dans lesquelles elle investit.

Keren Finance participe également aux émissions obligataires « vertes » de certains émetteurs. « Nous sommes convaincus que l’éthique managériale et le respect par les émetteurs d’un cadre socialement responsable permet de générer des performances positives pour nos investisseurs sur le long terme », déclare Vincent Schmidt, Directeur Général chez Keren Finance.

Keren Finance évalue l’impact environnemental, social et la qualité de la gouvernance des sociétés dans lesquelles elle investit — afin de s'assurer qu'elles puissent croître de façon durable. Le gérant leur attribue ensuite une note, en fonctions des actions menées sur les thématiques ESG — tant sur les actions que sur le secteur obligataire.

Biais de croissance

Depuis sa création en 2001, Keren Finance privilégie l’investissement en actions européennes de croissance — notamment sur le segment des petites entreprises (small caps). Cette stratégie d’accompagnement de petites valeurs s’insère dans une logique de long terme. La connaissance des équipes dirigeantes et l’évaluation de la qualité de la gouvernance sont au moins aussi importantes que l’analyse financière des sociétés.

Ceci est également valable sur le segment des obligations d’entreprises, qui sont en général moins bien couvertes que les actions cotées de grandes capitalisations (big caps). Ces dernières ont constitué l’autre axe de développement majeur de Keren Finance ces dernières années.

« En ayant ce biais croissance dans notre philosophie de gestion, notre objectif consiste à identifier les sociétés leaders sur des marchés offrant de la visibilité sur la croissance future. Or, nous ne croyons pas en une croissance future non respectueuse de la planète et de ses habitants. Pour nous, un investissement responsable est donc avant tout un investissement durable », déclare Benoit Soler, Gérant Obligataire, Crédit & Taux.

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Chine : émissions carbone, 40 ans pour sauver la planète

Thomas Planell
DNCA
La Chine s'engage à réduire ses émissions de gaz à effet de serre, pour devenir « carbone neutre » à horizon 2060. Quels sont les enjeux géostratégiques derrière cette annonce en grande pompe ?
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PRI : Ampère Gestion obtient la note A+ et s’apprête à élargir son offre

La Rédaction
Le Courrier Financier

Ampère Gestion — société de gestion, spécialiste des projets immobiliers qui intègrent une dimension d’utilité sociale — annonce ce mercredi 9 septembre avoir obtenu la note la plus élevée (A+) à l’occasion des évaluations annuelles de son respect des Principes pour l’Investissement Responsable (PRI) par le Programme Environnement des Nations Unies.

PRI, la note maximale

Ampère Gestion se classe ainsi parmi les 10 % des acteurs les plus responsables dans la sélection et la gestion de ses investissements. Au terme de cette évaluation, les notations suivantes lui ont été attribuées :

  • A+ en stratégie et gouvernance, pour une médiane à A — sur 2 127 gestionnaires d’actifs notés dans la même catégorie — après avoir été évaluée sur 12 critères : prévention des conflits d’intérêts, formation des équipes à l’investissement responsable, transparence, etc. ;
  • A+ en conduite, gestion et évaluation des investissements responsables, pour une médiane est B — sur 315 gestionnaires d’actifs notés dans sa catégorie — après avoir été évaluée sur 18 critères : intégration des critères ESG et d’impacts dans la sélection et la gestion des actifs immobiliers.

Gestion à impact social positif

Ampère Gestion adhère aux PRI des Nations Unies depuis 2017. La société de gestion a ainsi été reconnue par la plus importante initiative internationale de promotion des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). Ces critères sont au cœur de la stratégie de gestion d’actifs immobiliers d’Ampère Gestion depuis sa création en 2014 sur l’ensemble de ses fonds (FLI, Hémisphère) et mandats.

« Notre stratégie de gestion d’actifs intègre depuis l’origine la volonté d’avoir un impact social positif : nous finançons des infrastructures immobilières durables et des logements accessibles à tous, en lien avec la raison d’être de CDC Habitat (...) C’est un grand encouragement au moment où Ampère Gestion s’apprête à élargir encore son offre pour faire suite aux conséquences de la crise sanitaire », déclare Vincent Mahé, Président d’Ampère Gestion et Secrétaire général de CDC Habitat.

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PRI de l’ONU : Weinberg Capital Partners obtient la note la plus élevée

La Rédaction
Le Courrier Financier

Weinberg Capital Partners (WCP) — société d'investissement indépendante créée en 2005 — annonce ce mardi 1er septembre avoir reçu la note la plus élevée A+ des Principes pour l'investissement responsable des Nations Unies (UN PRI) pour sa stratégie globale en 2020.

Lancé en 2006, les Principes pour l’investissement responsables des Nations Unies sont la principale initiative mondiale en faveur de l'investissement responsable avec plus de 3 000 signataires. Elles constituent une norme mondiale pour l'investissement responsable, quant aux questions environnementales, sociales et de gouvernance (ESG). Les signataires contribuent à développer un système financier mondial plus durable.

Enjeux extra-financiers et financiers

WCP, signataire des UN PRI depuis 2011, a obtenu la plus haute note A+ pour sa stratégie globale et sa gouvernance dans son évaluation de 2020. Cette note est le reflet de l'engagement des dirigeants de la société, partagé par l’ensemble des équipes d’investissement et aux côtés des dirigeants des sociétés que nous finançons.

Ce A+ vient reconnaître la qualité de la démarche durable engagée par WCP pour l’ensemble de ses activités. Le lancement d’un fonds Impact Investing fin 2019 s’inscrit dans cette approche responsable. WCP s’appuie sur la conviction que les entreprises les plus durables seront également les plus performantes, les enjeux extra-financiers et financiers étant désormais imbriqués.

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La SCPI Pierre Expansion Santé cède un actif parisien

La Rédaction
Le Courrier Financier

Au terme d’une consultation restreinte, PIERRE EXPANSION SANTÉ a cédé un hôtel particulier d’environ 1 000 m² et ses dépendances, anciennement à usage de maison de retraite, au groupe DELTA IM, dans le cadre d’un projet de réaménagement en établissement d'enseignement.

Cette cession permet à la SCPI de dégager une plus-value conséquente sur un actif détenu depuis 1996, et à l’acquéreur d’associer un bâtiment historique à un programme neuf en cours de construction sur une parcelle contiguë.

Le site est intégralement pré-loué à un prestigieux établissement d’enseignement italien dans le cadre d’un bail de longue durée.

La SCPI PIERRE EXPANSION SANTÉ était conseillée par les sociétés Flabeau et BNP Paribas Real Estate, ainsi que par l’Etude Michelez Notaires.

L’acquéreur était conseillé par l’étude Monceau Notaires.

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L’ANACOFI Finance d’Entreprise innove avec son Observatoire des Signaux Faibles

La Rédaction
Le Courrier Financier

La section s’est renforcée par la mise en place d’une Commission Finance d’Entreprise pilotée par Jean-Louis PICOLLO qui s’appuie sur le soutien du Président Confédéral David CHARLET.

Composé d’une dizaine de professionnels reconnus, qui rencontrent au total près de 500 chefs d’entreprise par an, elle se réuni tous les 4 mois et elle apporte aux adhérents une réflexion et une visibilité sur leurs métiers, sur les bonnes pratiques, sur les formations, et initie des contacts qui viennent ainsi enrichir notre écosystème.

Pour 2024, la section Finance d’Entreprise innove avec son OBSERVATOIRE des SIGNAUX FAIBLES.
Loin des prévisions aléatoires et des statistiques utopiques, cet OBSERVATOIRE basé sur nos remontées du terrain, a pour objectif de donner une information rapide et synthétique à nos adhérents et aux clients de nos adhérents sur des indices naissants pouvant influencer les prises de décisions des prochains mois.

Les membres de la Commission Finance d’Entreprise :

  • Fabienne GRETEAU- COFINGEST
  • Sébastien ROUZAIRE – KERIUS FINANCE
  • Ludovic SARDA – PYTHAS CAPITAL
  • Guy COHEN – INGÉNIERIE SOCIALE
  • Florent GUIGUE – EMERGEANCES
  • Nathalie DESSEAUX et Franck MAGNE – EAVEST
  • Julien DRAY – UNCONFLICTED MANAGEMENT
  • Edouard SEGUIN – PIMENT & Co
  • Jean-Louis PICOLLO – RESOLVYS
    Invités : David GANDAR et Nébojsa SRECKOVIC.
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PRI : Edmond de Rothschild obtient le score maximal A+

La Rédaction
Le Courrier Financier

Edmond de Rothschild Asset Management (France) a reçu le 10 août dernier la note maximale de A+ dans le cadre de l'évaluation des Principes pour l’investissement responsable des Nations Unies (en anglais « Principles for Responsible Investment », UN PRI). Le gérant se positionne au-dessus de ses pairs européens dans six catégories sur sept et enregistre le score le plus élevé A+ dans trois d’entre elles — dont Stratégie & Gouvernance.

Edmond de Rothschild Asset Management (France) a intégré en 2010 le peloton de tête des premières sociétés de gestion françaises signataires des « Principles for Responsible Investment » des Nations Unies. À ce titre, la société s’engage à décliner opérationnellement et de manière progressive les six principes énoncés visant à prendre en compte les dimensions environnementale, sociale et de gouvernance dans la gestion de ses actifs.

Développer la finance durable

« En tant que signataire des PRI, Edmond de Rothschild Asset Management (France) s'est engagé à intégrer les critères ESG à 100 % des classes d’actifs d’ici la fin de l’année 2021. En effet, nous sommes convaincus que l'intégration en amont des risques non financiers contribue à une meilleure compréhension des risques et des opportunités », souligne Benjamin Melman, Global CIO d’Edmond de Rothschild Asset Management.

« Le Groupe Edmond de Rothschild est résolument engagé pour le développement et la croissance de la finance durable. En 2019, nous avons poursuivi le développement de produits d’investissement conciliant performance et impact. Plutôt que de spéculer sur l’avenir, nous choisissons de le construire aux côtés de nos clients », indique Christophe Caspar, Global CEO d’Edmond de Rothschild Asset Management. 

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ESG : les PRI récompensent la stratégie de LFDE

La Rédaction
Le Courrier Financier

La Financière de l'Echiquier (LFDE) — société de gestion entrepreneuriale, filiale à 100 % de Primonial — annonce ce mardi 4 août avoir été distinguée par les Principes pour l’Investissement Responsable (PRI) des Nations unies. LFDE a reçu la note A+ pour les piliers « Strategy & Governance » et « Listed Equity – Incorporation » de sa stratégie de gestion qui intègre des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG).

Améliorer la démarche ISR

C'est une première pour LFDE, qui obtient ainsi la plus haute récompense possible. Les trois autres piliers de sa stratégie de gestion reçoivent la note A, soit une récompense au-delà du score médian. Ces résultats viennent récompenser une longue démarche d'investisseur responsable. Après avoir signé les PRI en 2008, LFDE a développé cette initiative jusqu'à réunir plus de 3 400 membres — contre seulement 250 en 2008.

De nouveau cette année, l’évaluation des UN PRI servira de base au travail d’amélioration continue pour l’équipe ISR de LFDE. Dans une optique de transparence, et dans le cadre de sa démarche d’investisseur responsable, la société de gestion met à disposition des investisseurs sur son site internet le Rapport de Transparence et le Rapport d’Evaluation des UN PRI.

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PRI : NN Investment Partners obtient de nouveau la note maximale A+

La Rédaction
Le Courrier Financier

NN Investment Partners (NN IP) — gestionnaire d'actifs de NN Group N.V., société cotée en bourse sur Euronext Amsterdam — annonce ce mardi 4 août ses résultats à l'évaluation 2019 des Principes pour l'investissement responsable des Nations unies (PRI NU). NN IP obtient la note maximale (A+) pour sa stratégie et sa gouvernance en termes d'investissement responsable et d'intégration environnementale, sociale et de gouvernance (ESG).

L’initiative PRI — affiliée aux Nations Unies, totalement indépendante — est le principal promoteur de l'investissement responsable à travers le monde. Les PRI étudient les implications de l’intégration des critères ESG et soutiennent le réseau international d'investisseurs signataires dans l’intégration de ces critères au sein de leurs pratiques d'investissement et d’actionnariat actif. Les PRI agissent dans l'intérêt long terme des signataires, des marchés financiers et des économies.

Amélioration du score de NN IP

Ces notes reflètent l’efficacité de l'approche de NN IP en matière d'investissement responsable. NN IP obtient également la note maximale A+ et des points sur toutes les catégories liées aux actions et pour la sélection et le suivi externe de NN IP (Altis). NN IP a amélioré ses scores dans les catégories fixed income, atteignant la note A sur les trois sous catégories.

NN IP est un signataire des PRI des Nations Unies depuis 2008 et actif dans le domaine de l'IR depuis la fin des années 1990. La participation active de NN IP à cette initiative montre l'intérêt de la société de gestion pour l'investissement responsable, l'intégration des critères ESG et la bonne gouvernance d'entreprise dans les décisions d'investissement.

Engagement auprès des entreprises

« Ces scores élevés et les améliorations dans certains domaines sont le résultat d'une attention accrue et des efforts combinés de nos collaborateurs pour faire avancer les choses. En plus de l’élargissement de l'intégration des facteurs ESG à davantage de classes d'actifs, nous cherchons à diffuser l'investissement responsable à l’ensemble du secteur de l'investissement », réagit Valentijn van Nieuwenhuijzen, Chief Investment Officer chez NN IP.

« C’est le résultat de nos efforts pour susciter le changement par l’engagement auprès de nos participations. Et plus particulièrement de notre volonté constante de renforcer la manière dont nous engageons les entreprises des secteurs liés à l'énergie et notre mobilisation dans le cadre d'initiatives de collaboration telles que la Climate Action 100+ », ajoute Jeroen Bos, responsable Specialised Equity & Responsible Investing chez NN IP.

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ONU : Onlyone signe un partenariat avec le fonds Unitlife

La Rédaction
Le Courrier Financier

Onlyone — néobanque à impact positif — annonce ce mercredi 10 juin la signature d’un partenariat avec le fonds Unitlife, abrité par les Nations Unies (ONU), afin de lutter contre la malnutrition chronique. Causée par des carences nutritives durant les 1 000 premiers jours de la vie de l’enfant, cette maladie touche aujourd’hui 144 millions d’enfants dans le monde.

Dans ce cadre, la Fintech française s’engage à reverser 60 centimes d’euro par mois et par client à Unitlife. Onlyone devient la première startup à signer un accord de partenariat de ce genre avec les Nations Unies. Initié par le Professeur Philippe Douste-Blazy, ancien ministre de la santé et conseiller en financement innovant auprès du Secrétaire général des Nations Unies, Unitlife s’appuie sur les nouvelles technologies.

Lutter contre la malnutrition

La vocation de Unitlife est d’apporter des aliments nutritifs aux générations futures. Pour ce faire, le fonds soutient les femmes agricultrices dans la production de denrées hautement nutritives. Il les aide à résister aux chocs climatiques afin d’améliorer la nutrition de leurs proches. Unitlife a été créé par UNCDF, le Fonds d’Équipement des Nations Unies (FENU), et par l’ONU Femmes (UN Women). Basé à Paris à la Station F (campus de startups), le Secrétariat est hébergé par le FENU.

Unitlife lutte ainsi contre la malnutrition chronique, qui entraîne retards de croissance, systèmes immunitaires affaiblis et lésions cérébrales irréversibles. La malnutrition tue plus de 3 millions d’enfants par an dans le monde. Les effets négatifs du changement climatique ainsi que les crises sanitaires telles que les épidémies aggravent la malnutrition chronique et menacent les progrès réalisés dans la lutte contre cette maladie.

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Qonto et Regate unissent leurs forces pour offrir la meilleure solution de gestion financière aux TPE-PME et aux cabinets d’expertise-comptable

La Rédaction
Le Courrier Financier

Cette acquisition permet à Qonto de renforcer ses outils financiers destinés aux PME, d'introduire une offre spécifiquement conçue pour les cabinets d'expertise-comptable et illustre son ambition de devenir la solution de gestion financière de référence pour un million de PME et d'indépendants d'ici fin de 2025.

Une solution de gestion financière renforcée pour les PME européennes

Créée en 2020 et établie à Paris, Regate a développé une plateforme d'automatisation comptable et financière déjà utilisée par 10 000 TPE-PME et 500 cabinets d’expertise-comptable. En unissant leurs forces, Qonto et Regate vont créer l'offre la plus complète du marché à destination des TPE-PME et des cabinets d'expertise-comptable. Plus de 450 000 entreprises recourent déjà à Qonto pour simplifier la gestion de leurs finances, grâce à un compte professionnel en ligne complété par à des outils de gestion financière avancés. L'ajout de Regate à l'écosystème de Qonto apportera des fonctionnalités d’automatisation supplémentaires pour la gestion des comptes fournisseurs et clients, ainsi que pour la pré-comptabilité, garantissant un échange de données efficace et intégré entre les TPE-PME et leurs cabinets d’expertise-comptable.


Une offre dédiée à destination des cabinets d’expertise-comptable

L'intégration du produit et de l'équipe de Regate, permettra à Qonto de proposer une offre spécifique pour les cabinets d'expertise-comptable. Ces derniers bénéficieront d'une interface partagée avec leurs clients, depuis laquelle ils pourront en quelques instants générer leurs écritures comptables. Le tout de manière automatisée, en tirant le meilleur parti de leur outil de production historique tel que
Sage, Cegid ou ACD, leaders du marché européen.

Aujourd'hui, en France, 6 000 cabinets d'expertise-comptable utilisent déjà Qonto économisant jusqu’à deux heures par mois par client géré. Qonto aspire à faciliter encore davantage les échanges entre les PME et les cabinets d'expertise-comptable, notamment lors de l'étape cruciale de la création d'entreprise.

Dans cette optique, Qonto lancera d’ici fin mars 2024 une nouvelle fonctionnalité permettant aux cabinets d'expertise-comptable d’initier le processus de dépôt de capital au nom de leurs clients, rendant la création d’entreprise possible en moins d’une semaine.

La création d’un nouveau département dédié aux cabinets d’expertise-comptable au sein de Qonto L’équipe de Regate, forte de plus de 100 collaborateurs, rejoindra les 1 400 Qontoers pour former un nouveau département dédié aux services financiers à destination des cabinets d’expertise-comptable.

Alexis Renard et Laura Pallier, co-fondateurs de Regate, prendront la tête de ce nouveau département, respectivement en tant que Directeur Général et Directrice Produit.
Qonto a déjà démontré sa capacité à intégrer avec succès de nouvelles acquisitions, comme en témoigne le rachat de Penta, champion allemand de la fintech, en juillet 2022, dont l'intégration a été finalisée fin 2023.

Avec l'acquisition de Regate, Qonto confirme sa position de leader dans la consolidation de la fintech
européenne.

« Ce rapprochement avec Regate nous permet de proposer aux PME et aux cabinets d’expertisecomptable la solution de gestion financière la plus aboutie du marché. Cela va non seulement accélérer notre croissance, mais aussi renforcer significativement notre position de leader sur un marché hautement concurrentiel. Grâce à notre nouvelle offre spécifique, incluant les partenariats existants entre Regate et des acteurs leaders du secteur tels que Sage ou Cegid, nous sommes désormais équipés pour répondre aux besoins des cabinets d’expertise-comptable et devenir un partenaire privilégié pour eux et leurs clients », explique Alexandre Prot, CEO et cofondateur de Qonto. « Nous avons hâte d’accueillir les équipes de Regate – et au vu de leur parcours impressionnant et de leurs ambitions, je suis convaincu de leur très bonne intégration parmi nos 1 400 Qontoers. »

« Nous sommes très enthousiastes à l’idée de rejoindre Qonto et de contribuer ensemble à l'émergence d'un champion européen de la fintech. Je suis convaincue que nous avons un grand rôle à jouer, non seulement à travers le développement de l’offre produit, mais aussi en apportant notre expertise et notre expérience dans les domaines comptables et financiers - une situation gagnante tant pour nos clients que pour ceux de Qonto ! », déclare Laura Pallier, cofondatrice de Regate.

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Cours de l’or : nouveaux records historiques !

La Rédaction
Le Courrier Financier

Ce qu’il faut retenir du mois écoulé


• Nouveaux records à 1931 euros et 2098 dollars en clôture du 4 mars
• Performance 2024 : +4.2% en euros
• La perspective de baisse des taux dope le cours du le métal jaune
• Une demande chinoise robuste
• Géopolitique : enracinement et élargissement des crises


Nouveaux recordsEn ce début de mois de mars, le cours de l’or vient d’établir un nouveau record historique. Le 4 mars, au fixing du soir de Londres, Il a atteint un niveau de 1931.67 euros l’once. Après un mois de février à
l’équilibre, le métal jaune s’apprécie donc de 2.5% en mars.

Au matin du 5 mars, le cours continue même sa hausse et avoisine 1950 euros, soit une progression supplémentaire de 1% environ. A l’heure d’écrire ces lignes, le métal jaune s’apprécie de 4.2% depuis le début de l’année. A titre de comparaison, le CAC 40 s’apprécie de 5.6% depuis le début de l’année.

La photo est similaire pour le cours en dollar, avec une clôture à Londres le 4 mars au plus haut historique (2098 dollars) et une reprise le 5 mars dans le vert avec un cours de 2117 dollars.

Ces records dépassent les pics établis durant les précédentes crises, en 2020 pendant l’épidémie du Covid, en février/mars 2022 lors de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, et fin 2023 alors que le conflit entre Israël et le Hezbollah s’enclenchait.
Pour aller plus loin : Comment est fixé le cours de l’or ?

La perspective de baisse des taux américains booste le métal jaune

L’économie américaine accumule les mauvaise nouvelles ces derniers jours : commandes de biens durables en recul de 6%, confiance des ménages en net repli, inscriptions chômage plus élevées qu’attendues, indice de confiance des directeurs d’achats en berne, etc. Il n’en fallait pas plus pour raviver les attentes d’une baisse des taux directeurs américains. Le marché estime qu’il y a maintenant 4 chances sur 5 que la réserve fédérale abaisse ses taux en juin.
Le cours de l’or est dopé par cette perspective, puisqu’il a tendance à s’apprécier en période d’assouplissement monétaire et de baisse des taux d’intérêt réels. L’histoire récente le confirme : lors des 3 dernières cycles, après la première baisse des taux directeurs (2001, 2007, et 2019), le métal jaune s’est significativement apprécié.

Si beaucoup d’analystes s’attendaient à de nouveaux records en 2024, ils étaient plutôt anticipés pour la seconde moitié de l’année. Le fait que les records soient atteints maintenant, sur de simples anticipations et non après les premières baisses effectives, laisse penser que le cours pourrait aller beaucoup plus haut. Pour mémoire c’est le scénario de JP Morgan, qui anticipe un cours à 2300 dollars début 2025.

Il convient néanmoins de rester prudent à court terme sur ces anticipations de baisse de taux. Lors de son audition prochaine au congrès (6 mars), Jerome Powell devrait réaffirmer sa volonté de maintenir une politique monétaire plus restrictive. Des chiffres économiques meilleurs que prévus, notamment au niveau de l’emploi, pourraient également tempérer l’optimisme du marché.


Une demande chinoise robuste

Selon le World Gold Council, la demande d'or en Chine a atteint un niveau record en janvier, principalement due au réapprovisionnement avant le Nouvel An chinois (festivités entre le 10 et 17 février). Cet événement crucial semble avoir tenu ses promesses : les chiffres préliminaires du ministère du Commerce indiquent que les ventes d’or et de bijoux liées au nouvel an sont en hausse de 24% par rapport à l’an dernier. Parmi les explications de la demande soutenue, la popularité de l’année du dragon, assimilée à la prospérité et au succès.

Malgré le rebond de la bourse chinoise en février, l’or valeur refuge continue d’attirer sur fond de ralentissement économique, de volatilité des marchés, et de fragilité du marché immobilier. Les ETF or chinois ont connu des entrées significatives, atteignant un niveau record de gestion d'actifs (plus de 4 milliards de dollars).

Enfin, la Banque Populaire de Chine a continué ses achats d'or pour le 15ème mois consécutif, augmentant ainsi ses réserves de 10 tonnes.


Géopolitique : enracinement et élargissement des crises.

La confrontation OTAN- Russie s’enracine. En janvier, l’opération Steadfast Defender a été lancé par l’alliance atlantique. Il s’agit du plus grand exercice militaire occidental organisé sur le sol européen depuis la fin de la guerre froide. L’ambition, clairement affichée et exprimée est de se préparer à un conflit avec la Russie. Des exercices qui font écho aux propos de haut gradés européens.

La Russie continue à affirmer sa souveraineté sur la région arctique, soulignant l'importance pour les États arctiques comme le Canada de se préparer aux défis économiques et territoriaux dans cette zone stratégiquement significative. Fin février, des élus séparatistes de Transnistrie ont demandé la protection de la Russie face aux « pression » que subiraient les russophones de ce territoire situé en Moldavie, limitrophe de l’Ukraine.

Un appel qui ressemble à celui des populations du Donbass avant l’invasion russe en Ukraine. Parallèlement, la Chine étend son influence dans l'océan Indien, comme en témoigne un scandale impliquant un prétendu 'navire de recherche' chinois détecté près des exercices militaires Inde-Maldives-Sri Lanka, montrant l'empreinte militaire et diplomatique croissante de la Chine dans la région.

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Fonds impact : AXA IM s’associe à la Fondation Access to Medicine

La Rédaction
Le Courrier Financier

Dans le contexte de la crise sanitaire, AXA Investment Managers (AXA IM) — investisseur global et multi actifs en gestion active et de long terme, filiale du groupe français AXA — annonce ce jeudi 6 mai renforcer ses liens avec la Fondation Access to Medicine. AXA IM devient le premier gestionnaire d'actifs à la parrainer, avec un don de 500 000 euros aux activités de la fondation relatives à la prévention des maladies infectieuses et à la réponse aux pandémies, telles que le Covid-19.

« Notre partenariat avec la Fondation Access to Medicine et notre engagement à faire don d'une partie des frais de gestion de nos fonds impact pour soutenir des projets liés aux Objectifs de Développement Durable (ODD) des Nations Unies reflètent non seulement notre raison d’être, mais également ce que nous croyons être notre mission en suscitant des changements positifs dans le monde », déclare Gérald Harlin, Executive Chairman d’AXA IM.

Stratégie à impact

D'après la Banque Mondiale et l’Organisation Mondiale de la Santé (2017), et le World Economic Forum (2019), 50 % de la population mondiale n'a pas d’accès adéquat aux services de santé. Le niveau actuel des investissements contre les maladies infectieuses reste insuffisant. La Fondation Access to Medicine inciter les sociétés pharmaceutiques à améliorer l'accès aux médicaments dans les pays à revenu faibles et intermédiaires.

Dans le cadre de ses investissements impact et de ses initiatives d'engagement dans le domaine de la santé, AXA IM soutient déjà la Fondation, Yo Takatsuki, Head of ESG Research and Active Ownership. AXA IM est l’un des membres du Comité de Revue Externe de l’Access to Medicine Index, l’un des deux programmes de recherche de l’organisation.

5 % des frais de gestion

Pour continuer à produire un impact positif sur la société sur le long terme, AXA IM va développer un dispositif philanthropique pour sa gamme de fonds impact. Cette gamme de produits vise à investir dans des entreprises et des projets conçus pour avoir un impact direct, mesurable et positif sur la société et/ou l'environnement, tout en générant des rendements obtenus par des investissements dans les thèmes clés de l'économie durable.

5 % des frais de gestion de cette gamme seront utilisés pour financer des projets supplémentaires, qui visent à développer des solutions à impact sociétal. Ces projets seront axés sur les thèmes qui sont au cœur des stratégies de responsabilité d'entreprise et d'investissement responsable d’AXA IM, et alignés sur certains Objectifs de Développement Durable (ODD) des Nations Unies, tels que :

  • ODD  numéro 1 : zéro pauvreté ;
  • ODD numéro 3 : bonne santé et bien-être ;
  • ODD numéro 4 : éducation de qualité ;
  • ODD numéro 5 : égalité entre les sexes ;
  • ODD numéro 13 : changement climatique.

Santé et inclusion financière

Les gammes de fonds impact des entités opérationnelles Core et Alternatives (Alts) d'AXA IM feront partie de cette initiative, y compris la quatrième stratégie d'investissement impact d'AXA IM Alts. Celle-ci vise à répondre aux besoins fondamentaux des populations émergentes en services de santé et inclusion financière. La santé est l’un des piliers de la stratégie d'investissement d'impact d'AXA IM depuis 2012.

La sélection des organisations caritatives et des projets associés sera effectuée par des comités internes dédiés, composés d'experts des équipes investissement responsable et responsabilité d'entreprise d'AXA IM, ainsi que des équipes d'investissement d'AXA IM Core et d'AXA IM Alts. « Nous constatons un appétit croissant des investisseurs pour les stratégies qui englobent des critères responsables et d'impact », pointe Gérald Harlin.

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PRI : quels outils de finance durable pour la reprise post Covid-19 dans l’UE ?

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le groupe d’experts techniques (TEG) sur la finance durable de l’Union européenne (UE) publie ce lundi 27 avril une note sur les outils nécessaires à la reprise post Covid-19. Ce groupe a été créé pour conseiller la Commission Européenne sur la mise en œuvre du plan d’action sur le financement de la croissance durable.

Les experts estiment que la taxonomie verte, les normes de l’UE sur les obligations vertes ainsi que le « Paris-Aligned and Climate Transition Benchmarks » peuvent accompagner les secteurs public et privé pour sortir de la pandémie de Covid-19, y compris à travers la feuille de route pour une reprise économique récemment dévoilée par le Conseil européen.

Une crise sans précédent

Tandis que les gouvernements, les institutions publiques et les acteurs du secteur privé se concentrent de toute urgence sur la protection de la santé et la sauvegarde des entreprises et des salariés, « la crise du Covid-19 nous rappelle que le renforcement de nos capacités de production et la résilience de nos systèmes économiques et sociaux nous offrent les meilleures protections possibles en temps de crise », indique le TEG.

Perte de la biodiversité et développement des épidémies sont étroitement liés. Il faut aussi prévoir une plus grande volatilité du climat, en raison de l'action humaine sur le changement climatique. S'il dépasse 1,5 degrés Celsius à l’échelle mondiale, « nous serons alors confrontés à une multiplication des perturbations et risques catastrophiques, à la fois en raison des mesures inévitables à prendre pour réduire rapidement les émissions de CO2 de nos économies et de l’impact des changements de l’environnement naturel sur notre santé et notre bien-être » alerte le TEG.

Actuellement, les autorités préparent des plans de relance économique pour sortir de la pandémie de Covid-19. Les gouvernements et les acteurs du secteur privé doivent toutefois se montrer attentifs aux détails de « ce que doit être une reprise résiliente, durable et juste — comme dans la pratique — afin d’assurer une plus grande résilience aux crises environnementales et sociales futures ».

Priorités politiques et secteur privé

Les membres du Conseil européen ont insisté sur le rôle central du « Green Deal » dans leur feuille de route pour une relance et une sortie de la pandémie de Covid-19. Le « Green Deal » comprend un objectif de neutralité climatique à horizon 2050 et un objectif climatique à horizon 2030. Ces objectifs climatiques doivent être utilisés afin de calibrer les réponses à cette sortie de crise.

Les plans de relance économiques « ne devraient pas soutenir les activités nuisibles à l’environnement ou à la société, ce qui aggraverait les crises actuelles et futures, enfermerait l’activité économique dans des infrastructures hautement polluantes ou favoriserait les activités qui ne contribueront pas au bien-être social pour les décennies à venir ». Le secteur privé a un rôle à jouer pour garantir l’accès au financement dans le cadre d’une reprise économique durable.

Les stratégies des entreprises et des investisseurs qui se contentent de maintenir des approches existantes — et leur niveau actuel de performance environnementale — accumulent des risques financiers et favorisent des perturbations sociales futures liée au changement climatique, affirme le TEG. Les plans du secteur privé doivent donc être « plus transparents et clairs quant à leur alignement sur les objectifs environnementaux et sociaux de l’UE » afin de permettre et de renforcer un ciblage plus efficace des mesures publiques de reprise économiques.

Bons outils et objectifs à atteindre

Le TEG a été créé pour fournir une expertise sur les nouveaux outils à prendre en compter pour financer un avenir durable. A l’heure où des décisions doivent être prises sur les politiques de relance économique, « nous considérons qu’il est désormais essentiel d’utiliser les bons outils pour réaliser ce vaste chantier et atteindre les objectifs environnementaux et sociaux », expliquent les experts.

Le TEG a ainsi développé trois outils qui peuvent immédiatement guider les plans de relance des gouvernements et du secteur privé. La taxonomie verte, les standards sur les obligations vertes (« Green Bonds ») et le « Paris-Aligned and Climate Transition Benchmarks ». Ces outils encouragent des contributions significatives aux objectifs environnementaux et sociaux, y compris de la part des entreprises et des acteurs financiers qui ne sont pas pleinement alignés aujourd’hui sur les objectifs environnementaux :

  • La taxonomie verte fournit un cadre pour les futures mesures de relance économique. Cet outil met en lumière la performance environnementale et les normes sociales minimales « nécessaires aux activités économiques pour atteindre nos objectifs climatiques et environnementaux, y compris la neutralité climatique d’ici 2050 et des objectifs ambitions à horizon 2030 ». Cette taxonomie s'applique bien aux nouveaux investissements nécessaires à la transition économique, « en montrant comment réduire les émissions de carbone, renforcer la résilience des activités économiques au changement climatique, optimiser les chaînes d’approvisionnement vers le développement durable et, enfin, stimuler l’emploi ».
  • Les normes sur les obligations vertes (« Green Bond Standard » ou GBS ») constituent un « modèle de bonnes pratiques dont les éléments peuvent être appliqués par tous les émetteurs d’obligations pour expliquer comment leur financement contribue à une stratégie durable la plus large possible et aux impacts environnementaux et sociaux de l’émetteur ». Le cadre du GBS peut également améliorer la transparence en matière d’impact social et de résultats financiers.
  • Le « Paris-Aligned and Climate Transition Benchmarks » est un ensemble d’outils qui permettent d’accompagner l’allocation d’un montant important de capital privé vers la transition climatique. Ces outils permettent « d’aligner la sélection du portefeuille des investisseurs sur les objectifs de changement climatique », notamment la trajectoire de 1,5 degré Celsius du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC).

Il est temps de se mettre au travail

D'après le TEG, il est temps d'agir. « Cette crise du Covid-19 n’est pas la dernière épidémie à laquelle nous serons confrontés. Le pronostic de nos scientifiques nous montre que nos objectifs climatiques sont essentiels pour réduire le risque de crises catastrophiques à l’avenir », expliquent-ils.

Les experts se déclarent prêts « à travailler avec la Commission européenne pour la durée restante de son mandat, en fournissant des orientations sur la mise en œuvre des outils par les secteur public et privé pour permettre à la finance de jouer pleinement son rôle dans une reprise économique durable ».

Le TEG voit dans la relance post Covid-19 « l'opportunité d’une reprise économique résiliente, durable et juste ». Les experts encouragent donc tous les gouvernements, les institutions publiques et les acteurs du secteur privé à s’y engager pleinement.

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