Grand Ouest : Épopée Gestion lance son classement « Épopée Les 40 »

La Rédaction
Le Courrier Financier

Épopée Gestion — entreprise d’investissement cofondée en 2020 par Ronan Le Moal et Charles Cabillic, spécialiste du développement des territoires — revient ce vendredi 24 mars sur le lancement du classement « Épopée Les 40 », en partenariat avec Deloitte. Il rassemble les 40 personnalités de moins de 40 ans les plus prometteuses de l’Ouest. Objectif, promouvoir la nouvelle génération qui développe et renforce l’attractivité de la région Ouest.

« Épopée Les 40 », 1ère édition

La première édition de l'événement s'est tenue ce jeudi 23 mars dans la soirée. La cérémonie, animée par Fabrice Lundy, s’est déroulée en présence des lauréats et sous le patronage de Louis Le Duff (Président du groupe Le Duff). Objectif, promouvoir la nouvelle génération de femmes et d’hommes qui oeuvrent pour développer et renforcer l’attractivité de la région Ouest.

Le classement pensé et conçu par Épopée Gestion a été réalisé en partenariat avec Deloitte. Il met en avant des femmes et des hommes actifs et connectés à l'écosystème de l’Ouest — allant d’entreprises innovantes prometteuses (Entech, Unseenlabs, Shopopop, etc.) à des entreprises historiques du territoire (Quéguiner, Beaumanoir, Roulier, Bolloré, etc.) en passant par des personnalités politiques.

Pour ce premier classement, Épopée Gestion a fait appel à un jury composé de journalistes issus des médias régionaux. Ils ont identifié et proposé près de 80 noms de femmes et des hommes natifs du territoire ou agissant en faveur du développement économique régional. A l’issue d’un vote qui s’est tenu mi-janvier, le jury s’est prononcé sur les personnalités, parmi les plus prometteuses, ayant un impact sur le territoire.

Résultats du Palmarès 2023

La 1ère place du classement revient à un entrepreneur à impact, Christopher Franquet, fondateur et PDG d’Entech. Créée en 2016 à Quimper, l’entreprise est spécialisée dans le stockage et la conversion d’énergie électrique en France et à l’international. Entech emploie aujourd’hui plus de 120 personnes.

A la 2e place, figure Pauline Boucon Duval, désormais à la tête du groupe Duval, une entreprise immobilière bretonne, qui affiche 800 M€ de chiffre d'affaires. Pauline Duval est très engagée sur le sujet de la transmission d'entreprises familiales. Les 3e, 4e et 5e places sont occupées par des dirigeants d’entreprises historiques du territoire avec Clément Quéguiner (Président du groupe Quéguiner), Thomas Beaumanoir (Directeur général délégué du groupe Beaumanoir) et Jérémy Lecha, (Président directeur général du groupe Roullier).

Côté politique, Hervé Berville (Secrétaire d'État auprès de la Première ministre, chargé de la Mer) est la première personnalité politique du classement (8e place) suivi par Bérangère Couillard (Secrétaire d'État auprès du ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires chargée de l'Écologie), Jean-Charles Larsonneur (Député) et Sarah El Haïry (Secrétaire d'État auprès du ministre des Armées et du ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse, chargée de la Jeunesse et du Service national universel).

Nous retrouvons également parmi les lauréats, des personnalités comme les entrepreneurs chefs étoilés, Nolwenn Corre (10e place) et Hugo Roellinger (12e place), neuf dirigeants de startups (Ecotree, Steeple, Zéphyr & Borée, etc.), ainsi que quelques cadres d’entreprises emblématiques du territoire (Crédit Mutuel Arkea, Groupe Le Duff, Groupe Roulier, etc.). Le classement sera renouvelé, chaque année, pour y faire entrer de nouveaux talents — entrepreneurs, dirigeants, ingénieurs ou personnalités engagées. Il a également vocation à être élargi à d’autres territoires de l’Arc Atlantique, comme la Nouvelle-Aquitaine.

Renforcer l’attractivité du territoire

« Depuis 6 ans, nous avions pour habitude de remettre en début d’année des trophées récompensant le breton digital de l’année, la meilleure transition écologique, la meilleure croissance. Nous avons trouvé intéressant de nous réinventer et de retravailler le format. A ce stade personne n’avait encore braqué les projecteurs sur la nouvelle génération gardant le focus sur les personnalités emblématiques du club des Trente notamment. Pour réussir ce challenge, c’est tout naturellement que nous avons travaillé sur un classement des personnalités de l’Ouest en devenir », explique Sébastien Le Corfec, associé d'Épopée Gestion.

« Avec ce classement, nous souhaitons aller plus loin en créant une nouvelle dynamique pour fédérer les énergies et accélérer l’animation des écosystèmes en région. Les changements de paradigmes que nous connaissons nous obligent aujourd’hui à réfléchir collectivement et à coopérer. C’est aussi le sens de la communauté que nous entendons rassembler autour du classement Épopée Les 40. Car nous sommes convaincus qu’à son échelle, le territoire et les talents qui le composent sont le changement que nous voulons voir dans ce monde », détaillent Ronan Le Moal et Charles Cabillic, co-fondateurs d’Épopée Gestion.

Un partenariat avec Deloitte

« Chez Deloitte, nous croyons que chaque région a ses propres richesses et talents qui doivent être valorisés. Nous sommes fiers d’être partenaires de ce nouveau classement qui vient mettre à l’honneur les femmes et les hommes qui œuvrent chaque jour pour un monde plus durable. Acteur engagé, ancré dans la Région Ouest depuis plus de 30 ans, nous avons à cœur de soutenir la croissance économique et sociale à long terme », précise Guillaume Radigue, associé et directeur des activités de Deloitte Grand Ouest.

« Le contexte actuel a fortement challengé nos modèles, interrogeant vivement les trajectoires de transformation et de durabilité de nos organisations. Plus que jamais, les récentes évolutions démontrent la nécessité de promouvoir un leadership fort et exemplaire, représenté par les 40 personnalités mises à l’honneur », ajoute-il.

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Loi PACTE et retraite : 2 épargnants sur 3 n’ont pas entendu parler du PER

La Rédaction
Le Courrier Financier

Depuis son entrée vigueur le 1er octobre dernier, la loi PACTE a instauré un nouveau produit d'épargne retraite : le Plan d’Epargne Retraite (PER). Dans ce contexte, Aviva France — filiale d'Aviva, l'un des principaux assureurs vie et dommages en Europe — et le cabinet d'audit et de conseil Deloitte présentent ce mardi 22 octobre le sondage « l’épargne et la préparation de la retraite », réalisé en partenariat avec OpinionWay et Spoking Polls.

D'après cette enquête, 63 % des Français interrogés déclarent être préoccupés par leur niveau de revenus une fois à la retraite. Face à ce problème, 81 % des sondés épargnent en vue de leur retraite... Mais en utilisant des produits non spécifiques, comme les livrets ou l’immobilier. L'épargne retraite elle-même reste intimidante pour les épargnants. 92 % des Français interrogés estiment qu'il existe au moins un frein à la souscription d’un produit retraite spécifique type PERP ou Madelin.

Connaissances et quête de sens

Deux sondés sur trois déclarent n'avoir jamais entendu parler des nouveaux produits retraite (PER) issus de la loi PACTE. Ils disent privilégier l’auto-information — magazines spécialisés, sites internet, discussion avec des proches — pour préparer leur retraite. Sortie en capital, sécurisation graduelle du capital, avantages fiscaux à l’entrée et frais transparents... Près de 50 % des sondés se déclarent convaincus par les caractéristiques du PER. De leur côté, 80 % des professionnels du patrimoine — agents, courtiers, CGP — jugent les nouveaux produits retraite attractifs.

Plus de 75 % d'entre eux recommandent déjà ces placements à leurs clients. Signe de l'importance de leur rôle de conseil, la personnalisation et la quête de sens jouent un rôle crucial dans les allocations. Plus de 50 % des sondés aimeraient placer une partie de leur épargne retraite dans des fonds d'investissement socialement responsable (ISR). 59 % des Français jugent plus adapté un dispositif qui permet de sélectionner librement les supports de placement, avec l’aide d’un conseiller. Seuls 27 % expriment le souhait de déléguer le pilotage de leur allocation à des experts en gestion d'actifs.

Culture financière des épargnants

Les CGP devront redoubler de pédagogie pour conseiller leurs clients. « Cette étude illustre particulièrement le paradoxe français en matière de connaissance financière. Alors que son niveau d’éducation financière ressort clairement parmi les moins élevés des pays développés, l’épargnant français privilégie l’auto-information et la gestion libre au détriment de la gestion pleinement conseillée », relève Pascal Koenig, associé Asset Management chez Deloitte.

« En outre, l’avantage fiscal prime sur les qualités intrinsèques de la solution d’épargne retraite. Le triptyque historique « Liquidité, sécurité, rendement » perdure auprès des épargnants français alors même que l’environnement financier est complètement transformé et que les horizons d’investissement pour la retraite sont plus longs. Cette réforme ne pourra être un véritable succès sans un accompagnement fort en matière de pédagogie financière », conclut-il.

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L’UGAP choisit Deloitte pour accélérer la transformation financière du secteur public

La Rédaction
Le Courrier Financier

Deloitte — cabinet mondial d'audit et de conseil — annonce ce lundi 3 juin accompagner les institutions publiques dans leurs projets financiers complexes : changements de normes comptables, amélioration du dispositif de contrôle interne et de maîtrise des risques, assistance à la gestion budgétaire et comptable publique, optimisation de processus financiers ou encore préparation à la certification des comptes.

Dans le cadre d’un nouveau marché de prestation intellectuelle passé en avril 2019, le cabinet propose une prestation sur-mesure à l'union des groupements d'achat public (UGAP). Cette centrale d'achat publique française se place sous la double tutelle du ministère de l'Économie, des Finances et de l'Industrie et du ministère de l'Éducation nationale.

Des enjeux majeurs de transformation

Cette nouvelle offre couvre toute la chaîne de valeur de la fonction finance, du pilotage de projets financiers à la réorganisation de la fonction finance, en passant par l’optimisation des processus et l’accompagnement au changement. Elle fait appel à des sujets d’expertise et de modélisation économiques ou financière.

« Nous sommes ravis de collaborer avec l’UGAP, acteur reconnu de l'achat public pour ces projets de transformation. La fonction financière publique présente en effet des enjeux majeurs de transformation dans un contexte de contraintes économiques persistantes et de réformes structurantes », précise Michel Sebbane, Associé Conseil Secteur Public chez Deloitte.

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Corporate Venture Capital : Orange Digital Ventures et Deloitte publient leur baromètre 2019

La Rédaction
Le Courrier Financier

Orange Digital Ventures — pôle d'investissement spécialisé dans l'amorçage des startups du numérique — publie ce mardi 21 mai 2019 avec le cabinet Deloitte son troisième baromètre annuel des Corporate Venture Capitalists (CVC) en France. Ce document dresse un état des lieux du marché du « capital-investissement d'entreprise » (en français) et dégage les grandes tendances qui impactent le secteur.

Pour rappel, le Corporate Venture ou « capital-investissement d'entreprise » (en français) désigne aussi bien l'investissement direct d'une entreprise dans une autre — prise de participation — que l'investissement indirect en fonds propres au capital des PME — en minoritaire — dans le cadre d’une stratégie de développement et d’innovation d’un grand groupe.

Le rôle central des CVC français

Ce marché a fortement évolué en France depuis 10 ans. Dans un environnement de plus en plus compétitif, les grands groupes se sont dotés de ce type de fonds d’investissement afin d’optimiser leurs relations avec les startups dans une logique « open innovation ». L'engagement dans le capital risque progresse de façon significative en 2018, pour répondre à un double objectif stratégique et financier.

Au niveau mondial, le marché des CVC s’impose comme un segment majeur du capital risque. En termes de participation à des levées de fonds, le secteur a représenté 53 milliards de dollars en 2018, soit 47 % de plus qu’en 2017. Cette croissance est portée par l’Asie, qui enregistre une hausse du nombre de deals de +62,4 % par rapport à 2017. La zone Europe profite largement de cette dynamique avec une progression de plus de +18,6 % comparé à 2017. Le marché Nord-Américain reste plutôt stable et mature avec une augmentation de deals de +13,1 % par rapport à l’an dernier.

Cette tendance devrait se poursuivre en 2019. D'après le baromètre, 75 % des CVC sondés prévoient d’ores et déjà d’augmenter leurs investissements en valeur cette année. L’importance constante de ces nouveaux acteurs sur le marché se confirme au sein de leur organisation structurelle. Presque la moitié (45 %) des répondants possèdent aujourd’hui un bureau à l’étranger et 75 % d’entre eux ont eu recours à de nouveaux recrutements en 2018 pour accompagner leur croissance.

Un intérêt certain pour les CleanTech

En ce qui concerne les stades d’investissement privilégiés, 67 % des CVC français se focalisent sur de nouveaux investissements plutôt que dans les start-up déjà en portefeuille. En revanche, seuls 38 % prennent le lead sur l’investissement. Cette tendance est partagée par la majorité des CVC dans le monde. Seul 19 % font un choix d’orientation de lead sur plus de la moitié de leurs opérations. Cette stratégie de « follower » fait du CVC un partenaire de croissance idéal pour une startup.

Les CVC français investissent surtout en Séries A, c'est-à-dire en phase de commercialisation. Ces fonds accélèrent le développement et la structuration de l’entreprise, y compris à l’international. L’étude également pointe une augmentation significative (x2,1) en Séries B dans des startups plus matures. En revanche, les apports en Pre-seed affichent un net recul (68 %) par rapport à 2017. Les CVC français privilégient les marchés plus matures (France 41 % + Europe 32 % + Amérique du Nord 12 %). Le secteur des CleanTech et de l'Energie profite largement de ces stratégies avec 53 % d’investissements supplémentaires en 2018.

Un objectif d’Open Innovation « gagnant-gagnant »

79 % des investissements réalisés par les CVC en 2018 ont répondu à un objectif « open innovation » dans une logique de synergie entre les grands groupes et les startups. Afin de leur fournir un accompagnement adapté, plus de la moitié des CVC français se sont dotés d’une équipe dédiée, dont 80 % contribue au Business Development. Par ailleurs, 70 % des répondants déclarent avoir réalisé des tests qui ont permis de déployer des partenariats commerciaux (56 %) et d’accompagner les startups dans leur développement (44 %).

Les CVC inscrivent le partenariat entre grands groupes et startups dans collaboration « organique », tout en favorisant le développement externe. La vaste majorité des CVC sondés ont conduit une ou plusieurs startups de leur portefeuille vers un rachat au cours des 5 dernières années, et dans 22 % des cas vers une introduction en bourse sur cette même période. L’avenir est prometteur avec 5 levées de fonds majeures en 2018 auxquelles des CVC français ont contribué : GO JEK, WeRide, Monzo, Ledger et Ionic Materials.

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Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

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La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

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IR : son développement en France est freiné par le manque d’information

La Rédaction
Le Courrier Financier

La France soutient activement l'Investissement Responsable (IR), notamment à travers l'émission de 33,7 Mds€ en Green Bonds ces 10 dernières années. Les produits IR ont été largement déployés vers une clientèle institutionnelle, mais les particuliers restent à la traîne. CPR AM publie ce mardi 16 avril une étude sur l'investissement IR menée par le cabinet Deloitte — avec OpinionWay et Spoking Polls — auprès d'un échantillon représentatif de plus de 1 000 épargnants français et de 415 conseillers financiers (conseillers en Banque Privée et CGP).

Les épargnants pointent le manque d'information

Les résultats invitent à l’optimisme, avec 66 % des épargnants qui considèrent que les produits IR sont de nature à renforcer leur confiance. 57 % souhaitent une inclusion obligatoire des enjeux de développement durable dans les produits d’épargne, et 56 % considèrent la protection de l’environnement comme un thème prioritaire. Toutefois, un écart demeure entre les aspirations des épargnants et la conversion en investissements. Seuls 21 % déclarent disposer de fonds IR dans leur portefeuille.

Les CGP jouent un rôle essentiel pour aider au développement de l’IR dans l’épargne. Un particulier sur trois (34 %) considère le manque d'information comme le principal frein. Ce constat est partagé par un conseiller financier sur deux. Sur les 55 % d’épargnants qui s’appuient sur un conseiller, seuls 12 % des épargnants se sont déjà vu proposer un produit IR par leur conseiller financier. Dans le même temps, 41 % des conseillers avouent n’en proposer qu’aux clients qui les sollicitent. Les Banques Privées se révèlent toutefois plus aguerries et forces de propositions sur le thème de l'IR.

Donner plus de visibilité aux produits IR

L'IR présente des perspectives de développement prometteuses : 86 % des sociétés de gestion anticipent la création de nouveaux produits dans les deux prochaines années, dont un tiers consacré à l’IR. Le défi consistera à rendre le marché plus lisible, face au foisonnement des approches et des jargons employés. Preuve de l'importance du facteur visibilité, 61 % des épargnants investissent dans des fonds IR grâce au développement de labels. 64 % des conseillers considèrent ces labels comme des gages de confiance. Cette situation pourrait notamment se renforcer avec le développement d’un label unique européen.

Les labels comme certificats de confiance et de fiabilité ne peuvent suffire à lever les freins au processus de conversion à l’épargne IR. Pour accélérer le mouvement, 45 % des conseillers réclament aujourd'hui une information standardisée à leur destination. « L’Investissement Responsable est sans aucun doute une lame de fond structurelle qui se matérialisera par l’intégration des facteurs ESG et des données d’impact dans l’ensemble des processus d’investissement », conclut Arnaud Faller, Directeur Général Délégué en charge des investissements de CPR AM.

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Accès au crédit : Deloitte et Innovative Assessments améliorent leur outil de crédit scoring

La Rédaction
Le Courrier Financier

Brightman Almagor Zohar & Co — cabinet membre de Deloitte — et Innovative Assessments International annoncent ce mardi 26 mars la conclusion d'un partenariat pour permettre aux banques d’accorder des prêts de manière fiable à un public qui a traditionnellement moins accès au crédit.

Dans ce cadre, la France sera un des premiers pays à proposer une utilisation de leur outil Worthy Credit. Mis en place par Innovative Assessments, il permet aux banques d’évaluer la solvabilité d'un client en s'appuyant sur des techniques de psychométries.

Un outil à déployer en Europe et en Afrique

« Worthy Credit a un fort potentiel en Europe et en Afrique, en tant que technologie efficace et innovante au service des clients qui ont un accès plus restreint au crédit, et plus largement pour apporter de nouvelles informations pour l’optimisation des processus crédits, tels que la gestion des NPL ou la restructuration des créances » déclare Hervé Phaure, Associé Risk Advisory chez Deloitte en charge de l’activité Crédit Risk.

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Zen Risk : l’Intelligence Artificielle au service de la gestion du risque de modèle

La Rédaction
Le Courrier Financier

Deloitte Risk Advisory annonce ce lundi 11 février le lancement de Zen Risk, sa nouvelle plate-forme d’aide à la modélisation du risque. Son objectif consiste à automatiser et systématiser ce processus grâce à l’Intelligence Artificielle (IA), pour en extraire des règles de gestion qui amélioreront l’estimation du risque de crédit par les établissements financiers.

Défi réglementaire autour de la gestion du risque de modèle

La crise de 2008 a conduit le comité de Bâle à définir des lignes directrices de supervision des modèles internes de risques de crédit. Depuis, la réglementation autour de l’usage des modèles prédictifs n’a cessé de s’accentuer. Les exigences en la matière s’articulent autour des thématiques de transparence, de stabilité et d’interprétabilité, qui font peser une pression supplémentaire sur les établissements financiers. Pour y répondre, ces derniers ont de plus en plus souvent recours à la modélisation, basée sur des hypothèses et des théories. Cette évolution a donné naissance au Model Risk Management ou Risque de Modèle en Français.

Dans ce contexte, les nouvelles technologies (Machine Learning, Big Data, IA, etc.) apparaissent comme une aide potentielle et bienvenue. Seulement, le côté « boîte noire » des modèles d’Intelligence Artificielle, la sensibilité des algorithmes à leur paramétrage, ainsi que la difficulté à comprendre les résultats obtenus freinent actuellement leur utilisation. La réglementation actuelle obligent les établissements financiers à fournir des informations précises sur la manière dont ils développent leurs modèles, ainsi que sur leurs circuits de validation.

Améliorer les modèles en toute transparence

Conçue pour répondre à ces freins, la plate-forme Zen Risk a été développée sous la Direction de Nadège Grennepois, Associée Risk Advisory, dans le cadre du programme d’intrapreneuriat qui accompagne les collaborateurs de Deloitte dans la création et la mise en œuvre de nouvelles solutions pour leurs clients. Basée sur le Machine learning, Zen Risk incarne l’ouverture à un écosystème entrepreneurial ainsi qu’à de nouvelles méthodes agiles. « Nous sommes convaincus que la modélisation va croître dans les prochaines années et que les modèles, toujours plus dynamiques, devront être recalibrés plus régulièrement», explique Nadège Grennepois, Associée Risk Advisory Deloitte.

Traitement des données, création de règles métiers, explicabilité des modèles... Zen Risk prend en charge l’ensemble du pipeline Machine Learning. La plateforme fournit aux modélisateurs des outils pour automatiser et systématiser leurs travaux, confronter leur modèle à différentes approches et, enfin, pour leur permettre d'intégrer aux modèles existants des règles identifiées par l’Intelligence Artificielle. Afin de se conformer à la réglementation sur la transparence, Zen Risk propose une palette complète d’outils. Ceux-ci visent à expliquer aussi bien une observation isolée que la globalité des décisions prises par les algorithmes. Zen Risk devrait ainsi permettre aux institutions financières de gérer leur portefeuille de manière plus profitable.

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Deloitte dresse le bilan du marché immobilier du Grand Paris

La Rédaction
Le Courrier Financier
De nombreux indicateurs sont au rouge sur le marché de l'immobilier du Grand Paris. Entre une baisse des constructions neuves et un record de livraison en 2016, le cabinet de consulting dresse un constat de l'état du marché immobilier du Grand Paris pour les deux prochaines années.
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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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