Changement climatique : Invesco publie son premier rapport

La Rédaction
Le Courrier Financier

Invesco — société de gestion d’actifs mondiale — publie ce lundi 27 juillet son rapport sur le changement climatique (en anglais), première évaluation complète des stratégies de gestion ESG de l’entreprise. Ce document est conforme au cadre de la Task force on climate disclosure (TFCD).

La TFCD est un groupe de travail mis en place fin 2015 par le Conseil de stabilité financière du G20, lors de la COP21. Il vise à mettre en avant la transparence financière liée aux risques climat afin de rendre les marchés plus efficaces, les économies plus stables et résistantes. Invesco anticipe que ce type de rapport devienne un standard de référence.

Feuille de route pour Invesco

Avec la publication de ce rapport, Invesco concrétise son engagement en matière d’action climatique. La société de gestion y évalue une partie importante de ses portefeuilles, en ce qui concerne leur impact en matière de volume d’émissions de gaz à effet de serre, de courbe de température, et d’analyse des scénarios climatiques.

« Ce rapport inaugural décrit notre approche de l'évaluation et de la gestion des risques climatiques dans l'ensemble de notre processus d'investissement et de nos activités commerciales (...) Ce premier rapport d'Invesco sur le changement climatique définit la période mars 2019-mars 2020 comme notre année de référence, et fixe nos ambitions pour l'avenir », déclare Martin L. Flanagan, président et directeur général d'Invesco.

« Les investisseurs font partie de la solution au changement climatique, par leur soutien et leur influence auprès des entreprises qui s'adaptent, opèrent leur transition et allouent des capitaux en vue d'assurer l'avenir de notre planète. En tant qu'entreprise, nous sommes passionnés et motivés par notre engagement à apporter un changement durable. C'est important pour nos clients », ajoute Cathrine De Coninck-Lopez, responsable mondiale des questions ESG chez Invesco.

ESG, une approche en trois étapes

Le premier rapport ESG est divisé en trois grandes sections :

  • l'approche d'Invesco en matière de gouvernance et de stratégie, y compris la manière dont les principes environnementaux, sociaux et gouvernance (ESG) sont intégrés dans l'ensemble de l'entreprise, l'engagement auprès des clients, l'approche de la défense des intérêts et les solutions d'investissement ;
  • une analyse de l'interaction entre le changement climatique et la gamme d'investissements en actions et en obligations d'Invesco dans le cadre de plusieurs scénarios d'émissions et d'augmentation de la température. Invesco fait partie des gestionnaires d'actifs à inclure une analyse quantitative des scénarios climatiques ;
  • une évaluation du changement climatique au niveau opérationnel, comprenant des mesures couvrant le risque opérationnel, d'investissement et réglementaire, et conclue par des objectifs spécifiques pour l'avenir.

Leadership et action collective

Dans le cadre de son engagement, Invesco s'est associé à des organisations qui se consacrent à la lutte contre le changement climatique. Invesco co-dirige une entreprise dans le cadre du programme Climate Action 100+ (CA100+) et soutient cinq autres engagements CA100. Objectif, impulser des changements significatifs et réels dans les comportements des entreprises.

Invesco est un partenaire de la Climate Bond Initiative, qui aide à développer un marché d'obligations vertes et climatiques, à travers des projets de sensibilisation et d'éducation — axés sur la croissance de marchés d'obligations vertes solides et durables, qui contribuent à l'action climatique et à l'investissement à faible intensité de carbone. Invesco Indexing propose désormais un indice obligataire Green Horizons, qui s'appuie sur cet ensemble de données.

En tant que gestionnaire d'investissement, Invesco conduit l'initiative de gestion d'actifs One Planet Asset Management Initiative. Objectif, faire progresser la compréhension des risques et des opportunités liés au climat dans les portefeuilles d'investissement à long terme, en partageant ses pratiques d'investissement avec les fonds souverains membres de One Planet et en publiant des recherches pertinentes. Grâce à ses engagements, Invesco a également rejoint l'IIGCC (Institutional Investor Group for Climate Change), et la CCRI (Coalition for Climate Resilient Infrastructures).

Importance des scénarios climatiques

La compréhension des implications du risque climatique, parallèlement à l'alignement actuel des investissements sur l'intensité des émissions et la courbe de température, est un élément essentiel de ce rapport. Le projet pilote d'analyse de scénario alimente la réflexion d'Invesco, qui cherche à élaborer une stratégie climatique plus complète pour l'avenir.

Ce travail aidera les équipes chargées des investissements et des risques à mettre au point des outils d'analyse climatique prospectives, dont Invesco espère qu'ils permettront d'intégrer les questions ESG, en particulier les préoccupations climatiques, dans tous les produits et solutions d'investissement d'ici à 2023.

« Notre exercice d'analyse de scénarios a fourni des preuves et des orientations claires pour aborder les risques et les opportunités liés au changement climatique pour nos clients et leurs investissements », déclare Maria Lombardo, responsable des stratégies climatiques ESG d'Invesco pour la région EMEA.

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Invesco nomme un nouveau responsable des actions européennes

La Rédaction
Le Courrier Financier

Invesco — gestionnaire d'actifs indépendant — annonce ce mardi 9 juin que Jeffrey Taylor quittera son poste de responsable des actions européennes à la fin de l'année pour prendre sa retraite après 23 années passées chez Invesco, dont presque 20 dans cette fonction. Il passera le relais à John Surplice, son co-gérant au sein du fonds d'actions européennes d'Invesco.

Focus sur le parcours de John Surplice

John Surplice travaillera aux côtés de Jeffrey Taylor jusqu'à fin 2020 en tant que co-gérant de l'équipe. Il assumera le rôle de responsable des actions européennes à partir du 1er janvier 2021. La stratégie et le processus d'investissement resteront inchangés pour l'ensemble du portefeuille. 

John Surplice travaille chez Invesco depuis 24 ans, en tant que membre principal de l'équipe actions européennes. Il a collaboré avec Jeffrey pendant la majeure partie de cette période. Il cogère plusieurs fonds, dont Invesco Pan European Equity Fund avec Martin Walker.

Focus sur le parcours de James Rutland

Compte tenu des responsabilités supplémentaires de John Surplice, Invesco annonce ce même jour la nomination de James Rutland au sein de l'équipe actions européennes. James a rejoint l'équipe en tant que gérant de fonds début juin 2020. Il co-gérera le fonds Invesco Pan European Focus Equity Fund aux côté de John Surplice.

James rejoint Invesco après plus de 5 ans chez Schroders, où il était un membre clé de l'équipe actions européennes et où il cogérait avec succès des portefeuilles européens depuis 2016 (Schroders ISF European Alpha Focus et Schroder ISF European Opportunities). Auparavant, il avait exercé dans le domaine de la vente et dans la banque d'investissement. Il apporte 12 ans d'expérience dans le secteur en tant qu'analyste et gérant de fonds. 

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Gestion obligataire : Invesco publie sa troisième étude mondiale

La Rédaction
Le Courrier Financier

Invesco — société mondiale de gestion d’actifs, basée à Atlanta — a publié le 18 mai dernier les résultats (en anglais) de sa troisième étude annuelle mondiale sur la gestion obligataire. L'étude a été menée auprès auprès de 159 CIO et détenteurs d'actifs obligataires en Amérique du Nord, dans la région EMEA et dans la région Asie-Pacifique (APAC).

Leurs encours combinés s'élèvent à 20 000 milliards de dollars au 31 décembre 2019. Les répondants exerçaient au sein de fonds de pension, de fonds souverains, de sociétés d’assurance, de banques privées, de sociétés de gestion de fonds diversifiés, de multi-gestionnaires et de concepteurs de modèles.

Dette émergente

L'étude constate une nouvelle année d'intérêt croissant pour la dette émergente (EMD). Un momentum solide, des rendements relativement attractifs et une diversification renforcée ont conduit les investisseurs à augmenter leur exposition au secteur. 72 % des investisseurs ont désormais une allocation en dette émergente contre 49 % dans l'étude de 2018, soit une augmentation de 47 %.

Cette augmentation a été menée par les investisseurs des régions EMEA et APAC : 80 % et 89 % d’entre eux ayant respectivement une allocation en EMD, contre seulement 51 % en Amérique du Nord. De plus, parmi les investisseurs ayant investi en EMD, l'allocation moyenne est beaucoup plus élevée en Asie-Pacifique (APAC) (7,2 %) et dans la région Europe, Moyen-Orient et Afrique (EMEA) (6,5 %) qu'en Amérique du Nord (3,6 %).

Compenser de faibles rendements

La spécialisation est aussi en hausse, notamment chez les investisseurs attirés par les rendements. Il privilégient des allocations ajustées à chaque pays (63 %). 42 % des investisseurs gérant une allocation EMD sont intéressés par la Chine, pour ses avantages en matière de diversification et de moindre obstacles à l'investissement : 62 % des investisseurs estiment que l'accès est moins difficile qu'il y a deux ans.

Les perspectives de rendements relativement élevés sur la dette émergente sont perçues comme particulièrement attrayantes par les assureurs. Les assureurs sont plus susceptibles d'investir sur les marchés obligataires émergents (71 % y sont exposés). C'est le rendement plutôt que la diversification qui les y attirent  (71 % se disent principalement motivés par le rendement, contre 59 % en moyenne).

Comment éviter les risques

Pour de nombreuses compagnies d'assurance devant faire face à des objectifs de rendements et un cadre réglementaire exigeant sur la solvabilité, la dette émergente en devises fortes s'est avérée un choix prisé. La faiblesse des rendements a poussé les assureurs à réviser leur spectre des risques acceptables pour faire face à leurs engagements futurs.

Autre défi, la règlementation Solvency II incite les assureurs à détenir des actifs plus liquides et moins risqués pour bénéficier de charges de capital moindres. Les deux tiers des assureurs s'inquiètent donc de leur capacité à générer les rendements prévus sans augmenter de façon significative le risque d'investissement. 37 % d'entre eux affirment rencontrer des difficultés à se conformer aux exigences réglementaires en fonds propres.

Pour les assureurs, les prêts bancaires et les prêts directs offrent une opportunité de générer des rendements supplémentaires à long terme grâce à une prime d'illiquidité, tout en exerçant un contrôle et en restant dans les limites de solvabilité. Pour les assureurs peu enclins à prendre des risques, la dette immobilière s'est avérée un moyen intéressant d'augmenter les rendements sans prendre trop de risques supplémentaires, grâce à la relative facilité de recouvrement.

L'ESG consolide sa présence

Les investisseurs obligataires ont fortement amplifié leur intégration des critères ESG : 80 % des investisseurs de la région EMEA et 69 % de ceux de la région APAC prennent ainsi en compte les facteurs ESG dans leurs portefeuilles obligataires, contre respectivement 51 % et 38 % en 2018.

Au sein de ces portefeuilles, les investisseurs de la zone EMEA ont la plus forte proportion d'investissements ESG, avec 34 % contre 22 % en Amérique du Nord et 19 % pour la région APAC. Les investisseurs nord-américains ont été les moins enthousiastes à l'égard des critères ESG, avec seulement 56 % d'entre eux les intégrant dans leurs portefeuilles.

Intégration ESG et rendements

L'époque où les investisseurs considéraient l'adoption des principes ESG comme un obstacle à la performance des investissements est révolue. Seuls 3 % des personnes interrogées dans le cadre de notre enquête sont encore de cet avis, alors que la moitié considèrent l'évaluation des risques ESG des émetteurs comme un outil important pour améliorer leurs rendements. 

Les émetteurs qui ne tiennent pas compte des préoccupations environnementales et de gouvernance risquent des coûts d'emprunt et de refinancement plus élevés. 54% des répondants pensent que l'analyse ESG peut libérer de la valeur cachée dans l’obligataire. 50 % des investisseurs soulignent l'amélioration du rendement comme un facteur clé en faveur de l'intégration de l'ESG dans leurs portefeuilles obligataires. Les investisseurs de la région EMEA sont les plus positifs.

52 % déclarent que l'intégration des critères ESG dans leurs portefeuilles obligataires contribue aux rendements. Seuls 2 % y voient un inconvénient. Les investisseurs de la région EMEA sont aussi les plus optimistes sur l'avenir des normes ESG, 34 % d'entre eux estimant que ces considérations auront une « influence beaucoup plus importante » dans trois ans. Seuls 15 % d’entre eux estimant que les questions ESG n’auront pas plus de poids dans trois ans qu'elles n’en ont actuellement, soit la proportion la plus faible.

Paradoxe de la liquidité

A la fin du dernier cycle haussier, les propriétaires d'actifs ont étendu leurs allocations aux catégories d'actifs non liquides. Pourtant, 51% d’entre eux ont exprimé des inquiétudes concernant la liquidité du marché obligataire, incertains de la façon dont les marchés obligataires se comporteraient pendant des périodes plus difficiles, par exemple l'introduction de réglementations telles que la loi Dodd-Frank ou le retrait des teneurs de marché traditionnels qui a suivi la crise financière mondiale.

Ces préoccupations sur la liquidité ont entrainé un intérêt accru pour les stratégies qui peuvent contribuer à améliorer la liquidité et à réduire le risque, telles que la négociation de blocs directement entre clients via les ETF (utilisés par 59 % des investisseurs), la négociation de portefeuilles de crédit (utilisée par 30 % d’entre eux) et une plus large adoption de stratégies à échéance fixe (56 %).

Turbulences de marchés

Les investisseurs obligataires faisaient preuve d’une aversion croissante pour le risque avant même la crise du Covid-19 qui s’est déclarée au premier trimestre 2020. Près de la moitié (43 %) des répondants pensaient au moment de l’enquête que la fin du cycle haussier adviendrait dans un an ou moins, le consensus étant en faveur d'un atterrissage en douceur. 23 % identifiaient alors une bulle sur le marché obligataire, tandis que 29 % seulement craignaient un effondrement majeur des prix des obligations.

Les politiques des banques centrales ont conduit à des rendements faibles voire négatifs, poussant certains investisseurs à prendre des risques supplémentaires pour soutenir les rendements et atteindre leurs objectifs. L’étude montre un marché en proie à la peur : la peur de perdre, mais aussi la peur de louper des opportunités. Malgré un certain regain d’appétit pour le risque en fin de cycle, la confluence des préoccupations concernant la fin du cycle et les craintes de guerre commerciale s’est traduite par des portefeuilles relativement bien protégés contre le choc pandémique actuel.  

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Descartes Finance signe un partenariat avec Invesco ETF

La Rédaction
Le Courrier Financier

Descartes Finance AG — société suisse de gestion d'actifs, basée à Zurich — annonce ce mercredi 20 novembre que ses clients suisses peuvent désormais bénéficier de l'expertise de long terme du gérant Invesco, qui revendique plus de 1 100 Mds$ d'encours sous gestion. Les stratégies d’investissement en ETF développées par Invesco sont désormais disponibles sur la plateforme digitale de Descartes Finance.

« Il ne s’agit pas seulement d’une offre entièrement digitale. Descartes Finance a développé avec Invesco une solution alliant nouvelles technologies et conseil personnalisé, qui donne accès à l’ensemble de la gamme Invesco ETF dans le cadre de portefeuilles gérés activement », précise Bernard Aybran, Directeur général d’Invesco en France.

Maîtriser les frais de gestion

Les portefeuilles s’appuient sur la recherche d’Invesco et affichent des frais compétitifs grâce au format ETF. L’équipe de multigestion dirigée depuis la France par Bernard Aybran aura la charge des portefeuilles recommandés. Les portefeuilles Invesco suivent une stratégie multi-actifs, qui intègre les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). Cela permet aux clients de Descartes Finance de bénéficier de solutions d’investissement professionnelles sur le long terme et avec un impact positif.

« Ce partenariat avec un investisseur de renommée mondiale répond à une importante demande », déclare Adriano B. Lucatelli, PDG et fondateur de Descartes Finance. « Les portefeuilles pilotés avec des ETF répondent aux défis actuels de maîtrise des frais de gestion et de conservation des marges nécessaire à la distribution », conclut Thibaud de Cherisey, Directeur du développement des ETF en Europe chez Invesco.

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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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Gestion obligataire : les investisseurs adoptent une approche plus active

La Rédaction
Le Courrier Financier

Invesco — gestionnaire d'actifs basé à Atlanta — publie ce lundi 18 mars sa 2e étude annuelle mondiale sur la gestion obligataire « Global Fixed Income Study » (en anglais), qui analyse en détail le comportement des investisseurs obligataires. L'étude a été réalisée auprès de 145 spécialistes obligataires et responsables de l’investissement en zone EMEA, en Amérique du Nord et en Asie-Pacifique, pour un total de 14 100 milliards de dollars d'encours sous gestion.

Les investisseurs s'attendent à une fin relativement proche du cycle économique, mais n’anticipent pas de correction significative des actifs obligataires. Ils prévoient plutôt un aplatissement prolongé de la courbe des taux. Dans leur quête de rendement, ils adoptent une approche plus active : stratégies alternatives, allocations aux marchés émergents et exposition à la Chine.

Prise en compte des risques géopolitiques

Les investisseurs s'intéressent davantage aux problématiques géopolitiques qui peuvent perturber les marchés. Près de la moitié d'entre eux (46 %) a ajusté ses allocations en portefeuille à cause des tensions commerciales.

Dans le détail, deux tiers (65 %) des investisseurs Wholesale ont été influencés par le Brexit et ont modifié leurs allocations aux actifs européens et britanniques. En revanche, seul un tiers (34 %) des investisseurs institutionnels a opté pour la même stratégie.

Les perspectives des investisseurs sur l'économie mondiale deviennent plus incertaines. Les investisseurs obligataires considèrent les niveaux élevés d’endettement à travers le monde comme l’élément déclencheur le plus probable de la prochaine récession.

Bientôt la fin d'un cycle économique

L’expansion économique actuelle — près de dix années — est l’une des plus longues jamais enregistrées, ce qui inquiète certains investisseurs. Ils commencent à douter de sa longévité et restent à l’affût de tout élément déclencheur susceptible d’y mettre un terme.

La moitié des investisseurs obligataires (49 %) estime que le cycle touchera à sa fin entre fin 2019 et fin 2020. En revanche, plus d'un quart (27 %) anticipe une fin de cycle plus proche, au cours des 6 à 12 prochains mois. Sur les perspectives à court terme, les investisseurs Whosale se montrent plus pessimistes que les investisseurs institutionnels, avec 65 % qui tablent sur une fin de cycle d’ici 2 ans.

Éléments déclencheurs potentiels de la prochaine récession

Les sondés s'inquiètent surtout des niveaux élevés de dette, en particulier celui de la dette publique. L’attention que suscite l’endettement n’est pas surprenante après les faibles niveaux historiques des taux d’intérêt sur une si longue période. Les sondés estiment que la hausse des taux d'intérêt impactera lourdement les charges d'intérêt et les taux de défaut.

Parmi les autres sources de perturbation possibles, 15 % des investisseurs pensent que le risque principal proviendrait d'une crise au sein des marchés émergents. Pour 13 % d’entre eux, il s'agirait d'une bulle de la dette en Chine.

Impact sur le marché obligataire

La fin du cycle économique suscite une nervosité grandissante. Certaines inquiétudes portent sur la probabilité d’un revirement significatif des marchés, même si ce mouvement devrait concerner davantage les actions que les obligations.

Néanmoins, 60 % des investisseurs estiment avec une certitude élevée que les spreads de crédit s'élargiront au cours des 3 prochaines années. Près d'un sur deux (45 %) pensent que la courbe des rendements restera plate pour encore un long moment.

En comparaison, les investisseurs obligataires se montrent peu inquiets quant au risque de hausse de l’inflation (34 %). Seul un quart (27 %) anticipen une inversion de la courbe dans les prochaines années.

Les investisseurs remodèlent activement leurs portefeuilles

« Les investisseurs obligataires du monde entier s'intéressent à un grand nombre de stratégies : certaines sont axées sur le rendement, d'autres cherchent la sécurité d'une duration courte ou du cash en cas de pics de volatilité, quand d'autres encore veulent profiter de la flexibilité des instruments à taux variable », conclut Nick Tolchard, responsable de la gestion obligataire dans la région EMEA.

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Invesco confirme son intention de passer à une seule marque mondiale

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le passage à une marque unifiée ne représente pas un changement de philosophie ou de processus d'investissement, mais signifie que les marques filiales disparaîtront progressivement après une transition réfléchie. Les marques concernées sont PowerShares, Perpetual et Trimark.

Rien ne change aujourd’hui : chaque marque filiale gérera cette transition au rythme correspondant à ses activités, mais l'objectif est d'achever la majeure partie de cette transition en 2018.

Dan Draper,  responsable de l’activité ETF d’Invesco au niveau mondial, déclare : « Avec l'acquisition de Source et le projet d'acquisition des activités ETF de Guggenheim Investments, Invesco a démontré son engagement à élargir sa gamme très diversifiée d'ETF. Nous nous concentrons sur l’apport de solutions pertinentes pour aider nos clients à atteindre leurs objectifs d'investissement, et allons donc nous intégrer à la marque Invesco, qui englobe notre gamme complète de solutions en gestion active, passive et alternative. Ce que nous n'abandonnerons pas, c'est notre héritage et notre réputation de pionnier et d’innovateur en matière de gestion factorielle et de smart beta, où nous avons fait preuve de leadership et restons déterminés à renforcer notre position en fournissant des solutions innovantes qui répondent aux besoins de nos clients. »

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Invesco finalise le rachat de Source

La Rédaction
Le Courrier Financier

Cette acquisition permet l’ajout de talents et d’un éventail étendu d’ETF (Exchange-Traded Funds)/ETC (Exchange-Traded Commodities) élargissant ainsi les capacités et expertises d’Invesco en gestion active, gestion passive et solutions alternatives. Elle permet d’accroître les moyens du groupe en vue d’accompagner les clients dans l’atteinte de leurs objectifs d’investissement.

Grâce à cette acquisition, Invesco renforce sa capacité à répondre aux besoins des clients institutionnels et retail dans la région EMEA avec l’arrivée de spécialistes supplémentaires en matière d’ETF couvrant les fonctions commerciales, marketing, de développement de produits et d’intermédiation (capital markets). Cette opération permet ainsi d’étendre la position d’Invesco sur la région EMEA en bénéficiant de moyens supplémentaires sur le marché mondial des ETF qui est en croissance au niveau mondial.

« Nous sommes ravis que Mike Paul, précédemment Executive Chairman pour Source, assume de nouvelles responsabilités au sein d’Invesco à la tête des activités ETF dans la région EMEA. » indique Andrew Schlossberg, Senior Managing Director et Head of EMEA d’Invesco. « L’arrivée de Mike Paul et des nombreux talents de Source renforce la position de premier plan de Powershares et crée une entité dédiée aux ETF hautement performante sur le marché Européen. »

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Invesco acquiert le fournisseur d’ETF Source

La Rédaction
Le Courrier Financier
Cette acquisition permet d’ajouter des talents et un éventail étendu de fonds élargissant ainsi les capacités et expertises d’Invesco en gestion active, gestion passive et solutions alternatives. Elle permet d’accroître les moyens du groupe en vue d’accompagner les clients afin qu’ils puissent atteindre leurs objectifs d’investissement. Cohérente avec les priorités stratégiques d‘Invesco au niveau mondial et dans la région EMEA, cette acquisition apportera des avantages significatifs grâce à :
  •  Un élargissement des capacités globales en matière d’investissement factoriel qui s’ajouteront à la vaste gamme de solutions d’investissement offerte par Invesco dans la région EMEA et à travers le monde.
  • Un renforcement de la capacité et de l’expertise d’Invesco afin de répondre aux besoins des clients institutionnels et retail en Europe grâce à l’arrivée des spécialistes supplémentaires en matière d’ETF couvrant les fonctions commerciales, marketing, de développement de produits et d’intermédiation (capital markets).
  • Un renfort de la position d’Invesco sur la région EMEA tout en se donnant des moyens supplémentaires sur le marché mondial des ETF qui est en croissance.
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La SCPI Pierre Expansion Santé cède un actif parisien

La Rédaction
Le Courrier Financier

Au terme d’une consultation restreinte, PIERRE EXPANSION SANTÉ a cédé un hôtel particulier d’environ 1 000 m² et ses dépendances, anciennement à usage de maison de retraite, au groupe DELTA IM, dans le cadre d’un projet de réaménagement en établissement d'enseignement.

Cette cession permet à la SCPI de dégager une plus-value conséquente sur un actif détenu depuis 1996, et à l’acquéreur d’associer un bâtiment historique à un programme neuf en cours de construction sur une parcelle contiguë.

Le site est intégralement pré-loué à un prestigieux établissement d’enseignement italien dans le cadre d’un bail de longue durée.

La SCPI PIERRE EXPANSION SANTÉ était conseillée par les sociétés Flabeau et BNP Paribas Real Estate, ainsi que par l’Etude Michelez Notaires.

L’acquéreur était conseillé par l’étude Monceau Notaires.

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L’ANACOFI Finance d’Entreprise innove avec son Observatoire des Signaux Faibles

La Rédaction
Le Courrier Financier

La section s’est renforcée par la mise en place d’une Commission Finance d’Entreprise pilotée par Jean-Louis PICOLLO qui s’appuie sur le soutien du Président Confédéral David CHARLET.

Composé d’une dizaine de professionnels reconnus, qui rencontrent au total près de 500 chefs d’entreprise par an, elle se réuni tous les 4 mois et elle apporte aux adhérents une réflexion et une visibilité sur leurs métiers, sur les bonnes pratiques, sur les formations, et initie des contacts qui viennent ainsi enrichir notre écosystème.

Pour 2024, la section Finance d’Entreprise innove avec son OBSERVATOIRE des SIGNAUX FAIBLES.
Loin des prévisions aléatoires et des statistiques utopiques, cet OBSERVATOIRE basé sur nos remontées du terrain, a pour objectif de donner une information rapide et synthétique à nos adhérents et aux clients de nos adhérents sur des indices naissants pouvant influencer les prises de décisions des prochains mois.

Les membres de la Commission Finance d’Entreprise :

  • Fabienne GRETEAU- COFINGEST
  • Sébastien ROUZAIRE – KERIUS FINANCE
  • Ludovic SARDA – PYTHAS CAPITAL
  • Guy COHEN – INGÉNIERIE SOCIALE
  • Florent GUIGUE – EMERGEANCES
  • Nathalie DESSEAUX et Franck MAGNE – EAVEST
  • Julien DRAY – UNCONFLICTED MANAGEMENT
  • Edouard SEGUIN – PIMENT & Co
  • Jean-Louis PICOLLO – RESOLVYS
    Invités : David GANDAR et Nébojsa SRECKOVIC.
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Les investisseurs devraient se préparer à une nouvelle phase de volatilité

John Greenwood
Invesco Ltd
Les divergences persistantes de politiques monétaires entre les États-Unis et le Royaume-Uni d'une part, et entre la zone euro et le Japon d'autre part, vont probablement impliquer un maintien de la volatilité sur les marchés des devises, les marchés obligataires et actions, estime l'économiste en chef d'Invesco John Greenwood dans ses perspectives économiques pour le 2ème trimestre 2016.
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