Acquisition : Cyrus Conseil rachète V2A Patrimoine

La Rédaction
Le Courrier Financier

Cyrus Conseil — cabinet de conseil en gestion de patrimoine — annonce ce mercredi 8 juillet l'acquisition de V2A Patrimoine. Ce cabinet de gestion de patrimoine a été créé en 2005 par Fabien Annet. Présent Nantes (Loire-Atlantique) et à Vannes (Morbihan), V2A Patrimoine détient un encours de 130 M€ et regroupe une équipe de 6 personnes.

Ce rachat porte sur 100 % du capital. Une partie du prix d’acquisition sera payé par échange de titres du Groupe Cyrus. A l’issue de cette opération, Fabien Annet, Bertrand Vigier et Bertrand Ziller deviendront associés du holding et continueront à exercer leur métier au sein de Cyrus.

Croissance externe de Cyrus

Cette opération permet de renforcer la présence de Cyrus dans la région Ouest en complément du bureau de Rennes (Ile-et-Vilaine) piloté par Christian Pierre. Avec cette opération, Cyrus compte désormais 14 implantations en France. Le Groupe accentue ainsi la proximité des équipes auprès de ses clients.

Cette acquisition s’inscrit dans la politique de croissance externe et de développement du Groupe Cyrus. Les clients de V2A Patrimoine vont bénéficier de l’offre élargie de services et de produits de Cyrus, tout en préservant la relation de proximité avec leurs conseillers habituels.

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Coronavirus : quel avenir pour la profession de CGP ?

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Pour la septième semaine de confinement, la CNCGP publie un sondage sur la situation de ses adhérents, dirigeants de cabinets de CGP. Comment se sont-ils adaptés aux nouvelles contraintes ? Quels enseignements vont-ils tirer de cette crise sanitaire ? Explications et perspectives.
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Le Tchat du Cofi – David Charlet, ANACOFI : « Notre université d’été est prévue le 3 septembre 2020 »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Pendant la période du confinement, retrouvez notre format vidéo « Le Tchat du Cofi ». Formation digitale, soutien aux cabinets de CGP et défense de la profession... L'ANACOFI s'est adaptée. Comment l'association prépare-t-elle l'après-confinement ? Qu'en est-il de sa prochaine Université d'Eté ?
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Dividendes 2020 : feu vert pour les financements à effet de levier ?

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le cabinet d’avocats CMS Francis Lefebvre Avocats — spécialiste des affaires internationales — publie ce mercredi 15 avril une note au sujet de l'encadrement des dividendes 2020. Dans le cadre de la crise sanitaire liée au coronavirus, l'Etat français a prolongé ses mesures de soutien aux entreprises. De quoi poser un certain nombre de questions.

La déclaration du ministre de l'Economie du 27 mars 2020 aux termes de laquelle « les entreprises qui demandent l'aide de l'Etat ne devront pas verser de dividendes » a fait naître l'inquiétude dans le monde des financements structurés. Notamment pour les opérations à effet de levier, au premier rang desquelles les opérations « Leveraged Buy-Out » (LBO).

Communication gouvernementale

Les acteurs de ces opérations — où la remontée des dividendes est essentielle en ce qu'elle est la source principale (sinon exclusive) de remboursement de la dette bancaire d'acquisition — craignaient d'avoir à choisir entre versement de dividendes et mesures de soutien en trésorerie.

La publication le 2 avril 2020 par le Gouvernement d'un document intitulé « Engagement de responsabilité pour les grandes entreprises bénéficiant de mesures de soutien en trésorerie » devrait apaiser ces inquiétudes, car y sont précisés notamment les aspects suivants du dispositif.

Bien que dépourvu de valeur normative, le dispositif esquissé doit rassurer les acteurs des financements à effet de levier. Ils ne devraient pas être contraints de choisir entre le bénéfice des mesures de soutien de l'Etat et les remontées de dividendes nécessaires au fonctionnement de telles opérations.

Caractéristiques du dispositif

Objectif. Les grandes entreprises bénéficiant d'une mesure de soutien en trésorerie — qu'il s'agisse d'une demande de report d'échéance fiscale et sociale ou d'un prêt garanti par l'État (PGE) — doivent s'engager à compter du 27 mars 2020 à ne pas verser de dividendes à leurs actionnaires (hors obligations légales) et à ne pas procéder à des rachats d'actions.

Entreprises visées. Seules les « grandes entreprises » sont soumises à cet engagement. Cela vise aussi bien une entreprise indépendante qu'un groupe de sociétés qui employait au moins 5 000 salariés ou générait un chiffre d'affaires consolidé supérieur à 1,5 milliard d'euros en France au titre du dernier exercice clos. S'agissant d'un groupe, l'engagement concerne toutes les entités françaises du groupe ; et ce, même si seulement certaines de ces entités bénéficient d'une mesure de soutien en trésorerie.

Champ et forme de l'engagement : l'engagement doit s'entendre largement : outre le versement de dividendes, toutes les autres formes de distributions en numéraire ou en actions et, notamment, les acomptes sur dividendes ou les distributions exceptionnelles de réserves sont interdites. Le document indique que cet engagement sera formalisé. S'agissant par exemple d'un PGE, l'engagement doit faire l'objet d'une clause résolutoire qui serait introduite dans le contrat au moment de l'instruction de la demande de prêt par les services du ministère de l'Economie et des Finances ; ce qui ne manque pas de susciter des interrogations.

Autorisation des dividendes intragroupe. Toutefois, à titre d'exception, le communiqué du Gouvernement précise que les distributions de dividendes intragroupe sont autorisées lorsqu'elles ont « pour effet au final de soutenir financièrement une société française (notamment lui permettre de respecter ses engagements contractuels vis-à-vis de ses créanciers) ». Cette précision semble destinée à exclure de l'interdiction les financements à effet de levier.

Sanctions. Le non-respect de cet engagement de solidarité fera l'objet de sanctions allant, en matière de PGE, du refus d'octroi de la garantie de l'Etat au remboursement immédiat de l'intégralité des sommes prêtées. Si l'entreprise a sollicité des reports d'échéances, l'absence d'engagement ou le non-respect de cet engagement lui fera perdre le bénéfice d'un accord de délai pour l'échéance reportée et l'exposera à des majorations de retard.

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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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Courtage d’assurances : Covid-19, un accord de branche sur la prise de congés

La Rédaction
Le Courrier Financier

Dans le cadre de la crise sanitaire, la branche professionnelle du courtage d'assurance annonce ce mardi 7 avril la signature d'un accord sur la prise de congés. « L'activité des entreprises de courtage d'assurances et de réassurances commence à ressentir les premiers effets de la crise sanitaire Covid-19. A terme, cette crise aura un impact certain sur la santé économique et financière de nos entreprises », déclarent les partenaires sociaux.

Télétravail et emplois sauvegardés

Dans un communiqué commun, PLANETE CSCA et les six organisations syndicales représentatives de la branche — la C.F.E.-C.G.C., la C.F.D.T., la SN2A-C.F.T.C., la C.G.T., la C.G.T./F.O. et l'U.N.S.A. — déclarent prendre « toute la mesure de la situation actuelle et à venir ». Les partenaires sociaux de la branche professionnelle rappellent qu'en période de confinement, « le télétravail doit être le mode de travail privilégié pour tous les postes qui le permettent. Il doit être généralisé et maintenu pendant cette période ».

Les entreprises et les salariés de la branche professionnelle sont également invités à « contribuer, chacun pour partie, à la mise en œuvre d'un effort sans précédent de solidarité et de responsabilité pour adapter les organisations et soutenir l'activité des entreprises, même à la baisse ». Objectif pour la profession, « sauvegarder la pérennité des cabinets de courtage » afin de « maintenir le niveau d'emploi pendant toute la durée de l'actuel confinement, et lors de la sortie de crise ». 

Accord sur 6 jours de congés payés

Dans ce cadre, les partenaires sociaux de la branche professionnelle du courtage d'assurances ont examiné les dispositions prévues par l'article premier de l'ordonnance du 25 mars 2020 « portant mesures d'urgence pour faire face à l'épidémie de Covid-19 ». Ce texte permet l'aménagement temporaire de la prise des congés payés, sous réserve notamment de la conclusion d'un accord collectif de branche.  

Ils ont donc entamé une négociation, qui a permis de conclure un accord de branche à durée déterminée relatif aux congés payés. Cette décision permet à l'employeur de décider de la prise de 6 jours de congés payés acquis par le salarié, ou de modifier unilatéralement les dates de prise de congés payés.

Les partenaires sociaux de la branche s'engagent à se réunir « au moins tous les quinze jours pour assurer un suivi du présent accord ». Plus largement, ils en profiteront pour faire un point sur la crise sanitaire et son impact sur l'organisation des entreprises de la branche professionnelle.

De l'importance de la solidarité

« Dans ce contexte difficile, la solidarité est indispensable pour préserver les emplois. Je remercie toutes les parties prenantes pour la qualité du dialogue que nous avons eu, permettant de trouver un accord qui évitera, j'en suis persuadé, un recours au chômage partiel voire à terme, la disparition de certains postes », déclare Roy de TAO, Président de la CPPNI et Vice-Président de PLANETE CSCA en charge des Affaires sociales.

Les partenaires sociaux tiennent à présenter un front uni. « Signer ce texte est le gage de la responsabilité des partenaires sociaux dans la branche professionnelle du courtage », souligne Thierry Tisserand, Secrétaire Général Adjoint de la fédération CFDT des Banques et Assurances (FBA CFDT), chef de file de la délégation CFDT dans la branche courtage.

Marguerite Weber, Secrétaire générale de la CFE-CGC exprime par ailleurs le soutien de son organisation aux TPE/PME de la branche professionnelle du courtage : « Dans les grandes entreprises, nous avons toujours la possibilité de trouver un accord, ce qui n'est pas toujours le cas pour les courtiers de proximité. Nous souhaitions marquer, par la signature de cet accord, notre engagement envers les salariés des petites structures. »

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Crise sanitaire : comment se passe le contrôle fiscal ?

La Rédaction
Le Courrier Financier

Pendant la crise sanitaire, le cabinet d'avocats CMS Francis Lefebvre Avocats — spécialiste des affaires internationales — publie ce jeudi 2 avril un récapitulatif des mesures prises concernant la procédure de contrôle fiscal. Outre les annonces gouvernementales sur l’interruption des contrôles fiscaux, l’article 10 de l’ordonnance n°2020-306 du 25 mars 2020 relative à la prorogation des délais échus pendant la période d’urgence sanitaire et à l’adaptation des délais pendant cette période comporte plusieurs précisions.

Contrôles fiscaux suspendus temporairement

Conformément aux annonces gouvernementales, la mission de contrôle fiscal de la DGFiP est interrompue. Le ministre du budget a indiqué que la DGFiP était, pendant la période actuelle, au service des contribuables pour les aider dans leur démarches : remboursement de crédits de TVA, de crédits d’impôts, etc. Pendant toute la durée de l’état d’urgence sanitaire, l’Administration n’établira aucun acte de procédure de contrôle : ni envoi d’avis de vérification, ni demande d’informations, ni réponse aux observations du contribuable, etc.  

Des échanges restent toutefois possibles avec les services de contrôle pendant l’état d’urgence sanitaire. Selon les indications données par l’Administration, les services de contrôle restent a priori opérationnels. Ils exercent leur activité en télétravail et les contribuables peuvent échanger à distance avec eux sur les procédures en cours. Des entretiens téléphoniques peuvent avoir lieu à la demande du contribuable ou avec son accord.  

Conséquences sur les délais de prescription

Le droit de reprise de l’Administration se prescrit à l’expiration d’un délai de six ans en matière fiscale sauf délai plus bref ou plus long fixé par la loi. Le délai de prescription est réduit à trois ans pour les impôts directs d’Etat (IS, IR, IFI), la TVA et les taxes  sur le chiffre d’affaires et d’un an pour les impôts locaux. Il peut être porté à 10 ans dans certaines situations : activité occulte, détention d’avoirs financiers non déclarés à l’étranger.  

L’arrêt temporaire de la mission de contrôle fiscal se traduit par une suspension des délais de reprise de l’Administration : tous les délais de prescription sont suspendus pendant la période du 12 mars 2020 jusqu’à l’expiration du délai d’un mois à compter de la cessation de l’état d’urgence sanitaire, désignée comme la « période juridiquement protégée ». Cela concerne uniquement les périodes pour lesquelles la prescription est en principe acquise au 31 décembre 2020.  

Sauf prolongation, la fin de l’état d’urgence sanitaire est normalement prévue le 24 mai prochain, ce qui signifie que le délai de reprise de l’Administration est suspendu du 12 mars jusqu’au 24 juin, c’est-à-dire pendant plus de trois mois. A l’issue de la période de suspension, le délai de reprise recommencera à courir jusqu’à l’expiration du délai légal. Comprenez trois ans, six ans ou dix ans selon les cas.

La DGFiP disposera donc d’une période de plus de trois mois en 2021 pour procéder à des rectifications, au titre de périodes d’imposition qui auraient été normalement prescrites le 31 décembre 2020. C'est le cas par exemple pour l'année 2017. Ces rectifications pourront résulter de contrôles engagés en 2020 ou même en 2021, avant l’expiration du délai de reprise.  

Délais qui encadrent les procédures de contrôle  

Tous les délais de procédure prévus par la loi ou le règlement sont suspendus par application de deux principes. Premier principe, les délais qui avaient commencé à courir avant le 12 mars sont suspendus et recommenceront à courir à l’expiration de la période juridiquement protégée. Par exemple, une proposition de rectification a été reçue le 5 mars et le contribuable disposait d’un délai de 30 jours pour y répondre. Ce délai cesse de courir à compter du 12 mars. Il recommencera à courir pour une durée de 23 jours à compter de l’expiration du délai d’un mois, après la cessation de l’état d’urgence sanitaire.

Deuxième principe, les délais qui ont commencé à courir à compter du 12 mars 2020 ne courront qu’à compter de l’expiration de la période juridiquement protégée. Par exemple, une proposition de rectification a été reçue le 14 mars 2020. Le délai de 30 jours dont dispose le contribuable pour y répondre commencera à courir à l’expiration de la période juridiquement protégée soit, en l’état actuel du droit, le 24 juin 2020.

Autre exemple, l’Administration a reçu une réponse d’une administration fiscale étrangère le 20 mars 2020 à la suite de l’envoi d’une demande d’informations en décembre 2019. Afin de satisfaire aux conditions prévues par l’article L 188 A du LPF pour bénéficier d’une prorogation du délai de prescription, l’Administration doit informer le contribuable de la réponse reçue dans un délai de 60 jours. Ce délai d’information commencera à courir à l’expiration du délai d’un mois à compter de la cessation de l’état d’urgence sanitaire. 

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Conseil en gestion de patrimoine : le groupe Cyrus s’associe à Bridgepoint

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le groupe Cyrus — spécialiste français indépendant du conseil en gestion de patrimoine — confirme ce mardi 31 mars l’entrée à son capital du fonds international de capital-investissement Bridgepoint, de manière minoritaire. Le financement est apporté par Ardian sous forme d’une dette Unitranche. Cette participation minoritaire confirme le modèle entrepreneurial et indépendant de Cyrus ; Meyer Azogui, Président du groupe Cyrus, et ses équipes contrôlent 72 % du capital.

« Nous sommes persuadés du potentiel de croissance durable du marché des CGP, et nous avons été impressionnés par le positionnement du groupe Cyrus (...) Nous sommes heureux d’accompagner le management de Cyrus dans la poursuite de son développement, notamment par la croissance externe, dans un marché encore très atomisé », explique Bertrand Demesse, Associé chez Bridgepoint Development Capital en France.

Consolidation du marché

Dans un marché de la gestion de patrimoine en développement, le groupe souhaite créer une marque de référence forte. Objectif, fédérer les conseillers en gestion de patrimoine (CGP) autour de Cyrus, en préservant l’indépendance et la qualité de conseil et d'expertise pour ses clients.

« Nous voulons participer au mouvement de consolidation du marché du conseil en gestion de patrimoine, autour de valeurs partagées comme l’indépendance, l’excellence et la confiance. C’est avec cette conviction que nous avons souhaité nous adjoindre les moyens financiers et les conseils stratégiques d’un partenaire comme Bridgepoint », déclare Meyer Azogui.

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Courtage : PLANETE CSCA alerte les assureurs sur les conséquences du Covid-19

La Rédaction
Le Courrier Financier

PLANETE CSCA — syndicat des courtiers d'assurance — appelle ce lundi 23 mars à prendre la mesure des conséquences économiques de la crise sanitaire actuelle sur l'activité des cabinets de courtage. Le syndicat compte plus de 2 100 adhérents, qui représentent les trois quarts des entreprises du secteur en chiffres d'affaires et en effectifs. PLANETE CSCA s'appuie sur ses 9 collèges régionaux et de proximité et ses 6 collèges catégoriels pour fédérer toutes les typologies de cabinet de courtage en France.

Mesures rapides et coordonnées

Dès le début des mesures de confinement et de fermeture des frontières européennes, PLANETE CSCA a recensé les principales problématiques auxquelles se confrontent les intermédiaires en assurance. Le syndicat attend des réponses concrètes aux questions que se posent les courtiers d'assurances pour assurer la continuité de leurs activités. Outre l'impact sur leur entreprise, les intermédiaires en assurances voient leurs relations avec leurs partenaires assureurs et leurs clients complètement bouleversées.

Le secteur de l'assurance dans sa globalité va avoir un rôle majeur à jouer pour répondre aux besoins immédiats, matériels et financiers, de ses clients personnes physiques — notamment pour la prise en charge des frais de santé — et personnes morales. Il est donc indispensable que de prendre des mesures d'adaptation dans les meilleurs délais de manière coordonnée, afin d'aider les Français et de poursuivre l'activité économique.

Le rôle des compagnies d'assurances

Les compagnies d'assurances ont commencé à s'adapter, à travers un ensemble d'initiatives individuelles — que PLANETE CSCA salue et met à disposition de ses adhérents, lorsqu'elle en a connaissance. « PLANETE CSCA est particulièrement mobilisé sur la manière dont les cabinets de courtage vont organiser leur quotidien dans les semaines à venir. C'est notre priorité », déclare Bertrand de Surmont, Président de PLANETE CSCA.

« Outre le sujet déjà évoqué de la Perte d'exploitation sans dommage — pour lequel il nous semble inimaginable qu'une solution, quand bien même a minima, ne soit trouvée au niveau de la place — nous avons alerté les pouvoirs publics sur la particularité de l'effet différé entre la crise sanitaire actuelle et les conséquences économiques et de trésorerie, qui seront immanquablement ressenties sur l'activité des cabinets de courtage dans les prochaines semaines et jusqu'au début de l'année 2021 », ajoute-il.

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La SCPI Pierre Expansion Santé cède un actif parisien

La Rédaction
Le Courrier Financier

Au terme d’une consultation restreinte, PIERRE EXPANSION SANTÉ a cédé un hôtel particulier d’environ 1 000 m² et ses dépendances, anciennement à usage de maison de retraite, au groupe DELTA IM, dans le cadre d’un projet de réaménagement en établissement d'enseignement.

Cette cession permet à la SCPI de dégager une plus-value conséquente sur un actif détenu depuis 1996, et à l’acquéreur d’associer un bâtiment historique à un programme neuf en cours de construction sur une parcelle contiguë.

Le site est intégralement pré-loué à un prestigieux établissement d’enseignement italien dans le cadre d’un bail de longue durée.

La SCPI PIERRE EXPANSION SANTÉ était conseillée par les sociétés Flabeau et BNP Paribas Real Estate, ainsi que par l’Etude Michelez Notaires.

L’acquéreur était conseillé par l’étude Monceau Notaires.

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L’ANACOFI Finance d’Entreprise innove avec son Observatoire des Signaux Faibles

La Rédaction
Le Courrier Financier

La section s’est renforcée par la mise en place d’une Commission Finance d’Entreprise pilotée par Jean-Louis PICOLLO qui s’appuie sur le soutien du Président Confédéral David CHARLET.

Composé d’une dizaine de professionnels reconnus, qui rencontrent au total près de 500 chefs d’entreprise par an, elle se réuni tous les 4 mois et elle apporte aux adhérents une réflexion et une visibilité sur leurs métiers, sur les bonnes pratiques, sur les formations, et initie des contacts qui viennent ainsi enrichir notre écosystème.

Pour 2024, la section Finance d’Entreprise innove avec son OBSERVATOIRE des SIGNAUX FAIBLES.
Loin des prévisions aléatoires et des statistiques utopiques, cet OBSERVATOIRE basé sur nos remontées du terrain, a pour objectif de donner une information rapide et synthétique à nos adhérents et aux clients de nos adhérents sur des indices naissants pouvant influencer les prises de décisions des prochains mois.

Les membres de la Commission Finance d’Entreprise :

  • Fabienne GRETEAU- COFINGEST
  • Sébastien ROUZAIRE – KERIUS FINANCE
  • Ludovic SARDA – PYTHAS CAPITAL
  • Guy COHEN – INGÉNIERIE SOCIALE
  • Florent GUIGUE – EMERGEANCES
  • Nathalie DESSEAUX et Franck MAGNE – EAVEST
  • Julien DRAY – UNCONFLICTED MANAGEMENT
  • Edouard SEGUIN – PIMENT & Co
  • Jean-Louis PICOLLO – RESOLVYS
    Invités : David GANDAR et Nébojsa SRECKOVIC.
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Private Investment Partners : Mercer annonce le closing de son 5e millésime de fonds non coté

La Rédaction
Le Courrier Financier

Mercer — filiale de Marsh & McLennan Companies — annonce ce jeudi 5 mars avoir finalisé la levée de fonds de son 5e millésime sur les marchés privés de la série « Mercer Private Investment Partners» (PIP), avec 2,5 Mds€ d'engagements totaux. Les investisseurs mondiaux regroupent des assureurs, des fonds de pension publics et privés, des gestionnaires d'actifs et des fondations basés en Europe, Amérique du Nord, en région Asie-Pacifique et en Afrique.

Le cabinet de conseil Mercer dispose de 25 ans d'expérience des marchés privés. Le cabinet emploie plus de 170 professionnels des offres alternatives, répartis dans 20 bureaux internationaux. Fin 2019, Mercer disposait de plus de 18 Mds€ d'actifs non cotés sous gestion1, et 167 Mds€ d'actifs non cotés sous conseil.

Accès aux marchés privés

Ce cinquième millésime de la série PIP offre aux investisseurs un large éventail de catégories d'actifs sur les marchés privés — capital-investissement, dette privée, infrastructures, immobilier — et inclut également une stratégie développement durable sur les actifs non cotés. Le closing final s'appuie sur la solide levée de fonds de son prédécesseur, qui avait permis de réunir 2,3 Mds€ d’engagement final en 2017.

La série PIP, dirigée par les experts Mercer en matière de gestion alternative, couvre plusieurs segments dans un format d'« accès unique » qui permet aux clients d'adapter leurs stratégies d'investissement à leurs besoins et leur sensibilité au risque. Les fonds de la série PIP offrent en outre un accès évolutif à des gestionnaires hautement reconnus et d’un accès au marché diversifié via des transactions secondaires et de co-investissement qui sont primordiales dans le contexte actuel.

Stratégie pour la France

« Le succès des solutions proposées par Mercer sur les marchés privés repose sur nos relations étroites avec des gestionnaires de premier plan, ainsi que sur notre processus complet de due diligence. Les solutions sont conçues pour offrir à nos clients un accès flexible à des opportunités d'investissement sur les marchés privés dans un cadre de coût et de risques maîtrisés », déclare Bill Muysken, Directeur des Investissements mondiaux de Mercer pour le segment alternatif.

« L’expertise large des professionnels de Mercer sur tous les segments du non coté permet de proposer des profils rendement/risque très variés (...) Ce nouveau millésime de la série PIP a permis notamment de réaliser la 3e levée de fonds depuis 2011 sur la stratégie développement durable de Mercer dédiée au non coté. Des initiatives seront lancées prochainement sur le marché français pour donner accès à ces différentes stratégies d’investissement en non coté », conclut Boutros Thiery, Directeur des Solutions d’Investissement pour Mercer France.

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Banque et assurance : BM&A recrute deux collaboratrices

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le cabinet indépendant BM&A — conseil et audit — annonce ce lundi 2 mars le renforcement de son pôle Banque et Assurance à travers le recrutement de deux collaboratrices. Anne-Marie Jolys Bris et de Marianne Coenen De Sousa rejoignent le pôle aux postes respectifs de Directrice Exécutive, responsable Normes assurance, et de Directrice Exécutive.

L’activité Banque et Assurance du cabinet BM&A rassemble une équipe de 25 professionnels. Elle œuvre auprès des directions financières d’établissements bancaires et assuranciels tant en conseil qu’en support opérationnels. Ses missions couvrent notamment les domaines comptables et prudentiels, les évolutions règlementaires, les problématiques organisationnelles de pilotage et de transformation de la fonction finance.

Focus sur le parcours d'Anne-Marie Jolys Bris

Anne-Marie Jolys Bris

Anne-Marie Jolys Bris est diplômée de l’Expertise Comptable. Elle affiche une expérience de 25 ans dans les domaines comptables et réglementaires, français et internationaux, dans différents secteurs d’activité, notamment en banque et en assurance. Elle participe ainsi à la mise en œuvre des normes internationales au sein de directions financières bancaires.

En 2014, Anne-Marie Jolys Bris rejoint l’ANC en tant qu’expert en normes comptables assurancielles où elle exerce pendant quatre ans. En 2020, elle intègre l’activité Banque & Assurance de BM&A au poste de Directrice Exécutive, responsable Normes assurance.

Focus sur le parcours de Marianne Coenen De Sousa

Marianne Coenen de Sousa

Après un début de carrière chez Natixis Factor, Marianne Coenen De Sousa rejoint en 2002 un cabinet d’audit international. D’abord consultante opérationnelle elle prend ensuite en charge le développement des activités d’assistance et de conseil comptables et réglementaires à destination des banques, ainsi que l’animation d’une équipe dédiée à cette activité.

Depuis octobre 2018, Marianne anime et développe la ligne de service conseil comptable et réglementaire de BM&A à destination des Banques, aux côtés de Benoît Gindre, responsable de la ligne de service Banque. Elle occupe désormais le poste de Directrice Exécutive du Pôle Banque et Assurance de BM&A.

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