Investissement en actifs privés : Schroders réunit ses expertises sous la marque Schroders Capital

La Rédaction
Le Courrier Financier

Schroders — société de gestion internationale — annonce ce lundi 7 juin avoir réuni l’ensemble de ses expertises d’investissement en actifs privés au sein d’une nouvelle marque, Schroders Capital. Le développement des expertises de Schroders en matière d'actifs privés demeure un axe stratégique pour le Groupe. Jusqu'à présent, cela signifiait croissance organique et acquisitions ciblées de sociétés spécialisées.

Evolution du groupe

Schroders Capital englobera la gamme existante de stratégies de capital-investissement, titrisation et financement adossé à des actifs, dette privée, immobilier, infrastructures, obligations liées aux risques d’assurance (ILS) et de fonds à impact gérés par BlueOrchard. Compte tenu de son rôle majeur dans le secteur de l’investissement à impact ces 20 dernières années, BlueOrchard conservera son identité de marque indépendante.

Schroders Capital affiche un encours sous gestion de 53,6 milliards d’euros. La société propose des opportunités d’investissement, avec des équipes qui disposent d’un long historique de performances robustes. Chaque classe d’actifs au sein de Schroders Capital continuera d’être gérée de manière très autonome, mais bénéficiera désormais d’un partage accru des connaissances et une plus grande collaboration avec les autres classes d’actifs, au sein de la nouvelle marque et de l’ensemble du Groupe.

Stratégie de croissance

« Schroders poursuit sa stratégie de croissance au travers du lancement de Schroders Capital, une nouvelle marque permettant de réunir toutes nos expertises de gestion en actifs privés. Schroders Capital continuera d’offrir à nos clients une approche locale de l’investissement à travers une gamme diversifiée d’actifs privés, tout en permettant de le faire au travers d’une vision globale adossée à la longue expérience et à la solidité du Groupe », déclare Peter Harrison, Directeur Général de Schroders.

« Cette unification favorisera le partage de connaissances et l’innovation au sein des équipes de gestion d’actifs privés chez Schroders, tout en mettant en valeur auprès de nos investisseurs la variété de notre gamme de stratégies d’investissement. Le lancement de Schroders Capital permettra d’augmenter la visibilité et de renforcer le positionnement de notre offre en actifs privés, tout en réaffirmant nos ambitions en tant qu’acteur de premier plan sur ces marchés », explique Georg Wunderlin, Global Head of Schroders Capital.

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Dette d’infrastructure : une sécurité dans un environnement de taux zéro

Jérôme Neyroud
Schroders
La dette d'infrastructure résiste relativement bien à un environnement de taux zéro. Quelles sont les caractéristiques de ce sous-jacent ? Quelles opportunités offre-elle aux investisseurs ? Le point avec Jérôme Neyroud, responsable de la dette d’infrastructures chez Schroders.
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ESG : les derniers seront les premiers

Thomas Planell
DNCA
Les investisseurs manifestent un intérêt pour la transition énergétique. Sur les marchés, la valorisation des vedettes de la cote ESG marque un repli. Certaines matières premières comme le cuivre — indispensable pour les circuits électriques — opèrent un retour en grâce. Le marché des énergies vertes est-il en train de trouver son équilibre ?
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SCPI Fair Invest : Norma Capital acquiert un centre médical dans le Ve arrondissement de Paris

La Rédaction
Le Courrier Financier

Norma Capital — société de gestion de portefeuille — annonce ce jeudi 11 mars l’acquisition d’un centre médical de 230 m² (occupé par la société Medident) pour le compte de la SCPI Fair Invest. Cet actif immobilier de santé se situe dans le Ve  arrondissement de Paris, près de la place Monge. Il bénéficie donc d’un emplacement stratégique, dans le plus ancien quartier de la capitale.

Infrastructures de santé

La crise sanitaire de la Covid-19 a mis en évidence l’intérêt, pour les Sociétés de Gestion, de se constituer un patrimoine immobilier diversifié comprenant des locaux du secteur de la santé. « La consolidation du patrimoine de la SCPI Fair Invest, avec des actifs immobiliers de santé, est une stratégie d’investissement créatrice de valeur sur le long terme », indique Faïz Hebbadj, Président de Norma Capital.

« En outre, en permettant l’amélioration et la fluidification du parcours de santé des habitants, cette orientation répond à notre démarche d’investissement vertueux, en cohérence avec la labellisation ISR (Investissement Socialement Responsable) Immobilier de notre SCPI », conclut-il.

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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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Infragreen IV : le 3e closing du fonds porte sa taille à 480 millions d’euros

La Rédaction
Le Courrier Financier

RGreen Invest — société de gestion française, spécialiste du financement des projets d'infrastructures liés à la transition énergétique — annonce ce jeudi 29 octobre le 3e closing de sa stratégie Infragreen IV. Le montant total du fonds est porté à 480 millions d'euros. Ce véhicule est donc sur le point d'atteindre son objectif de taille de 500 millions d'euros.

Transition énergétique

RGreen Invest va lever des fonds jusqu'à la fin de la période de souscription (mars 2021) afin d'atteindre le montant maximal réglementaire (hard cap) de 650 millions d'euros. Objectif, financer des projets d'infrastructures qui réduisent les émissions de CO2. Infragreen IV a déjà investi plus de 150 millions d'euros dans des projets européens — notamment français.

Infragreen IV — lancé en décembre 2019 — investit en fonds propres et quasi-fonds propres dans des projets d'infrastructure liés à la transition énergétique et climatique. Ces projets greenfield et brownfield sont localisés essentiellement dans l'Espace Economique Européen. Le fonds Infragreen IV est labellisé « Greenfin Label France Finance Verte ».

Soutien financier de la BEI

La Banque européenne d'investissement (BEI) — institution financière des États membres de l'Union européenne (UE) — a investi 75 millions d'euros dans Infragreen IV. La BEI soutient la transition vers une économie sobre en carbone, respectueuse de l'environnement et capable de résister aux changements climatiques. Elle est aujourd'hui le premier bailleur multilatéral au monde en matière de transition énergétique.

« En tant que banque européenne du climat, Nous sommes très fiers de soutenir RGreen Invest dont l'ambition en matière climatique rejoint celle de la BEI. » a déclaré Ambroise Fayolle, Vice-Président de la BEI. « Le soutien renouvelé de la Banque Européenne d'Investissement est, en cette période d'incertitude, un gage de confiance particulièrement précieux », commente Nicolas Rochon, Président-fondateur de RGreen Invest.

Attirer les investisseurs

«  Les investisseurs privés — qui continuent de croire en la transition énergétique et l'adaptation au changement climatique — ont besoin de voir que les institutions publiques respectent leurs engagements à faire de la transition écologique et climatique une priorité », commente Nicolas Rochon, Président-fondateur de RGreen Invest.

« Notre objectif est d'attirer de nombreux investisseurs au niveau européen pour développer des projets d'infrastructures innovants et durables (...) Nous soutenons les futurs champions de la transition énergétique », précise Ambroise Fayolle. La BEI avait déjà investi 50 millions d'euros lors du lancement du fonds Infragreen III — clôturé en décembre 2018 au-dessus de ses objectifs, pour un montant de 307 millions d'euros.

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Philippe Benaroya – Generali Global Infrastructure : une assurance vie pour « redonner du sens à l’épargne »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Depuis 2018, Generali Global Infrastructure développe sa gestion d'actifs auprès des institutionnels. En 2020, la société de gestion a mis en place un fonds pour Generali France, que ce dernier ouvre aux particuliers. Quels avantages la classe d'actifs « infrastructures » leur offre-elle ? Comment l'intégrer dans son portefeuille ?
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Fonds d’infrastructures : 15,6 milliards d’euros levés en 2019, d’après une étude AFG – France Invest

La Rédaction
Le Courrier Financier

L’AFG (Association Française de la Gestion financière) et France Invest (Association des Investisseurs pour la Croissance) publient ce mercredi 11 mars les résultats 2019 de l’étude « Activité des fonds d’infrastructure gérés en France ». Cette 3e édition commune a été réalisée auprès de 25 structures — membres des deux associations — qui gèrent des fonds d’infrastructure en fonds propres (capital) ou en dette présents dans l'Hexagone. Cet échantillon représente 93 % des membres actifs mais également 99,7 % des montants gérés sur ce segment de marché.

La France s'affirme en Europe

« En 2019, les montants levés par les fonds d’infrastructure établis en France progressent à 15,6 Mds€ dont plus des deux tiers auprès d’investisseurs étrangers. Près de 270 opérations ont été réalisées, soit une progression de 55 % par rapport à l’année dernière. Ces chiffres démontrent le dynamisme et l’attractivité de la classe d’actifs, qui bénéficie de l’expertise historique de l’écosystème de la Place de Paris dans le financement et la réalisation des infrastructures », souligne Alain Rauscher, président du Club Infrastructure de France Invest.

« Avec 70 Mds€ d’actifs sous gestion — en progression de 25 % par rapport à l’année précédente — l’industrie de la gestion d’actifs française confirme sa position de leader européen dans l’investissement en infrastructures. L’intégration d’une démarche ESG par la quasi-totalité des acteurs, et la part en forte croissante des investissements dans les énergies renouvelables, témoignent du rôle moteur que jouent les gérants de fonds d’infrastructure français dans la promotion de l’investissement responsable et la transition énergétique. Le financement des infrastructures digitales est également en forte croissance », ajoute René Kassis, président de la Commission Fonds d’Infrastructures de l’AFG.

Activité en capital

  • Levées : 9,9 Mds€ ont été levés par 11 sociétés de gestion, dont 6 ont levé plus de 500 M€. Si les compagnies d’assurance et les mutuelles ainsi que les caisses de retraite et les fonds de pension demeurent les principaux souscripteurs, l'étude note une forte progression des fonds souverains (x2,4 vs. 2018). La part des capitaux venant d’investisseurs étrangers reste élevée, à 69 % de la collecte contre 68 % en 2018 ;
  • Investissements : Ils marquent une forte progression à 7,2 Mds€ des montants investis dans 161 entreprises, contre 3,9 Mds€ en 2018. Ce résultat confirme que ce marché est porté par des opérations de grande taille. Plus des trois quarts (77 %) ont été investis dans l’énergie (conventionnelle et renouvelable) et dans les transports. En dehors de la France, l’Europe représente plus de moitié (54 %) des investissements et plus du tiers (36 %) des opérations.

Activité en dette

  • Levées : 5,7 Mds€ ont été levés en 2019, soit une forte progression par rapport au 2,5 Mds€ levés en 2018. Les compagnies d’assurance et les mutuelles restent les principaux souscripteurs avec 89 % de la collecte. Les levées auprès des souscripteurs français restent majoritaires (54 %). Celles auprès de investisseurs étrangers
    sont également en forte hausse (x2,6 par rapport à 2018) ;
  • Investissements : 3,7 Mds€ ont été investis dans 106 actifs en 2019. Plus des trois quarts ont été investis dans l’énergie (conventionnelle et renouvelable) et dans les transports. Ceci montrer une forte progression des investissements en France (x3.0 en montants par rapport à 2018). Au global, l’activité reste majoritairement orientée vers l’Europe.

Capitaux sous gestion et encours

D'après l'étude, 71 Mds€ de capitaux sont sous gestion auprès des fonds d’infrastructure gérés en France à fin 2019. Sur cette somme, 45 Mds€ ont déjà été déployés dont 28 Mds€ en capital et 17 Mds€ en financement en dette. Le secteur dispose donc de 26 Mds€ de dry powder qui sera investi dans les prochaines années. Les fonds d’infrastructure sont investis dans 572 entreprises en capital et interviennent en dette dans 364 actifs.

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La dette d’infrastructures fait l’objet d’un nouveau fonds chez Aviva Investors

La Rédaction
Le Courrier Financier

Florent Del Picchia, à Paris, et Sarah Wall, à Londres, tiendront les renes du fonds dédié à la dette d’infrastructures senior libellée en euro. Le fonds pourra investir dans l'énergie (production et renouvelables), les services aux collectivités, les transports ou encore les infrastructures sociales, avec un objectif de performance brute situé entre 180 à 200 points de base au-dessus du taux Euribor ou du mid-swap.

La dette d'infrastructures : une classe d'actifs attrayante

Le fonds a déjà clôturé sa première levée de fonds, grâce à l'accompagnement de cinq compagnies d’assurance européennes, et confirme ainsi l'intérêt croissant des investisseurs pour cette classe d'actifs. .

« Aviva Investors possède une longue expérience en matière d’origination des actifs et un historique de performance significatif sur le segment de la dette d’infrastructures. Le succès de cette première levée de fonds est révélateur de la forte demande des investisseurs institutionnels pour les actifs capables de générer des revenus stables à long terme assortis d’un faible niveau de volatilité », commente Antoine Maspétiol, Responsable de l’activité Dette Privée chez Aviva Investors France.

La dette d’infrastructures est l’une des composantes essentielles de la plateforme d’Aviva Investors, premier gestionnaire du Royaume-Uni et dixième européen en termes de gestion d'actifs d’infrastructures pan-européennes, en 2017. Désormais pleinement déployé, le premiers fonds de dette d’infrastructure d’Aviva Investors a été clôturé avec 450 millions d’euros d’engagements.

Avec près de 42 milliards d’euros en actifs réels, Darryl Murphy, Responsable de la dette d’infrastructures, dirige, entre Londres, paris et Toronto, une équipe de 26 professionnels, qui gère plus de 6 milliards d’euros d’actifs à l’échelle mondiale.

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La SCPI Pierre Expansion Santé cède un actif parisien

La Rédaction
Le Courrier Financier

Au terme d’une consultation restreinte, PIERRE EXPANSION SANTÉ a cédé un hôtel particulier d’environ 1 000 m² et ses dépendances, anciennement à usage de maison de retraite, au groupe DELTA IM, dans le cadre d’un projet de réaménagement en établissement d'enseignement.

Cette cession permet à la SCPI de dégager une plus-value conséquente sur un actif détenu depuis 1996, et à l’acquéreur d’associer un bâtiment historique à un programme neuf en cours de construction sur une parcelle contiguë.

Le site est intégralement pré-loué à un prestigieux établissement d’enseignement italien dans le cadre d’un bail de longue durée.

La SCPI PIERRE EXPANSION SANTÉ était conseillée par les sociétés Flabeau et BNP Paribas Real Estate, ainsi que par l’Etude Michelez Notaires.

L’acquéreur était conseillé par l’étude Monceau Notaires.

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L’ANACOFI Finance d’Entreprise innove avec son Observatoire des Signaux Faibles

La Rédaction
Le Courrier Financier

La section s’est renforcée par la mise en place d’une Commission Finance d’Entreprise pilotée par Jean-Louis PICOLLO qui s’appuie sur le soutien du Président Confédéral David CHARLET.

Composé d’une dizaine de professionnels reconnus, qui rencontrent au total près de 500 chefs d’entreprise par an, elle se réuni tous les 4 mois et elle apporte aux adhérents une réflexion et une visibilité sur leurs métiers, sur les bonnes pratiques, sur les formations, et initie des contacts qui viennent ainsi enrichir notre écosystème.

Pour 2024, la section Finance d’Entreprise innove avec son OBSERVATOIRE des SIGNAUX FAIBLES.
Loin des prévisions aléatoires et des statistiques utopiques, cet OBSERVATOIRE basé sur nos remontées du terrain, a pour objectif de donner une information rapide et synthétique à nos adhérents et aux clients de nos adhérents sur des indices naissants pouvant influencer les prises de décisions des prochains mois.

Les membres de la Commission Finance d’Entreprise :

  • Fabienne GRETEAU- COFINGEST
  • Sébastien ROUZAIRE – KERIUS FINANCE
  • Ludovic SARDA – PYTHAS CAPITAL
  • Guy COHEN – INGÉNIERIE SOCIALE
  • Florent GUIGUE – EMERGEANCES
  • Nathalie DESSEAUX et Franck MAGNE – EAVEST
  • Julien DRAY – UNCONFLICTED MANAGEMENT
  • Edouard SEGUIN – PIMENT & Co
  • Jean-Louis PICOLLO – RESOLVYS
    Invités : David GANDAR et Nébojsa SRECKOVIC.
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Donald Trump et droits de douane : un impact positif sur les infrastructures

La Rédaction
Le Courrier Financier
Durant la campagne présidentielle américaine de 2016, Donald Trump répétait à l’envi qu’il était nécessaire pour les États-Unis de renégocier les traités commerciaux comme l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) et plusieurs accords bilatéraux, dans le but de favoriser l’emploi et les entreprises domestiques.
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Pays les plus attractifs pour les investisseurs en infrastructures : la France loin du podium !

La Rédaction
Le Courrier Financier
Entre les critères économiques (PIB, croissance, consommation des ménages, taille du marché), politiques (stabilité, inflation) ou encore financiers (imposition, taux de crédit, assurances), les indicateurs d'attractivité d'un pays sont nombreux et exigeants. Si nos voisins allemands et anglais progressent, la France fait les frais du manque de continuité politique. 
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