La Place de Paris pleinement mobilisée pour faire face à l’épidémie de COVID-19

La Rédaction
Le Courrier Financier

Outre les nombreuses actions de solidarité développées dans les entreprises de la Place de Paris, au niveau de leurs salariés (plateformes d’entraide, actions de solidarité internes et vers l’extérieur, etc.), un dispositif puissant a été mis en place par les pouvoirs publics et des initiatives fortes ont été lancées par les banques, assurances, sociétés de gestion et acteurs du capital investissement dans leurs différents secteurs.
Le gouvernement a annoncé plusieurs mesures d’ordre économique exceptionnelles en faveur des entreprises impactées, notamment :

• Délais de paiement d'échéances sociales et/ou fiscales ;
• Remise d’impôts directs ;
• Report du paiement des loyers, factures d’eau, de gaz et d’électricité ;
• Fonds de solidarité pour les TPE, indépendants et micro-entrepreneurs ;
• Prêt garanti par l’Etat ;
• Rééchelonnement des crédits bancaires ;
• Dispositif de chômage partiel ;
• Médiateur des entreprises en cas de conflit ;
• Marchés publics : les pénalités de retard ne seront pas appliquées ;
• Plan de soutien aux entreprises françaises exportatrices.

Bpifrance a par ailleurs mis en place un plan d’actions inédit incluant les mesures suivantes :
• Octroi de la garantie Bpifrance pour les prêts de trésorerie accordés par les banques privées ;
• Prolongation des garanties classiques des crédits d’investissement sans frais de gestion ;
• Suspension de l’appel des échéances en capital et intérêts de la majorité des financements octroyés par Bpifrance ;

• Prêts de soutien à la trésorerie.

Des initiatives sectorielles de soutien aux entreprises sont également mises en œuvre par les entreprises industrielles, fédérations, banques, assurances, sociétés de gestion et acteurs du capital investissement.

Les banques françaises ont mis en place :
• Des procédures accélérées d’instruction de crédit pour les situations de trésorerie tendues ;
• Un report des remboursements de crédits pour les entreprises ;
• Une suppression des pénalités et coûts additionnels de reports d’échéances et de crédits ;
• Un dispositif inédit permettant à l'Etat de garantir pour 300 milliards d'euros de prêts. Le montant des prêts accordés s’élève actuellement à 100 milliards d’euros et les demandes atteignent 3 milliards d’euros par jour ouvré. A noter un très faible taux de refus (2,6%).
Quant à eux, les organismes représentatifs des investisseurs ont appelé leurs adhérents à :
• Suspendre le recouvrement des loyers et charges ;
• Prendre des mesures automatiques pour soutenir la trésorerie des plus petits locataires ;
• Annuler trois mois de loyers pour leurs locataires TPE dont l’activité est interrompue ;
• Engager des discussions avec leurs locataires en difficultés ;
• Rédiger avec les fédérations de commerçants un code de bonne conduite.
De leur côté, les assureurs ont pris l’engagement de :
• Conserver en garantie les contrats des entreprises en difficulté en cas de retard de paiement suite à la pandémie, et ce pour toute la durée de la période de confinement ;
• Commercialiser des offres de couvertures de crédits inter-entreprises selon un nouveau dispositif bénéficiant d’une réassurance par l’État ;
• Dessiner un nouveau dispositif d’assurance qui permettra de mieux protéger les entreprises contre les conséquences économiques d’un événement majeur tel que cette épidémie ;
• Doubler leur participation au fonds de solidarité mis en place par les pouvoirs publics pour venir en aide aux petites entreprises en crise, portant ainsi leur contribution à 400 milliards d’euros ;
• Mettre en place un programme d’investissement de 1,5 milliard d’euros pour soutenir la
reprise économique et notamment les ETI, les PME et le secteur de la santé. Jusqu’à 150 millions d’euros seront dédiés au secteur du tourisme ;
• Lancer, avec la Caisse des Dépôts et Consignations, un fonds de financement des PME-ETI en fonds propres et en dette de 2 milliards d’euros à travers les fonds Nova, Novo, Novi.

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Marchés financiers : envolée de la dette publique

Marc Riez
VEGA IM
Face à la crise économique, les Etats multiplient les mesures budgétaires et monétaires exceptionnelles. Résultat, le déficit public a bondi de manière spectaculaire. Que faire de toute cette dette ? Marc Riez, Directeur Général VEGA Investment Managers, partage son analyse.
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Coronavirus : ces idées que la crise a balayées

Bastien Drut
CPR AM
Qui dit crise économique dit également cartes rebattues en termes de politiques économiques. Quels changements pouvons-nous déjà observer face au Covid-19 ? L'éclairage de Sébastien Drut, Stratégiste Senior chez CPR AM.
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Alexandre Bardin – Rubypayeur : coronavirus et recouvrement de factures, « 50 % des créanciers acceptent un échéancier »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
En pleine crise du coronavirus, les entreprises sont davantage confrontées aux retards de paiement de leurs partenaires et clients. De quelle marge de manœuvre disposent les experts-comptables ? Comment gérer le recouvrement de créances dans ce contexte exceptionnel ? Alexandre Bardin, fondateur de Rubypayeur, répond au Courrier Financier.
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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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Courtage d’assurances : Covid-19, un accord de branche sur la prise de congés

La Rédaction
Le Courrier Financier

Dans le cadre de la crise sanitaire, la branche professionnelle du courtage d'assurance annonce ce mardi 7 avril la signature d'un accord sur la prise de congés. « L'activité des entreprises de courtage d'assurances et de réassurances commence à ressentir les premiers effets de la crise sanitaire Covid-19. A terme, cette crise aura un impact certain sur la santé économique et financière de nos entreprises », déclarent les partenaires sociaux.

Télétravail et emplois sauvegardés

Dans un communiqué commun, PLANETE CSCA et les six organisations syndicales représentatives de la branche — la C.F.E.-C.G.C., la C.F.D.T., la SN2A-C.F.T.C., la C.G.T., la C.G.T./F.O. et l'U.N.S.A. — déclarent prendre « toute la mesure de la situation actuelle et à venir ». Les partenaires sociaux de la branche professionnelle rappellent qu'en période de confinement, « le télétravail doit être le mode de travail privilégié pour tous les postes qui le permettent. Il doit être généralisé et maintenu pendant cette période ».

Les entreprises et les salariés de la branche professionnelle sont également invités à « contribuer, chacun pour partie, à la mise en œuvre d'un effort sans précédent de solidarité et de responsabilité pour adapter les organisations et soutenir l'activité des entreprises, même à la baisse ». Objectif pour la profession, « sauvegarder la pérennité des cabinets de courtage » afin de « maintenir le niveau d'emploi pendant toute la durée de l'actuel confinement, et lors de la sortie de crise ». 

Accord sur 6 jours de congés payés

Dans ce cadre, les partenaires sociaux de la branche professionnelle du courtage d'assurances ont examiné les dispositions prévues par l'article premier de l'ordonnance du 25 mars 2020 « portant mesures d'urgence pour faire face à l'épidémie de Covid-19 ». Ce texte permet l'aménagement temporaire de la prise des congés payés, sous réserve notamment de la conclusion d'un accord collectif de branche.  

Ils ont donc entamé une négociation, qui a permis de conclure un accord de branche à durée déterminée relatif aux congés payés. Cette décision permet à l'employeur de décider de la prise de 6 jours de congés payés acquis par le salarié, ou de modifier unilatéralement les dates de prise de congés payés.

Les partenaires sociaux de la branche s'engagent à se réunir « au moins tous les quinze jours pour assurer un suivi du présent accord ». Plus largement, ils en profiteront pour faire un point sur la crise sanitaire et son impact sur l'organisation des entreprises de la branche professionnelle.

De l'importance de la solidarité

« Dans ce contexte difficile, la solidarité est indispensable pour préserver les emplois. Je remercie toutes les parties prenantes pour la qualité du dialogue que nous avons eu, permettant de trouver un accord qui évitera, j'en suis persuadé, un recours au chômage partiel voire à terme, la disparition de certains postes », déclare Roy de TAO, Président de la CPPNI et Vice-Président de PLANETE CSCA en charge des Affaires sociales.

Les partenaires sociaux tiennent à présenter un front uni. « Signer ce texte est le gage de la responsabilité des partenaires sociaux dans la branche professionnelle du courtage », souligne Thierry Tisserand, Secrétaire Général Adjoint de la fédération CFDT des Banques et Assurances (FBA CFDT), chef de file de la délégation CFDT dans la branche courtage.

Marguerite Weber, Secrétaire générale de la CFE-CGC exprime par ailleurs le soutien de son organisation aux TPE/PME de la branche professionnelle du courtage : « Dans les grandes entreprises, nous avons toujours la possibilité de trouver un accord, ce qui n'est pas toujours le cas pour les courtiers de proximité. Nous souhaitions marquer, par la signature de cet accord, notre engagement envers les salariés des petites structures. »

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Coronavirus : le Sénat auditionne Bruno Le Maire sur la relance économique

La Rédaction
Le Courrier Financier

« Coronavirus : comment éviter un naufrage économique et préparer la relance ? » C'est en ces termes que la commission des affaires économiques du Sénat à Paris a auditionné ce lundi 6 avril — en visioconférence pendant deux heures et demie — le ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire, sur la mise en œuvre du plan d’urgence. La semaine dernière, la commission a mis en place sept cellules sectorielles de suivi de l’application des mesures de soutien économique sur le terrain.

Leur travail a nourri plus d’une centaine de questions au ministre. Les sénateurs ont abordé les différents volets du plan d’urgence et de soutien à l’économie : fonds de solidarité, reports de charges, activité partielle, rôle des banques et des assurances, arrêt des chantiers, problèmes d’approvisionnement, versement des dividendes, recapitalisations publiques… Le ministre a annoncé plusieurs ajustements.

https://twitter.com/Senat/status/1247155561776332800

Solidarité économique

Les critères d’éligibilité au fonds de solidarité devraient être revus d’ici la fin de la semaine. La période de référence pour le calcul de la baisse du chiffre d’affaires — actuellement, le mois de mars 2019 — devrait être élargie afin de faciliter et d’amplifier le recours aux subventions de ce fonds ; de même, une prise en compte spécifique des professions aux rythmes particuliers de revenu (comme les architectes, par exemple) devrait être prévue. Bruno Le Maire a également indiqué qu'une réflexion sur un éventuel report des soldes d’été a été engagée.

Le ministre a annoncé qu’il saisissait le médiateur du crédit des difficultés rencontrées par certaines professions (agents immobiliers, etc.) en matière d’accès aux prêts de trésorerie garantis par l’État. Il n’a pas non plus fermé la porte à d’éventuelles annulations de charges sociales et fiscales pour les entreprises les plus durement frappées par le virus, au cas par cas.

Concernant la faiblesse des fonds propres des entreprises françaises, le ministre a évoqué la possibilité de nationaliser temporairement certaines entreprises fragilisées ou d’intervenir par le biais d’un apport de fonds propres, en particulier dans les secteurs stratégiques de l’économie.

Quelle sortie de crise ?

Les sénateurs ont également évoqué devant le ministre les perspectives de sortie de crise. La souveraineté économique, les transitions énergétique et numérique, le soutien à l’investissement, le rééquilibrage des relations extérieures et la relance du projet européen sont apparus comme autant de leviers à mobiliser. Objectif, contrer les effets délétères de la crise sur le tissu productif, l’emploi et les finances publiques.

Pour ce qui concerne la transition énergétique, le ministre a exprimé son inquiétude sur le financement des énergies renouvelables, imputable à la chute des recettes des taxes intérieures de consommation sur l’énergie, ainsi que la nécessité d’une réindustrialisation à l’échelle européenne, à l’instar des projets déjà lancés dans le domaine des batteries électriques.

Les sénateurs ont insisté auprès du ministre sur la nécessité de prévoir un plan de relance spécifique pour les secteurs les plus affectés — comme l’automobile, l’aéronautique ou le tourisme ; autant de secteurs structurants pour l’économie française.

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Marchés financiers : les lumières au milieu du tunnel

Olivier de Berranger
LFDE
Utiliser son smartphone, ouvrir le journal ou encore allumer la télévision, tant de gestes anodins nous ramènent vers un flot de nouvelles anxiogènes liées à un seul et unique thème : le coronavirus. Ce drame sanitaire bouleverse la vie des individus, des entreprises et des institutions. Petit inventaire, non exhaustif, des bonnes nouvelles sur le front de la crise.
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ESS : le fonds NovESS prend une participation chez Rutabago

La Rédaction
Le Courrier Financier

Porté par la Banque des Territoires en partenariat avec un club de grands investisseurs institutionnels, le fonds NovESS — dédié au financement de l’Économie Sociale et Solidaire — annonce ce mercredi 11 septembre une prise de participation de 300 000 euros sous la forme d’actions, dans l'entreprise Rutabago. Ce service de livraison à domicile propose des paniers prêts-à-cuisiner certifiés 100 % bio.

Cette prise de participation s’inscrit dans un tour de table de 1,8 million d’euros, levé uniquement auprès d’acteurs reconnus et spécialisés dans l’ESS : Biocoop, NovESS, la Fondation Daniel et Nina Carasso, Club Invest IDF et Lita.co. D’autres acteurs financiers et institutionnels — dont la Nef et la Région Île-de-France — ont également apporté leur soutien financier à la société. Cette opération doit permettre à Rutabago de développer sa logistique et de renforcer sa notoriété. La société vise une croissance de 200 % en 2019, avec l’objectif d'1 million de repas livrés en France d’ici 2020.

Focus sur Rutabago

Créée en 2016, Rutabago propose un service de livraison unique sur le marché français de paniers repas prêts-à-préparer certifiés 100 % bio. Chaque mois, la société livre 20 000 paniers. Elle a permis d’éviter plus de 6 tonnes de gaspillage alimentaire depuis sa création, grâce au prédosage des ingrédients et aux dons aux épiceries solidaires. 85 % des repas livrés depuis 2016 sont végétariens, la société ayant pour ambition d’amener les consommateurs à une alimentation plus respectueuse de l’environnement et du bien-être animal, en réduisant la part de viande dans son offre.

« La démarche de Rutabago allie préservation de l’environnement et engagement solidaire. Son business model solide et son positionnement unique sur un marché très porteur nous a convaincu de l’accompagner afin qu’elle puisse accélérer son développement et changer d’échelle. D’ici 2020, le marché mondial pour les paniers prêts-à-cuisiner est estimé à 10 milliards de dollars et la France pourrait capter jusqu’à 5 % de ce marché », déclare Christophe Deconinck, gérant du fonds NovESS.

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La SCPI Pierre Expansion Santé cède un actif parisien

La Rédaction
Le Courrier Financier

Au terme d’une consultation restreinte, PIERRE EXPANSION SANTÉ a cédé un hôtel particulier d’environ 1 000 m² et ses dépendances, anciennement à usage de maison de retraite, au groupe DELTA IM, dans le cadre d’un projet de réaménagement en établissement d'enseignement.

Cette cession permet à la SCPI de dégager une plus-value conséquente sur un actif détenu depuis 1996, et à l’acquéreur d’associer un bâtiment historique à un programme neuf en cours de construction sur une parcelle contiguë.

Le site est intégralement pré-loué à un prestigieux établissement d’enseignement italien dans le cadre d’un bail de longue durée.

La SCPI PIERRE EXPANSION SANTÉ était conseillée par les sociétés Flabeau et BNP Paribas Real Estate, ainsi que par l’Etude Michelez Notaires.

L’acquéreur était conseillé par l’étude Monceau Notaires.

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L’ANACOFI Finance d’Entreprise innove avec son Observatoire des Signaux Faibles

La Rédaction
Le Courrier Financier

La section s’est renforcée par la mise en place d’une Commission Finance d’Entreprise pilotée par Jean-Louis PICOLLO qui s’appuie sur le soutien du Président Confédéral David CHARLET.

Composé d’une dizaine de professionnels reconnus, qui rencontrent au total près de 500 chefs d’entreprise par an, elle se réuni tous les 4 mois et elle apporte aux adhérents une réflexion et une visibilité sur leurs métiers, sur les bonnes pratiques, sur les formations, et initie des contacts qui viennent ainsi enrichir notre écosystème.

Pour 2024, la section Finance d’Entreprise innove avec son OBSERVATOIRE des SIGNAUX FAIBLES.
Loin des prévisions aléatoires et des statistiques utopiques, cet OBSERVATOIRE basé sur nos remontées du terrain, a pour objectif de donner une information rapide et synthétique à nos adhérents et aux clients de nos adhérents sur des indices naissants pouvant influencer les prises de décisions des prochains mois.

Les membres de la Commission Finance d’Entreprise :

  • Fabienne GRETEAU- COFINGEST
  • Sébastien ROUZAIRE – KERIUS FINANCE
  • Ludovic SARDA – PYTHAS CAPITAL
  • Guy COHEN – INGÉNIERIE SOCIALE
  • Florent GUIGUE – EMERGEANCES
  • Nathalie DESSEAUX et Franck MAGNE – EAVEST
  • Julien DRAY – UNCONFLICTED MANAGEMENT
  • Edouard SEGUIN – PIMENT & Co
  • Jean-Louis PICOLLO – RESOLVYS
    Invités : David GANDAR et Nébojsa SRECKOVIC.
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2017 : année record pour la finance solidaire

La Rédaction
Le Courrier Financier
Cette année encore, tous les indicateurs de la finance solidaire sont au vert. L’encours de l’épargne solidaire a atteint un nouveau record grâce à une collecte de 1,8 milliard d’euros, lui permettant de franchir le seuil des 11 milliards d’euros (+ 18,3 %). L’ensemble des chiffres est révélé dans le dernier baromètre de la finance solidaire Finansol / La Croix, publié dans le quotidien du 28 mai.
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Réforme des retraites 2019 : fin de l’histoire ou éternel retour ?

La Rédaction
Le Courrier Financier
Le 19 avril dernier se tenait au Sénat un colloque sur la future réforme des retraites. C’est le point de départ d’une grande bataille qui s’annonce pour le Gouvernement. L’ambition est claire : transformer entièrement le modèle pour aboutir à un « système universel ». Après presque 30 ans de réformes successives, allons-nous assister à la fin de l’histoire, ou bien au contraire, à un éternel retour ?
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