David Charlet – ANACOFI : rémunération des CGP-CIF, « le modèle français est le plus sécurisant »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Le 6 avril 2023 à Paris, l'ANACOFI avait donné rendez-vous à ses membres CGP-CIF pour sa Convention annuelle. Honoraires ou commissions, quel modèle de rémunération des CGP-CIF ? Comment la réforme du courtage modifie-t-elle l'organisation de l'association ?
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Parole de CGP – Weelim : « L’avenir du métier de CIF passe par le maintien des rétrocommissions »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Retrouvez l'émission du Courrier Financier, « Parole de CGP ». Les conseillers en gestion de patrimoine (CGP) nous présentent leur activité, les problématiques auxquelles ils sont confrontés, et nous racontent l’évolution de leur profession. Plongez dans l’actualité de la gestion de patrimoine !
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Julien Séraqui – CNCGP : rémunération des CGP, « le futur de l’économie européenne est en jeu »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
En mars 2023, la CNCGP revient sur la Retail investment strategy (RIS) — la consultation lancée en mai 2021 par la commissaire européenne aux services financiers, Mairead McGuinness. Pourquoi la CNCGP recommande-t-elle de conserver les commissions ?
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Philippe Feuille – La Compagnie des CGP : « La rétrocession des commissions nous semble nécessaire »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
La Compagnie des CGP revient sur l'actualité de la profession au T1 2023. Dans le cadre de la future Retail investment strategy (RIS), la Commission européenne envisage de mettre un terme aux commissions. Pourquoi l'association défend-t-elle le modèle de rémunération français ?
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Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

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La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

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La Parole aux Assos’ – CNCGP : « Le débat qui oppose honoraires et commissions est dépassé »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Dans ce nouvel épisode de « La Parole aux Assos' », Le Courrier Financier reçoit la CNCGP. Malgré les contraintes sanitaires, comment les CGP peuvent-ils continuer à se former ? Entre honoraires et commissions, comment la rémunération des CGP va-t-elle évoluer ?
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La Parole aux Assos’ – CNCGP : « L’ESMA ne recommande pas l’interdiction des commissions »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Dans ce nouvel épisode de « La Parole aux Assos’ », Le Courrier Financier reçoit Julien Séraqui, président de la CNCGP. Les dernières recommandations de l'Autorité des marchés financiers européens (ESMA) ont fait couler beaucoup d'encre. Honoraires ou commissions, quel avenir pour la rémunération des CGP-CIF ?
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MIF 2 : la CNCEF Patrimoine défend les rétrocessions de commissions

La Rédaction
Le Courrier Financier

La Chambre Nationale des Conseils Experts Financiers (CNCEF) Patrimoine annonce ce mardi 26 mai avoir répondu à la consultation de l’Autorité européenne des marchés financiers (ESMA), qui effectue actuellement un bilan de la directive MIF 2 et s’apprête à en proposer une révision.

La CNCEF Patrimoine — présidée par Stéphane Fantuz — défend le principe des rétrocessions de commissions et demande aux pouvoirs publics européens et français d’harmoniser la réglementation. Parmi les questions en débat, l’association professionnelle s'intéresse aux rétrocessions de commissions que le régulateur européen envisage de remettre en cause.

Préserver les rétrocommissions

Dans la distribution des produits d’épargne aux particuliers, « l’ESMA semble vouloir, sans avoir précisé ses motivations, ouvrir la porte à l’interdiction totale des rétrocommissions dans son projet de révision », s'inquiète la société professionnelle dans un communiqué officiel. 

Or, pour la CNCEF Patrimoine, « la transparence des rémunérations ex ante et ex post ne pose pas d’obstacles actuellement ». L’association demande de maintenir le modèle de rétrocessions, afin de préserver le modèle d’architecture ouverte à destination de tous les épargnants, quelle que soit leur enveloppe d’investissement. 

Pour Stéphane Fantuz, « le modèle reposant uniquement sur des honoraires n’apporterait pas la qualité de service rendu au client ». Il limiterait l’accès au conseil patrimonial aux seuls épargnants qui disposent de moyens suffisants pour payer des honoraires. Enfin, il ne protégerait pas davantage le consommateur face aux manquements relatifs au devoir de conseil.

Garantir la simplification

Autres point fort de revendication de la CNCEF Patrimoine : la simplification. L’association constate une trop grande complexité particulièrement, dans le dispositif de la gouvernance produits. C’est pourquoi, elle a émis différentes propositions et demandes :

  • Gouvernance produits à n’appliquer qu’aux produits complexes ;
  • Demande de clarification sur la notion de marché négatif ;
  • Meilleure prise en compte de la pratique habituelle des conseils de proposer à leurs clients, une allocation d’actifs (multiplicité de produits – OPCVM) et la difficulté du respect de la gouvernance produit dans ce cadre ;
  • Élargissement de la notion d’investisseur professionnel sur demande (notamment par l’introduction du critère de l’investisseur accompagné par un professionnel) ;
  • Etudier la simplification sur les coûts et frais.

La CNCEF Patrimoine estime que certaines pistes de révision de MIF 2, proposées par l’ESMA présentent « des orientations positives comme la volonté de simplifier la gouvernance produits, les coûts et frais ». Cependant, d’autres sont plus inquiétantes comme la question des rétrocessions sur laquelle « l’association se montrera extrêmement vigilante et au besoin, combative ». 

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AFG : que retenir des commissions de surperformance de l’ESMA ?

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'Autorité européenne des marchés financiers (AEMF ou ESMA en anglais) a publié le 20 mars dernier ses orientations pour les commissions de surperformance (CSP) pour les OPCVM et certains FIA (rapport en anglais). L’Association Française de la Gestion Financière (AFG) et ses membres apportent leur appui aux travaux visant à une convergence de supervision en Europe. A ce titre, ils ont contribué au débat sur les meilleures pratiques en matière de calcul des commissions de surperformance.

La France est exemplaire en matière de codification et d’application des principes de l’OICV d'août 2016. Ces normes professionnelles figurent dans le Guide de Place AFG-AFTI de novembre 2018, concernant les commissions de surperformance dans les OPCVM et les FIVG non réservés. Les recommandations de l'ESMA permettent d’assurer que les modèles utilisés dans les pays européens répondent à l’objectif d’alignement d’intérêt entre fonds et porteurs, en ligne avec les recommandations de l’OICV.

Réserves de l'AFG

L'AFG estime cependant que « les orientations de l’ESMA vont trop loin en imposant un modèle unique basé sur une période de référence d’au minimum 5 ans, sans véritable étude d’impact préalable au niveau européen ». Ce modèle est imposé actuellement dans un seul pays de l’UE et ne fait pas partie des recommandations de l’OICV. « Imposer un tel horizon de temps sans distinction de classe d’actifs, de stratégie ou de durée recommandée de détention est de nature à mettre en péril les modèles vertueux existant dans les autres pays européens, comme la France », s'inquiète l'AFG.

Cette décision risque d'inciter les gestionnaires à les abandonner au profit de frais fixes plus élevés. « Or le maintien d’un modèle de frais viable pouvant avoir recours aux commissions de surperformance nous semble être un des objectifs principaux que doit se donner le régulateur dans ces travaux », estime l'AFG. Ce modèle permet de renforcer l’alignement d’intérêt entre porteurs et sociétés de gestion, par le partage des bénéfices lorsque les résultats sont au rendez-vous ou le prélèvement de frais fixes moindres dans le cas contraire.

L'intérêt des investisseurs

L’AFG considère qu’il n’est pas dans l’intérêt des investisseurs, lorsqu’ils souscrivent à un fonds, de se voir privés du choix entre, par exemple, une classe de parts dotée de commissions de surperformance et une autre dotée uniquement de frais fixes, plus élevés et systématiquement appliqués quelles que soient les conditions de marché. Pour les porteurs de parts, les frais variables sont très avantageux en période de marchés baissiers.

En France, les commissions de surperformance représentaient 8 % du total des frais de gestion prélevés par les gestionnaires offrant au moins une part incluant des commissions de surperformance à fin 2017, et 3 % à fin 2018, ce qui représente une baisse des frais variables prélevés de 65 %. Les autorités nationales disposent de deux mois à compter de la parution de leur traduction dans toutes les langues de l’UE pour notifier à l’ESMA si elles souhaitent ou non les appliquer.

Des dispositions sous surveillance

Compte tenu de l’analyse ci-dessus, l’AFG se prononce de manière exceptionnelle en faveur d’une application partielle de ces orientations — soit le maintien de la plupart de ses dispositions. Néanmoins, l'association professionnelle demande que l’application d’une période d’observation de 5 ans au minimum ne soit pas obligatoire mais optionnelle.

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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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Climat et Finance durable : quels objectifs pour la Commission AMF ?

La Rédaction
Le Courrier Financier

L’Autorité des Marchés Financiers (AMF) publie ce mardi 23 juillet le mandat et le fonctionnement de sa Commission Climat et Finance Durable. Cette structure — présidée par Thierry Philipponnat, membre du Collège de l’AMF — a été créée le 2 juillet dernier, dans le cadre d’une communication collective des autorités et de la Place. Elle doit aider le régulateur sur les thématiques liées à la finance durable et contribuer aux travaux réalisés avec l’Autorité de contrôle prudentiel (ACPR) pour le suivi et l’évaluation des engagements pris par les acteurs financiers sur le climat.

Développer la finance durable

L’AMF a fait de la finance durable un axe majeur de son plan stratégique #Supervision 2022. Le régulateur souhaite faire évoluer les pratiques, accroître la transparence et faciliter la prise en compte des enjeux de durabilité et la mobilisation des capitaux au profit d’une économie durable. L’AMF va renforcer l’accompagnement des acteurs et de l’innovation, en vue des évolutions réglementaires prévues par le Plan d’action de la Commission européenne pour la finance durable, et la supervision.

Outre la contribution aux travaux sur le suivi et l’évaluation des engagements, la Commission sera aussi chargée de fournir une expertise technique et d’offrir un forum d’échanges et de travail en faveur du développement de la finance durable. Elle rassemblera des membres sélectionnés pour leur expertise en matière de risque climatique et de finance durable, représentant différents segments du marché et de la société civile. La composition de la Commission sera annoncée en septembre prochain, au moment du lancement de ses travaux.

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M. Fleuriet (IOBSP), J.J. Olivié (IMMO), P. Galtier (CIF) & D. Charlet : Evolution de la rémunération, quels risques ?

Roxane Nojac
Le Courrier Financier
La rémunération des professionnels du conseil financier, toutes disciplines confondues, est passée au crible et sujette à des réformes majeures censées favoriser la transparence. Ces évolutions législatives sont-elles pertinentes ? L'épargnant est-il prêt à rémunérer la valeur du conseil ? Comment réinventer son métier ?

Michel Fleuriet Président de l'ANACOFI-IOBSP, Jean-Jacques Olivié, Président de l'ANACOFI-Immo, Patrick Galtier, Président de l'ANACOFI-CIF et David Charlet, Président de l'ANACOFI, reviennent pour nous sur les craintes et opportunités engendrées par ces modifications.
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