SCI ViaGénérations : Turgot AM annonce l’arrivée de Generali comme nouvel actionnaire de référence

La Rédaction
Le Courrier Financier

Turgot Asset Management (Turgot AM) — société de gestion d'actifs — annonce ce mardi 27 juillet que l'assureur Generali rejoint le rang des associés de la SCI ViaGénérations, premier fonds d'immobilier résidentiel viager éligible à l'assurance-vie, aux côtés des actionnaires institutionnels historiques : Ageas France, Groupe Apicil, UNMI, Swiss Life, Choralis (Mutuelle Le Libre Choix), Mutuelle MOAT, La Française REM, etc.

Generali va distribuer le fonds de maintien à domicile sous forme d'unités de compte (UC) dans ses contrats. Generali investit ainsi au capital de la SCI gérée par Turgot AM pour donner accès à ses assurés aux performances de ce support réservé aux investisseurs professionnels sous forme d'UC dans ses contrats d'assurance vie, de capitalisation et d'Épargne Retraite.

30 % de l'épargne acquise

Les épargnants français peuvent désormais souscrire à cette UC depuis le 22 juillet, à travers l'ensemble des réseaux de distribution de Generali :

  • les CGP et les courtiers partenaires de cet acteur majeur de l'assurance vie ;
  • les plateformes conceptrices de solutions d'épargne ;
  • les réseaux de conseillers financiers ;
  • les courtiers en ligne ;
  • les principales banques privées et Family Offices français.

La part des arbitrages et des versements affectés à cette UC chez Generali n'est pas limitée en montant sans toutefois pouvoir excéder 30 % de l'épargne acquise sur le contrat. L'arrivée de cet acteur de référence permettra à la SCI ViaGénérations de renforcer le montant de sa collecte mensuelle pour la porter à 65 M€ par mois.

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Crédit immobilier : BlackFin devient majoritaire au capital de Cafpi

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le fonds BlackFin Capital Partners — société de gestion de capital investissement indépendante — annonce ce vendredi 23 juillet avoir finalisé l’acquisition du groupe Cafpi, spécialiste du marché du courtage en crédits immobiliers et en assurances des emprunteurs. La société a été fondée en 1971 par Elie Assouline.

BlackFin devient ainsi l’actionnaire majoritaire de Cafpi, aux côtés de Maurice Assouline, qui demeure un actionnaire significatif. L’ambition partagée de BlackFin et de Maurice Assouline consiste à développer l’activité et la notoriété de Cafpi, ainsi que d’élargir le réseau commercial et d’enrichir l’offre de produits.

Marché du crédit immobilier

Spécialiste des services financiers et de la Fintech, BlackFin a investi au capital de plusieurs sociétés de courtage dans les domaines du crédit, de l’assurance et de l’épargne. Objectif, développer l’activité et la croissance de Cafpi, premier courtier en crédits immobiliers de France. La mise en commun des compétences permettra de valoriser et de capitaliser sur la relation privilégiée existante entre Cafpi et ses partenaires financiers, notamment les banques.

« Ce mariage entre nos sociétés démontre à quel point le métier de courtier est devenu un élément incontournable dans le parcours immobilier des Français. Le courtage en crédits n’a cessé de prendre de l’ampleur ces dernières années. L’entrée au capital de BlackFin se fera dans le strict respect de l’ADN de la société et des équipes performantes qui la composent », déclare Maurice Assouline, président de Cafpi.

Moyens pour se développer

Pour Cafpi, l’objectif est de poursuivre le développement de son maillage commercial sur l’ensemble du territoire français. « Notre modèle basé sur l’implantation de 240 agences en propre, couplé à plus de 1 000 mandataires indépendants, est la clé de notre réussite. Cette proximité territoriale est l’un de nos points forts et c’est pour cela que nous souhaitons encore étendre notre présence en France, pour être au plus près de notre clientèle », explique Maurice Assouline, président de Cafpi.

Avec le soutien de BlackFin, Cafpi a également l’ambition de perfectionner la digitalisation de l’ensemble de son parcours client — de la relation avec les apporteurs d’affaires jusqu’aux opérations avec les banques — afin d’améliorer la satisfaction de ses clients et de conserver sa position de leader du marché des courtiers en crédits.

« Cafpi doit rester la marque de référence du secteur du crédit immobilier. Nous sommes ravis de cet accompagnement qui va nous permettre de réaliser nos ambitions de développement, sans remettre en cause nos piliers fondamentaux, le tout dans le respect de nos partenaires de longue date », conclut Maurice Assouline.

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Investissement responsable : LBP AM et Tocqueville Finance réaffirment leur engagement actionnarial

La Rédaction
Le Courrier Financier

Pionniers de l’investissement responsable et gérant de conviction multi-spécialiste, La Banque Postale Asset Management (LBP AM) — société de gestion de La Banque Postale — et sa filiale Tocqueville Finance, dressent ce mercredi 21 juillet le bilan de la saison 2021 des assemblées générales (AG) et de leur politique d’engagement actionnarial.

Cohérence avec sa raison d'être

LBP AM a exercé son droit de vote sur plus de 90 % de ses investissements en actions lors de 630 Assemblées Générales, organisées par 586 sociétés dans 27 pays. Cette saison a été l’occasion pour LBP AM de « marquer une nouvelle étape dans son engagement en faveur de la transition juste, en termes de climat, de biodiversité, de respect pour les droits humains et, plus globalement, en matière de responsabilité sociale des entreprises ».

Cette position — cohérente avec la raison d’être de La Banque Postale — s’est traduite par le soutien aux résolutions externes (ou résolutions d’actionnaires) qui encouragent les entreprises à adopter des pratiques plus responsables, mais également par l'analyse des résolutions extra-financières proposées par les entreprises elles-mêmes (telles que le « Say on climate »). Dans ce cadre, LBP AM a soutenu 91 % des résolutions d’actionnaires relatives aux sujets environnementaux et sociaux.

Par ailleurs, sur les 10 477 résolutions votées, LBP AM n’en a pas soutenu 2 922 — soit 28 % du total des votes exprimés. Les votes en ce sens portaient principalement sur les élections au conseil (diversité, indépendance), les rémunérations des dirigeants, et les autorisations financières.

Enjeux ESG, au cœur des AG 2021

Dans le bilan des AG 2021 auxquelles le groupe a participé, LBP AM souligne l'importance des enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). Parmi eux, figurent notamment :

  • Le « Say on Climate », une nouveauté qui doit encore porter ses fruits

La saison 2021 des AG a mis en exergue l’émergence de la prise de conscience environnementale au sein des entreprises, notamment à travers les résolutions « climatiques ».  LBP AM se réjouit que le climat fasse ainsi l’objet d’un dialogue formel et public entre les entreprises et leurs actionnaires et a soutenu 10 résolutions « Say on Climate » sur les 14 auxquelles elle a voté.

Toutefois, certaines stratégies de transition énergétique présentées étaient parfois « insuffisamment précises et ambitieuses ». LBP AM continuera d’être attentif au suivi et à la précision des objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES), et à leur alignement avec la trajectoire de l’Accord de Paris sur le climat. Elle s’engage également à poursuivre le dialogue engagé avec le management de plusieurs sociétés pour les accompagner dans le processus complexe de transition.

  • Des progrès en matière de rémunération des dirigeants ;

Filiale d’un groupe public, LBP AM fait de la modération des rémunérations des dirigeants un principe de vote important, afin de préserver la cohésion sociale. A ce titre, elle constate les efforts mis en œuvre par certains dirigeants — qui ont renoncé à une partie de leur rémunération en période de crise. Le renforcement des critères RSE dans la rémunération variable est aussi une tendance positive observée en 2021. Le taux d’opposition aux résolutions relatives aux rémunérations s’est élevé à plus de 40 %.

  • A la recherche du « juste dividende » ;

Convaincue que la crise sanitaire et économique exige que les investisseurs contribuent aux efforts collectifs au même titre que les autres acteurs économiques (entreprises, salariés, fournisseurs, pouvoirs publics), LBP AM avait encouragé en 2020 la réduction des dividendes, voire leur suppression si nécessaire.

En particulier, LBP AM recommandait le non-versement dès lors que le groupe avait fait appel à l’aide de l’Etat et des pouvoirs publics — garantie publique de certains financements, recours au chômage partiel, etc. En 2021, LBP AM s’est opposée à près de 10 % des dividendes et 15 % des rachats d’actions.

Politique de vote...

En parallèle de sa politique de vote, LBP AM s’est une nouvelle fois associée à plusieurs initiatives de place dont :

  • 30 % Club France Investor Group : LBP AM s’est associée à 5 autres sociétés de gestion, représentant près de 3 000 milliards d’euros d’actifs sous gestion, afin d’accroître la représentation des femmes au sein des instances dirigeantes du SBF 120 de sorte qu’elle atteigne au moins 30 % en 2025. Maintenant composé de douze membres, le Groupe d’Investisseurs ne vise pas la mise en place de quotas obligatoires, mais soutient une approche volontaire visant à réaliser un changement significatif et durable au sein des entreprises.
  • Climate Action 100+ : aux côtés de près de 600 investisseurs, LBP AM est membre actif de l’initiative qui incite les plus grands émetteurs de gaz à effet de serre au monde à réduire leurs émissions et à améliorer leur gouvernance sur le climat. LBP AM a notamment participé aux échanges collectifs avec TotalEnergies et avec Engie.
  • Forum pour l’Investissement Responsable : LBP AM soutient activement les travaux du FIR, et en particulier leur campagne annuelle de questions écrites aux entreprises du CAC40 à l’occasion de leurs assemblées générales. Le FIR a posé en 2020 et en 2021 douze questions sur des thèmes tels que la biodiversité, le salaire décent ou la fiscalité.
  • Finance for Tomorrow : LBP AM a également rejoint la 1ere coalition mondiale d’engagement initiée par Finance for Tomorrow, qui représente 3 600 milliards d’euros, pour promouvoir une transition socialement juste vers des économies bas-carbone

...et initiatives fortes

« Cette saison 2021 des assemblées générales a confirmé, après une saison 2020 marquée par le choc de la crise sanitaire, la montée en puissance des thèmes chers à LBP AM en matière de transition juste » explique Guillaume Lasserre, Directeur adjoint de la Gestion de LBP AM.

« Les différentes résolutions déposées en matière de transition énergétique, de lutte contre les discriminations ou encore de rémunération de dirigeants tout comme les premières initiatives de Say on Climate proposées à cette occasion par plusieurs entreprises illustrent cette prise de conscience et l’évolution favorable des pratiques des entreprises », ajoute-il.

« Et parce que nous sommes convaincus que notre rôle d'actionnaire est un vecteur important d'impact dans l'alignement des sociétés sur les meilleures pratiques, LBP AM s’est efforcée d’intensifier encore son dialogue actionnarial avec les entreprises, outil clé pour améliorer l’analyse des résolutions, expliquer de façon constructive les motivations de nos oppositions et accompagner la transition juste de leurs activités », conclut-il.

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RSE : au service du capital humain et de la performance

Les équipes de Mandarine Gestion
Mandarine Gestion
Comment la stratégie RSE des entreprise intervient-elle dans la gestion du capital de l'entreprise ? Comment la soutenir à travers le dialogue actionnarial ? Augustin Vincent, Responsable de la Recherche ESG et Joyce Stevenson, Analyste ESG chez Mandarine Gestion, partagent leur analyse de juillet 2021.
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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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Gestion privée : le Groupe Cyrus rachète Amplegest

La Rédaction
Le Courrier Financier

Amplegest — société de gestion créée en 2007 — et le Groupe Cyrus annoncent ce mercredi 7 juillet être entrés en négociations exclusives pour l’acquisition de 100 % du capital d’Amplegest par Cyrus, sous réserve de l’autorisation de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF). C'est un rapprochement majeur pour le Groupe Cyrus et pour Amplegest.

Rester à taille humaine

Amplegest est une société entrepreneuriale en pleine croissance spécialisée en Gestion Privée, Family Office et Asset Management. Ses savoir-faire comportent une dimension ISR très forte et une large couverture de toutes les classes d’actifs (titres vifs, fonds actions, diversifiés, et obligataires). Son offre complètera les expertises du Groupe Cyrus et de ses deux filiales de gestion Invest AM et Eternam.

L’ambition commune du nouvel ensemble est d’atteindre une taille critique afin de mieux servir les clients, tout en conservant l'esprit entrepreneurial et l'indépendance qui font leur succès. Les associés d’Amplegest et l’actionnaire de référence Allinvest réinvestissent dans le Groupe. Les managers et salariés du nouvel ensemble détiendront 65 % du capital, le solde étant détenu par Bridgepoint Development Capital et Allinvest.

Le Groupe Cyrus, créé il y a 32 ans, comptera ainsi plus de 8 milliards d’euros d’actifs gérés — avec un chiffre d’affaire de 91 millions d’euros attendu en 2021 et près de 300 collaborateurs au service de ses clients en direct et en distribution externe. Cet ensemble de 19 bureaux reste à taille humaine, afin de conserver une forte proximité avec ses clients.

Devenir une « marque réflexe »

Amplegest sera toujours présidé par Arnaud de Langautier. Marie Saltiel rejoindra le Comité Exécutif du Groupe Cyrus et reste Directrice Générale d’Amplegest. Allinvest, représenté par Marc-Antoine Guillen, rejoindra le Comité de Supervision du Groupe Cyrus. Grâce au soutien actif de Bridgepoint Development Capital depuis son entrée au capital il y a bientôt 18 mois, le Groupe Cyrus s’impose ainsi comme l'un des principaux acteurs indépendants du wealth management en France.

« Cette opération est avant tout une rencontre entre Meyer et moi-même. Nous partageons les mêmes valeurs avec les dirigeants de Cyrus et tout est réuni pour continuer une belle histoire avec Invest AM, pour nos clients et nos salariés, dans un esprit de boutique », déclare Arnaud de Langautier, Président d’Amplegest. « Une aventure humaine, qui nous est apparue comme une évidence, avec l’ambition commune de devenir une marque réflexe de la gestion privée », commente Meyer Azogui, Président du Groupe Cyrus.

« Nous allons construire avec Amplegest et Invest AM un acteur solide, une gestion collective performante et une offre de gestion privée complète qui séduira nos clients internes et externes », conclut Christophe Mianné, Directeur Général du Groupe Cyrus et Président du Conseil d’Administration d’Invest AM.

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La Financière de l’Echiquier poursuit sa stratégie d’internationalisation et de diversification avec le fort soutien de ses actionnaires

La Rédaction
Le Courrier Financier

L’objectif réaffirmé des actionnaires de LFDE est d’apporter à la société tous les moyens nécessaires à la poursuite et à l’accélération de sa stratégie de croissance amorcée avec succès depuis 2019. Cette stratégie repose essentiellement sur le développement de LFDE en France et hors de France et sur la diversification de ses classes d’actifs et de sa clientèle.

Stéphane Vidal reste Président du Conseil d’Administration de LFDE en plus de son mandat de Président du groupe Primonial. 

Les fondamentaux de LFDE, qui font la force de sa pratique de gestion, restent parfaitement inchangés : 30 ans d’investissement dans les entreprises, une gestion de conviction, indépendante, performante et engagée, au service des clients et partenaires.

LFDE conservera son esprit résolument entrepreneurial, comme cela a été le cas depuis le rachat de LFDE par le groupe Primonial en 2019.

Les accords commerciaux et de distribution conclus entre LFDE et le groupe Primonial resteront actifs et continueront de soutenir la stratégie de croissance de LFDE. 

Depuis 2019 et l’amorce de sa stratégie de croissance externe et de diversification, LFDE a :

  • diversifié sa gamme de fonds – actions internationales et thématiques, fonds climat notamment –  offrant davantage de solutions pour davantage de profils : lancement d’Echiquier Alpha Major, fonds long couvert consacré aux leaders européens de la croissance durable, lancement d’un produit d’épargne retraite et d’une gestion pilotée ISR ;
  • renforcé l’ensemble de ses équipes, dans la gestion avec l’arrivée de nouveaux spécialistes, notamment dans l’ISR et les actions monde, mais aussi, plus généralement, dans l’ensemble de ses compétences afin d’assurer son développement (service clients, marketing,  compliance) ;
  • consolidé sa présence auprès de la clientèle institutionnelle et de particuliers ;
  • étendu ses activités sur le territoire mais aussi en dehors de France en renforçant sa présence sur certains marchés étrangers (Italie, Espagne, Suisse) ;
  • accéléré sa stratégie ISR, en allant plus loin sur l’impact : l’offre ISR et impact a dépassé les 50% des encours sous gestion soit 6 milliards d’encours au total,  avec 9 fonds labellisés ISR qui représentent 44% des encours sous gestion, et un 2ème fonds d’impact, sur le climat.

Cette stratégie de croissance va se poursuivre grâce à l’engagement des équipes de LFDE qui restent dirigées par Bettina Ducat, Directrice générale de LFDE, et par Olivier de Berranger et Bertrand Merveille, Directeurs généraux délégués. Le Comité exécutif de LFDE reste lui aussi inchangé.

« Avec nos actionnaires communs, le management et les collaborateurs de LFDE, nous comptons accélérer la stratégie de développement de ce fleuron de la gestion financière en élargissant ses classes d’actifs et en internationalisant sa distribution. Les synergies mises en place entre Primonial et LFDE au service des clients particuliers et institutionnels seront bien sûr conservées, avec des moyens renforcés et un potentiel de croissance plus important encore. », précise Stéphane Vidal, Président du Conseil d’Administration de LFDE.

Bettina Ducat, Directrice générale de LFDE, déclare: « Depuis l’arrivée du groupe Primonial au capital de LFDE en 2019, le profil de l’entreprise a beaucoup évolué. LFDE se développe avec succès à la fois géographiquement mais aussi en termes de diversification de ses classes d’actifs et de ses segments de clientèles. Cela va se poursuivre et même s’accélérer grâce au soutien des actionnaires actuels, désormais tous engagés en direct à notre capital. Ils partagent avec nous la conviction que notre stratégie, à la fois génératrice de performance pour LFDE et garante d’un modèle plus équilibré, créateur de stabilité, est la bonne. »

« Nous sommes ravis de la prise de participation dans LFDE en 2018 puis 2019. Nous sommes extrêmement impliqués dans la poursuite et l’accélération de la stratégie portée par le management de la société » déclarent Frédéric Pescatori (Bridgepoint), Philippe Léoni (Latour Capital), Mai NGuyen et Ingrid Bocris (Société Générale Assurances).

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Participation : Flornoy et Ferri Gestion unissent leurs forces

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le Groupe Premium annonce ce jeudi 24 juin avoir signé un protocole d’accord pour la prise de participation de Ferri Gestion à 100 % par sa filiale Flornoy. Cette opération donnera naissance à Flornoy Ferri, société de gestion entrepreneuriale avec 2 milliards d’euros d’encours sous gestion.

Ce sont deux entités aux noms historiques sur les marchés financiers qui s’unissent : Flornoy — société de gestion issue la fusion en 2020 entre Flornoy & Associés gestion et FOX Gestion d’Actifs — et Ferri Gestion — société de gestion fondée en 2006 par Sylvain Ferri et Nicolas Ferri, accompagnés de cinq associés.

L’opération devrait être finalisée avant la fin décembre 2021. Cette opération a reçu le soutien unanime des actionnaires du Groupe Premium et du Conseil d’Administration de Ferri Gestion. Elle reste soumise aux conditions suspensives d’usage, notamment le visa de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF).

ADN commun

Ferri Gestion et Flornoy se rapprochent fortes d’un ADN commun et d’importantes complémentarités. Flornoy, dont les encours s’élèvent aujourd’hui à 1,46 milliard d’euros, portera notamment ses actifs en gestion privée à près d’1 milliard d’euros.

Ferri Gestion, dont les encours s’élèvent à 540 M€, rejoindra quant à elle à travers cette opération une structure en fort développement, adossée au groupe Premium, et dotée d’une gamme de 16 fonds (actions, obligations, diversifiés et thématiques).

Au closing de l’opération, le nouvel ensemble formera une société de gestion entrepreneuriale de taille conséquente, qui réunira 40 collaborateurs et totalisera 2 milliards d’euros d’actifs sous gestion, répartis de façon équilibrée entre gestion privée et gestion collective.

3 milliards d'euros

« Je suis ravi de diriger Flornoy Ferri avec les frères Ferri à nos côtés (...) Ensemble nous sommes plus forts pour répondre mieux encore aux exigences de création de valeur de nos clients. Grâce à notre complémentarité et nos belles synergies je suis très enthousiaste sur la rapidité de notre intégration », déclare Benoit Jauvert, Président de Flornoy.

« Ce rapprochement avec Ferri Gestion constitue une avancée majeure dans la stratégie du Groupe Premium. Nous dépassons désormais les 3 milliards d’euros d’encours sous gestion et conseillés. Cette opération nous permet également de mieux équilibrer nos activités principales : le courtage de produits retraite et assurance vie, et la gestion d’actifs », commente Olivier Farouz, Président de Groupe Premium et PDG de Predictis.

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Empreinte carbone : 168 investisseurs soutiennent la campagne du CDP

La Rédaction
Le Courrier Financier
L’ONG Carbon Disclosure Project (CDP) — plateforme de reporting environnemental à but non lucratif — annonce ce mardi 21 juin que 168 investisseurs soutiennent son initiative dans 28 pays, afin […]

L'ONG Carbon Disclosure Project (CDP) — plateforme de reporting environnemental à but non lucratif — annonce ce mardi 21 juin que 168 investisseurs soutiennent son initiative dans 28 pays, afin d'inciter les entreprises à fort impact environnemental à publier leurs données par le biais du CDP. Parmi ces investisseurs figurent notamment Amundi, Covea, Ostrum AM, OFI AM, Legal & General Investment Management, La Financière de l’Echiquier, ODDO BHF AM ou encore Schroders.

Les 1 320 entreprises concernées représentent une capitalisation boursière mondiale de plus de 28 000 milliards de dollars US. Par ailleurs, elles émettent collectivement, selon les estimations, plus de 4 700 mégatonnes (Mt) d'équivalent dioxyde de carbone (CO2) par an, soit plus que l'ensemble de l'Union européenne (UE).

Plaidoirie pour la transparence

Cette mobilisation des investisseurs est coordonnée par la campagne de non-divulgation 2021 du CDP — qui vise à accroître la transparence environnementale des entreprises qui n'ont jamais publié leurs émissions ou qui ont cessé de le faire, par l'intermédiaire du CDP. La campagne de « non-divulgation » de l'année dernière a donné lieu au taux de réponse le plus élevé à ce jour, avec plus du double d'entreprises ayant publié des informations par rapport à 2019.

Cette opération montre également que les entreprises sont plus de deux fois plus susceptibles de le faire par le biais du CDP lorsqu'elles sont incitées directement par les investisseurs. La liste de ces entreprises comprend Aéroports de Paris, Bonduelle, Dassault Aviation et EssilorLuxottica, ainsi que des entreprises comme Netflix, Alibaba Group, Rio Tinto et Prada.

Avec 168 investisseurs, la campagne de cette année rencontre un engouement important. Le nombre d’investisseurs est en hausse (56 %) par rapport à l’année dernière. La dynamique de croissance des engagements de neutralité carbone et des investissements dans les produits durables prend de l’ampleur à l’approche de la COP26.

Mesurer l'impact climatique

Pour respecter ces engagements, les institutions financières doivent publier l’impact environnemental de leur portefeuille afin de mieux comprendre et de mieux gérer l'impact de leurs investissements. Les entreprises seront invitées à soumettre leur réponse aux investisseurs via la plateforme en ligne du CDP et les investisseurs communiqueront avec les entreprises au cours de l'été, avant la fermeture de la plateforme.

En 2021, un cinquième (20 %) des entreprises sélectionnées par les investisseurs communiquent déjà par le biais du CDP leur impact sur un thème précis : le changement climatique, les forêts ou la gestion durable de la ressource en eau. Elles sont incluses parce qu'elles ne divulguent pas encore de données sur un autre thème identifié comme important pour elles.

La majorité (58%) des entreprises ont été sélectionnées par les investisseurs afin qu’elles rapportent leur impact sur le changement climatique. Près d'un quart (21%), dont Bonduelle, Prada et Faurecia, ont été invitées à communiquer les données de leur impact sur au moins deux thèmes parmi le changement climatique, les forêts ou la gestion durable de l'eau.

Fournir des données fiables

« L'engagement des investisseurs est essentiel pour encourager la publication d'informations, une première étape majeure de l’engagement environnemental. Le changement climatique, la déforestation et la gestion durable de l'eau constituent une menace directe pour les investissements, et les entreprises qui ne publient pas leur impact courent le risque d'être distancées par leurs concurrents dans leur accès aux investissements », réagit Laurent Babikian, Directeur des marchés de capitaux au CDP Europe.

« Comme le démontre la croissance soutenue et le succès de cette campagne, les investisseurs ont besoin de données fiables, comparables et complètes. Pour que cela soit possible et pour les aider à définir et à atteindre leurs propres ambitions de neutralité carbone, ils attendent des entreprises qu'elles s'engagent pleinement vis-à-vis des normes alignées sur la TCFD en matière de publication de données environnementales », ajoute-il.

« Plutôt que de détourner l'attention, la pandémie de Covid-19 a conforté la nécessité des investisseurs de faire face aux risques systémiques mondiaux tels que le changement climatique, et le vent peut rapidement tourner contre les entreprises qui ne tiennent pas compte des demandes des investisseurs », conclut Laurent Babikian.

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La SCPI Pierre Expansion Santé cède un actif parisien

La Rédaction
Le Courrier Financier

Au terme d’une consultation restreinte, PIERRE EXPANSION SANTÉ a cédé un hôtel particulier d’environ 1 000 m² et ses dépendances, anciennement à usage de maison de retraite, au groupe DELTA IM, dans le cadre d’un projet de réaménagement en établissement d'enseignement.

Cette cession permet à la SCPI de dégager une plus-value conséquente sur un actif détenu depuis 1996, et à l’acquéreur d’associer un bâtiment historique à un programme neuf en cours de construction sur une parcelle contiguë.

Le site est intégralement pré-loué à un prestigieux établissement d’enseignement italien dans le cadre d’un bail de longue durée.

La SCPI PIERRE EXPANSION SANTÉ était conseillée par les sociétés Flabeau et BNP Paribas Real Estate, ainsi que par l’Etude Michelez Notaires.

L’acquéreur était conseillé par l’étude Monceau Notaires.

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L’ANACOFI Finance d’Entreprise innove avec son Observatoire des Signaux Faibles

La Rédaction
Le Courrier Financier

La section s’est renforcée par la mise en place d’une Commission Finance d’Entreprise pilotée par Jean-Louis PICOLLO qui s’appuie sur le soutien du Président Confédéral David CHARLET.

Composé d’une dizaine de professionnels reconnus, qui rencontrent au total près de 500 chefs d’entreprise par an, elle se réuni tous les 4 mois et elle apporte aux adhérents une réflexion et une visibilité sur leurs métiers, sur les bonnes pratiques, sur les formations, et initie des contacts qui viennent ainsi enrichir notre écosystème.

Pour 2024, la section Finance d’Entreprise innove avec son OBSERVATOIRE des SIGNAUX FAIBLES.
Loin des prévisions aléatoires et des statistiques utopiques, cet OBSERVATOIRE basé sur nos remontées du terrain, a pour objectif de donner une information rapide et synthétique à nos adhérents et aux clients de nos adhérents sur des indices naissants pouvant influencer les prises de décisions des prochains mois.

Les membres de la Commission Finance d’Entreprise :

  • Fabienne GRETEAU- COFINGEST
  • Sébastien ROUZAIRE – KERIUS FINANCE
  • Ludovic SARDA – PYTHAS CAPITAL
  • Guy COHEN – INGÉNIERIE SOCIALE
  • Florent GUIGUE – EMERGEANCES
  • Nathalie DESSEAUX et Franck MAGNE – EAVEST
  • Julien DRAY – UNCONFLICTED MANAGEMENT
  • Edouard SEGUIN – PIMENT & Co
  • Jean-Louis PICOLLO – RESOLVYS
    Invités : David GANDAR et Nébojsa SRECKOVIC.
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Rapport AFG sur le vote : ce qu’il faut retenir

François Lett
Ecofi
Dans son enquête 2020 sur l'exercice du droit de vote par les sociétés de gestion (SDG), l'Association française de gestion (AFG) dresse un bilan de cette pratique. Comment le vote en AG permet-il aux SDG d'exercer leur rôle de contrôle et d'amélioration de la gouvernance des entreprises ? Le point avec François Lett, Directeur du département éthique et solidaire chez Ecofi.
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DEE Tech lance le premier SPAC français dédié à la tech

La Rédaction
Le Courrier Financier

DEE Tech — constituée sous la forme d’un véhicule d’acquisition « Special Purpose Acquisition Company » (SPAC) — lance une augmentation de capital d’un montant de 150 millions d’euros, pouvant être portée à 195 millions d’euros en cas d’exercice intégral de la clause d’extension. L’offre est réservée aux investisseurs qualifiés. La société sera cotée sur le compartiment professionnel du marché réglementé d’Euronext Paris.

Alors que de nombreuses entreprises du digital ont été financées par le « venture » et le « private equity », DEE Tech ambitionne d’accompagner les fondateurs, les managers et les actionnaires dans une nouvelle étape de la vie de leur entreprise, en permettant, au travers d’un SPAC, une cotation qui ouvrira la voie au développement d’un acteur incontournable de la tech européenne.

Jusqu'au 23 juin prochain

L’équipe de DEE Tech mettra son expérience et ses expertises au service de l’entreprise dans sa stratégie de croissance externe, son développement géographique et commercial. Dans ce cadre, DEE Tech offre 15 millions d’unités (actions de préférence stipulées rachetables assorties de bons de souscription d’actions ordinaires de la société rachetables) pour un prix unitaire de 10 euros chacune, ce nombre étant susceptible d’être porté à 19,5 millions d’unités en cas d’exercice intégral de la clause d’extension.

Le montant de souscription minimal dans le cadre de l’augmentation de capital a été fixé à 1 million d’euros ; l’offre est réservée exclusivement à des investisseurs qualifiés en France et à l’étranger. En complément de leur investissement en tant que fondateurs, l’équipe de sponsors participera à l’offre pour un montant total de 40 millions d’euros.

L’offre débute le 17 juin 2021, et devrait se clôturer le 23 juin 2021 à 17h. La période d’offre est susceptible d’être réduite ou prorogée, sans préavis à tout moment. Dans ce cas, les nouvelles dates de règlement-livraison et d’admission aux négociations seraient rendues publiques par un communiqué de presse diffusée par la société. Le montant de souscription minimal dans le cadre de l’offre a été fixé à 1 million d’euros.

Un marché en pleine expansion

DEE Tech offre une opportunité d’investissement dans le secteur attractif de la tech, à fort potentiel de développement, bénéficiant de la digitalisation, tout particulièrement depuis la crise sanitaire. Grâce à son expertise de la tech, de ses réseaux, de ses évolutions et à l’expérience de ses fondateurs, DEE Tech bénéficie d’une stratégie d’acquisition différenciée, axée sur des critères méthodiques de sourcing

Les entreprises cibles de DEE Tech devront répondre à plusieurs lignes directrices et critères sélectifs, notamment :

  • être déjà présentes dans les secteurs technologiques avec un positionnement privilégié pour les solutions à la digitalisation et/ou à l’e-commerce ;
  • bénéficier d’une plateforme à fort potentiel de développement sur de nouveaux marchés, avec un plan de création de valeur clair pour assurer une croissance rentable après l’acquisition initiale ;
  • proposer une stratégie de croissance externe afin de consolider les savoir-faire du marché ;
  • être un acteur établi et de premier plan ayant son siège social ou opérant en Europe (y compris au Royaume-Uni) ou en Israël, bénéficiant d’une forte position sur le marché et d'une reconnaissance de marque de premier plan dans les secteurs du digital et/ou de l’e-commerce ;
  • créer un partenariat entre les fondateurs de DEE Tech et l’équipe de manageurs expérimentés pour accélérer la croissance et la valeur de l'entreprise ;
  • intégrer les principes ESG autour des 3P « People, Planet and Profit » et/ou soutenir et accompagner l'équipe de managers dans la réussite de son processus de transformation ;
  • accompagner l’équipe de managers dans sa stratégie globale de business development à travers l’accompagnement sur l’efficacité commerciale.

Investisseurs et entrepreneurs

La direction générale de DEE Tech sera assurée par Marc Menasé. Le conseil d’administration, présidé par Michael Benabou sera composé de MACSF Epargne Retraite (représentée par Roger Caniard) et IDI (représentée par Julien Bentz) aux côtés de Fanny Picard (fondatrice d’Alter Equity), Nathalie Balla (co-Présidente de La Redoute) et Inès de Dinechin (ancienne CEO d’Aviva Investors France), membres indépendants. Charles-Hubert de Chaudenay sera censeur au sein du conseil d’administration.

Acquisition initiale, rachat d’actions et liquidation

La société aura 24 mois à partir du jour de l’admission aux négociations des Actions de Préférence et des BSAR pour réaliser l’acquisition initiale. Dans le cas contraire, les actifs de la société seront liquidés et la quasi-totalité de l'excédent de liquidation, après règlement des créances des créanciers, sera distribuée à ses actionnaires et à ses fondateurs selon un ordre de priorité, tel que détaillé dans les statuts de la société et dans le prospectus.

Le projet d’acquisition initiale devra être préalablement approuvé par le conseil d’administration de DEE Tech, statuant à la majorité des membres composant le conseil d’administration, en ce compris la majorité des deux-tiers des membres indépendants composant le conseil d’administration (la « Majorité Requise »). A l’issue de cette approbation, la société publiera un avis incluant une présentation détaillée de l’acquisition initiale (l’« Avis d’Acquisition Initiale »).

La publication de l'Avis d’Acquisition Initiale, les actionnaires de la société titulaires d’Actions de Préférence pourront demander à la Société, pendant une période de 30 jours calendaires suivant l’Avis d’Acquisition Initiale, le rachat de leurs Actions de Préférence à un prix de 10,00 euros par Action de Préférence, sous réserve de respecter certaines conditions décrites dans les statuts de la société et dans le prospectus. 

MACSF Epargne Retraite, IDI et Michaël Benabou se sont engagés à ne pas demander le rachat des Actions de Préférence qu’ils détiendront du fait de leur participation à l’offre en cas d’approbation d’une acquisition initiale par le conseil d’administration à la majorité requise.

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