Axiom Alternative Investments nomme un directeur du développement commercial à Londres

La Rédaction
Le Courrier Financier

Axiom Alternative Investments (Axiom AI) — société de gestion, spécialiste des institutions financières — annonce ce mercredi 30 septembre la nomination d'un Directeur du développement commercial à Londres. Il s'agi d'une création de poste, dans le but de renforcer la politique commerciale de Axiom AI au Royaume-Uni.

Tom Conquest est diplômé dе l’Université de Nottingham, dans la région des Midlands, au centre de l'Angleterre. Il affiche 8 ans d'expérience dans le secteur de la gestion d’actifs, notamment en tant que Directeur Commercial Senior chez Merian Global Investors au Royaume-Uni (2014 -2020).

Développer la gamme de fonds

Axiom AI revendique actuellement 1,6 Md€ d'encours sous gestion. La société de gestion continue à diversifier sa gamme de fonds. Dans ce cadre, Tom Conquest sera chargé de diriger le développement commercial au Royaume-Uni et la promotion de la gamme des fonds d’Axiom AI.

« L'arrivée de Tom Conquest vient compléter les compétences de l'équipe commerciale à Londres et nous permet de continuer à offrir à nos clients les meilleures alternatives risque/rendement dans l'univers de la dette subordonnée financière », déclare David Benamou, Directeur des investissements.

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Brexit : vers un troisième report ?

Sébastien Oum
Ambriva
Avec l'arrivée de Boris Johnson au 10 downing street et à un mois du G7 qui se tiendra en France à Biarritz, la perspective d'un troisième report du Brexit devient une hypothèse sérieuse. Comment Europe va-t-elle se réinventer tout en tenant compte des conséquences de ce départ ? Quelles répercussions les PME doivent-elles anticiper ? Les valeurs refuges vont-elles ressurgir sur les marchés ? Les explications de Sébastien Oum, CEO de Ambriva.
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Brexit : la City ne déménagera pas à Paris

La Rédaction
Le Courrier Financier

Certains indicateurs laissent penser qu’un Londres post-Brexit pourrait perdre une partie du marché des services financiers au profit de ses concurrents de l’UE, tels que Paris et Francfort. Mais un nouveau rapport publié le 18 avril par la Cass Business School — City University of London — affirme le contraire. Exercer dans la City serait même synonyme d’avantages concurrentiels certains.

Face à l’incertitude de l’après-Brexit, les institutions financières ont dû adopter un plan d’urgence et envisager un éventuel transfert de leurs employés et de leurs opérations. Le rapport s’intéresse à la façon dont ces structures pourront réagir face aux deux principaux domaines à risque liés au Brexit — incertitude politique et réglementaire — et émet plusieurs suggestions sur la façon de gérer ces risques. Les chiffres de l’industrie financière confirment les prévisions des chercheurs.

L'avenir incertain des « passporting rights »

En l’absence d’un accord commercial global sur les services financiers — ou même d’une indication claire sur ce qu’impliquerait cet accord — les institutions financières risquent de ne pas pouvoir remplacer leurs « passporting rights ». Ces droits leur permettent aujourd’hui de fournir des services financiers transfrontaliers dans tous les pays de l’UE.

Les banques multinationales font face à deux choix : soit la restructuration de l’entreprise, qui consiste à envoyer ses opérations et ses employés sur d’autres pôles financiers ; soit la délégation de gestion, qui permet à la banque de choisir une entité juridique dans l’UE pour le « passporting » et une structure de holding appelée IPU — Intermediate Parent Undertaking — en maintenant une entité à Londres exerçant d’autres activités.

Le rapport indique que le modèle de délégation de gestion est une alternative possible à la restructuration de l’entreprise grâce à sa flexibilité. Il minimiserait le risque d’une expertise amoindrie en termes de gestion de capital humain et réduirait les coûts liés au transfert de personnes et de fonctions, tout en évitant la perte d’un accès permanent au Royaume-Uni.

Londres va-t-elle rester un acteur clé des services financiers ?

De nombreux facteurs permettraient à Londres de conserver sa position de pôle financier international après le Brexit :

  • son fuseau horaire, qui lui permet de facilement faire des affaires avec l’Asie, les États-Unis et le Moyen-Orient
  • son statut partagé avec New York de pôle commercial dominant en termes de taux de change et de taux d’intérêt ;
  • la solidité des législations et réglementations locales ;
  • l’excellente réputation mondiale des universités du Royaume-Uni enseignant le commerce et la finance ;
  • le niveau élevé d’intégration des marchés des capitaux ;

La chercheuse Barbara Casu Lukac, directrice du Centre for Banking Research de la Cass Business School et co-auteur du rapport, a déclaré que ce rapport arrivait à un moment important du processus prolongé du Brexit, alors que le risque imminent d’une no-deal s’éloigne et que la Première ministre Theresa May se bat pour assurer un accord de sortie.

« Notre rapport suggère qu’après le Brexit, Londres restera un acteur clé du secteur international des services financiers et des marchés de capitaux. Toutefois, certaines de ses opérations, capacités et marges seront affectées par l’incertitude réglementaire et politique à long terme qui accompagne le processus du Brexit. Cela devra être largement pris en compte lorsque les premiers ministres débattront de l’accord de retrait de la Première ministre au Parlement », conclut Barbara Casu Lukac.

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Le marché de l’or se déplace à Paris

Philippe Crevel
Cercle de l'Epargne
Est-ce l'imminence du Brexit qui incite la Banque de France à mettre en place un marché de l’or à Paris ? Ce n’est pas certain, le projet étant initié depuis plusieurs années.
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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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Invesco lance le premier ETF en Europe offrant une exposition à l’Arabie Saoudite

La Rédaction
Le Courrier Financier
Le fonds Invesco MSCI Saudi Arabia UCITS ETF est libellé en dollar et est côté à la Bourse de Londres. Chris Mellor, responsable des produits ETF actions et matières premières pour la région EMEA chez Invesco, déclare : « L’Arabie Saoudite est au début d’une transformation passionnante. Les réformes portées par le plan « Saudi Vision 2030 » visent à réduire la dépendance de l’économie du pays vis-à-vis des financements publics et des exportations de pétrole. Le plan contient plusieurs objectifs, notamment l’augmentation de la part du secteur privé dans le PIB ainsi que le nombre de travailleurs saoudiens dans le secteur privé et une hausse de l’utilisation de l’énergie solaire et autres sources d’énergies renouvelables. » Un autre objectif est d’attirer les investissements étrangers directs, et, de fait, le programme sera en partie financé par une vente de 5% du géant pétrolier public Saudi Aramco. L’introduction en bourse est susceptible de se tenir en 2019 et pourrait lever jusqu’à 100 milliards de dollars, devenant de loin la plus grosse introduction en bourse de l’histoire.

Arabie Saoudite : un marché plus accessible

L’Arabie Saoudite a ouvert ses marchés actions aux investisseurs étrangers en 2015, et a depuis assoupli les critères d’investissements pour les investisseurs étrangers en alignant le règlement des transactions commerciales sur les normes internationales. En conséquence, le MSCI a inclus l’Arabie Saoudite dans son processus d’examen annuel. Une annonce est attendue le 20 juin 2018 concernant l’obtention ou non du statut de marché émergent par l’Arabie Saoudite. En cas de succès, l’Arabie Saoudite entrerait dans l’indice MSCI Emerging Markets à partir de 2019, et sa pondération serait alors estimée à 2,3%, bien que celle-ci serait significativement plus élevée si l’on prend en compte Aramco et d’autres introductions en bourse. Le fonds Invesco MSCI Saudi Arabia UCITS ETF vise à répliquer la performance de l’indice MSCI Saudi Arabia 20/35, comprenant 22 actions de moyenne et large capitalisations. Ses frais courants s’élèvent à hauteur de 0,50% par an.
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Le Groupe Quintésens accroît ses effectifs

La Rédaction
Le Courrier Financier
Fondé en 2009 par Julien Joubert, le Groupe Quintésens accompagne ses clients pour les aider à se constituer un patrimoine, préparer leurs retraites ou encore faire baisser leurs impôts. L'entreprise a réalisé un volume d'affaires de 360 millions d'euros en 2017. 300 collaborateurs fin 2018 Pour soutenir sa forte croissance, le Groupe Quintésens prévoit de faire croître sensiblement ses effectifs, en passant de 250 collaborateurs fin 2017 à 300 d'ici la fin de l'année. « Nous souhaitons renforcer nos équipes de consultants dans les 18 et bientôt 19 agences que nous avons en France » explique Julien Joubert. « Depuis janvier, 3 agences ont été ouvertes à Nantes, Reims et Dijon. Nous travaillons à l'ouverture prochaine d'une 4ème à Rouen ». Internationalisation en vue : Londres, Genève et Bruxelles Boosté par ses résultats en France, le Groupe Quintésens prévoit désormais l'ouverture prochaine d'agences à l'international. « Notre démarche se fera pas à pas mais nous sommes convaincus que la réussite de notre modèle en France peut être reproduite à l'international. Dans un premier temps, notre objectif est d'ouvrir 3 agences à Londres, Genève et Bruxelles » explique Julien Joubert.
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Revolut lance des Coffres pour économiser sa petite monnaie

La Rédaction
Le Courrier Financier
Revolut annonce le lancement de ses Coffres, permettant aux utilisateurs d’économiser sur chacun de leurs achats du quotidien. Cette nouvelle fonctionnalité les aidera à économiser petit à petit sur les plus de 15 millions de transactions effectuées mensuellement. La fintech londonienne permet également à ses utilisateurs d’économiser dans n’importe laquelle de ses 25 devises supportées, ainsi que dans les crypto-monnaies Bitcoin, Ether et Litecoin. Des versements uniques peuvent également être faits en quelques secondes pour alimenter ces Coffres. Si les utilisateurs souhaitent économiser plus, ou moins que prévu. Ils peuvent ajuster les paramètres facilement dans l’application, et l’argent mis de côté pourra être retiré à n’importe quel moment.
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Deutsche AM étend sa gamme d’ETF obligataires Xtrackers

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'ETF, dont la cotation est assurée à la Bourse de Londres depuis ce matin et à la Deutsche Börse depuis vendredi dernier (9 février 2018), réplique l’indice Bloomberg Barclays High Yield Very Liquid Bond Index. L'indice de référence se compose d'environ 640 obligations de catégorie spéculative.

L’ETF affiche des frais de gestion totaux de 0,35% par an et passe par un système de réplication physique directe.

Blanca Koenig, stratégiste ETF obligataires chez Deutsche AM, déclare : « Les investisseurs continuent de chercher des placements en obligations à haut rendement tout en étant attentifs à leur exposition aux variations de taux d'intérêt. Ce nouvel ETF high-yield en dollars, avec un rendement d'environ 6% par an et une duration moyenne relativement faible de 4,1 ans, élargit la boîte à outils à disposition des investisseurs pour faire face aux défis actuels des marchés. Ce produit est complémentaire à l’ETF euro high-yield de la gamme Xtrackers ainsi qu’aux ETF libellés en dollars offrant une exposition aux obligations du Trésor américain, aux obligations de sociétés « investment grade » et aux obligations des marchés émergents ».

Deutsche AM dispose d'une gamme étendue de plus de 50 ETF répliquant la performance des marchés obligataires, ainsi que des classes de parts couvertes contre le risque de change. Environ deux tiers de la gamme utilise la réplication physique directe.

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La SCPI Pierre Expansion Santé cède un actif parisien

La Rédaction
Le Courrier Financier

Au terme d’une consultation restreinte, PIERRE EXPANSION SANTÉ a cédé un hôtel particulier d’environ 1 000 m² et ses dépendances, anciennement à usage de maison de retraite, au groupe DELTA IM, dans le cadre d’un projet de réaménagement en établissement d'enseignement.

Cette cession permet à la SCPI de dégager une plus-value conséquente sur un actif détenu depuis 1996, et à l’acquéreur d’associer un bâtiment historique à un programme neuf en cours de construction sur une parcelle contiguë.

Le site est intégralement pré-loué à un prestigieux établissement d’enseignement italien dans le cadre d’un bail de longue durée.

La SCPI PIERRE EXPANSION SANTÉ était conseillée par les sociétés Flabeau et BNP Paribas Real Estate, ainsi que par l’Etude Michelez Notaires.

L’acquéreur était conseillé par l’étude Monceau Notaires.

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L’ANACOFI Finance d’Entreprise innove avec son Observatoire des Signaux Faibles

La Rédaction
Le Courrier Financier

La section s’est renforcée par la mise en place d’une Commission Finance d’Entreprise pilotée par Jean-Louis PICOLLO qui s’appuie sur le soutien du Président Confédéral David CHARLET.

Composé d’une dizaine de professionnels reconnus, qui rencontrent au total près de 500 chefs d’entreprise par an, elle se réuni tous les 4 mois et elle apporte aux adhérents une réflexion et une visibilité sur leurs métiers, sur les bonnes pratiques, sur les formations, et initie des contacts qui viennent ainsi enrichir notre écosystème.

Pour 2024, la section Finance d’Entreprise innove avec son OBSERVATOIRE des SIGNAUX FAIBLES.
Loin des prévisions aléatoires et des statistiques utopiques, cet OBSERVATOIRE basé sur nos remontées du terrain, a pour objectif de donner une information rapide et synthétique à nos adhérents et aux clients de nos adhérents sur des indices naissants pouvant influencer les prises de décisions des prochains mois.

Les membres de la Commission Finance d’Entreprise :

  • Fabienne GRETEAU- COFINGEST
  • Sébastien ROUZAIRE – KERIUS FINANCE
  • Ludovic SARDA – PYTHAS CAPITAL
  • Guy COHEN – INGÉNIERIE SOCIALE
  • Florent GUIGUE – EMERGEANCES
  • Nathalie DESSEAUX et Franck MAGNE – EAVEST
  • Julien DRAY – UNCONFLICTED MANAGEMENT
  • Edouard SEGUIN – PIMENT & Co
  • Jean-Louis PICOLLO – RESOLVYS
    Invités : David GANDAR et Nébojsa SRECKOVIC.
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Brexit : vers un exode des professionnels de la finance ?

Roxane Nojac
Le Courrier Financier
Alors que les discussions autour des modalités du Brexit battent leur plein dans les hautes sphères européennes, le sujet anime aussi les esprits des professionnels de la place londonienne. Combien d'entre eux envisagent un départ ? Estiment-ils que la compétitivité de la City s'est dégradée ? Le Courrier Financier vous propose une nouvelle infographie informative sur le sentiment des forces vives de la capitale britannique.
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Paris déroule le tapis rouge pour les exilés du Brexit

Roxane Nojac
Le Courrier Financier
L'opération séduction est en marche ! Dans l'optique d'attirer les déçus de la City vers la capitale française, et ainsi en faire la place financière majeure de l'après-Brexit, Emmanuel Macron et Edouard Philippe ont annoncé une série de mesures censées renforcer l'attractivité de Paris aux yeux des investisseurs.

La suppression de la tranche supérieure de la taxe sur les salaires, l'annulation de la taxe sur les transactions financières et l'exclusion des bonus des traders dans le calcul des indemnités de licenciement viendraient, par exemple, s'ajouter à la réforme du travail en cours. La région parisienne, par la voix de Valérie Pécresse, promet également des efforts sur les transports et l'instruction bilingue des franciliens.

De quoi détourner les banquiers de Francfort et Luxembourg ?
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