France : quelles réserves nettes de change en décembre 2020 ?

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le Ministère de l’Economie, des Finances et de la Relance publie ce vendredi 15 janvier avec la Banque de France une nouvelle note sur le montant des avoirs de réserve officiels et autres avoirs en devises de l’Etat, soit les réserves nettes de change à fin août 2020.

Depuis mai 2000, en conformité avec la Norme Spéciale de Diffusion des Données (NSDD) du FMI — telle qu’appliquée au sein du Système Européen de Banques Centrales — les avoirs mensuels de réserves et les disponibilités en devises sont valorisés en euros sur la base des cours de change de fin de mois.

Hausse des réserves

Les réserves nettes de change de l'Etat s'élèvent à la fin du mois de décembre 2020 à 189 505 M€ (224 590 M$) contre 184 510 M€ (221 043 M$) à la fin du mois de novembre 2020, soit une augmentation de 4 995 M€. Ces chiffres intègrent — comme indiqué ci-dessus — l’incidence des modalités de valorisation aux cours de change de fin de mois. Les réserves nettes de l'Etat se répartissent comme suit :

  • Réserves en or : 120 926 M€ ;
  • Réserves nettes en devises : 51 436 M€ ;
  • Position de réserve au FMI : 6 128 M€ ;
  • Avoirs en DTS : 9 456 M€ ;
  • Autres avoirs de réserve : 1 559 M€.
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Crise sanitaire : les assureurs accompagnent les entreprises les plus touchées

La Rédaction
Le Courrier Financier

Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance, a reçu ce lundi 7 décembre la Fédération française de l’Assurance (FFA) afin de répondre aux difficultés rencontrées par le secteur de l’hôtellerie, des cafés et de la restauration ainsi que du tourisme, de la culture, du sport et de l’événementiel du fait de la crise sanitaire et économique actuelle.

Quelles mesures pour les entreprises ?

Reconnaissant les efforts des assureurs pour le soutien à l’économie et sa relance, Bruno Le Maire leur demande de s’engager davantage. Objectif, soutenir notamment les TPE et PME des secteurs hôtels-cafés-restaurants ainsi que du tourisme, de la culture, du sport et de l’événementiel et les accompagner dans la relance de leur activité. Pour soutenir et accompagner ces entreprises, le ministre invite notamment les assureurs à :

  • ne pas augmenter en 2021 les cotisations des contrats d’assurance multirisque professionnelle ;
  • conserver en garantie ces contrats pour celles de ces entreprises qui connaîtraient des retards de paiement des cotisations dans le contexte de la pandémie et ce pendant le 1er trimestre 2021 ; 
  • mettre en place gratuitement pour 2021 une couverture d’assistance en cas d’hospitalisation liée à la Covid-19 pour les chefs d’entreprise et leurs salariés dans le cadre de ces contrats.

Soutenir la reprise économique

De manière plus globale, le ministre attend des assureurs qu’ils :

  • mettent en place le recours à la Médiation de l’assurance pour tout litige portant sur un contrat d’assurance professionnelle, notamment en cas de désaccord sur l’évolution des garanties contractuelles, de refus de renouvellement des couvertures ou de résiliation de contrat, quelle que soit la date à laquelle le contrat a été souscrit (hors assurances grands risques et étant précisé que les assureurs pourront décliner l’entrée en médiation sur les réclamations sérielles pour lesquelles les tribunaux sont déjà saisis). Le ministre demande au Médiateur de l’assurance de lui remettre d’ici juin 2021 un rapport sur les litiges traités au cours de la crise sanitaire entre d’une part les assureurs et courtiers, d’autre part les assurés professionnels. Il bénéficiera pour ce faire du concours des services du ministère de l’Economie ;
  • finalisent leurs travaux d’ici le début de l’année 2021 en vue d’assurer une couverture des risques sanitaires exceptionnels, en privilégiant dans un premier temps des solutions individuelles et facultatives de gestion du risque permettant de renforcer la résilience des entreprises et leur capacité à affronter des crises de grande ampleur sans rigidifier leurs charges.

« Je me félicite de cette contribution qui va apporter un appui bienvenu aux entreprises dans un contexte économique particulièrement difficile. Nous devons tous faire converger nos efforts pour soutenir ces secteurs et leur permettre de relancer leur activité en sortie de crise », déclare Bruno Le Maire. Les entreprises concernées seront informées par courrier dans les prochains jours des mesures dont elles pourront bénéficier.

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Egalité des chances économiques : un appel à projets pour des contrats à impact

La Rédaction
Le Courrier Financier

Olivia Grégoire, Secrétaire d’État à l’Économie sociale, solidaire et responsable, lance ce mardi 24 novembre un nouvel appel à projets sur l’égalité des chances économiques, afin de poursuivre le développement des contrats à impact. Cet appel à projets répond aux difficultés que pose la crise dans la pleine participation de tous les citoyens à l'économie française, notamment sur leur possibilité d’entreprendre ou de travailler.

10 millions d'euros

Avec une enveloppe de 10 millions d’euros, cet appel à projet sera opéré depuis le ministère de l’Economie, des Finances et de la Relance. Objectif, soutenir le passage à l’échelle de solutions innovantes grâce à trois grandes thématiques : la non-discrimination à l’embauche et dans les parcours professionnels, le développement de l’entrepreneuriat dans les zones rurales et urbaines prioritaires, et la lutte contre l’exclusion financière.

« Ce nouvel appel à projet soutient la dynamique des contrats à impact afin d’en faire un levier de l’évolution et de l’évaluation de nos politiques publiquesA un moment où notre économie traverse une crise économique et sociale inédite, c’est un signe fort pour encourager l’émergence d’outils que l’Etat n’a pas nécessairement à sa disposition », explique Olivia Grégoire.

Un premier contrat

Le contrat à impact permet à l’Etat de donner leur chance à ces structures pour se développer auprès d’un public ou d’un territoire élargis : le projet est financé par un ou des investisseurs privés — qui ne sont remboursés par l’Etat qu’en fonction de la réussite du projet, évalué sur la base d’indicateurs définis en amont. Un premier contrat à impact, opéré par l’Ademe, a été lancé en septembre dernier sur l’économie circulaire.

Pour ce nouvel appel à projets sur l’égalité des chances économiques, les candidats ont trois mois, du 24 novembre 2020 au 24 février 2021, pour déposer leur projet en ligne. Avec des premiers contrats signés au printemps 2021 et de premiers résultats attendus pour mars 2022, le contrat à impact valorisera les initiatives locales des acteurs de terrain.

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Cotisation foncière des entreprises : mesures exceptionnelles pour le paiement du solde 2020

La Rédaction
Le Courrier Financier

Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance, et Olivier Dussopt, ministre délégué chargé des Comptes publics, ont annoncé le 12 octobre 2020 des possibilités de reports du paiement de la taxe foncière pour les entreprises propriétaires-exploitantes touchées par la crise sanitaire. Compte tenu de la persistance de celle-ci, les ministres ont décidé de nouvelles mesures en faveur des entreprises, concernant le paiement de la cotisation foncière des entreprises (CFE).

Difficulté à payer le CFE

Les entreprises qui se trouveraient en difficulté pour payer leur CFE au 15 décembre 2020, notamment parce qu’elles subissent des restrictions d’activité pour des motifs sanitaires, peuvent obtenir, sur simple demande, un report de 3 mois de leur échéance. La demande doit ainsi être adressée, de préférence par courriel, auprès de leur service des impôts des entreprises dont les coordonnées figurent sur leur avis de CFE.

Pour les entreprises mensualisées, la demande de suspension du paiement doit également être transmise d’ici le 30 novembre. Pour les entreprises prélevées à l’échéance, elles peuvent, sous le même délai, arrêter leur prélèvement depuis leur espace professionnel sur impots.gouv.fr — rubrique « Gérer mes contrats de prélèvement automatique », puis, après saisie du numéro fiscal, « Modifier ou arrêter mes prélèvements ».

Marge d'erreur tolérée

Les entreprises prévoyant de bénéficier au titre de 2020 d’un plafonnement de la contribution économique territoriale (CET) en fonction de la valeur ajoutée pourront anticiper le dégrèvement attendu en l’imputant directement sur le montant du solde de la CFE 2020. Une marge d’erreur exceptionnelle de 20 % sera tolérée pour cette imputation et aucune pénalité ne sera appliquée. Les entreprises concernées sont invitées à en informer leur service des impôts des entreprises, en priorité par courriel.

Concernant les grandes entreprises — comme pour l’ensemble des mesures de trésorerie exceptionnelles mises en œuvre depuis le début de la crise sanitaire —, ces reports d’échéances sont réservés aux entreprises ne procédant à aucun versement de dividende ou rachat d’actions en 2020 et n’ayant pas leur siège fiscal ou de filiale sans substance économique dans un État ou territoire non coopératif en matière fiscale.

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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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Récession : Bercy ramène sa prévision à 10 %, un premier effet de France Relance ?

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Cette semaine, le ministère de l'Economie, des Finances et de la Relance a revu à la baisse ses prévisions de récession pour 2020. Le plan France Relance porte-il déjà ses premiers fruits ?
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France : quelles réserves nettes de change en août 2020 ?

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le Ministère de l’Economie, des Finances et de la Relance publie ce lundi 7 septembre avec la Banque de France une nouvelle note sur le montant des avoirs de réserve officiels et autres avoirs en devises de l'Etat, soit les réserves nettes de change à fin août 2020.

Depuis mai 2000, en conformité avec la Norme Spéciale de Diffusion des Données (NSDD) du FMI — telle qu’appliquée au sein du Système Européen de Banques Centrales — les avoirs mensuels de réserves et les disponibilités en devises sont valorisés en euros sur la base des cours de change de fin de mois.

Recul des avoirs de réserves

Les avoirs de réserves officiels et autres avoirs en devises s'élèvent à la fin du mois d’août 2020 à 198 158 M€ (236 599 M$) contre 200 385 M€ (237 415 M$) à la fin du mois de juillet 2020, soit une diminution de 2 227 M€, qui intègre l’incidence des modalités de valorisation aux cours de change de fin de mois. Les réserves de l'Etat se répartissent comme suit :

  • Réserves en or : 128 939 M€ ;
  • Réserves en devises : 52 522 M€ ;
  • Créances sur le FMI : 15 192 M€ ;
  • Autres avoirs de réserve : 1 505 M€.

Il en ressort que les réserves en or ont diminué de 1 758 M€ et les réserves en devises de 360 M€. Par ailleurs, les réserves en devises ont diminué de 360 M€. Les créances sur le Fonds Monétaire international (FMI) ont diminué de 161 M€ — la position de réserve au FMI a diminué de 139 M€ ; les avoirs en DTS ont diminué de 22 M€ — tandis que les autres avoirs de réserve ont augmenté de 52 M€.

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Affacturage : France Relance lance le dispositif de renforcement des financements

La Rédaction
Le Courrier Financier

Bruno Le Maire, ministre de l'Economie, des Finances et de la Relance, signe ce lundi 7 septembre l’arrêté qui fixe le cahier des charges du dispositif de renforcement des financements des entreprises par affacturage — annoncé en juillet 2020. Jusqu’au 31 décembre 2020, les entreprises pourront solliciter auprès des sociétés d’affacturage un préfinancement nouveau. Il pourra être mis en place dès la prise de commande, sous garantie de l’Etat.

Dispositif garanti par l'Etat

Les entreprises n’auront pas besoin d’attendre l’émission des factures, ce qui leur fera gagner en moyenne 45 jours de trésorerie. Une entreprise qui reçoit une commande pourra ainsi obtenir une ligne de financement de sa société d’affacturage — bénéficiant de la garantie l’Etat — sans attendre d’avoir émis des factures à la livraison de sa prestation. Ce préfinancement pourra lui servir à acheter des matières premières, payer des salaires, réaliser sa prestation ou conduire davantage de projets d’investissement.

Après l'émission de la facture, une opération d’affacturage classique prendra le relai. Il s’agira donc pour l’entreprise bénéficiaire d’un contrat bout-en-bout, qui comportera une phase d’affacturage classique — non garantie par l’Etat — précédée d’une phase innovante de préfinancement garanti par l’Etat. Ce préfinancement garanti par l’Etat permettra d’accélérer la reprise de l’activité et de détendre les délais de paiement, notamment dans l’industrie, le bâtiment et la construction. 

Soutenir la trésorerie d'entreprise

Ce dispositif « permettra aux entreprises d’être payées plus tôt, grâce à la garantie de l’Etat, et soutiendra ainsi leur trésorerie. Il les aidera à honorer leurs commandes, à répondre à l’augmentation de la demande, et donc à prendre le chemin de la reprise (...) Je compte sur les sociétés d’affacturage pour proposer largement cette nouvelle offre, à des prix attractifs, pour la rendre accessible à un maximum d’entreprises et pour le distribuer massivement », se félicite Bruno Le Maire.

Une foire aux questions (FAQ) destinée à faciliter l’appropriation de cette nouvelle offre par l’ensemble des parties prenantes sera mise en ligne sur le site du ministère de l’Economie, des Finances et de la Relance. « L’ASF est convaincue de la pertinence de ce dispositif et les sociétés d’affacturage se sont préparées tout l’été pour le promouvoir activement. D’une façon générale, l’affacturage sera un élément clef de sécurisation de l’économie », réagit Pour Françoise Palle Guillabert, délégué général de l’ASF.

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France : quelles réserves nettes de change en juillet 2020 ?

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le Ministère de l’économie et des finances publie ce vendredi 7 août avec la Banque de France une nouvelle note sur le montant des réserves nettes de change de l’Etat à fin juin 2020. Depuis mai 2000, en conformité avec la Norme Spéciale de Diffusion des Données (NSDD) du FMI — telle qu’appliquée au sein du Système Européen de Banques Centrales — les avoirs mensuels de réserves et les disponibilités en devises sont valorisés en euros sur la base des cours de change de fin de mois.

Avoirs en hausse

Les avoirs de réserves officiels et autres avoirs en devises s'élèvent à la fin du mois de juillet 2020 à 200 385 M€ (237 415 M$) contre 197 166 M€ (220 787 M$) à la fin du mois de juin 2020, soit une augmentation de 3 219 M€. Comme indiqué ci-dessus, cette hausse intègre l’incidence des modalités de valorisation aux cours de change de fin de mois. Les réserves de l'Etat se répartissent comme suit :

  • Réserves en or : 130 697 M€ ;
  • Réserves en devises : 52 882 M€ ;
  • Créances sur le FMI : 15 353 M€ ;
  • Autres avoirs de réserve : 1 453 M€.

Les réserves en or ont augmenté de 7 025 M€. Les réserves en devises  ont diminué de 3 611 M€. Les créances sur le Fonds Monétaire international (FMI) ont diminué de 126 M€ : la position de réserve au FMI a augmenté de 134 M€ et les avoirs en DTS ont diminué de 260 M€. Les autres avoirs de réserve ont diminué de 69 M€.

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La SCPI Pierre Expansion Santé cède un actif parisien

La Rédaction
Le Courrier Financier

Au terme d’une consultation restreinte, PIERRE EXPANSION SANTÉ a cédé un hôtel particulier d’environ 1 000 m² et ses dépendances, anciennement à usage de maison de retraite, au groupe DELTA IM, dans le cadre d’un projet de réaménagement en établissement d'enseignement.

Cette cession permet à la SCPI de dégager une plus-value conséquente sur un actif détenu depuis 1996, et à l’acquéreur d’associer un bâtiment historique à un programme neuf en cours de construction sur une parcelle contiguë.

Le site est intégralement pré-loué à un prestigieux établissement d’enseignement italien dans le cadre d’un bail de longue durée.

La SCPI PIERRE EXPANSION SANTÉ était conseillée par les sociétés Flabeau et BNP Paribas Real Estate, ainsi que par l’Etude Michelez Notaires.

L’acquéreur était conseillé par l’étude Monceau Notaires.

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L’ANACOFI Finance d’Entreprise innove avec son Observatoire des Signaux Faibles

La Rédaction
Le Courrier Financier

La section s’est renforcée par la mise en place d’une Commission Finance d’Entreprise pilotée par Jean-Louis PICOLLO qui s’appuie sur le soutien du Président Confédéral David CHARLET.

Composé d’une dizaine de professionnels reconnus, qui rencontrent au total près de 500 chefs d’entreprise par an, elle se réuni tous les 4 mois et elle apporte aux adhérents une réflexion et une visibilité sur leurs métiers, sur les bonnes pratiques, sur les formations, et initie des contacts qui viennent ainsi enrichir notre écosystème.

Pour 2024, la section Finance d’Entreprise innove avec son OBSERVATOIRE des SIGNAUX FAIBLES.
Loin des prévisions aléatoires et des statistiques utopiques, cet OBSERVATOIRE basé sur nos remontées du terrain, a pour objectif de donner une information rapide et synthétique à nos adhérents et aux clients de nos adhérents sur des indices naissants pouvant influencer les prises de décisions des prochains mois.

Les membres de la Commission Finance d’Entreprise :

  • Fabienne GRETEAU- COFINGEST
  • Sébastien ROUZAIRE – KERIUS FINANCE
  • Ludovic SARDA – PYTHAS CAPITAL
  • Guy COHEN – INGÉNIERIE SOCIALE
  • Florent GUIGUE – EMERGEANCES
  • Nathalie DESSEAUX et Franck MAGNE – EAVEST
  • Julien DRAY – UNCONFLICTED MANAGEMENT
  • Edouard SEGUIN – PIMENT & Co
  • Jean-Louis PICOLLO – RESOLVYS
    Invités : David GANDAR et Nébojsa SRECKOVIC.
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France métropolitaine : état des lieux de l’accès du public aux espèces

La Rédaction
Le Courrier Financier

La filière fiduciaire française publie ce jeudi 30 juillet — sous l’égide du ministère de l’Economie, des Finances et de la Relance et de la Banque de France — une note concernant l’accès du public aux espèces sur le territoire français métropolitain. Il s'agit d'une mise à jour d'un précédent état des lieux, publié en juillet 2019. Le groupe de travail à l'origine de ces documents existe depuis 2018.

Maillage du territoire français

Cette actualisation confirme que l’accessibilité aux billets sur le territoire hexagonal se maintient à un très bon niveau. À fin 2019, la France métropolitaine compte ainsi 50 316 distributeurs automatiques de billets (DAB), complétés par plus de 25 500 points de distribution d’espèces situés dans des commerces.

Le nombre de distributeurs a légèrement reculé en 2019 (- 4,1 %) mais celui des points privatifs a quant à lui progressé de 10,1 %. Cette diminution se concentre sur les villes les plus peuplées, et reflète une optimisation des installations existantes dans les zones les mieux équipées. Au total, le maillage du territoire reste donc globalement inchangé d’une année sur l’autre, avec un niveau de service stable à un haut niveau malgré le nombre élevé des dégradations de distributeurs enregistrées en 2019.

Accès du public aux espèces

L’état des lieux à fin 2019 conforte ainsi le diagnostic de l’an passé, selon lequel près de 99 % de la population métropolitaine âgée de 15 ans et plus réside dans une commune équipée d’au moins un automate — ou dans une commune qui se trouve à moins de quinze minutes en voiture de la commune équipée d'un DAB la plus proche.

Par ailleurs, la robustesse des circuits d’alimentation du territoire en billets a été démontrée tout au long de la crise sanitaire. Grâce à l’action concertée de l’ensemble des acteurs de la filière fiduciaire, le bon approvisionnement des distributeurs de billets a été assuré. Ceci permet à chacun de conserver la liberté de régler ses achats en espèces s’il le souhaite, particulièrement les populations les plus fragiles ou habitant en milieu rural.

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France : quelles réserves nettes de change en juin 2020 ?

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le Ministère de l’économie et des finances publie ce jeudi 15 juillet avec la Banque de France une nouvelle note sur le montant des réserves nettes de change de l’Etat à fin juin 2020. Depuis mai 2000, en conformité avec la Norme Spéciale de Diffusion des Données (NSDD) du FMI — telle qu’appliquée au sein du Système Européen de Banques Centrales — les avoirs mensuels de réserves et les disponibilités en devises sont valorisés en euros sur la base des cours de change de fin de mois.

Hausse des réserves nettes de change

Les réserves nettes de change de l'Etat s'élèvent à la fin du mois de juin 2020 à 196 229 M€ (219 738 M$) contre 194 007 M€ (216 045 M$) à la fin du mois de mai 2020, soit une augmentation de 2 222 M€. Ce montant intègre l’incidence des modalités de valorisation aux cours de change de fin de mois. Les réserves nettes de l'Etat se répartissent comme suit :

  • Réserves en or : 123 672 M€ ;
  • Réserves nettes en devises : 55 556 M€ ;
  • Position de réserve au FMI : 5 590 M€ ;
  • Avoirs en DTS : 9 889 M€ ;
  • Autres avoirs de réserve : 1 522 M€.

La différence constatée avec les réserves officielles de change, publiées le 7 juillet 2020, résulte de la prise en compte de sorties temporaires d’actifs financiers en devises, d’un montant net de 937 M€.

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