PRI des Nations Unies : Atream annonce son adhésion

La Rédaction
Le Courrier Financier

La société de gestion indépendante Atream — spécialiste en fonds immobiliers et Private Equity investis en tourisme et le tertiaire — annonce ce mercredi 8 septembre son adhésion aux Principes pour l’Investissement Responsable (PRI) des Nations Unies. Atream confirme sa volonté de concilier rentabilité financière et responsabilité environnementale, sociale et de gouvernance. 

Problématiques ESG

Les PRI sont une initiative des Nations Unies lancée en 2006, soutenue par l’Initiative financière du Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE) et le Pacte Mondial des Nations Unies. Ces six principes s’adressent aux acteurs du secteur financier.

Ils visent à inciter les professionnels de l’investissement à intégrer les problématiques Environnementales, Sociales et de Gouvernance (ESG) dans leurs décisions et leur gestion portefeuilles. Pour Atream, cela signifie notamment :

  • intégrer les questions ESG à ses processus décisionnels et d’analyse des investissements ;
  • être des actionnaires actifs et intégrer les questions ESG à ses politiques et procédures en matière d’actionnariat ;
  • demander, autant que faire se peut, aux entités dans lesquelles Atream investit de faire preuve de transparence concernant les questions ESG ;
  • encourager l’adoption et la mise en œuvre des Principes dans le secteur des investissements ;
  • coopérer pour améliorer l’efficacité de la mise en œuvre des PRI ;
  • rendre compte de ses activités et des progrès accomplis concernant la mise en œuvre des Principes. 

Plus de 3 800 signataires

« Cet aspect extra-financier répond au devoir qu’ont les investisseurs de travailler en phase avec les grands objectifs de notre société », explique Atream dans un communiqué. La société rejoint ainsi un réseau de plus de 3 800 signataires, issus de plus de 50 pays, engagés à respecter ces six principes. 

« Depuis sa création, Atream développe une vision engagée de l’investissement. Cette signature s’inscrit ainsi pleinement dans notre stratégie globale d’investissement socialement responsable et répond à notre ambition de réconcilier le monde des affaires et le projet sociétal : le secteur du tourisme a vocation à irriguer durablement la société, les territoires et les générations futures », déclare Pascal Savary, Président d'Atream.

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Luxembourg : EFA signe les PRI de l’ONU

La Rédaction
Le Courrier Financier

EFA — sociétés de service pour gestionnaires d'actifs au Luxembourg — annonce ce lundi 17 mai avoir signé les Principes pour l'investissement responsable (PRI) des Nations Unies. Objectif, encourager les pratiques positives en matière environnementale, sociale et de gouvernance dans les stratégies d'investissement. EFA indique ainsi à ses clients, partenaires et fournisseurs qu'elle s'engage à avoir un impact positif. 

Intégration des critères ESG

Pour EFA, cette signature des PRI représente une étape naturelle après avoir adhéré au Pacte mondial des Nations unies — dans lequel les signataires s'engagent à aligner leurs opérations et leurs stratégies sur dix principes dans les domaines des droits de l'homme, du travail, de l'environnement et de la lutte contre la corruption. 

Depuis sa création, EFA prend les questions ESG très au sérieux. La société de gestion est récompensé par le niveau Gold du label indépendant Ecovadis depuis 2018. Celui-ci permet aux gestionnaires  d'actifs ayant des stratégies d'investissement durable de conserver un haut niveau d'ESG tout au long de la chaîne de valeur de leurs fonds.  

Investisseurs professionnels

« Nous sommes convaincus que ce que nous faisons aujourd'hui — individuellement et collectivement — façonne l'avenir de notre monde. Nous  pensons qu'il est de notre responsabilité de contribuer à façonner un avenir meilleur et durable. Avec cette signature, nous déclarons que EFA soutient les acteurs de l’industrie des fonds qui veulent faire la différence », déclare Noel Fessey, CEO d'EFA.

« Les prestataires de services tels que EFA  jouent un rôle central dans le renforcement de l'intégration de l'ESG à travers la chaîne  d'investissement. Nous sommes très heureux d'accueillir EFA en tant que signataire des PRI, et nous applaudissons leur engagement à adhérer à nos principes en soutenant les clients investisseurs institutionnels au Luxembourg et au-delà », ajoute Fiona Reynolds, PDG des PRI.

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RGreen Invest devient une entreprise à mission

La Rédaction
Le Courrier Financier

RGreen Invest — société de gestion française indépendante du groupe RGreen, créée en 2010 par Nicolas Rochon — a annoncé le 6 mai dernier avoir changé ses statuts pour devenir entreprise à mission. Elle concrétise ainsi par voie juridique l'impulsion engagée lors de sa création, bien avant la loi PACTE : accélérer la transition énergétique par le financement d'infrastructures en fonds propres et quasi-fonds propres.

Objectif, élargir son champ d'action en faveur de l'adaptation au changement climatique. Cette démarche s'illustre par sa « raison d'être » inscrite dans ses statuts : « lutter contre le changement climatique en accélérant la transition énergétique et l'adaptation de la société par le financement d'infrastructures à impact positif et durable pour l'environnement, les populations locales et les territoires ».

Statut d'entreprise à mission

« Le statut d'entreprise à mission est important à deux titres : d'une part, il constitue, comme le label Greenfin dont disposent nos principaux fonds d'investissement, un gage de confiance pour les investisseurs qui voient se multiplier les fonds présentés comme verts », commente Nicolas Rochon.

« D'autre part, il a vocation à ouvrir la voie et engager les porteurs de projets que nous finançons et suivons au quotidien dans une démarche d'amélioration continue vis-à-vis des questions environnementales comme sociales et économiques », ajoute-il. RGreen Invest compte plus de 20 collaborateurs, pour un portefeuille d'actifs sous gestion de plus d'1 Md€.

Atteindre les ODD de l'ONU

Avec cette mission, RGreen Invest s'engage à financer des infrastructures sur la base de critères qui permettent de concourir à l'atteinte des Objectifs de développement durable (ODD) fixés par l'Organisation des Nations Unis pour 2030 :

1.       Permettre le développement à grande échelle d'alternatives performantes et bas carbone aux solutions carbonées aujourd'hui largement utilisées (ODD 13 - Prendre d'urgence des mesures pour lutter contre les changements climatiques et leurs répercussions)

2.       Investir dans des infrastructures durables créatrices de valeur et d'emplois à l'échelle locale, en particulier dans les régions en développement (ODD 9 - Mettre en place une infrastructure résiliente, promouvoir une industrialisation durable qui profite à tous et encourager l'innovation)

3.       Soutenir des technologies adaptées aux problématiques et enjeux énergétiques spécifiques des territoires et des populations où elles sont implantées (ODD 7 - Garantir l'accès de tous à des services énergétiques fiables, durables et modernes, à un coût abordable)

4.       Contribuer au déploiement d'infrastructures à impact environnemental réduit
(ODD 12 - Établir des modes de consommation et de production durables)

5.       Accompagner les exploitants agricoles dans la mise en œuvre de modes de production durables (ODD2 - Éliminer la faim, assurer la sécurité alimentaire, améliorer la nutrition et promouvoir l'agriculture durable)

Quelle politique ESG ?

Dans une logique d'amélioration et d'implémentation des meilleures pratiques, RGreen Invest a prévu, dès 2021, de renforcer et de développer ses moyens humains, sa politique, ses procédures et ses outils de suivi en matière d'ESG. Au-delà d'une politique ESG plus engageante encore que les années précédentes, RGreen Invest prend le pas sur la nouvelle réglementation européenne avant même son entrée en vigueur complète.

Tous les fonds gérés par la société de gestion sont d'ores et déjà conformes à l'article 9 du Règlement Européen SFDR. RGreen Invest- prévoit également le déploiement d'une analyse de ses portefeuilles en ligne avec la Taxonomie Européenne, avec un haut degré de conformité attendu pour chacun des fonds gérés.

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Finance durable : Aberdeen Standard Investments lance un fonds actions émergentes

La Rédaction
Le Courrier Financier

Aberdeen Standard Investments (ASI) — gérant d'actifs mondial  — annonce ce lundi 10 mai le lancement du fonds « Aberdeen Standard SICAV I - Emerging Markets Sustainable Development Equity ». Ce fonds s'appuie sur la plateforme de recherche et les ressources ESG d'ASI, afin d'offrir un rendement pérenne et un impact sociétal positif. Le fonds investira dans les économies des marchés émergents, avec un fort potentiel de croissance.

Investir en actions émergentes

L'équipe dédiée aux marchés émergents mondiaux sélectionnera des entreprises — basées ou opérant sur les marchés émergents — fortement alignées sur les Objectifs de développement durable (ODD) de l'ONU. Le fonds de conviction sera géré activement, et de manière très concentrée, avec un portefeuille de 30 à 60 actions. Objectif, s’assurer que les investissements ciblent les secteurs où les besoins sont les plus importants. 

« Aberdeen Standard SICAV I - Emerging Markets Sustainable Development Equity » est le deuxième fonds de la gamme actions de développement durable d'ASI, après le lancement du fonds « Aberdeen Standard SICAV I - Asian Sustainable Development ». Ces deux fonds ont reçu le label de durabilité belge Febelfin « Towards Sustainability ». 

« Nous disposons d'une forte présence sur les marchés émergents,  qui permet de déceler des opportunités d'investissement à forte valeur ajoutée et alignées sur les ODD. En  investissant dans ces entreprises, le fonds cherche à offrir à la fois un rendement attractif et un impact sociétal  positif », précise William Scholes, Investment Director chez ASI.

S'aligner sur les ODD de l'ONU

Les 17 ODD sont conçus pour relever les principaux et grand défis à long terme, tels que le changement climatique,  les inégalités sociales croissantes et la production et la consommation non durables. ASI est convaincu que le  soutien aux ODD crée des opportunités tangibles pour les entreprises, en contribuant positivement à la société et  à l'environnement, tout en améliorant simultanément leurs bilans financiers.

L'identification précoce de ces opportunités permet au fonds de bénéficier de leur potentiel de surperformance sur le long terme. Grâce à un dialogue actif, l'équipe d'investissement s'efforcera d'induire des changements positifs dans le comportement des entreprises, d’accroître l'alignement sur les ODD et d'encourager une plus grande transparence des entreprises —s’agissant de leur engagement à l'égard de ces objectifs. 

« Les ODD des Nations unies fournissent un excellent cadre pour  garantir que les efforts sont dirigés vers les domaines où les besoins sont les plus importants. Bien que des progrès aient été réalisés en vue d'atteindre ces objectifs d'ici à 2030, les habitants de nombreux pays émergents ne  bénéficient toujours pas de la croissance et du progrès et sont de plus en plus vulnérables aux risques économiques, sociaux et environnementaux », conclut Fiona Manning, Investment Director chez ASI.

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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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Le fonds OYSTER Sustainable Europe obtient la plus haute classification SFDR

La Rédaction
Le Courrier Financier

iM Global Partner — réseau mondial dédié à la gestion d'actifs — annonce ce mardi 23 mars que son fonds Oyster Sustainable Europe est désormais « article 9 » — soit la meilleure classification possible en vertu du nouveau règlement européen Sustainable Finance Disclosure (SFDR).

Le règlement européen SFDR — en vigueur depuis le 10 mars — a été créé pour renforcer la transparence des gestionnaires d'actifs sur la manière dont ils intègrent les risques et les opportunités liés à la durabilité dans leurs décisions et recommandations d'investissement. Les fonds « article 9 » répondent aux normes durables les plus élevées définies par le règlement.

Gestion avec Zadig AM

Le fonds Oyster Sustainable Europe est géré par Zadig Asset Management (Zadig AM), membre signataire depuis 2015 des Principes pour l'Investissement Responsable (PRI) lancés par les Nations Unies. En novembre 2020, le fonds a obtenu le label ISR français. Zadig AM estime que l’intégration des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) permettent de créer de la valeur et de réduire les risques à long terme, tout en favorisant un changement positif.

La société utilise une approche propriétaire pour comprendre en détail chaque entreprise et ses produits ou services afin de mesurer sa contribution aux objectifs de développement durable (ODD). Le portefeuille vise la « durabilité à un prix raisonnable » et s’appuie sur des données concrètes ainsi que l’engagement pour éviter le risque de « greenwashing ».

En ne se contentant pas d’une approche « best in class », Zadig AM recherche des entreprises durables qui se négocient à un prix sous-évalué en raison d'incertitudes temporaires ou des sociétés dont le modèle est en transition et qui ont été délaissées par les investisseurs, mais qui peuvent devenir plus durables avec le temps.

Développement durable

« Après avoir obtenu le Label ISR en novembre 2020, la classification article 9 de la stratégie OYSTER Sustainable Europe au titre de SFDR confirme notre engagement en faveur d'un cadre d'investissement responsable clair et transparent », déclare Pierre Philippon, directeur de Zadig AM.

« Nous utilisons l’expérience d’investissement de Zadig — qui a plus de 15 années de recul — pour nous assurer que l'accent mis sur la durabilité ne s'accompagne pas d'un risque excessif pour nos clients, y compris ceux liés à la durabilité. Cette approche nous a permis de surperformer le marché en 2020 malgré les fortes fluctuations observées entre le premier et le second semestre », ajoute-il.

« Avec sa philosophie de la durabilité à un prix raisonnable, le fonds Oyster Sustainable Europe investit dans des entreprises qui contribuent aux objectifs de développement durable de l'ONU, de manière équilibrée entre les thèmes cycliques, défensifs et de croissance. Le fonds est donc principalement conçu pour à la fois générer une surperformance financière et fournir une exposition extra-financière positive », précise Philippe Uzan, CIO Asset Management d'iM Global Partner.

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Finance responsable : NCI signe les PRI de l’ONU

La Rédaction
Le Courrier Financier

NCI — société de gestion multirégionale française, spécialisée dans le capital investissement — annonce ce jeudi 18 mars renforcer sa prise en compte des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans ses investissements. La société de gestion devient signataire des Principes pour l’Investissement Responsable (PRI) de l'ONU. NCI annonce également un partenariat avec l’agence de conseil en RSE Pimlica. Ces initiatives s’inscrivent dans sa démarche ESG initiée en 2012. 

Signature des UNPRI

En tant qu’investisseur responsable, NCI rejoint les rangs des signataires des PRI. Référence internationale dans le domaine de l’investissement responsable, cette initiative — qui regroupe plus de 3 000 investisseurs institutionnels dans le monde — vise à déterminer les liens entre les investissements et les questions ESG, et à aider les signataires à incorporer ces questions à leurs décisions d’investissement et à d’actionnariat. En signant les PRI, NCI s’engage à : 

  • intégrer les questions ESG à ses processus décisionnels et d’analyse des investissements ;
  • être un actionnaire actif et intégrer les questions ESG à ses politiques et procédures en matière d’actionnariat ;
  • demander aux entités dans lesquelles elle investit de faire preuve de transparence concernant les questions ESG ;
  • encourager l’adoption et la mise en œuvre des Principes dans le secteur des investissements ;
  • coopérer pour améliorer l’efficacité de la mise en œuvre des PrincipesRendre compte de ses activités et des progrès accomplis concernant leur mise en œuvre.

« Nous sommes heureux et fiers de rejoindre les autres signataires des PRI. Cela vient formaliser la politique ESG mise en place depuis de nombreuses années par NCI qui souhaite tendre vers plus de responsabilité dans ses investissements. En tant qu’investisseur responsable, nous nous engageons à les adopter et à les promouvoir auprès de l’ensemble de nos participations. Nous nous engageons également à en évaluer l’efficacité et à en améliorer le contenu au fil du temps », commente Corinne Bayel, RAF en charge du Contrôle Interne et de l’ESG chez NCI. 

Partenariat avec Pimlica

Toujours dans l’optique d’améliorer la prise en compte des critères ESG, NCI annonce la signature d’un partenariat avec Pimlica, agence française spécialiste de la RSE et du développement durable. Cette dernière, dont la démarche consiste à accompagner des PME et startups dans la compréhension de leurs enjeux ESG, l’évolution de leur modèle d’affaires et la réduction de leurs externalités négatives, réalisera de manière systématique un audit ESG de toute nouvelle participation de NCI. 

« Dans le cadre de cette collaboration, Pimlica accompagnera NCI dans la mise en œuvre opérationnelle de ses initiatives ESG. La société de gestion a fait le choix d’une identification fine des enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance de ses différentes participations à l’aide d’audits dédiés. Ces analyses donneront lieu à des recommandations spécifiques, un accompagnement opérationnel des entreprises en portefeuille, ainsi qu’un suivi dans le temps des progrès effectués et des impacts générés », détaille Erwan Castain, co-fondateur de Pimlica. 

En signant les PRI et en s’associant à Pimlica, NCI confirme la politique qu’elle mène depuis près d’une décennie en matière d’ESG, et qui repose sur quatre grands piliers : minimiser son impact quotidien sur l’environnement, impliquer les collaborateurs dans le partage de la valeur créée, gérer l’entreprise dans le respect de la conformité en privilégiant éthique et transparence et s’engager sur ses territoires. 

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Gestion de portefeuilles : Asteria IM s’associe avec Amundi

La Rédaction
Le Courrier Financier

Asteria Investment Managers (Asteria IM) — spécialiste de l’investissement à impact social, filiale du groupe REYL — annonce ce mardi 15 décembre s'associer avec Amundi. Asteria IM utilise désormais Amundi Leading Technologies & Operations (ALTO), le système de gestion de portefeuilles d'Amundi pour la totalité de ses actifs sous gestion.

14 des ODD de l'ONU

Les services assurés par ce logiciel couvrent l’ensemble du cycle de vie de l’ordre et de l’exécution : analyse de portefeuille, conformité pré- et post-négociation, risques, performance, traitement des opérations et tenue des positions, reporting et gestion des données. Amundi le fournit désormais à Asteria IM en mode « cloud » — avec des services opérationnels tels que l'exécution des ordres, le middle office et la gestion des données.

Située en Suisse, Asteria IM est née en 2019 pour proposer de nouvelles formes d’investissements. La société met en œuvre 14 des 17 objectifs de développement durable (ODD) de l’ONU investissables. Objectif, s’engager dans les grands enjeux du XXIe siècle grâce à l’investissement à impact. Asteria IM cherche ainsi à rendre chaque investissement responsable, sur les critères Sociaux et Environnementaux. 

ALTO disponible dans 7 pays

« Nous voulons offrir à nos clients la possibilité de s’engager à nos côtés pour un monde de demain plus respectueux de notre planète tout en leur garantissant des plus-values financières. Pour cela, nous choisissons de travailler avec des partenaires qui comprennent nos contraintes et qui peuvent nous offrir des outils et un service de qualité », déclare Katia Coudray, PDG d'Asteria IM.

« Nous sommes ravis de ce nouveau partenariat avec Asteria IM et l’intégration réussie d’ALTO en Suisse, en moins de 4 mois. C’est un succès qui renforce la dimension internationale de notre offre, déployée aujourd’hui sur 7 pays chez nos clients externes », renchérit Joseph El Gharib, Directeur d'Amundi Services.

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Développement durable : les risques liés à l’eau, d’après une étude DWS

La Rédaction
Le Courrier Financier

DWS — Deutsche Asset & Wealth Management — publie ce lundi 30 novembre une étude sur les risques liés à l’eau (en anglais). L'enquête a été menée par Francesco Curto, Responsable mondial de la recherche, Michael Lewis, Responsable de la recherche thématique ESG, et Murray Birt, Stratégiste senior ESG chez DWS. L'entreprise fait partie d'un groupe de travail, organisé par le Forum économique mondial (WEF), sur les « transformational investments ».

Cette initiative vise à mettre en place de nouvelles approches pour convertir les risques systémiques mondiaux en un rendement durable, l'eau étant considérée par le WEF comme l'un des six risques systémiques. Les dépenses annuelles nécessaires jusqu'en 2030 pour atteindre les objectifs durables liés à l'eau sont estimées à 670 milliards de dollars US. K'eau est le risque pour lequel les progrès ont été les plus faibles.

Traiter les risques liés à l'eau

Les risques auxquels l'humanité est confrontée sont potentiellement catastrophiques puisqu'aujourd'hui, 785 millions de personnes ne disposent pas d'une source d'eau potable de base et deux milliards de personnes n'ont pas accès à des installations sanitaires élémentaires. Le manque d'assainissement et d'hygiène a entraîné près de 1,6 million de décès en 2017, soit plus que les décès dus aux suicides, aux homicides, aux conflits armés et au terrorisme réunis.

Un tiers des décès dus aux maladies diarrhéiques touchent des enfants de moins de cinq ans. En outre, si l'environnement naturel continue à se dégrader et si des pressions non durables sont exercées sur les ressources mondiales en eau, on estime que d'ici 2050, 52 % de la population mondiale, 45 % du PIB mondial et 40 % de la production céréalière mondiale seront menacés.

L'incapacité à traiter correctement les risques liés à l'eau est probablement due à des facteurs tels que le caractère fragmenté de la régulation de l'eau, les caractéristiques des investissements dans l'eau et la conviction erronée que l'eau est abondante et bon marché.

Qu'est-ce qu'un « transformational investment » ?

En outre, la croissance démographique, le changement climatique et l'incapacité à réparer les dommages causés par les actions passées sont susceptibles d'aggraver encore une situation déjà mauvaise. DWS considère qu'un « transformational investment » doit commencer par un « cadre transformationnel » qui :

  • garantit que le citoyen lambda, le consommateur final, l'investisseur particulier et les investisseurs institutionnels sont conscients des risques liés à la durabilité et à l'eau ;
  • réévalue les rôles des différentes fonctions le long de la « chaîne logistique » en ramenant le concept de séparation des pouvoirs d'Aristote et de Montesquieu. Les gouvernements devraient légiférer : en utilisant la Charte européenne de l'eau pour orienter les politiques. Les commissaires aux comptes devraient mesurer, parce que les gérants ont besoin de principes comptables ESG mondialement acceptés (GAAP) complets avec un audit des pays, des entreprises et des investisseurs concernant leurs impacts environnementaux et sociaux complets ; les investisseurs doivent investir : mettre en œuvre un cadre d'investissement pour toutes les catégories d'actifs en établissant une distinction claire entre « ne rien faire », intégration des facteurs ESG (extérieur-intérieur) et investissement d'impact/de transformation (intérieur-intérieur).
  • les produits d'investissement qui traitent réellement des risques liés à l'eau et/ou à d'autres facteurs ESG devraient être assortis de frais moins élevés que les produits d'investissement non ESG ou non transformationnels. Les gouvernements devraient appliquer une « redevance de durabilité » aux produits d'investissement qui ne relèvent pas du défi de la durabilité. Les frais les plus élevés devraient être appliqués aux produits d'investissement qui ne font rien, les frais intermédiaires aux produits d'investissement qui intègrent les facteurs ESG et les frais de durabilité gouvernementaux plus faibles ou nuls pour les investissements

Mieux anticiper les risques

L'absence de cadre transformationnel exposera probablement l'eau et éventuellement d'autres facteurs ESG aux risques que les investisseurs tentent simplement d'éviter, même s'ils deviennent le prochain grand défi pour l'humanité d'ici la fin de cette décennie.

DWS invite donc les sociétés de gestion d'actifs à envisager le risque lié à l'eau d'une manière différente, moins cloisonnée et plus holistique, à anticiper les dynamiques et la législation futures et à adopter une charte de l'eau en vue de piloter leurs propres opérations ainsi que leurs activités d'investissement, et éventuellement en collaboration avec d'autres sociétés de gestion d'actifs, demander aux sociétés de faire de même.

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La SCPI Pierre Expansion Santé cède un actif parisien

La Rédaction
Le Courrier Financier

Au terme d’une consultation restreinte, PIERRE EXPANSION SANTÉ a cédé un hôtel particulier d’environ 1 000 m² et ses dépendances, anciennement à usage de maison de retraite, au groupe DELTA IM, dans le cadre d’un projet de réaménagement en établissement d'enseignement.

Cette cession permet à la SCPI de dégager une plus-value conséquente sur un actif détenu depuis 1996, et à l’acquéreur d’associer un bâtiment historique à un programme neuf en cours de construction sur une parcelle contiguë.

Le site est intégralement pré-loué à un prestigieux établissement d’enseignement italien dans le cadre d’un bail de longue durée.

La SCPI PIERRE EXPANSION SANTÉ était conseillée par les sociétés Flabeau et BNP Paribas Real Estate, ainsi que par l’Etude Michelez Notaires.

L’acquéreur était conseillé par l’étude Monceau Notaires.

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L’ANACOFI Finance d’Entreprise innove avec son Observatoire des Signaux Faibles

La Rédaction
Le Courrier Financier

La section s’est renforcée par la mise en place d’une Commission Finance d’Entreprise pilotée par Jean-Louis PICOLLO qui s’appuie sur le soutien du Président Confédéral David CHARLET.

Composé d’une dizaine de professionnels reconnus, qui rencontrent au total près de 500 chefs d’entreprise par an, elle se réuni tous les 4 mois et elle apporte aux adhérents une réflexion et une visibilité sur leurs métiers, sur les bonnes pratiques, sur les formations, et initie des contacts qui viennent ainsi enrichir notre écosystème.

Pour 2024, la section Finance d’Entreprise innove avec son OBSERVATOIRE des SIGNAUX FAIBLES.
Loin des prévisions aléatoires et des statistiques utopiques, cet OBSERVATOIRE basé sur nos remontées du terrain, a pour objectif de donner une information rapide et synthétique à nos adhérents et aux clients de nos adhérents sur des indices naissants pouvant influencer les prises de décisions des prochains mois.

Les membres de la Commission Finance d’Entreprise :

  • Fabienne GRETEAU- COFINGEST
  • Sébastien ROUZAIRE – KERIUS FINANCE
  • Ludovic SARDA – PYTHAS CAPITAL
  • Guy COHEN – INGÉNIERIE SOCIALE
  • Florent GUIGUE – EMERGEANCES
  • Nathalie DESSEAUX et Franck MAGNE – EAVEST
  • Julien DRAY – UNCONFLICTED MANAGEMENT
  • Edouard SEGUIN – PIMENT & Co
  • Jean-Louis PICOLLO – RESOLVYS
    Invités : David GANDAR et Nébojsa SRECKOVIC.
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Développement durable : AllianzGI lance une nouvelle gamme de fonds alignés sur les objectifs de l’ONU

La Rédaction
Le Courrier Financier

Allianz Global Investors (AllianzGI) — gérants d'actifs mondial — annonce ce jeudi 12 novembre le lancement de trois nouveaux fonds actions. Ils permettent aux clients d'investir dans des changements positifs, en accord avec les objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies.

Avec les véhicules « Allianz Positive Change », « Allianz Clean Planet » et « Allianz Food Security », AllianzGI s'appuie sur son offre d'investissement thématique et sur plus de 20 ans d'expérience en matière d'investissement responsable. La nouvelle gamme complète notre franchise thématique existante, notamment la stratégie Allianz Global Water.

S'aligner sur les ODD

Les trois nouveaux fonds alignés sur les ODD seront gérés selon l'approche thématique d'AllianzGI. L'équipe de gestion examinera huit grands thèmes : l'inclusion sociale, la santé, l'inclusion financière, l'éducation, la sécurité alimentaire, l'eau, la propreté de la terre/l’économie circulaire et la transition énergétique. Elle identifiera les résultats spécifiques ciblés par un ou plusieurs des ODD afin de sélectionner les entreprises qui contribuent à la réalisation des objectifs sous-jacents en offrant une solution.

Cette approche de l'investissement — alignée sur les ODD — permet aux investisseurs de miser sur des thématiques spécifiques et tangibles, ainsi que des sujets sous-jacents tels que la technologie de l'éducation (dans le cas du thème de l'éducation) ou l'agriculture durable (dans le cas de la sécurité alimentaire). Les ODD définissent les priorités et les aspirations mondiales en matière de développement durable pour 2030 et cherchent à mobiliser les efforts autour d'un ensemble commun d'objectifs.

Intégration des principes ESG

Le cadre d'AllianzGI pour les investissements alignés sur les ODD intègre les principes de bonne gouvernance des entreprises et le risque de générer des externalités négatives en essayant de créer des solutions positives. Les stratégies alignées sur les ODD adoptent une approche active de l'intégration des principes ESG, y compris une évaluation détaillée des facteurs de risque les plus importants, et des critères d'exclusion, afin de se prémunir contre les activités nuisibles et les controverses des entreprises.

Les 17 objectifs de développement durable comportent 169 cibles sous-jacentes, répondant aux défis mondiaux liés à la société et à l'environnement. Lors de l'identification des ODD, les Nations unies ont quantifié le montant des investissements nécessaires pour atteindre ces objectifs, en soulignant le rôle des capitaux privés dans ce processus. Selon les estimations, 2 500 milliards de dollars de capitaux sont nécessaires chaque année pour financer la réalisation des objectifs.

Potentiel de croissance

« Les stratégies d'investissement alignées sur les ODD sont une priorité stratégique pour AllianzGI, et nous les considérons comme un moyen de répondre à la demande croissante d'investissements responsables. Cette demande émane d'investisseurs qui reconnaissent que les entreprises développant des solutions concrètes — et sont elles-mêmes gérées de manière responsable — peuvent également être intéressantes du point de vue du rendement », déclare Barbara Rupf Bee, Responsable EMEA chez AllianzGI.

« Notre objectif est de rendre les ODD investissables en utilisant notre approche d'investissement thématique pour identifier les opportunités intéressantes. Nous sommes enthousiastes à l'idée d'étendre ce domaine d'investissement prometteur, en aidant nos clients à orienter le capital vers des entreprises à potentiel de croissance, tout en s'attaquant aux problèmes auxquels la planète est confrontée », ajoute-elle.

Un marché attractif

 « C'est un marché attractif pour les investisseurs car il est dynamique, et offre de nouvelles opportunités d’investissement, ainsi que de nouvelles solutions. Nous recherchons les gagnants à long terme, avec un fort potentiel de croissance et des business models résistants. Les entreprises dans ces domaines font preuve d'une certaine résilience face à la volatilité macroéconomique et politique », complète Andreas Fruschki, Responsable de l'investissement thématique chez AllianzGI.

« Compte tenu de l'attention mondiale portée aux ODD, les entreprises qui les soutiennent directement sont susceptibles de bénéficier d'un intérêt et d'une croissance accrus. Cela peut représenter un argument d'investissement solide générant des rendements durables. Les investissements alignés sur les ODD produisent des rendements environnementaux et sociaux, en plus des performances financières », conclut-il.

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Finance verte : Neuberger Berman intègre les PRI Leaders 2020

La Rédaction
Le Courrier Financier

Neuberger Berman — société de gestion indépendante détenue par ses salariés — annonce ce mardi 6 octobre figurer dans le groupe PRI Leaders. Le gérant déclare avoir obtenu auprès des PRI le score A+ dans l'évaluation de ses efforts d'intégration ESG.

Les Principes pour l'Investissement Responsable (PRI) des Nations Unies visent à comprendre les implications des facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) en matière d'investissement ; et à soutenir son réseau international d'investisseurs signataires dans l'intégration de ces facteurs dans leurs décisions d'investissement et de propriété.

Thème du reporting climat

En 2020, les gérants d’actifs sont devenus éligibles au titre de PRI Leader, qui ne comprenait auparavant que les détenteurs d'actifs. La nouvelle désignation n'a été attribuée qu'à 20 gérants d'actifs sur les 2 400 signataires des PRI. « Le groupe des leaders comprend les signataires à la pointe de l'investissement responsable et met en évidence les tendances dans leur manière d’opérer », d'après le site des Principes pour l'Investissement Responsable (PRI), soutenus par les Nations Unies.

« Les PRI utilisent les déclarations des signataires et les données d'évaluation pour identifier ceux qui font un excellent travail en matière d'investissement responsable, au sein de leurs organisations et en se concentrant sur un thème donné chaque année », indique le site des Principes pour l'Investissement Responsable (PRI), soutenus par les Nations Unies. Le thème de 2020 est l'établissement de reportings climat.

Gestion du risque climatique

« Nous avons intégré l'analyse de scénarios climatiques dans nos processus d'investissement pour toutes les classes d'actifs depuis plusieurs années maintenant. Le risque climatique physique et de transition a été au centre de nos efforts d'engagement auprès des entreprises en portefeuille, notamment à travers notre initiative innovante de vote par procuration anticipé NB25+ », déclare Jonathan Bailey, Responsable de l'investissement ESG chez Neuberger Berman.

« Et à la demande de nos gérants de portefeuille, nous avons formalisé, et sommes en train de mettre en œuvre, une politique d'exclusion sur l'extraction de charbon thermique et l'expansion des producteurs de charbon, car nos professionnels de l'investissement estiment qu'il n'y a pas d'argument économique pour établir de nouveaux investissements directs dans ces actifs », conclut-il.

Mesures de Neuberger Berman

Neuberger Berman a pris de nombreuses mesures pour s'imposer en matière de reporting climat. La société de gestion a pris des mesures au sein de ses portefeuilles, notamment :

  • la mise en œuvre d'une stratégie liée au climat à l'échelle de l'entreprise, conformément à la Task Force on Climate-related Financial Disclosure (TCFD), qui attribue les responsabilités et la surveillance des risques liés au climat au conseil d'administration de Neuberger Berman ;
  • la mise en place d'un scénario Climate Value-at-Risk (CVaR) au sein de toutes les équipes d'investissement et la possibilité de rendre compte des résultats aux clients ;
  • l’intégration systématiquement de la CVaR dans les analyses ESG propriétaires afin de prendre en compte les risques physiques et de transition ;
  • l’utilisation de l'analyse CVaR pour identifier les titres qui sont des candidats prioritaires à l'engagement sur la base de leur CVaR et de l'exposition économique de Neuberger Berman ;
  • et la mise en œuvre d’exclusions au minimum du charbon dans l'ensemble des fonds ouverts et des ETF domiciliés aux US, et pour les fonds UCITS.

Maintien du score A+

En outre, comme en 2019, Neuberger Berman a obtenu les meilleurs scores dans toutes les catégories dans le rapport d'évaluation des efforts d'intégration environnementale, sociale et de gouvernance (ESG) des PRI à la fin de l'année 2019. L'entreprise a obtenu la meilleure note, A+, pour son approche globale de la stratégie et de la gouvernance ESG.

Neuberger Berman a obtenu un A+ pour l'intégration ESG dans toutes les classes d'actifs pour lesquelles elle a fait une déclaration. Elle est classée au-dessus de la médiane de ses pairs dans chaque catégorie. Plus de 75 % des actifs de Neuberger Berman intègrent les facteurs ESG, basé sur les actifs sous gestion au 30 juin 2020 — y compris les stratégies en dernières phases ou phase finale d'approbation par le comité ESG de l'entreprise.

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