La relance : remède à la crise des partis ?

Thomas Planell
DNCA
Aux Etats-Unis, l'élection présidentielle 2020 s'est déroulée dans une grande confusion. Le pays sort profondément divisé de cet affrontement entre républicains et démocrates. La relance économique suffira-t-elle à modifier cette dynamique ? L'éclairage de Thomas Planell, Gérant-analyste chez DNCA.
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Momentum – La fabrication d’une crise pétrolière

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
L'arrêt temporaire de l'économie a gelé la demande de pétrole pendant plusieurs semaines. Licenciements et fermetures de puits vont peser sur une reprise de la production. Après des années de sous-investissement chronique dans le pétrole traditionnel, il ne faudrait pas que la demande reparte trop fort. Notre expert Waldemar Brun-Theremin vous livre son analyse dans ce nouveau Momentum, votre incontournable rendez-vous financier !
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Le luxe face aux défis du monde de demain

Frédéric Ponchon
Alors que le monde semblait encore assez peu concerné par l’épidémie du coronavirus, l’année 2020 s’annonçait prometteuse pour l’industrie du luxe. Mais en février, la propagation du Covid-19 à l’échelle mondiale rebat les cartes. Le nombre de touristes, asiatiques d’abord, puis européens, chute drastiquement, et les boutiques et sites de production finissent par fermer progressivement partout dans le monde. Les marques de luxe accusent alors de forts replis de leurs ventes et voient leur valeur en bourse baisser significativement
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Selon Cholet Dupont AM, l’exposition aux zones économiques mondiales offre une plus grande sécurité

La Rédaction
Le Courrier Financier

A ce titre, les grandes zones géographiques, si elles sont interconnectées, obéissent tout de même à des forces politiques et économiques qui leur sont propres, donnant ainsi à leurs marchés financiers respectifs
des comportements spécifiques. En temps de crise plus que jamais, être exposé à l’ensemble des zones économiques mondiales offre une assurance, une voie médiane qui est pour nous la première pierre d’une structure de portefeuille optimale.

On retrouve cette gestion dans le FCP Atlas, fonds « Actions internationales » qui vient de souffler sa première bougie. Lancé en juin 2019, le fonds investit dans les actions émises par des sociétés originaires de tout pays et de toutes tailles, afin de bénéficier d'une exposition maximale à la croissance mondiale.
A fin juillet, il affiche une performance sur 1 an de 1,2% contre 1% pour son indice de référence, le MSCI World en EUR dividendes réinvestis tout en affichant une moindre volatilité.

Interview de son gérant, Karl Edom

1/ Que pouvons-nous retenir de cette crise sur les marchés ?

Karl Edom – Tout change mais rien ne change. La crise du Covid-19 n’a pas encore remis en cause le schéma de pensée dominant (les valeurs qui ont le plus rebondi après la chute du mois de mars sont les valeurs dites
« de croissance » ainsi que les valeurs technologiques) et le moment nous semble opportun pour repenser la composition des portefeuilles.

Aujourd’hui plus que jamais, les politiques des banques centrales poussent vers un rétrécissement du marché, les investisseurs concentrant leurs achats sur quelques valeurs seulement, on pense en particulier
aux valeurs technologiques américaines, parce qu’elles offrent une croissance soutenue mais suscitent également beaucoup d’espoirs. Le S&P500 est aujourd’hui plus concentré qu’en l’an 2000 (au pic de la bulle
internet), les 10 plus grosses capitalisations (les FAANGS principalement) représentant désormais plus d’un quart de l’indice. Les arbres ne montant pas jusqu’au ciel, la moindre déception (elle surviendra un jour, mais
quand ?) sur ces quelques valeurs pourrait causer des dommages significatifs sur les portefeuilles de nombreux investisseurs qui sont considérablement exposés à ces sociétés, on pense particulièrement aux
souscripteurs d’ETF.


2/ Quelles sont, selon vous, les valeurs à privilégier ?

KE - Tout un pan de la cote est en contrepartie délaissé. Certains de ces titres offrent pourtant des profils de résultats pérennes et stables, à défaut de susciter d’immenses espoirs de croissance. On pense notamment
à certaines sociétés de télécoms ou de services aux collectivités (le raisonnement s’applique qu’elles soient américaines, européennes ou japonaises) qui génèrent pourtant durablement du cash pour leurs
actionnaires, mais se paient pourtant de moins en moins cher.
Nous pensons que le second pilier essentiel à la composition d’un portefeuille solide réside dans la recherche d’une structure équilibrée capable de traverser tous les types de marchés. Si nous possédons certaines
valeurs technologiques, il nous parait judicieux, et encore plus aujourd’hui au regard des différences de valorisation, de positionner une partie du portefeuille sur ces valeurs délaissées et moins volatiles qui serviront, en plus de la diversification géographique, d’amortisseur lorsque la crise viendra.

3/ Quelle est la philosophie du fonds ?

KE - Nul ne peut prédire la fin de cette épidémie ni la forme de la reprise économique. Si nous pensons qu’il
faut rester investis en actions, nous militons pour des portefeuilles raisonnablement équilibrés, capables de
s’exposer aux performances des actions mondiales tout en limitant les fluctuations excessives lors de phases
de panique. C’est la philosophie qui guide la gestion du FCP Atlas.

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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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Momentum – Le modèle chinois à l’épreuve du Covid

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
La Chine va devoir rendre des comptes. Et ces exigences ne vont pas provenir des seuls Occidentaux. La crise du Covid change les règles dans le grand jeu de l'ascension chinoise sur l'échiquier international. Pour autant, ni Pékin, ni Washington ne peuvent courir le risque d'une récession économique ou d'un krach boursier. Notre expert Waldemar Brun-Theremin vous livre son analyse dans ce nouveau Momentum, votre incontournable rendez-vous financier !
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Déconfinement : quelle carte de France pour le Gouvernement ?

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Cette semaine, le gouvernement français a dévoilé sa stratégie nationale de déconfinement. Plusieurs cartes officielles ont été présentées aux Français, département par département. Que va-t-il se passer à partir du 11 mai prochain ? Décryptage avec Le Courrier Financier.
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Bourse : les retours du refoulé

Olivier de Berranger
LFDE
Malgré la crise sanitaire et économique, la bourse vient de connaître une semaine de rebond. Assistons-nous à un début de sortie de crise ou à un retour du refoulé ? Les explications d'Olivier de Berranger, Directeur de la gestion d'actifs et Directeur Général Délégué chez LFDE.
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Covid-19 : l’Ordre des experts-comptables défend les entreprises

Charles-René Tandé
Président du Conseil Supérieur de l'Ordre des Experts Comptables

Point au 1er avril 2020

Parallèlement à la mise en œuvre d’un dispositif d’accompagnement global des professionnels dans cette période particulièrement difficile (« SOS entreprises » et « SOS cabinets EC/CAC » qui ont déjà traité plus de 3 000 demandes en 15 jours), le Conseil supérieur de l'Ordre fait remonter quotidiennement au Gouvernement les difficultés de terrain rencontrées par les experts-comptables et les entreprises.

A ce stade, je vous informe des messages que nous avons portés, des améliorations que nous avons obtenues, des questions sur lesquelles nous n’avons pas été entendus et des sujets sur lesquels des négociations sont toujours en cours. Car le Conseil supérieur est en contact avec des interlocuteurs privilégiés des principaux ministères et des administrations.

Ce que nous avons obtenu :

  • En début de crise, la possibilité pour les collaborateurs des cabinets de circuler librement dans le cadre de leur activité professionnelle ;
  • Le passage de 70 % à 50 % du seuil de baisse de CA ouvrant accès au fonds de solidarité pour les petites entreprises, annoncé hier par le ministre de l’Economie après la publication du décret ;
  • La suspension des contrôles fiscaux et des contrôles Urssaf ;
  • Le remboursement des crédits d’impôt sur les sociétés ;
  • L’assouplissement des procédures d’inscription, pour les experts-comptables, sur le portail déclaratif de l’activité partielle (dispense de faire signer un contrat de prestation de services au client) ;
  • L’application d’un seul taux de CSG aux allocations d’activité partielle à compter de mars ;
  • Le bénéfice du régime social de l’allocation d’activité partielle (exonération de charges sociales, CSG et CRDS au taux de 6,7 %) pour le complément de rémunération décidé par l’employeur ;
  • Des garanties sur la responsabilité pénale des employeurs qui continueraient de faire travailler les salariés sur site ;
  • L’extension du dispositif d’activité partielle pour réduction d’activité aux salariés sous convention de forfait annuel en heures ou en jours ;
  • L’extension du dispositif d’activité partielle aux entreprises étrangères sans établissement en France, pour leurs salariés travaillant en France ;
  • Le décalage des délais de dépôt des comptes de campagne ;
  • Un premier décalage des délais de dépôt des liasses fiscales et des déclarations de revenus des indépendants ;
  • Le décalage des délais d’approbation des comptes et l’adaptation des modalités de tenue des AG ;
  • Des mesures de bienveillance de la part du réseau des URSSAF.

Ce qui ne changera pas, malgré nos demandes :

  • La nécessité de déclarer et de verser la TVA ;
  • La déclaration et la transmission DSN : 5 avril pour les entreprises d’au moins 50 salariés, 15 avril pour les autres ;
  • La mise en place d’une hotline dédiée aux experts-comptables, pour le portail déclaratif de l’activité partielle.

Ce qui est en cours de négociation et d’amélioration :

  • Un nouveau report des délais de dépôt des liasses fiscales et des déclarations de revenus ;
  • Le report de paiement des échéances d’impôts directs du mois d’avril ;
  • Le report du paiement du solde de l’IS, de la liquidation de la CVAE et de la TVA ;
  • L’assouplissement des modalités de déclaration de TVA faites en avril et en mai pour tenir compte des difficultés d’obtention des pièces justificatives et de la réduction sensible d’activité pour un grand nombre d’entreprises ;
  • Le remboursement immédiat des créances de carry-back ;
  • L’assouplissement généralisé et homogénéisé des exigences des banques dans le cadre du prêt garanti par l’Etat (PGE) ;
  • L’homogénéisation de la doctrine des DIRRECTE dans la prise en charge de l’activité partielle et les modalités pratiques d’indemnisation des salariés ;
  • L’extension du bénéfice de l’activité partielle aux mandataires sociaux assimilés salariés (gérant minoritaire SARL, dirigeant SAS…) ;
  • L’homogénéisation des règles applicables aux salariés bénéficiant d’un arrêt garde d’enfants, lorsque l’entreprise est en activité partielle ;
  • L’acceptation des millésimes 2019 pour les liasses déjà transmises.

Par ailleurs, nous avons sollicité le ministère de l’Economie suite aux annonces du Ministre relatives à l’interdiction de verser des dividendes pour les entreprises ayant bénéficié des aides de l’Etat pendant la crise. Pour un nombre important de petites entreprises, les dividendes permettent de compléter la rémunération des dirigeants, ou encore de faire face au remboursement des prêts liés à l’acquisition du fonds de commerce ou de la structure d’exercice. Nous poursuivons les échanges avec le ministère sur ce sujet.

Vous noterez que pendant toute cette période, nous n’avons pas souhaité réagir ou surréagir à chaque annonce, privilégiant la prise de recul et le sang-froid. Nous avons opté pour une communication sûre et vérifiée.

Quoi qu’il en soit, tout ceci illustre à la fois notre détermination et notre volonté d’obtenir des aménagements de dispositifs réalistes permettant à un maximum d’entreprises d’être sauvées, et aux professionnels que nous sommes de travailler dans des conditions acceptables et pragmatiques.

Merci à toutes et à tous !

Prenez soin de vous.

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La SCPI Pierre Expansion Santé cède un actif parisien

La Rédaction
Le Courrier Financier

Au terme d’une consultation restreinte, PIERRE EXPANSION SANTÉ a cédé un hôtel particulier d’environ 1 000 m² et ses dépendances, anciennement à usage de maison de retraite, au groupe DELTA IM, dans le cadre d’un projet de réaménagement en établissement d'enseignement.

Cette cession permet à la SCPI de dégager une plus-value conséquente sur un actif détenu depuis 1996, et à l’acquéreur d’associer un bâtiment historique à un programme neuf en cours de construction sur une parcelle contiguë.

Le site est intégralement pré-loué à un prestigieux établissement d’enseignement italien dans le cadre d’un bail de longue durée.

La SCPI PIERRE EXPANSION SANTÉ était conseillée par les sociétés Flabeau et BNP Paribas Real Estate, ainsi que par l’Etude Michelez Notaires.

L’acquéreur était conseillé par l’étude Monceau Notaires.

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L’ANACOFI Finance d’Entreprise innove avec son Observatoire des Signaux Faibles

La Rédaction
Le Courrier Financier

La section s’est renforcée par la mise en place d’une Commission Finance d’Entreprise pilotée par Jean-Louis PICOLLO qui s’appuie sur le soutien du Président Confédéral David CHARLET.

Composé d’une dizaine de professionnels reconnus, qui rencontrent au total près de 500 chefs d’entreprise par an, elle se réuni tous les 4 mois et elle apporte aux adhérents une réflexion et une visibilité sur leurs métiers, sur les bonnes pratiques, sur les formations, et initie des contacts qui viennent ainsi enrichir notre écosystème.

Pour 2024, la section Finance d’Entreprise innove avec son OBSERVATOIRE des SIGNAUX FAIBLES.
Loin des prévisions aléatoires et des statistiques utopiques, cet OBSERVATOIRE basé sur nos remontées du terrain, a pour objectif de donner une information rapide et synthétique à nos adhérents et aux clients de nos adhérents sur des indices naissants pouvant influencer les prises de décisions des prochains mois.

Les membres de la Commission Finance d’Entreprise :

  • Fabienne GRETEAU- COFINGEST
  • Sébastien ROUZAIRE – KERIUS FINANCE
  • Ludovic SARDA – PYTHAS CAPITAL
  • Guy COHEN – INGÉNIERIE SOCIALE
  • Florent GUIGUE – EMERGEANCES
  • Nathalie DESSEAUX et Franck MAGNE – EAVEST
  • Julien DRAY – UNCONFLICTED MANAGEMENT
  • Edouard SEGUIN – PIMENT & Co
  • Jean-Louis PICOLLO – RESOLVYS
    Invités : David GANDAR et Nébojsa SRECKOVIC.
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Marchés actions : règles d’or en temps de crise

David Ross
Si la vitesse, la transmission et les effets généralisés de la pandémie de Covid-19 sont inédits et spécifiques, de nombreuses leçons peuvent être tirées des crises passées. A quelles règles d'or se fier ? L'analyse de David Ross, CFA et gérant actions internationales chez LFDE. Certains éléments de cette analyse qui repose sur l'opinion du gérant sont susceptibles d'évoluer. Il existe un risque de perte en capital pour tout investissement sur les marchés financiers.
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Marchés financiers : résilience

Igor de Maack
Vitalépargne Paris
Depuis quelques semaines, la crise sanitaire a mis l'économie mondiale à l'arrêt. Comment les marchés réagissent-ils aux injections de liquidités ? Quelles conséquences cette politique aura-t-elle sur le monde de l'entreprise ? Igor de Maack, Gérant et porte parole de la Gestion, partage son analyse.
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