Philippe Feuille – La Compagnie des CGP : « La rétrocession des commissions nous semble nécessaire »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
La Compagnie des CGP revient sur l'actualité de la profession au T1 2023. Dans le cadre de la future Retail investment strategy (RIS), la Commission européenne envisage de mettre un terme aux commissions. Pourquoi l'association défend-t-elle le modèle de rémunération français ?
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Assurance vie : la transférabilité des contrats va-t-elle tout changer ?

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Depuis le 31 janvier dernier, le Parlement examine la proposition de loi pour « renforcer la protection des épargnants ». Le texte propose notamment de garantir la transférabilité des contrats d'assurance vie. Sous quelles conditions ? Quel serait l'impact pour les CGP ? Le point avec Le Courrier Financier.
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Réforme du courtage : L’Orias alerte les intermédiaires sur leurs obligations en 2023

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'Orias — registre unique des intermédiaires en assurance, banque et finance — alerte ce mardi 18 janvier les intermédiaires financiers sur leurs obligations en matière de renouvellement (réinscription annuelle) en 2023, dans le cadre de la réforme du courtage. Tout intermédiaire qui distribue des produits d’assurance, bancaires ou financiers doit être immatriculé sur le Registre officiel de l’Orias. Les clients peuvent ainsi vérifier qu’il est autorisé à exercer.

Adhésion à une association

L'avertissement concerne les courtiers et leurs mandataires, en assurance et en opérations de banque et services de paiement (OBSP). Lors du renouvellement de leur inscription en 2023 à l’Orias, la loi sur la « Réforme du courtage » (Loi n° 2021-402 du 8 avril 2021) prévoit désormais qu’ils ont l’obligation d’adhérer à une association professionnelle agréée par l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR), sauf exceptions prévues par la loi.

A ce jour, l’ACPR a agréée sept associations pour l’intermédiation en assurance et six pour l’intermédiation en opérations de banque et services de paiement — dont la liste officielle figure ici. Cette condition légale d’adhésion à une association agréée est vérifiée par l’Orias lors de la procédure de renouvellement de l’immatriculation.

Retard du renouvellement 2023

Tout intermédiaire assujetti à cette nouvelle obligation qui ne s’y soumettrait pas sera radié de l’Orias, lors de la clôture du renouvellement au 28 février 2023. En conséquence, il ne pourra plus distribuer les produits pour lesquels il était immatriculé, ni percevoir de commissions ou d’honoraires pour sa rémunération. L’Orias constate déjà un retard pour le renouvellement 2023.

En cause, un retard dans les demandes de renouvellement et une gestion plus lente des dossiers dans le cas où les gestionnaires de l’Orias doivent demander la production de l’attestation par l’intermédiaire. Conscient des enjeux pour la protection des consommateurs, la distribution des produits et les professionnels de l’intermédiation eux-mêmes, l’Orias alerte sur le risque de voir trop de professionnels ne pas être renouvelés à fin février 2023.

« Les professionnels concernés par la Réforme du courtage ne doivent plus attendre pour faire leur dossier d’adhésion à l’association agréée de leur choix, s’ils veulent continuer à exercer après la date légale de la fin du renouvellement. Il y a un temps d’instruction à la fois des dossiers auprès des associations, mais aussi pour le renouvellement à l’Orias. Aujourd’hui, chaque jour compte ! », explique Richard Restuccia, Président de l’Orias.

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Holdings financières : l’ACPR précise ses attentes pour leur autorisation et leur suivi prudentiel

La Rédaction
Le Courrier Financier

L’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) publie ce jeudi 12 janvier la position 2022-P-02 . Cette dernière clarifie les différentes obligations applicables aux compagnies holdings financières, aux compagnies financières holdings mixtes, aux entreprises mères de société de financement et aux compagnies holding d’investissement.

Ce qu'il faut retenir

Cette position de l'ACPR précise notamment les obligations d’approbation ou d’exemption d’approbation le cas échéant, ainsi que les obligations prudentielles applicables à ces dernières en fonction de leur place dans la chaîne de détention actionnariale.

La position indique qu’une fois approuvées, ces holdings financières sont soumises au respect des exigences prudentielles prévues par le Code monétaire et financier ainsi qu’à l’évaluation par l’ACPR des conditions d’honorabilité et de compétence de ses dirigeants et des membres de l’organe de supervision dans sa fonction de surveillance. Elles seront également assujetties aux frais de contrôle et listées sur Regafi.fr. 

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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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Epargne en actions : l’imputation d’une plus-value réalisée sur PEA

Marion Capèle
Natixis Wealth Management
Produit réglementé, le plan épargne action (PEA) permet de gérer un portefeuille d'actions d'entreprises européennes. L'épargnant bénéficie, sous conditions, d'une exonération d'impôt. Comment fonctionne l'imputation d'une plus-value réalisée sur PEA ? L'éclairage de Marion Capèle, Directrice Pôle Solutions patrimoniales chez Natixis Wealth Management.
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Transmission de patrimoine : l’adoption de l’enfant du conjoint

Marion Capèle
Natixis Wealth Management
L'évolution des structures familiales complexifie la transmission de patrimoine. Comment procéder pour adopter l'enfant de son conjoint ? Qu'est-ce qui a changé depuis la réforme de l’adoption de février 2022 ? Le point avec Marion Capèle, Directrice Pôle Solutions Patrimoniales chez Natixis Wealth Management.
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Assurance risque cyber : l’ACPR salue la publication de la position de l’EIOPA

La Rédaction
Le Courrier Financier

L’Autorité européenne des assurances et des pensions professionnelles (AEAPP ou EIOPA, « European Insurance and Occupational Pensions Authority ») publie ce vendredi 23 septembre un Supervisory Statement on management of non-affirmative cyber underwriting exposures. L'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) se félicite de cette publication, qui intervient à l’issue d’une consultation publique terminée en juillet 2022.

Cette dernière faisait suite au constat selon lequel, en Europe, les organismes d’assurance ne mesurent pas encore suffisamment leur exposition au risque de couverture implicite du risque cyber, et ce dans un contexte où ce risque se révèle particulièrement élevé. Le manque apparent de préparation de certains organismes pourrait entraîner des pertes importantes et compromettre la stabilité financière globale du secteur.

L'exposition au risque cyber

L’ACPR incite les organismes d’assurance à examiner l’ensemble des garanties contenues dans leurs contrats par rapport aux risques cyber. Le cas échéant, elle leur suggère clarifier et à rendre plus explicites les formulations des termes et conditions des polices en ce qui concerne la couverture ou l'exclusion de ces risques, pour permettre une offre exempte d’ambiguïté vis-à-vis des preneurs d’assurance. Elle invite ces derniers et leurs assureurs à examiner ensemble les mesures de prévention nécessaires pour limiter  les dommages.

Par ailleurs, l’ACPR estime crucial que les organismes soient en mesure d'identifier et d’évaluer rapidement et de façon exhaustive leur exposition au risque cyber, en particulier implicite, dans les contrats d’assurance. Ils sont donc vivement incités à mettre en œuvre des pratiques de souscription et de gestion appropriées afin de mesurer et rendre compte correctement des risques cyber auxquels ils sont exposés. 

Quelques recommandations

Dans la continuité de la publication de la position de l’EIOPA, l’ACPR rappelle également aux organismes les recommandations suivantes :

  • établir une stratégie et bâtir des bases de données robustes afin d’évaluer de façon complète l’exposition du portefeuille d’assurance au risque cyber et intégrer cette évaluation au rapport ORSA quand cela est pertinent ;
  • inclure l'impact futur des risques cyber dans le cadre de l'évaluation du besoin global de solvabilité, y compris en anticipant les litiges éventuels concernant la couverture prévue dans les contrats.

L’ACPR rappelle que, compte tenu de l’exposition croissante des entreprises et des particuliers au risque cyber, elle a depuis plusieurs années inscrit ce risque dans ses priorités de contrôle.

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Crypto-actifs : Blockpit Cryptotax arrive en France

La Rédaction
Le Courrier Financier

La fintech Blockpit — spécialiste en conformité financière pour le suivi de portefeuille et la déclaration fiscale des actifs, basé sur la technologie blockchain — annonce ce jeudi 7 avril le lancement de Cryptotax en France. Cet outil de reporting et de suivi de la fiscalité des cryptomonnaies permet aux traders de générer facilement des rapports fiscaux pour la prochaine période déclarative de l'impôt. Durant la pandémie, tant le marché financier que le marché des actifs numériques ont connu une forte croissance.

Vigilance en termes de conformité fiscale

Tous les investisseurs qui ont obtenu des gains grâce à des transactions avec des actifs numériques l'année dernière doivent les inclure dans leur déclaration d'impôt sur le revenu cette année. Selon le département et la manière dont la déclaration d'impôt est effectuée, sur papier ou en ligne, les dates d'échéance commencent à partir du 19 mai 2022. L'obligation fiscale des actifs numériques n'est pas automatiquement calculée, déclarée et déduite aux autorités fiscales en France, il existe donc un risque d'évasion fiscale par inadvertance.

« Surtout en période de forte volatilité, l'aspect fiscal joue un rôle crucial dans toutes les décisions d'investissement. Nous voulons offrir une solution à tous les investisseurs pour documenter leurs transactions de manière transparente en un simple clic, aider les traders à prendre des décisions fiscales optimales et éviter les graves conséquences d'une éventuelle évasion fiscale. Une documentation complète de toutes les transactions effectuées sera demandée par les autorités fiscales », précise Florian Wimmer, PDG et cofondateur de Blockpit.

Des Français de plus en plus concernés

Les cryptos ne sont plus un sujet de niche pour les Français. Selon une étude récente de KPMG, 77 % des Français ont déjà entendu parler du sujet, et 8 % ont déjà investi dans les cryptos, qu'il s'agisse de cryptomonnaies ou des NFT. La part des Français détenant des cryptos dépasse désormais celle des Français détenant des actions en propre (6,7 % selon l'AMF). Cette tendance devrait s'accroître dans les mois et années à venir : 30 % des personnes souhaitent investir. En émettant des hypothèses prudentes, Blockpit projette que, d'ici à la fin de cette année, plus de 12% des Français détiendront des cryptos. 

Quelle imposition pour les cryptos ?

Afin d'encadrer ce phénomène, la France a imposé les cryptomonnaies en tant que revenus d'épargne et d'investissement, lesquels sont taxés à un taux forfaitaire de 30 % (Flat tax). Cela s'applique aux gains lorsqu'ils sont réalisés en fiat, autrement dit en monnaie dont la valeur provient essentiellement d'un gouvernement ou d'une institution — par exemple l'euro, le dollar.

Aussi, la prochaine réglementation européenne DAC-8 obligera-t-elle les plateformes d'échange de cryptomonnaies à partager des informations sur les utilisateurs enregistrés, mais également  les données de transaction concernant les échanges d'actifs numériques. Les investisseurs français en cryptomonnaies pourraient ainsi voir leurs gains, jusqu'alors non taxés, signalés aux autorités fiscales dans les années à venir, y compris ceux réalisés les années précédentes.

De la cryptomonnaie au fiduciaire

Les profits et les pertes résultant d'opérations en cryptomonnaies, que celles-ci soient obtenues par l'échange contre d'autres actifs ou par le don d'un bien ou d'un service en échange de cryptomonnaies, doivent être inclus dans la déclaration annuelle de revenus. Un autre groupe d'actifs souvent négligé comprend les dons et les récompenses comme les Airdrops ou les Bounties. Il s'agit de plus-values où la valeur courante est égale au profit.

Les profits ou les pertes de ce type doivent également être inclus dans l'assiette générale de l'impôt sur le revenu, avec le reste des revenus qui constituent l'assiette fiscale. « Tout échange effectué d'une crypto vers une monnaie fiduciaire, est un événement imposable selon la législation française actuelle. Le profit ou la perte imposable correspondra à la différence entre le coût d'acquisition de l'actif et sa valeur de marché au moment de la vente », précise Florian Wimmer.

Cryptotax, un outil de déclaration fiscale

Cryptotax de Blockpit permet d'importer les données de transaction des principales plateformes d'échange de cryptomonnaies et des wallets personnels. Le logiciel de calcul des impôts analyse les données automatiquement, de telle sorte que l'utilisateur obtienne son rapport fiscal avec toutes les informations requises par l'administration fiscale en un seul clic. Cryptotax est proposé gratuitement pour un maximum de 25 transactions par an et analyse par ailleurs toutes les données de manière anonyme et en mode lecture seule.

Le rapport fiscal qui en résulte utilise la méthode CUMP (Coût Unitaire Moyen Pondéré) et est basé sur le régime fiscal du prélèvement forfaitaire unique (PFU). L'algorithme de calcul utilisé par Cryptotax est vérifié par un cabinet d'audit, le Big Four. De nombreux investisseurs en crypto-actifs ignorent leur obligation fiscale et qu'ils leur incombent de déclarer et de payer les taxes associées aux actifs numériques. Dans le pire des cas, ils pourraient être accusés d'évasion fiscale et encourir ainsi de lourdes pénalités. 

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La SCPI Pierre Expansion Santé cède un actif parisien

La Rédaction
Le Courrier Financier

Au terme d’une consultation restreinte, PIERRE EXPANSION SANTÉ a cédé un hôtel particulier d’environ 1 000 m² et ses dépendances, anciennement à usage de maison de retraite, au groupe DELTA IM, dans le cadre d’un projet de réaménagement en établissement d'enseignement.

Cette cession permet à la SCPI de dégager une plus-value conséquente sur un actif détenu depuis 1996, et à l’acquéreur d’associer un bâtiment historique à un programme neuf en cours de construction sur une parcelle contiguë.

Le site est intégralement pré-loué à un prestigieux établissement d’enseignement italien dans le cadre d’un bail de longue durée.

La SCPI PIERRE EXPANSION SANTÉ était conseillée par les sociétés Flabeau et BNP Paribas Real Estate, ainsi que par l’Etude Michelez Notaires.

L’acquéreur était conseillé par l’étude Monceau Notaires.

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L’ANACOFI Finance d’Entreprise innove avec son Observatoire des Signaux Faibles

La Rédaction
Le Courrier Financier

La section s’est renforcée par la mise en place d’une Commission Finance d’Entreprise pilotée par Jean-Louis PICOLLO qui s’appuie sur le soutien du Président Confédéral David CHARLET.

Composé d’une dizaine de professionnels reconnus, qui rencontrent au total près de 500 chefs d’entreprise par an, elle se réuni tous les 4 mois et elle apporte aux adhérents une réflexion et une visibilité sur leurs métiers, sur les bonnes pratiques, sur les formations, et initie des contacts qui viennent ainsi enrichir notre écosystème.

Pour 2024, la section Finance d’Entreprise innove avec son OBSERVATOIRE des SIGNAUX FAIBLES.
Loin des prévisions aléatoires et des statistiques utopiques, cet OBSERVATOIRE basé sur nos remontées du terrain, a pour objectif de donner une information rapide et synthétique à nos adhérents et aux clients de nos adhérents sur des indices naissants pouvant influencer les prises de décisions des prochains mois.

Les membres de la Commission Finance d’Entreprise :

  • Fabienne GRETEAU- COFINGEST
  • Sébastien ROUZAIRE – KERIUS FINANCE
  • Ludovic SARDA – PYTHAS CAPITAL
  • Guy COHEN – INGÉNIERIE SOCIALE
  • Florent GUIGUE – EMERGEANCES
  • Nathalie DESSEAUX et Franck MAGNE – EAVEST
  • Julien DRAY – UNCONFLICTED MANAGEMENT
  • Edouard SEGUIN – PIMENT & Co
  • Jean-Louis PICOLLO – RESOLVYS
    Invités : David GANDAR et Nébojsa SRECKOVIC.
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Réforme du Courtage : la CNCGP accueille les courtiers parmi ses membres

La Rédaction
Le Courrier Financier

La Chambre nationale des conseils en gestion de patrimoine (CNCGP) — association représentative de la profession depuis sa création en 1978 — annonce ce jeudi 7 avril le lancement de sa campagne de communication digitale à destination des courtiers. Cette démarche s'inscrit dans le cadre de la réforme du courtage, qui s'applique depuis le 1er avril dernier. En mars dernier, la CNCGP annonçait avoir reçu l'agrément de l'ACPR.

La Chambre accueillera donc les courtiers vie, prévoyance ou en financement de biens immobiliers pour les Intermédiaires en opérations bancaires (IOB). Sa campagne de communication digitale s’adresse aussi bien aux courtiers immatriculés pour la première fois à l’ORIAS, qu'à ceux dont c’est déjà le métier et qui ont désormais l’obligation d’adhérer à une association avant janvier 2023.

Accompagner les courtiers

La campagne digitale inclut une landing page destinée à susciter l'intérêt des courtiers. Pour ceux qui désirent adhérer, un lien de redirection pointe vers le site web de la Chambre. Dans les semaines qui suivent, une campagne de communication digitale dédiée aux Intermédiaires en assurance et en opérations de banque et en services de paiement (IAS et IOBSP) sera lancée sur les réseaux sociaux.

La Chambre a mis en place une équipe qui accompagnera les courtiers en termes de process et de capacité sur la réglementation, la formation, etc. « Les courtiers sortiront ainsi renforcés par cette collaboration, ce qui sécurisera la relation client », explique Julien Séraqui, Président de la CNCGP.

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Pouvoir d’achat : les courtiers en assurance ont un rôle à jouer

Stéphane Fantuz
CNCEF Patrimoine
Depuis le 1er avril dernier, la Réforme du Courtage est entrée en vigueur. Comment les courtiers peuvent-ils s'appuyer sur cette loi afin de mieux accompagner leurs clients ? Comment le monde de l'assurance va-t-il évoluer ? L'éclairage de Stéphane Fantuz, Président de la CNCEF Assurance.
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