Immobilier de bureaux : télétravail, quel avenir après le déconfinement ?

La Rédaction
Le Courrier Financier

Perial Asset Management (Perial AM) — spécialiste de l’investissement immobilier, filiale à 100 % du groupe Perial — publie ce mardi 21 juillet les résultats de son dernier sondage sur le télétravail et l'usage de l'immobilier de bureaux. Cette enquête a été réalisée du 23 au 25 juin 2020 avec l'institut Ipsos, auprès de 700 salariés travaillant en bureau, issus d’un échantillon représentatif de Français âgés de 18 ans et plus.

La crise du coronavirus va-t-elle obliger les employeurs et les entreprises à repenser totalement l’organisation du travail de leurs salariés. Quels ont été les impacts du déconfinement sur la pratique du télétravail ? Le recours au télétravail a-t-il continué d’augmenter ? S’est-il maintenu ? Est-ce qu’il y a eu un « retour à la normale » ? Quelle place aura le télétravail dans les prochains mois ? Va-t-il à terme remplacer le travail sur site ?

Télétravail, un état des lieux

Si le télétravail s’est imposé pendant le confinement, il y a un mouvement de reflux depuis le déconfinement : plus d’un salarié sur deux déclare ne pas être en télétravail.

  • Avant le confinement, seulement 18 % des salariés travaillant en bureau faisaient du télétravail, en moyenne 0,4 jours par semaine (contre 82% qui n’en faisaient jamais) ;
  • Tout a changé pendant le confinement. 65 % des salariés en bureau sont passés en télétravail, durant presque trois jours par semaine en moyenne. A l’époque déjà, moins d’un salarié sur deux travaillait en télétravail toute la semaine (47 % étaient en télétravail pendant cinq jours) ;
  • A l’aube de la troisième phase de déconfinement, nous avons observé un mouvement de reflux puisque désormais la majorité des salariés évoluant en bureau ne travaillent plus du tout en télétravail (55 %).

Diversifier les modes de travail

A l’opposé, 45 % continuent à faire du télétravail mais le nombre de jours moyens travaillés à la maison a chuté de moitié (1,5 jours). Plus d’un tiers des salariés travaillant en bureau prévoient de recourir régulièrement au télétravail à partir de septembre. Seule une minorité des salariés ayant télétravaillé pendant le confinement estime qu’elle y aura régulièrement recours, à jours fixes à partir de septembre (38 %).

Toutefois, un tiers des salariés a décidé de le pratiquer occasionnellement (32 %), que ce soit par choix, pour se concentrer (24 %) ou par obligation, pour des problèmes de garde d’enfants ou de livraison par exemple (8 %). Un autre petit tiers (30 %) considère quant à lui qu’il n’en fera jamais ou presque jamais. Pour la majorité des salariés, le travail sur site en bureau ne pourra jamais être remplacé par le télétravail.

Seules 15 % des personnes interrogées considèrent que le télétravail va se généraliser. La majorité s’accorde plutôt à dire que le télétravail va se développer en complémentarité du travail sur site, sans jamais le remplacer (57 %). Il est aussi intéressant de noter le décalage existant entre hommes et femmes. La « charge mentale » a rendu compliqué la période de confinement pour 45% des femmes, soit presque une femme sur deux (contre 37 % pour les hommes). Les inégalités de genre ont donc été exacerbées durant le confinement.

Quel avenir pour les bureaux ?

Plus d’un quart des salariés de bureau estiment même que le télétravail est « un phénomène qui sera beaucoup moins pratiqué à la fin de l’épidémie de coronavirus » (28 %). Sur les différents modèles de travail envisageables, s’ils avaient le choix, 45 % travailleraient la moitié du temps au bureau et l’autre moitié du temps depuis leur domicile, tandis que 38 % travailleraient tout le temps sur site avec leurs collègues et rarement en télétravail. Seulement 17 % feraient le choix du « tout télétravail ».

« Cette étude menée par Ipsos à la demande de Perial AM appuie notre conviction d’un temps de travail partagé entre bureau, télétravail et nomadisme. Loin de remplacer le bureau, le télétravail renforce au contraire la nécessité du bureau pour faire société et incarner la stratégie des entreprises », précise, Loïc Hervé, Directeur Général Délégué de Perial AM.

Eric Cosserat, Président de Perial AM, ajoute : « Chez Perial AM, nous sommes convaincus que le bureau restera plus que jamais central dans l’organisation du travail. Il va s’adapter aux nouveaux besoins des utilisateurs qui souhaitent plus de bien-être au travail, de flexibilité d’usage et de sécurité sanitaire. Le bureau de demain sera plus Responsable ».

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Les Tables Rondes du Courrier Financier – Episode #3 Spéciale SCPI, présenté par Jonathan Dhiver

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
La 3e édition des Tables Rondes du Courrier Financier a réuni le 24 juin 2020 Philippe Delhotel, Directeur Commercial pour La Française AM , Jean-Baptiste Odin , Directeur du Développement pour Amundi Immobilier et Romain Calbert, Directeur des Partenariats pour Atland-Voisin. Présenté par Jonathan Dhiver.
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SCPI et télétravail : gare aux conclusions trop hâtives !

La Centrale des SCPI
Sereniteo Investissement
PUBLI-RÉDACTIONNEL / « Celui qui se contente de suivre la foule n'ira jamais plus loin qu'elle » nous enseigne Albert Einstein. En effet, il ne vaut mieux pas écouter les commentaires infondés sur la toile qui crient la fin des bureaux.
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Covid-19, les adhérents de PLANETE CSCA mobilisés face à la crise sanitaire

La Rédaction
Le Courrier Financier

Les principaux enseignements sont :

• Une forte résilience des entreprises, qui ont été capables de réagir pour assurer la continuité de services,

• Une forte résilience des entreprises, qui ont été capables de réagir pour assurer la continuité de services,

• Une relation-client malmenée par les conditions d’exercice des activités, mais renforcée par le dialogue,

• Une possible ré-organisation du travail, prenant en compte le télétravail, dans une majorité de cabinets,

• Un recours responsable aux dispositifs mis en place par l’Etat,

• Une anticipation de la part des cabinets de courtage sur les sujets sanitaires, même pour les courtiers de proximité,

• Globalement une bonne connaissance des enjeux dans cette période et une mobilisation sans faille.

Pour Bertrand de SURMONT, Président de PLANETE CSCA, les résultats de ces enquêtes font apparaître l’inquiétude qui monte chez les courtiers : « Les dispositifs mis en place montrent leurs limites pour les cabinets de courtage, car les répercussions sur leur chiffre d’affaires se fera sentir dans les mois à venir. Il est nécessaire de les adapter ou de les
maintenir au-delà du déconfinement. C’est pourquoi PLANETE CSCA se met en position de mener une enquête mensuelle nouvelle portant principalement sur l’évolution du chiffre d’affaires et de la trésorerie des cabinets de courtage ».

Ce Baromètre de l’activité des courtiers démarrera fin mai sur une base mensuelle ; il est prévu pour perdurer jusqu’à la fin du 1er trimestre 2021.
En parallèle, l’enquête sur le suivi de l’accord de branche professionnelle relatif aux congés payés (accord du 6 avril 2020) se poursuivra jusqu’à fin juin 2020 comme prévu avec les organisations syndicales.

Pour accéder aux résultats des enquêtes d’avril et mai 2020

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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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Digitalisation : qui sont les acteurs cachés ?

Les équipes de Mandarine Gestion
Mandarine Gestion
Face à la crise sanitaire, la digitalisation s'affirme comme un enjeu stratégique. Cette thématique offre de nombreuses opportunités d'investissement dans des valeurs de croissance, en dehors des mastodontes du secteur. Comment identifier ces acteurs cachés ? L'éclairage de l'équipe Croissance de Mandarine Gestion.
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Confinement : aucune incidence fiscale pour les travailleurs frontaliers

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le cabinet d'avocats CMS Francis Lefebvre Avocats — spécialiste des affaires internationales — publie ce mardi 28 avril une note sur l'absence d'incidence fiscale du confinement pour les travailleurs frontaliers français. Pendant la crise sanitaire du coronavirus, le cabinet apporte son expertise sur les mesures légales exceptionnelles prises par les Etats.

Télétravail et régimes d'imposition

Les règles d’imposition applicables aux travailleurs frontaliers domiciliés en France seront-elles modifiées par le télétravail rendu obligatoire en raison du confinement ? C’était la crainte que pouvait susciter le principe selon lequel l’activité doit être exercée exclusivement dans la zone frontalière de l’autre Etat et non en France.

L’Administration a toutefois annoncé le 19 mars 2020 qu’un accord a été trouvé avec les Etats voisins, afin d’éviter que les restrictions de déplacement entraînées par l’épidémie de Covid-19 ne conduisent à modifier le lieu d’imposition des salaires perçus par les travailleurs frontaliers.

Français en Belgique, Suisse, Allemagne et au Luxembourg

Sont prioritairement concernés les frontaliers travaillant en Belgique, en Suisse ou en Allemagne, qui ne peuvent normalement travailler hors de la zone frontalière que dans la limite d’un certain nombre de jours par an, sous peine de devenir imposables à l’étranger. Cette limite, fixée par des accords amiables complétant les conventions fiscales bilatérales, s’élève à 30 jours pour la Belgique et à 45 jours pour la Suisse et l’Allemagne.

L’Administration a indiqué qu’un accord a été trouvé avec la Belgique et la Suisse en vertu duquel les jours télétravaillés en France à compter du 14 mars 2020 et jusqu’à nouvel ordre ne seront pas pris en compte pour le décompte de la limite normalement applicable. Elle a également souligné que l’accord amiable franco-allemand autorise déjà le télétravail à domicile. Il prévoit en effet que « les activités exercées dans la zone frontalière de l’État de résidence du salarié sont réputées effectuées dans la zone frontalière » de l’autre Etat. La situation de ces contribuables restera par conséquent inchangée.

Les frontaliers français travaillant au Luxembourg sont quant à eux normalement imposables dans cet Etat, mais peuvent devenir imposables en France s’ils y travaillent plus de 29 jours par an — et non à compter du premier jour de travail en France : la tolérance de 29 jours est prévue par le point 3 du protocole attaché à la convention du 20 mars 2018, entrée en vigueur au 1er janvier 2020. Là encore, il a été convenu que les jours télétravaillés en France pendant la crise ne seront pas pris en compte pour le calcul des 29 jours, les autorités des deux Etats considérant que la situation actuelle constitue un cas de force majeure.

Quid des autres frontaliers ?

L’Administration ne s’est pas prononcée sur le cas des frontaliers exerçant leur activité en Espagne ou en Italie, eux aussi exclusivement imposables en France en vertu de régimes dérogatoires. En principe, ces régimes impliquent que le salarié retourne chaque jour à son domicile en France.

Contrairement aux hypothèses précédentes, aucun accord amiable n’a été conclu entre les Etats pour préciser si, et le cas échéant dans quelle mesure, l’activité peut être exercée hors de la zone frontalière de l’autre Etat. Nous pouvons raisonnablement penser que le caractère exceptionnel de la situation actuelle permet, aux yeux de l’ensemble des administrations concernées, de justifier l’exercice temporaire de l’activité en France.

Accords bilatéraux à l'étranger

On notera que le secrétariat de l’OCDE a publié le 3 avril 2020 une première analyse des effets du confinement sur l’application des conventions fiscales, dont l’un des volets concerne précisément les travailleurs frontaliers. Cette analyse souligne que « des circonstances exceptionnelles appellent un niveau exceptionnel de coordination internationale afin de limiter les coûts administratifs pour les employeurs et les salariés subissant une modification involontaire de leur lieu d’activité ».

A cet égard, la prise de position de l’administration française, intervenue dès les premiers jours de confinement et avant même la publication de l’analyse de l’OCDE, mérite d’être saluée. Certains Etats sont allés encore plus loin et ont d’ores et déjà conclu des accords bilatéraux pour régir l’imposition des rémunérations versées pendant la période de confinement.

L’Allemagne a ainsi conclu pas moins de trois accords les 3, 6 et 15 avril 2020 avec, respectivement, le Luxembourg, les Pays-Bas et l’Autriche, afin notamment de préciser l’étendue et les modalités de la non-prise en compte des jours télétravaillés. Ces accords précisent par ailleurs les modalités d’imposition des indemnités versées au titre de l’activité partielle. L’avenir dira si de tels accords sont également nécessaires du côté français.

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Formation : NextStage AM organise deux webinaires en Private Equity et apport-cession

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
En pleine période de coronavirus, le télétravail et les formations à distance battent leur plein. En mars 2020, Nexstage AM propose deux nouveaux webinaires aux professionnels de la finance. Au programme, produits de remploi et capital-investissement. Plus d'informations avec Le Courrier Financier.
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Deux salariés français sur trois sont favorables au télétravail

La Rédaction
Le Courrier Financier
Le télétravail a la cote auprès des salariés français. Près des deux tiers (64 %) d’entre eux sont favorables à cette organisation du travail qui permet d’exercer une activité professionnelle en dehors des locaux de son employeur, selon l’étude Randstad Award.
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La SCPI Pierre Expansion Santé cède un actif parisien

La Rédaction
Le Courrier Financier

Au terme d’une consultation restreinte, PIERRE EXPANSION SANTÉ a cédé un hôtel particulier d’environ 1 000 m² et ses dépendances, anciennement à usage de maison de retraite, au groupe DELTA IM, dans le cadre d’un projet de réaménagement en établissement d'enseignement.

Cette cession permet à la SCPI de dégager une plus-value conséquente sur un actif détenu depuis 1996, et à l’acquéreur d’associer un bâtiment historique à un programme neuf en cours de construction sur une parcelle contiguë.

Le site est intégralement pré-loué à un prestigieux établissement d’enseignement italien dans le cadre d’un bail de longue durée.

La SCPI PIERRE EXPANSION SANTÉ était conseillée par les sociétés Flabeau et BNP Paribas Real Estate, ainsi que par l’Etude Michelez Notaires.

L’acquéreur était conseillé par l’étude Monceau Notaires.

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L’ANACOFI Finance d’Entreprise innove avec son Observatoire des Signaux Faibles

La Rédaction
Le Courrier Financier

La section s’est renforcée par la mise en place d’une Commission Finance d’Entreprise pilotée par Jean-Louis PICOLLO qui s’appuie sur le soutien du Président Confédéral David CHARLET.

Composé d’une dizaine de professionnels reconnus, qui rencontrent au total près de 500 chefs d’entreprise par an, elle se réuni tous les 4 mois et elle apporte aux adhérents une réflexion et une visibilité sur leurs métiers, sur les bonnes pratiques, sur les formations, et initie des contacts qui viennent ainsi enrichir notre écosystème.

Pour 2024, la section Finance d’Entreprise innove avec son OBSERVATOIRE des SIGNAUX FAIBLES.
Loin des prévisions aléatoires et des statistiques utopiques, cet OBSERVATOIRE basé sur nos remontées du terrain, a pour objectif de donner une information rapide et synthétique à nos adhérents et aux clients de nos adhérents sur des indices naissants pouvant influencer les prises de décisions des prochains mois.

Les membres de la Commission Finance d’Entreprise :

  • Fabienne GRETEAU- COFINGEST
  • Sébastien ROUZAIRE – KERIUS FINANCE
  • Ludovic SARDA – PYTHAS CAPITAL
  • Guy COHEN – INGÉNIERIE SOCIALE
  • Florent GUIGUE – EMERGEANCES
  • Nathalie DESSEAUX et Franck MAGNE – EAVEST
  • Julien DRAY – UNCONFLICTED MANAGEMENT
  • Edouard SEGUIN – PIMENT & Co
  • Jean-Louis PICOLLO – RESOLVYS
    Invités : David GANDAR et Nébojsa SRECKOVIC.
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