Gestion active obligataire : profiter durablement des opportunités

Guillaume Truttmann
Meeschaert AM
La crise sanitaire a profondément modifié les anticipations de début d’année sur les marchés financiers. Elle fut si soudaine et brutale qu’elle n’a fait, dans un premier temps, que très peu de distinction en termes de performances, affectant l’ensemble des classes d’actifs et des secteurs d’activité.
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Coronavirus : comment s’en sortent les hedge funds sur les marchés émergents ?

L'équipe Lyxor Cross Asset Research
Lyxor
La crise sanitaire partie de Chine a pris une ampleur mondiale. Les actifs émergents connaissent désormais des rendements comparables à ceux des pays développés, mais avec de nombreuses disparités. Quels seront les impacts de la pandémie de coronavirus sur les marchés émergents ? Comment les hedge funds investis sur ce segment peuvent-ils adapter leurs stratégies ? Les équipes Lyxor Cross Asset Research partagent leur analyse hebdomadaire.
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Partenariat : Jupiter prend une participation minoritaire dans NZS Capital

La Rédaction
Le Courrier Financier

Jupiter Asset Management (AM) — société de gestion indépendante, cotée au Royaume-Uni — annonce ce mercredi 4 décembre sa prise de participation minoritaire dans la société d'investissement américaine NZS Capital, avec laquelle elle a conclu un partenariat stratégique à compter du premier trimestre 2020.

Focus sur NZS Capital

NZS Capital a été fondé par Brad Slingerlend et Brinton Johns, deux gérants de fonds qui ont travaillé ensemble chez Janus Capital durant 14 ans avant de se lancer à leur compte. Tous deux comptent de nombreuses années d'expérience dans la gestion de portefeuilles d'actions mondiales pour le compte d’investisseurs institutionnels et retail.

L’approche de NZS est plus complète qu’une simple stratégie ESG. Elle tient compte d’une définition plus vaste du concept d'obligation fiduciaire, qui génère une somme non nulle ou des résultats profitables à tous. C'est le cas pour les actionnaires, mais également pour toutes les parties prises en considération : les clients, les employés, la planète et la société.

Cibler les institutionnels

Jupiter AM interviendra comme distributeur exclusif pour les portefeuilles d’investissement mondiaux de NZS de style sans contrainte et à croissance. Ce partenariat consistera notamment à lancer les fonds communs de placement basés sur ces stratégies sous la marque Jupiter. La priorité sera de cibler les investisseurs institutionnels, notamment aux États-Unis, où Jupiter déploiera pour la première fois des ressources commerciales dédiées.

Le style de gestion de Brad Slingerlend et Brinton Johns repose sur l’idée du « Complexity Investing », qui consiste en grande partie à sélectionner de manière active les modèles d'entreprises capables de sortir gagnants dans le cas de forces de rupture qui viendraient perturber sur le long terme l’économie mondiale. Pour faire face aux changements de plus en plus fréquents, les portefeuilles de l’équipe ont été conçus de sorte à exploiter la croissance des innovations et à éviter les risques de rupture.

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Marchés financiers : des publications rassurantes

Igor de Maack
Vitalépargne Paris
Les marchés financiers poursuivent leur « fameux retour à la moyenne ». En quête de sécurité, les investisseurs se réfugient dans les options de gestion passive. Dans ce contexte, où faut-il chercher la performance ? Igor de Maack, Gérant et porte parole de la Gestion chez DNCA Finance, partage son analyse.
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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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Investissement : les sélectionneurs de fonds plébiscitent la gestion active pour atteindre leurs objectifs de rendement

La Rédaction
Le Courrier Financier

Natixis Investment Managers dévoile ce mardi 30 avril son enquête mondiale 2019 « Ready. Steady. And waiting. » (en anglais) menée auprès de 200 sélectionneurs de fonds pour des banques privées, des compagnies d'assurance, des fonds de fonds et d'autres plateformes de détail. Plus de huit sondés sur dix (82 %) estiment que leurs anticipations de rendement pour 2019 sont réalistes, malgré une incertitude géopolitique et économique persistante et un environnement de faibles rendements. Ils réduisent toutefois leurs projections de rendement à long terme à 7,7 % contre une moyenne de 8,4 % en 2018.

La gestion active pour atteindre les objectifs de rendement

Les sélectionneurs de fonds se préoccupent de la hausse des taux d'intérêt et de la volatilité accrue des marchés. Ils s'inquiètent également des pressions exercées sur le rendement par des facteurs tels que l'assouplissement quantitatif des banques centrales, les perturbations géopolitiques et les guerres commerciales. Trois personnes interrogées sur quatre trouvent l'alpha de plus en plus difficile à générer à mesure que les marchés deviennent plus efficients. Ils se disent aussi prêts à payer des frais plus élevés pour atteindre une performance supérieure et optent pour la gestion active. D'après eux, l'environnement de marché en 2019 devrait rester favorable à une gestion active des portefeuilles.

« Les sélectionneurs de fonds professionnels sont de plus en plus convaincus que par le potentiel de génération d’alpha de la gestion active génère à long terme. Pour 63 % d’entre eux, les portefeuilles actifs génèreront des rendements supérieurs à ceux des portefeuilles passifs sur le long terme. Ils déclarent d’ailleurs que 72 % de leurs portefeuilles sont gérés activement, un chiffre qu’ils anticipent rester constant au cours des trois prochaines années. Même au sein de leurs avoirs passifs, plus de la moitié (55 %) allouent davantage en Smart Beta qu'il y a trois ans, ce qui confirme que les sélectionneurs de fonds professionnels diversifient leurs positions passives traditionnelles », analyse Matthew Shafer, Directeur de la Distribution Wholesale Internationale chez Natixis Investment Managers.

Les sélectionneurs de fonds n'ont pas l'intention de drastiquement modifier la répartition de leurs placements en 2019. Les actions et les titres à revenu fixe demeurent de loin les catégories d'actifs les plus populaires. Les sélectionneurs de fonds ont l'intention de légèrement réduire leur allocation globale en actions, qui passera de 44 % en 2018 à 43 % cette année. Ils prévoient également d'augmenter les pondérations dans les placements alternatifs (+19 % dans les infrastructures ; +15 % dans la dette privée ; +17 % dans l'immobilier) avec 70 % de l'ensemble des allocations alternatives sous forme d'actifs liquides. L’alternatif serait un outil précieux pour atteindre les objectifs de rendement, gérer le risque et diversifier les placements.

Vers un renforcement de l'intégration des critères ESG

Les deux tiers (67 %) des sélectionneurs de fonds interrogés pensent que la prise en compte des facteurs ESG sera une pratique courante pour tous les gestionnaires de fonds d'ici cinq ans. La moitié d'entre eux (49 %) estiment que la prise en compte des facteurs ESG dans leur processus de sélection est importante. Les deux tiers disent qu'ils augmenteront leur allocation aux stratégies ESG en 2019. Plus de la moitié (57 %) affirment qu'il est possible de générer de l'alpha grâce aux placements ESG. Les sélectionneurs de fonds intègrent de plus en plus ce critère dans la prise de décision et l'analyse des investissements.

Cependant, ils s'inquiètent du conflit entre les objectifs de rendement à court terme et les objectifs de durabilité à long terme, du manque de « track-record » en matière de rendement et du risque de « greenwashing ». « La mise en place d’une taxonomie claire et de labels dans l'ensemble de l'industrie, ainsi qu’une plus grande transparence au niveau des reportings sont essentiels pour préserver l’intégrité des produits de placement ESG. En tant que gérant actif, nous sommes convaincus que l’exercice des droits de vote et l’engagement auprès des directions en faveur des facteurs ESG, font partie intégrante de l'investissement actif et sont source de performance à long terme », explique Matthew Shafer.

Actions américaines en baisse, marchés émergents en hausse

Un peu moins de la moitié (44 %) des sélectionneurs de fonds ont l'intention de réduire leur allocation aux actions américaines. Plus d'un tiers d'entre eux (39 %) prévoient d’accroître leur exposition aux marchés émergents en 2019. Les sélectionneurs de fonds s'attendent à ce que les secteurs de la finance, de la santé et des technologies de l'information surperforment, contrairement au secteur des matières premières. L'allocation en titres à revenu fixe reste inchangée d'une année sur l'autre. L'exception la plus notable est la baisse de l'enthousiasme pour les titres de créance à rendement élevé, en raison des inquiétudes suscitées par la hausse des taux d'intérêt et de la capacité des émetteurs à respecter leurs obligations.

La hausse des taux d'intérêt, la volatilité et les bulles de marché sont les principaux facteurs de risque identifiés. Plus de la moitié (58 %) des sélectionneurs de fonds interrogés identifient la hausse des taux d'intérêt comme l'un des principaux risques du portefeuille en 2019. Près de huit sur dix (78 %) s'attendent à une augmentation au cours de l'année. La volatilité accrue sur les marchés actions en 2019 reste une préoccupation majeure pour 84 % des sondés. Près des deux tiers (60 %) des sélectionneurs de fonds estiment que la réglementation mise en place après la crise financière protège peu les risques actuels et futurs du marché.

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Marchés actions : pas si mal que prévu ?

Yves Ceelen
Degroof Petercam Asset Management
Sur les marchés financiers, la gestion active joue un rôle-clé dans l’environnement actuel. Yves Ceelen, directeur de la gestion institutionnelle, partage sa vision des marchés actions.
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Gestion obligataire : les investisseurs adoptent une approche plus active

La Rédaction
Le Courrier Financier

Invesco — gestionnaire d'actifs basé à Atlanta — publie ce lundi 18 mars sa 2e étude annuelle mondiale sur la gestion obligataire « Global Fixed Income Study » (en anglais), qui analyse en détail le comportement des investisseurs obligataires. L'étude a été réalisée auprès de 145 spécialistes obligataires et responsables de l’investissement en zone EMEA, en Amérique du Nord et en Asie-Pacifique, pour un total de 14 100 milliards de dollars d'encours sous gestion.

Les investisseurs s'attendent à une fin relativement proche du cycle économique, mais n’anticipent pas de correction significative des actifs obligataires. Ils prévoient plutôt un aplatissement prolongé de la courbe des taux. Dans leur quête de rendement, ils adoptent une approche plus active : stratégies alternatives, allocations aux marchés émergents et exposition à la Chine.

Prise en compte des risques géopolitiques

Les investisseurs s'intéressent davantage aux problématiques géopolitiques qui peuvent perturber les marchés. Près de la moitié d'entre eux (46 %) a ajusté ses allocations en portefeuille à cause des tensions commerciales.

Dans le détail, deux tiers (65 %) des investisseurs Wholesale ont été influencés par le Brexit et ont modifié leurs allocations aux actifs européens et britanniques. En revanche, seul un tiers (34 %) des investisseurs institutionnels a opté pour la même stratégie.

Les perspectives des investisseurs sur l'économie mondiale deviennent plus incertaines. Les investisseurs obligataires considèrent les niveaux élevés d’endettement à travers le monde comme l’élément déclencheur le plus probable de la prochaine récession.

Bientôt la fin d'un cycle économique

L’expansion économique actuelle — près de dix années — est l’une des plus longues jamais enregistrées, ce qui inquiète certains investisseurs. Ils commencent à douter de sa longévité et restent à l’affût de tout élément déclencheur susceptible d’y mettre un terme.

La moitié des investisseurs obligataires (49 %) estime que le cycle touchera à sa fin entre fin 2019 et fin 2020. En revanche, plus d'un quart (27 %) anticipe une fin de cycle plus proche, au cours des 6 à 12 prochains mois. Sur les perspectives à court terme, les investisseurs Whosale se montrent plus pessimistes que les investisseurs institutionnels, avec 65 % qui tablent sur une fin de cycle d’ici 2 ans.

Éléments déclencheurs potentiels de la prochaine récession

Les sondés s'inquiètent surtout des niveaux élevés de dette, en particulier celui de la dette publique. L’attention que suscite l’endettement n’est pas surprenante après les faibles niveaux historiques des taux d’intérêt sur une si longue période. Les sondés estiment que la hausse des taux d'intérêt impactera lourdement les charges d'intérêt et les taux de défaut.

Parmi les autres sources de perturbation possibles, 15 % des investisseurs pensent que le risque principal proviendrait d'une crise au sein des marchés émergents. Pour 13 % d’entre eux, il s'agirait d'une bulle de la dette en Chine.

Impact sur le marché obligataire

La fin du cycle économique suscite une nervosité grandissante. Certaines inquiétudes portent sur la probabilité d’un revirement significatif des marchés, même si ce mouvement devrait concerner davantage les actions que les obligations.

Néanmoins, 60 % des investisseurs estiment avec une certitude élevée que les spreads de crédit s'élargiront au cours des 3 prochaines années. Près d'un sur deux (45 %) pensent que la courbe des rendements restera plate pour encore un long moment.

En comparaison, les investisseurs obligataires se montrent peu inquiets quant au risque de hausse de l’inflation (34 %). Seul un quart (27 %) anticipen une inversion de la courbe dans les prochaines années.

Les investisseurs remodèlent activement leurs portefeuilles

« Les investisseurs obligataires du monde entier s'intéressent à un grand nombre de stratégies : certaines sont axées sur le rendement, d'autres cherchent la sécurité d'une duration courte ou du cash en cas de pics de volatilité, quand d'autres encore veulent profiter de la flexibilité des instruments à taux variable », conclut Nick Tolchard, responsable de la gestion obligataire dans la région EMEA.

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J.P. Morgan AM lance ses premiers ETF actions ESG gérés activement

La Rédaction
Le Courrier Financier

Ces trois nouveaux ETF offrent aux investisseurs la possibilité de disposer de portefeuilles qui répliquent les indices et dont les caractéristiques sont similaires à leurs benchmarks respectifs (profil de risque similaire et même cadre de construction de portefeuille par exemple). Les investisseurs disposeront en plus d’un avantage informationnel par rapport à un investissement purement passif. Ces nouveaux ETF s’appuieront sur la solide expertise de J.P. Morgan Asset Management ainsi que sur un historique de performance éprouvé en matière d’investissement dit « Research enhanced index » (REI), à savoir un processus différenciant de sélection de titres s’appuyant sur une recherche propriétaire.

Le processsus de pondération

L’équipe de recherche de J.P. Morgan Asset Management, qui se compose de 65 analystes fondamentaux, apporte aux équipes de gestion de portefeuille des informations précises sur les titres. En s’appuyant sur cet avantage, les gérants de portefeuille surpondèrent légèrement les titres qu’ils trouvent attractifs et sous-pondèrent légèrement ceux qu’ils trouvent moins attractifs. Les portefeuilles conservent ainsi les mêmes caractéristiques que les indices tout en cherchant à générer des performances positives et croissantes.

L’ETF JPM Europe Reserch Enhanced Index Equity (ESG) UCITS aura pour benchmark l’indice MSCI Europe, l’ETF JPM US Research Enhanced Index Equity (ESG) UCITS aura pour benchmark l’indice S&P 500 et l’ETF JPM Global Research Enhanced Index Equity (ESG) UCITS aura pour benchmark l’indice MSCI World. Les trois ETF afficheront un ratio du total des frais (TER) de 25 points de base.

L'intégration des critères ESG

Ces ETF intègreront également les critères ESG, de façon systématique et explicite ; ces critères feront dès le départ partie du processus de prise de décision d’investissement. De plus, ces trois nouveaux ETF actions gérés activement filtreront les titres en fonction du respect des règlementations et des critères sociaux, environnementaux et de gouvernance. De plus, les sociétés de certains secteurs, comme par exemple ceux de la fabrication d’armes controversées et du tabac, seront exclues.

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La SCPI Pierre Expansion Santé cède un actif parisien

La Rédaction
Le Courrier Financier

Au terme d’une consultation restreinte, PIERRE EXPANSION SANTÉ a cédé un hôtel particulier d’environ 1 000 m² et ses dépendances, anciennement à usage de maison de retraite, au groupe DELTA IM, dans le cadre d’un projet de réaménagement en établissement d'enseignement.

Cette cession permet à la SCPI de dégager une plus-value conséquente sur un actif détenu depuis 1996, et à l’acquéreur d’associer un bâtiment historique à un programme neuf en cours de construction sur une parcelle contiguë.

Le site est intégralement pré-loué à un prestigieux établissement d’enseignement italien dans le cadre d’un bail de longue durée.

La SCPI PIERRE EXPANSION SANTÉ était conseillée par les sociétés Flabeau et BNP Paribas Real Estate, ainsi que par l’Etude Michelez Notaires.

L’acquéreur était conseillé par l’étude Monceau Notaires.

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L’ANACOFI Finance d’Entreprise innove avec son Observatoire des Signaux Faibles

La Rédaction
Le Courrier Financier

La section s’est renforcée par la mise en place d’une Commission Finance d’Entreprise pilotée par Jean-Louis PICOLLO qui s’appuie sur le soutien du Président Confédéral David CHARLET.

Composé d’une dizaine de professionnels reconnus, qui rencontrent au total près de 500 chefs d’entreprise par an, elle se réuni tous les 4 mois et elle apporte aux adhérents une réflexion et une visibilité sur leurs métiers, sur les bonnes pratiques, sur les formations, et initie des contacts qui viennent ainsi enrichir notre écosystème.

Pour 2024, la section Finance d’Entreprise innove avec son OBSERVATOIRE des SIGNAUX FAIBLES.
Loin des prévisions aléatoires et des statistiques utopiques, cet OBSERVATOIRE basé sur nos remontées du terrain, a pour objectif de donner une information rapide et synthétique à nos adhérents et aux clients de nos adhérents sur des indices naissants pouvant influencer les prises de décisions des prochains mois.

Les membres de la Commission Finance d’Entreprise :

  • Fabienne GRETEAU- COFINGEST
  • Sébastien ROUZAIRE – KERIUS FINANCE
  • Ludovic SARDA – PYTHAS CAPITAL
  • Guy COHEN – INGÉNIERIE SOCIALE
  • Florent GUIGUE – EMERGEANCES
  • Nathalie DESSEAUX et Franck MAGNE – EAVEST
  • Julien DRAY – UNCONFLICTED MANAGEMENT
  • Edouard SEGUIN – PIMENT & Co
  • Jean-Louis PICOLLO – RESOLVYS
    Invités : David GANDAR et Nébojsa SRECKOVIC.
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Amundi lance Amundi Leveraged Loans Europe 2018

La Rédaction
Le Courrier Financier
Amundi lance Amundi Leveraged Loans Europe 2018, et complète ainsi son dispositif de crédit alternatif
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Les investisseurs institutionnels devraient se tourner vers la gestion active en 2018

Edwin Conway
Confrontés à de faibles taux d’intérêt et à des actifs à risque relativement surévalués, les grands investisseurs institutionnels mondiaux cherchent à se protéger contre le risque de ralentissement en maintenant le niveau de leurs liquidités et en augmentant, au cas par cas, leur allocation aux stratégies de gestion active, selon une nouvelle étude réalisée par BlackRock.
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