Béranger Mistral – Apax : Apax Development Fund II, accessible aux CGP à partir de 100 000 euros

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Avec le lancement du FPCI Apax Development Fund II, APAX Partners (APAX) s'inscrit dans une dynamique de démocratisation du Private Equity en France. Ce fonds est désormais accessible aux conseillers en gestion de patrimoine (CGP) à partir de 100 000 euros.
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Private Equity : Moonfare ouvre un bureau à Paris

La Rédaction
Le Courrier Financier

Moonfare — spécialiste de l'investissement en Private Equity à l’échelle mondiale — annonce ce mardi 11 octobre l'ouverture d'un bureau à Paris. La plateforme digitale se lance officiellement en France. Cette étape importante souligne la croissance rapide de l'entreprise à l’international, qui s'est imposée comme une plateforme d'investissement en Private Equity de référence pour les particuliers.

Depuis sa création en 2016, Moonfare enregistre une croissance moyenne de plus de 2,5 fois d’une année sur l’autre. Le total des actifs sous gestion dépasse les 2 Mds€. Le bureau de Paris est dirigé par Karim Boussetta, responsable de la distribution BtoC, et Anne Vergez, responsable des partenariats BtoB, sous la supervision de Frederik Meheus, Managing Directeur et directeur de l'activité commerciale et de Steffen Pauls, fondateur et CEO de Moonfare.

Répondre aux HNWIs en France

L'arrivée de Moonfare sur le marché français est une décision stratégique. Objectif, s'adresser au pool croissant de High Net Worth Individuals (HNWIs) en France et capitaliser sur la forte dynamique de l'industrie du Private Equity. Les investisseurs particuliers et les Family Offices ont contribué à environ 5 Mds€ aux capitaux levés par les GPs en 2021, soit trois fois le niveau enregistré en 2020.

En outre, Moonfare cherche à étendre son segment B2B à la France et à coopérer avec des acteurs clés tels que les banques privées, les gestionnaires de patrimoine, les gestionnaires d'actifs, les Family Offices. Il s'agit d'élargir le cercle des partenaires de premier plan qui existent sur d'autres marchés. Moonfare travaille déjà avec le gestionnaire d'actifs franco-suisse Bordier & Cie, la banque privée allemande Berenberg ainsi que le gestionnaire d'investissement mondial Fidelity International. 

« Notre arrivée à Paris vise à renforcer notre proximité avec les investisseurs particuliers français et leurs conseillers, qui manifestent un intérêt de plus en plus fort et avisé pour l'investissement sur les marchés privés. Notre plateforme leur permet d'accéder facilement au meilleur de ces classes d'actifs, tout en répondant à leur désir d'autonomiser et de diriger eux mêmes leurs investissements », déclare Steffen Pauls, CEO et fondateur de Moonfare.

Faciliter l'accès des particuliers

Avec sa proposition de valeur unique, Moonfare répond à deux besoins actuels : le manque d'accès à l'investissement en Private Equity pour les investisseurs individuels et l'objectif des gestionnaires de fonds d'élargir la gamme de leurs produits pour diversifier leur base d'investisseurs. Moonfare offre aux particuliers et à leurs conseillers la possibilité d'investir à partir de 50 000 euros en leur proposant une sélection de fonds internationaux de premier plan tels que KKR, EQT, Permira et Carlyle.

Moonfare effectue pour ses clients une due diligence approfondie sur tous les fonds. Seuls 5 % des fonds passent avec succès ce processus de due diligence des entreprises. En outre, Moonfare donne accès à son marché secondaire. Les investisseurs y ont la possibilité participer à des évènements de liquidité semestriels où ils auront la possibilité de vendre leurs investissements. Le partenariat de Moonfare avec Lexington Partners contribue à résoudre le problème d'illiquidité de cette classe d'actifs.

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Private Equity : Archinvest, une nouvelle plateforme pour les CGP

La Rédaction
Le Courrier Financier

Émilie Loyer-Buttiaux et Pierre-Olivier Desplanches annoncent ce lundi 3 octobre le lancement d'Archinvest. Cette plateforme d’investissement donne accès à une offre indépendante de fonds de Private Equity. Archinvest s’adresse aux Conseillers en Gestion de Patrimoine (CGP) et aux Family Offices qui souhaitent proposer à leurs clients d’investir en Private Equity.

Objectif, leur permettre d’investir à partir de 100 000 euros dans une gamme complète de fonds qui couvrent l’ensemble des stratégies du Private Equity (LBO, Infrastructure, Growth, Dette privée, Immobilier) sur toutes les géographies (France, Europe, États-Unis, Israël). Les fonds sélectionnés sur Archinvest étaient historiquement réservés aux investisseurs institutionnels.

La genèse de la plateforme Archinvest

Le lancement d’Archinvest vient concrétiser l’accélération de la stratégie historique de co- investissements en Venture Capital co-fondée par Émilie Loyer-Buttiaux (sous le nom « French Partners »). Depuis 5 ans, son équipe a investi 80 millions d’euros aux côtés d’une communauté d’entrepreneurs et de Family-Offices, dans une quarantaine de jeunes sociétés prometteuses.

Fort de ce succès et de l’appétit croissant des investisseurs particuliers pour le Private Equity, Pierre-Olivier Desplanches (investisseur en LBO depuis 20 ans, dont 18 ans au sein du fonds Carlyle à Paris) et Aymeric Plassard (ex-Directeur Finance et Opérations chez Weinberg Capital, PAI Partners et Quaero) ont rejoint Archinvest pour développer ces nouvelles stratégies.

Société de Gestion agréée par l’AMF depuis 2022, Archinvest a récemment recruté 2 responsables commerciaux pour accompagner le développement en France et en Europe. Archinvest est également soutenue par Nicolas Macquin, co-investisseur historique, ainsi que par plusieurs Family Offices et entrepreneurs français de renom.

L’équipe de gestion ambitionne de lever 100 millions d’euros lors de sa première année d’opération et elle investira personnellement dans chacun des fonds disponibles sur la plateforme. En parallèle de cette activité de distribution de fonds, Archinvest poursuivra son activité historique de co-investissements (PME et start-ups).

Engagement initial de 100 000 euros

« Alors que les investisseurs institutionnels sont déjà exposés de manière significative au Private Equity (jusqu’à 30 % de leurs portefeuilles) depuis des décennies, les investisseurs particuliers et leurs conseillers financiers ont historiquement été confrontés à des barrières à l’entrée telles que le ticket minimum d’investissement ou encore la difficulté d’accéder aux gérants de premier plan » déclare Émilie Loyer-Buttiaux, co-fondatrice de la plateforme.

La plateforme d’Archinvest offre aujourd’hui un accès exclusif aux meilleurs fonds sélectionnés parmi plus de 5 000 fonds de Private Equity au niveau mondial. Grâce à sa longue expérience du secteur, l’équipe sait en effet identifier, de façon rigoureuse et indépendante, les meilleurs gérants mondiaux, tels que PAI Partners, Carlyle, Bridgepoint, et IK Partners, déjà accessibles aujourd’hui sur la plateforme Archinvest.

L’offre d’Archinvest s’articule autour de trois produits : un produit « Multi-Fonds », un produit « Fonds Unique » et un produit « Co-Investissements ». Cette offre complète proposée en architecture ouverte aux Conseillers en Gestion de Patrimoine et aux Family Offices leur permet de répondre à l’ensemble des besoins de leurs clients à partir d’un engagement initial de 100 000 euros (soit 25 000 euros annuels, investis sur 4 ans).

Archinvest a également développé une interface 100 % digitale dédiée aux distributeurs qui leur permet de gérer de manière simple et efficace les différentes étapes du processus d’investissement. Les distributeurs et leurs clients ont ainsi accès à tout moment à un reporting personnalisé et exhaustif sur leurs investissements en Private Equity.

Private Equity responsable et liquide

L'équipe d’Archinvest a développé une conviction forte sur les bénéfices des investissements responsables. « Dans un contexte réglementaire encore naissant, Archinvest sélectionne les fonds qui ont fait de l’ESG un axe central de leur développement. Ce nouveau critère d’analyse était jusqu’ici peu utilisé par les autres plateformes de distribution de fonds d’investissements », explique Pierre-Olivier Desplanches , co-fondateur d’Archinvest.

A court terme, Archinvest fera ses meilleurs efforts pour offrir des solutions de liquidité à ses investisseurs pendant la durée de leurs investissements. Au cours du temps, la densification de la base d’investisseurs facilitera et automatisera la possibilité de revendre ses lignes d’investissement directement sur la plateforme Archinvest, tout comme les plateformes de marchés le font déjà pour les sociétés cotées.

L’intérêt des investisseurs privés pour le Private Equity s’est régulièrement renforcé depuis plusieurs années, du fait de sa surperformance financière par rapport aux autres classes d’actifs et de sa moindre volatilité que celle des marchés cotés. Grâce à Archinvest, les investisseurs particuliers et leurs conseillers financiers bénéficient maintenant du meilleur accès à cette classe d’actif dynamique, de façon simple et indépendante.

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Capital-risque : le groupe Angelor devient une société de gestion

La Rédaction
Le Courrier Financier

Angelor — acteur lyonnais indépendant du capital risque créé en 2008 — annonce ce mardi 24 mai avoir déposé un dossier de demande d'agrément auprès de l'Autorité des marchés financiers (AMF) afin de devenir société de gestion. Objectif, avoir plus de moyens à apporter aux startups financées. L’agrément société de gestion est soumis à des conditions suspensives

20 millions d'euros investis en 10 ans

Angelor a investi ces dernières années des montants d'amorçage compris entre 200 000 euros et 1 M€ par startup. Mais avec le bon développement des startups ainsi financées, Angelor s’est vue confrontée au manque de moyens pour suivre les tours de financement suivants. Cela entraîne des problèmes de dilution, de gouvernance et de droits financiers qui empêchaient les actionnaires d'Angelor de profiter de la création de valeur initiée.

Après avoir investi plus de 20 M€ en 10 ans, Angelor vise ainsi à investir 50 M€ dans les trois ans à venir, dans environ 25 startups, essentiellement de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Ces investissements se feront dans trois secteurs à enjeux sociétaux : la santé, l'alimentation et l'environnement. Après cette nouvelle étape, Angelor peut désormais viser les 500 M€ sous gestion dans les 10 ans qui viennent et ainsi conforter sa place d'acteur de référence dans le capital-innovation.

Développement du groupe Angelor

« C'était le bon moment pour déposer ce dossier d'agrément à l’AMF et devenir société de gestion. Nous avons la chance d'avoir déjà la confiance de plusieurs acteurs institutionnels qui peuvent ainsi s'allier à notre actionnariat historique de dirigeants expérimentés d'entreprises établies. Les success stories vécues ces 12 derniers mois sont de bonnes preuves de notre qualité de sélection et d'accompagnement. L'équipe Angelor s'est aussi renforcée ces quatre dernières années et elle est aujourd'hui reconnue pour son professionnalisme », poursuit Sébastien Bonte, Président-Fondateur d’Angelor.  

Le statut société de gestion permettra d'accélérer le développement d'Angelor, avec l'alliance du capital expériences de ses Partners au capital financier des institutionnels. Le groupe pourra monter des fonds type FPCI, multithématiques, sectoriels ou dédiés — par exemple pour un Family Office qui voudrait avoir sa partie « Capital Innovation » ou un industriel qui voudrait soutenir l'innovation dans son secteur à travers la création de valeur. Angelor pourra ainsi investir des montants d’environ 500 000 euros en amorçage (startups), et poursuivre le financement jusqu’à 2,5 M€ dans les Série A des meilleures start-ups en phase dite de « scale-ups ».

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La SCPI Pierre Expansion Santé cède un actif parisien

La Rédaction
Le Courrier Financier

Au terme d’une consultation restreinte, PIERRE EXPANSION SANTÉ a cédé un hôtel particulier d’environ 1 000 m² et ses dépendances, anciennement à usage de maison de retraite, au groupe DELTA IM, dans le cadre d’un projet de réaménagement en établissement d'enseignement.

Cette cession permet à la SCPI de dégager une plus-value conséquente sur un actif détenu depuis 1996, et à l’acquéreur d’associer un bâtiment historique à un programme neuf en cours de construction sur une parcelle contiguë.

Le site est intégralement pré-loué à un prestigieux établissement d’enseignement italien dans le cadre d’un bail de longue durée.

La SCPI PIERRE EXPANSION SANTÉ était conseillée par les sociétés Flabeau et BNP Paribas Real Estate, ainsi que par l’Etude Michelez Notaires.

L’acquéreur était conseillé par l’étude Monceau Notaires.

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L’ANACOFI Finance d’Entreprise innove avec son Observatoire des Signaux Faibles

La Rédaction
Le Courrier Financier

La section s’est renforcée par la mise en place d’une Commission Finance d’Entreprise pilotée par Jean-Louis PICOLLO qui s’appuie sur le soutien du Président Confédéral David CHARLET.

Composé d’une dizaine de professionnels reconnus, qui rencontrent au total près de 500 chefs d’entreprise par an, elle se réuni tous les 4 mois et elle apporte aux adhérents une réflexion et une visibilité sur leurs métiers, sur les bonnes pratiques, sur les formations, et initie des contacts qui viennent ainsi enrichir notre écosystème.

Pour 2024, la section Finance d’Entreprise innove avec son OBSERVATOIRE des SIGNAUX FAIBLES.
Loin des prévisions aléatoires et des statistiques utopiques, cet OBSERVATOIRE basé sur nos remontées du terrain, a pour objectif de donner une information rapide et synthétique à nos adhérents et aux clients de nos adhérents sur des indices naissants pouvant influencer les prises de décisions des prochains mois.

Les membres de la Commission Finance d’Entreprise :

  • Fabienne GRETEAU- COFINGEST
  • Sébastien ROUZAIRE – KERIUS FINANCE
  • Ludovic SARDA – PYTHAS CAPITAL
  • Guy COHEN – INGÉNIERIE SOCIALE
  • Florent GUIGUE – EMERGEANCES
  • Nathalie DESSEAUX et Franck MAGNE – EAVEST
  • Julien DRAY – UNCONFLICTED MANAGEMENT
  • Edouard SEGUIN – PIMENT & Co
  • Jean-Louis PICOLLO – RESOLVYS
    Invités : David GANDAR et Nébojsa SRECKOVIC.
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Capital-investissement : Edmond de Rothschild (France) lance un mandat de gestion

La Rédaction
Le Courrier Financier

Edmond de Rothschild (France) — spécialiste dans la banque privée et la gestion d’actifs — annonce ce jeudi 21 avril le lancement d'un mandat de gestion en Private Equity. Il donne accès aux clients de la banque privée en France à l’ensemble des fonds de Private Equity du Groupe. Faiblement corrélés aux marchés financiers, ces investissements permettent aux clients privés de diversifier leurs placements — en alliant performance financière à long terme et ancrage dans l’économie réelle.

Stratégies du mandat de gestion

Ce mandat offre également la possibilité de diversifier ses investissements dans d’autres classes d’actifs réels comme l’immobilier et les infrastructures. Avec près de 20 milliards de francs suisses sous gestion, le groupe Edmond de Rothschild est devenu ces dernières années un acteur de premier plan dans les marchés privés avec une plateforme de stratégies innovantes en Private Equity et actifs réels (immobilier, dette d’infrastructures).

Le nouveau mandat de gestion en Private Equity lancé par Edmond de Rothschild permet aux clients privés de diversifier leurs portefeuilles en accédant à des stratégies plus faiblement corrélées aux marchés financiers. Il est investi intégralement dans les fonds en Private Equity et en actifs réels du groupe Edmond de Rothschild et accessible moyennant un ticket d’entrée d’un million d’euros. Les stratégies de Private Equity proposées dans le cadre du mandat couvrent :

  • des investissements de type capital transmission (buyout)et capital croissance ;
  • des stratégies guidées par l’expertise en infrastructures et immobilier ;
  • des stratégies private equity externes au Groupe au travers du fonds de fonds hybride Privilège.

Allocation de portefeuille

L’intérêt de ce nouveau mandat de gestion est de tirer profit de la tendance des marchés privés à améliorer la performance (alpha), le rendement, la diversification et l’impact des portefeuilles. Le portefeuille s’oriente donc principalement vers le Private Equity — pour la recherche de performance — et vers les actifs réels (pour la diversification et la recherche d’impact).

80 % à 70 % de l’allocation cible du portefeuille est composée de fonds de Private Equity, le reste de fonds immobiliers et de dette d’infrastructures qui représenteront entre 20 % et 30% de l’allocation cible. En termes de géographies, le portefeuille cible est composé à au moins 80 % d’investissements aux États-Unis et en Europe. Les investissements dans les marchés émergents, eux, sont limités à 10 % maximum.

La gestion du mandat se fait sur le long terme, avec un horizon de placement supérieur à dix ans. Cela permet de déployer les investissements de façon progressive et diversifiée en termes de stratégies, de géographies et de millésimes. Vient ensuite une phase de désinvestissement progressif qui permet de matérialiser la performance.

Accompagner les clients privés

Cette solution d’investissement est destinée aux investisseurs avertis et expérimentés, qui doivent avoir la capacité de comprendre et la volonté d'accepter l'étendue de leur exposition aux risques de cet investissement, et en particulier son caractère illiquide ainsi que sa durée de blocage. Les autres risques principaux liés au mandat comprennent notamment le risque de perte en capital, les risques liés aux variations des taux de change, les risques associés aux investissements dans les sociétés non cotées.

« Convaincus que tout ce qui est durable est rentable à long terme, nous développons depuis plus de 10 ans des stratégies de Private Equity performantes. Ce mandat est le fruit de la réflexion de nos équipes qui sont en permanence à l’écoute des besoins de nos clients privés. Ces derniers ont désormais accès à une solution d’investissement diversifiée dans l’économie réelle avec un impact positif », déclare Renzo Evangelista, président du Directoire de Edmond de Rothschild (France).

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Private Equity : une démocratisation en marche

Michel Ivanovsky
MIPISE
Longtemps réservé aux investisseurs professionnels, le private equity s’ouvre de plus en plus à une clientèle retail. Le retour de la volatilité et de l’inflation couplé à un excès de liquidités à investir incite les épargnants à la recherche de performance à s’intéresser au non coté dont le capital investissement. Le point avec Michel Ivanovsky, Fondateur & Président de Mipise.
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Transition énergétique : TiLT Capital Partners annonce le closing de son fonds à 145 millions d’euros

La Rédaction
Le Courrier Financier

TiLT Capital Partners — spécialiste de la transition énergétique du Groupe Siparex — annonce ce jeudi 14 avril le premier closing de son fonds de capital croissance « TiLT Capital Fund 1 » (TCF 1) à 145 M€. Ce fonds d'investissement est dédié au financement des entreprises dans le secteur de la transition énergétique en Europe.

Investir sur le segment des PME-ETI

Le fonds TCF 1 est soutenu par des investisseurs de référence tels que la Banque Européenne d’Investissement, le Fonds Européen d’Investissement et Bpifrance, des investisseurs institutionnels de premier plan (banques, assureurs), ainsi que des investisseurs privés et Family Offices. Bpifrance investit en fonds propres et via le Fonds de Fonds Growth pour le compte d’assureurs privés et de la Caisse des Dépôts.

L'initiative entrepreneuriale est portée par ses trois fondateurs Nathanaël Krivine, Nicolas Lepareur et Nicolas Piau. TiLT Capital a rejoint Siparex en septembre 2021 pour devenir la plateforme Transition Énergétique du groupe. Les 50 ans d’expérience sectorielle et industrielle cumulée de l’équipe de management, couplés à l’expertise reconnue de Siparex dans le capital investissement sur le segment PME-ETI en font une proposition de valeur unique dans le paysage du Private Equity français pour les entrepreneurs comme pour les investisseurs.

Réduire les émissions de CO2

Avec l’appui de Siparex et grâce à son réseau de premier plan constitué de startups, PME et ETI, TiLT Capital vise à accélérer le déploiement de sa stratégie d’investissement et l’atteinte de sa cible de 250 M€. TiLT Capital bénéficiera de l’équipe d’Operating Partners du Groupe, qui viendra soutenir les stratégies de croissance des entreprises au sein desquelles elle investira.

A l’issue de ce premier closing, plusieurs opportunités d’investissement sont déjà à l’étude. La stratégie s’articule autour de deux grands axes : l’efficacité énergétique de notre économie et la flexibilité du système énergétique, tant au niveau de la production, des réseaux que de la consommation. Le deal flow de TCF 1 se concentre sur des PME françaises et européennes, en particulier dans les secteurs de la chaleur renouvelable, de l’énergie renouvelable décentralisée, de l’électronique de puissance et de l’optimisation de la consommation. 

Le fonds est catégorisé « article 9.3 » au titre du règlement européen Sustainable Finance Disclosure Regulation (SFDR) — objectif de réduction des émissions de CO2. Au départ de cette aventure entrepreneuriale du capital-investissement, les fondateurs ont souhaité intégrer les enjeux de durabilité au cœur de la thèse d’investissement de TiLT en indexant une part de leur rémunération à la réalisation d’objectifs ESG par les entreprises du portefeuille.

Une initiative entrepreneuriale

« A la création de TiLT, avec Nicolas Lepareur et Nathanël Krivine, nous avions identifié que le capital croissance était un segment de marché mal servi en Europe, notamment dans la transition énergétique, l’Europe étant en effet très en retard par rapport aux États-Unis ou à l’Asie. Nous sommes également convaincus que l’investissement responsable pose les nouvelles bases de l’investissement pour le futur. C’est ce qui nous a amenés à nous engager dans cette aventure entrepreneuriale et à créer TiLT », déclare Nicolas Piau, co-fondateur et Président de TiLT Capital Partners

« Je suis très heureux de la dynamique insufflée par ce premier closing dans la transition énergétique, secteur qui offre de nombreuses opportunités en Europe et représente un enjeu essentiel pour l’économie ainsi que pour beaucoup d’entreprises du portefeuille de Siparex. Avec cette levée de fonds qui s’ajoute à celles réalisées en 2021, Siparex dispose de plus d’un milliard d’euros à investir, pour financer et accompagner les entreprises dans leur transformation », ajoute Bertrand Rambaud, Président du groupe Siparex.

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Agritech : Maor II atteint plus de 150 millions de dollars pour son premier closing

La Rédaction
Le Courrier Financier

Maor Investments — l’un des 10 fonds de venture capital les plus actifs en Israël — annonce ce lundi 4 mars le premier closing de son fonds Maor II, dont l’objectif de collecte a été dépassé, auprès d’investisseurs européens qualifiés. Dédié à l’investissement dans les pépites technologiques israéliennes, Maor II atteint plus de 75 % de la taille cible du fonds. Sa capacité d'investissement de plus de 150 M$ qui dépasse ainsi celle de son premier fonds Maor I.

Ce premier closing coïncide avec un premier déploiement vers SupPlant, une Agritech israélienne proposant des solutions d’irrigation innovantes dans la Smart Agriculture. Cinq mois après l’annonce de son lancement, pour ce premier closing, Maor Investments a pu compter sur ses souscripteurs historiques — dont plus de 90 % ont souscrit à Maor II — mais également sur de nouveaux investisseurs français et européens. Le tour de table qui rassemble de nombreux family offices et quelques institutions, reflète une forte hausse du ticket moyen de souscription.

Cibler les pépites israéliennes

Le montant de ce premier closing, au-delà des attentes, conforte Maor Investments dans l’atteinte de son objectif de collecte auprès d’investisseurs européens qualifiés de 200 M$, dédié à l’investissement dans les pépites technologiques israéliennes. L’allocation des souscriptions résiduelles entre le premier closing et le closing définitif sera principalement réservée aux investisseurs institutionnels ayant déjà exprimé leur intérêt pour Maor II.

L'engouement des investisseurs pour Maor II s'explique d'abord par la très bonne performance de Maor I. Clôturé en 2019, ce fonds est déjà investi à plus de 85 % dans 18 startups évoluant dans des secteurs très divers (intelligence artificielle, fintech, sportstech, immobilier, construction, marketing, santé numérique, agriculture, infrastructure cloud et cyber-sécurité). Maor II poursuivra un objectif d’investissement similaire dans les entreprises technologiques israéliennes en forte croissance, afin de leur offrir des débouchés commerciaux en Europe.

Le premier closing de Maor II coïncide avec un premier investissement dans SupPlant. Grâce à sa technologie d’IA unique brevetée d’irrigation autonome, SupPlant analyse les données collectées en direct sur les plantes et les sols, les croise avec des indicateurs extérieurs — exemple, les prévisions météorologiques — et les traduit en recommandations d’irrigation pour les agriculteurs. Il s'agit d’améliorer leur productivité, tout en optimisant la consommation en eau. Objectif, s'adapter au changement climatique en accompagnant une exploitation agricole et en développant des modes de consommation plus durables.

Méthodologie ESG exhaustive

Enfin, les souscripteurs ont été particulièrement convaincus par les engagements et l'approche de Maor Investments en matière d’ESG. Signataire de la charte pour les investissements responsables (PRI), MAOR Investments a entrepris de mettre systématiquement en œuvre les pratiques ESG dans son processus d'investissement et de gestion de portefeuille. La société s’est également fixé pour objectif de mettre au point une méthodologie ESG exhaustive à fin 2023.

Très connecté à l’écosystème des startups israéliennes, Maor Investments est aussi un membre actif de plusieurs organisations locales dont « Power in Diversity » et « Tmura » visant à améliorer la diversité, l’égalité et l’inclusion au sein de la Silicon Wadi ainsi que l’accès à l’éducation des jeunes en Israël. Depuis sa création, Maor Investments s’attache à œuvrer au rapprochement des startups Israéliennes avec les grands groupes, français d’abord, puis Européens, en quête d’innovation.

Israël représente une opportunité aux portes de l’Europe pour les investisseurs institutionnels et Family Offices européens à ce jour sous-investis dans les sociétés technologiques non cotées. À seulement 4 heures de vol et une heure de décalage horaire, la Silicon Wadi Israélienne est une alternative à la Silicon Valley. Les collaborations technologiques et industrielles contribueraient ainsi à renforcer les industries françaises et européennes face aux géants américains.

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Qonto et Regate unissent leurs forces pour offrir la meilleure solution de gestion financière aux TPE-PME et aux cabinets d’expertise-comptable

La Rédaction
Le Courrier Financier

Cette acquisition permet à Qonto de renforcer ses outils financiers destinés aux PME, d'introduire une offre spécifiquement conçue pour les cabinets d'expertise-comptable et illustre son ambition de devenir la solution de gestion financière de référence pour un million de PME et d'indépendants d'ici fin de 2025.

Une solution de gestion financière renforcée pour les PME européennes

Créée en 2020 et établie à Paris, Regate a développé une plateforme d'automatisation comptable et financière déjà utilisée par 10 000 TPE-PME et 500 cabinets d’expertise-comptable. En unissant leurs forces, Qonto et Regate vont créer l'offre la plus complète du marché à destination des TPE-PME et des cabinets d'expertise-comptable. Plus de 450 000 entreprises recourent déjà à Qonto pour simplifier la gestion de leurs finances, grâce à un compte professionnel en ligne complété par à des outils de gestion financière avancés. L'ajout de Regate à l'écosystème de Qonto apportera des fonctionnalités d’automatisation supplémentaires pour la gestion des comptes fournisseurs et clients, ainsi que pour la pré-comptabilité, garantissant un échange de données efficace et intégré entre les TPE-PME et leurs cabinets d’expertise-comptable.


Une offre dédiée à destination des cabinets d’expertise-comptable

L'intégration du produit et de l'équipe de Regate, permettra à Qonto de proposer une offre spécifique pour les cabinets d'expertise-comptable. Ces derniers bénéficieront d'une interface partagée avec leurs clients, depuis laquelle ils pourront en quelques instants générer leurs écritures comptables. Le tout de manière automatisée, en tirant le meilleur parti de leur outil de production historique tel que
Sage, Cegid ou ACD, leaders du marché européen.

Aujourd'hui, en France, 6 000 cabinets d'expertise-comptable utilisent déjà Qonto économisant jusqu’à deux heures par mois par client géré. Qonto aspire à faciliter encore davantage les échanges entre les PME et les cabinets d'expertise-comptable, notamment lors de l'étape cruciale de la création d'entreprise.

Dans cette optique, Qonto lancera d’ici fin mars 2024 une nouvelle fonctionnalité permettant aux cabinets d'expertise-comptable d’initier le processus de dépôt de capital au nom de leurs clients, rendant la création d’entreprise possible en moins d’une semaine.

La création d’un nouveau département dédié aux cabinets d’expertise-comptable au sein de Qonto L’équipe de Regate, forte de plus de 100 collaborateurs, rejoindra les 1 400 Qontoers pour former un nouveau département dédié aux services financiers à destination des cabinets d’expertise-comptable.

Alexis Renard et Laura Pallier, co-fondateurs de Regate, prendront la tête de ce nouveau département, respectivement en tant que Directeur Général et Directrice Produit.
Qonto a déjà démontré sa capacité à intégrer avec succès de nouvelles acquisitions, comme en témoigne le rachat de Penta, champion allemand de la fintech, en juillet 2022, dont l'intégration a été finalisée fin 2023.

Avec l'acquisition de Regate, Qonto confirme sa position de leader dans la consolidation de la fintech
européenne.

« Ce rapprochement avec Regate nous permet de proposer aux PME et aux cabinets d’expertisecomptable la solution de gestion financière la plus aboutie du marché. Cela va non seulement accélérer notre croissance, mais aussi renforcer significativement notre position de leader sur un marché hautement concurrentiel. Grâce à notre nouvelle offre spécifique, incluant les partenariats existants entre Regate et des acteurs leaders du secteur tels que Sage ou Cegid, nous sommes désormais équipés pour répondre aux besoins des cabinets d’expertise-comptable et devenir un partenaire privilégié pour eux et leurs clients », explique Alexandre Prot, CEO et cofondateur de Qonto. « Nous avons hâte d’accueillir les équipes de Regate – et au vu de leur parcours impressionnant et de leurs ambitions, je suis convaincu de leur très bonne intégration parmi nos 1 400 Qontoers. »

« Nous sommes très enthousiastes à l’idée de rejoindre Qonto et de contribuer ensemble à l'émergence d'un champion européen de la fintech. Je suis convaincue que nous avons un grand rôle à jouer, non seulement à travers le développement de l’offre produit, mais aussi en apportant notre expertise et notre expérience dans les domaines comptables et financiers - une situation gagnante tant pour nos clients que pour ceux de Qonto ! », déclare Laura Pallier, cofondatrice de Regate.

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Cours de l’or : nouveaux records historiques !

La Rédaction
Le Courrier Financier

Ce qu’il faut retenir du mois écoulé


• Nouveaux records à 1931 euros et 2098 dollars en clôture du 4 mars
• Performance 2024 : +4.2% en euros
• La perspective de baisse des taux dope le cours du le métal jaune
• Une demande chinoise robuste
• Géopolitique : enracinement et élargissement des crises


Nouveaux recordsEn ce début de mois de mars, le cours de l’or vient d’établir un nouveau record historique. Le 4 mars, au fixing du soir de Londres, Il a atteint un niveau de 1931.67 euros l’once. Après un mois de février à
l’équilibre, le métal jaune s’apprécie donc de 2.5% en mars.

Au matin du 5 mars, le cours continue même sa hausse et avoisine 1950 euros, soit une progression supplémentaire de 1% environ. A l’heure d’écrire ces lignes, le métal jaune s’apprécie de 4.2% depuis le début de l’année. A titre de comparaison, le CAC 40 s’apprécie de 5.6% depuis le début de l’année.

La photo est similaire pour le cours en dollar, avec une clôture à Londres le 4 mars au plus haut historique (2098 dollars) et une reprise le 5 mars dans le vert avec un cours de 2117 dollars.

Ces records dépassent les pics établis durant les précédentes crises, en 2020 pendant l’épidémie du Covid, en février/mars 2022 lors de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, et fin 2023 alors que le conflit entre Israël et le Hezbollah s’enclenchait.
Pour aller plus loin : Comment est fixé le cours de l’or ?

La perspective de baisse des taux américains booste le métal jaune

L’économie américaine accumule les mauvaise nouvelles ces derniers jours : commandes de biens durables en recul de 6%, confiance des ménages en net repli, inscriptions chômage plus élevées qu’attendues, indice de confiance des directeurs d’achats en berne, etc. Il n’en fallait pas plus pour raviver les attentes d’une baisse des taux directeurs américains. Le marché estime qu’il y a maintenant 4 chances sur 5 que la réserve fédérale abaisse ses taux en juin.
Le cours de l’or est dopé par cette perspective, puisqu’il a tendance à s’apprécier en période d’assouplissement monétaire et de baisse des taux d’intérêt réels. L’histoire récente le confirme : lors des 3 dernières cycles, après la première baisse des taux directeurs (2001, 2007, et 2019), le métal jaune s’est significativement apprécié.

Si beaucoup d’analystes s’attendaient à de nouveaux records en 2024, ils étaient plutôt anticipés pour la seconde moitié de l’année. Le fait que les records soient atteints maintenant, sur de simples anticipations et non après les premières baisses effectives, laisse penser que le cours pourrait aller beaucoup plus haut. Pour mémoire c’est le scénario de JP Morgan, qui anticipe un cours à 2300 dollars début 2025.

Il convient néanmoins de rester prudent à court terme sur ces anticipations de baisse de taux. Lors de son audition prochaine au congrès (6 mars), Jerome Powell devrait réaffirmer sa volonté de maintenir une politique monétaire plus restrictive. Des chiffres économiques meilleurs que prévus, notamment au niveau de l’emploi, pourraient également tempérer l’optimisme du marché.


Une demande chinoise robuste

Selon le World Gold Council, la demande d'or en Chine a atteint un niveau record en janvier, principalement due au réapprovisionnement avant le Nouvel An chinois (festivités entre le 10 et 17 février). Cet événement crucial semble avoir tenu ses promesses : les chiffres préliminaires du ministère du Commerce indiquent que les ventes d’or et de bijoux liées au nouvel an sont en hausse de 24% par rapport à l’an dernier. Parmi les explications de la demande soutenue, la popularité de l’année du dragon, assimilée à la prospérité et au succès.

Malgré le rebond de la bourse chinoise en février, l’or valeur refuge continue d’attirer sur fond de ralentissement économique, de volatilité des marchés, et de fragilité du marché immobilier. Les ETF or chinois ont connu des entrées significatives, atteignant un niveau record de gestion d'actifs (plus de 4 milliards de dollars).

Enfin, la Banque Populaire de Chine a continué ses achats d'or pour le 15ème mois consécutif, augmentant ainsi ses réserves de 10 tonnes.


Géopolitique : enracinement et élargissement des crises.

La confrontation OTAN- Russie s’enracine. En janvier, l’opération Steadfast Defender a été lancé par l’alliance atlantique. Il s’agit du plus grand exercice militaire occidental organisé sur le sol européen depuis la fin de la guerre froide. L’ambition, clairement affichée et exprimée est de se préparer à un conflit avec la Russie. Des exercices qui font écho aux propos de haut gradés européens.

La Russie continue à affirmer sa souveraineté sur la région arctique, soulignant l'importance pour les États arctiques comme le Canada de se préparer aux défis économiques et territoriaux dans cette zone stratégiquement significative. Fin février, des élus séparatistes de Transnistrie ont demandé la protection de la Russie face aux « pression » que subiraient les russophones de ce territoire situé en Moldavie, limitrophe de l’Ukraine.

Un appel qui ressemble à celui des populations du Donbass avant l’invasion russe en Ukraine. Parallèlement, la Chine étend son influence dans l'océan Indien, comme en témoigne un scandale impliquant un prétendu 'navire de recherche' chinois détecté près des exercices militaires Inde-Maldives-Sri Lanka, montrant l'empreinte militaire et diplomatique croissante de la Chine dans la région.

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Capital-investissement : Andera Partners crée la plateforme Andera Partners Transformation

La Rédaction
Le Courrier Financier

Andera Partners — société d’investissement indépendante dédiée aux PME et ETI en croissance en France et à l’international — annonce ce jeudi 24 février la création de la plateforme « Andera Partners Transformation ». Cette initiative transverse à ses différentes équipes vise à apporter l’expertise, les réseaux et les outils nécessaires à ses participations pour accélérer leur croissance et réussir leur transformation sur cinq plans : le conseil stratégique, la transformation digitale, la RSE, la croissance externe et le développement international.

Cinq programmes de développement

En 20 ans, les cinq équipes d’Andera Partners ont accompagné la croissance et la surperformance de plus de 260 sociétés en France et à l’étranger. Convaincue que la réussite réside dans la puissance du collectif — Power of And est la signature du groupe — Andera Partners réaffirme ainsi son engagement auprès des entreprises et de leurs dirigeants sur le chemin d’une croissance forte et durable. « Andera Partners Transformation » propose cinq programmes de développement stratégiques :

  • partenariat exclusif CEO 2 CEO, réseau de senior advisors pour le conseil stratégique ;
  • digital Advisory Board pour la transformation digitale des entreprises ;
  • feuille de route RSE pour une croissance responsable ;
  • 360 Croissance Externe ;
  • plan d’Action Internationalisation.

Raphaël Wisniewski et Sylvain Charignon, associés et co-gérants d’Andera Partners, commentent : « Nous sommes heureux de lancer cette plateforme sans équivalent pour guider les dirigeants de nos entreprises dans la croissance et le passage de seuils critiques. Notre objectif est d’identifier des opportunités de croissance, de transformation et de renforcement de la résilience offertes par la digitalisation, la RSE, la croissance externe et l’internationalisation, en partenariat avec les meilleurs réseaux d’experts ».

Accompagner la transition des entreprises

CEO2CEO Consulting (CEO2CEO) est une structure de conseil unique en son genre composée d’anciens dirigeants de très haut niveau. Andera Partners a signé un partenariat exclusif avec CEO2CEO pour faire bénéficier les dirigeants de ses participations des conseils et de l’expérience d’anciens dirigeants d’entreprises cotées du CAC 40 ou de grandes ETI, afin de contribuer en profondeur à l’évolution de leur plan stratégique et la poursuite de leurs objectifs.

Andera Partners s’est équipé d’un Digital Advisory Board exclusif pour assister les dirigeants des entreprises dans leur transformation digitale, en bénéficiant d’un réseau d’experts en la matière, tous issus d’organisations de référence dans ce domaine. Le Digital Advisory Board aide les dirigeants à identifier les opportunités et les enjeux associés à la transformation digitale dans leurs secteurs d’activités, et à se doter de feuilles de routes concrètes. Il se réunira tous les deux mois pour analyser les enjeux digitaux des entreprises accompagnées et formuler des recommandations précises aux dirigeants d’entreprises.

Il rassemble plusieurs personnalités de premier plan, parmi lesquelles Olivier Mathieu, ex-Directeur des Partenariats Stratégiques chez Google France, qui a accompagné au cours de sa carrière les grands médias et pure players de l’internet français sur les questions de monétisation et de transformation digitale ; Sylvain Bellier, Vice-président exécutif d’Epsilon France (Groupe Publicis) expert de la data, de sa gestion et de son exploitation marketing ; et Nicolas Bailleurs, ex-Group Innovation Director d’Europcar qui a développé au cours de sa carrière une expertise en e-commerce dans des entreprises de toutes tailles.

Croissance durable et internationale

En lien avec la Direction RSE d’Andera Partners, les équipes d’investissement proposent un diagnostic RSE suivi de l’établissement d’une feuille de route précise avec des objectifs mesurables. Une vingtaine de participations ont déjà bénéficié de ce programme d’accompagnement responsable. Pour consolider la position des participations sur leur marché et renforcer leur valeur stratégique, les équipes d’Andera identifient et concrétisent les opportunités de croissance externe grâce à un accès privilégié aux opérations.

Depuis 20 ans, les équipes d’Andera ont accompagné près de 300 acquisitions, dont une centaine à l’international. Pour franchir des seuils et dépasser les frontières, les équipes d’Andera Partners proposent des diagnostics d’internationalisation à ses participations et identifient des opportunités d’investissements à l’étranger en s’appuyant d’une part sur un réseau d’advisors dans des pays clés et d’autre part sur sa propre présence croissante à l’international (bureaux à Munich et à Anvers).

« Nous aimons nous définir comme les sparring partners des entrepreneurs et des équipes de management pour accompagner leurs projets. C’est l’esprit d’Andera Partners Transformation. Nous souhaitons pouvoir en faire bénéficier l’ensemble de nos sociétés en portefeuille ainsi que les futures participations de notre nouveau véhicule d’investissement, Andera MidCap 5, fonds successeur de WinchCapital 4 », commente Laurent Tourtois, associé de l’équipe Andera MidCap. Andera Partners s'appuie sur des ressources internes et dédiées ou sur un réseau qualifié et réactif, et s’engage à accompagner ses sociétés dans ces 5 enjeux majeurs.

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Diversified Loans Fund II : Muzinich & Co. annonce le 1er closing de son deuxième fonds de parallel lending

La Rédaction
Le Courrier Financier

Muzinich & Co. — société de gestion détenue à 100 % par Muzinich & Co. — annonce ce mercredi 26 janvier un premier closing à 150 M€ du Muzinich Diversified Loans Fund II (DLF II), son deuxième fonds de parallel lending, qui utilise l’intelligence artificielle (IA) et des outils de deep learning. Le fonds table sur 1 Md€ afin de financer plus de 100 PME européennes. Objectif, minimiser les risques extrêmes et maximiser les rendements ajustés au risque. La valeur des investissements et les revenus qui en découlent peuvent baisser ou augmenter et ne sont pas garantis. Les investisseurs peuvent ne pas récupérer le montant total investi.

Investir avec l'intelligence artificielle

Après le succès du Diversified Loans Fund I (DLF I), Muzinich lance un fonds successeur à l’échelle européenne basé sur son paradigme d’investissement en parallel lending. Proche du DLF I, le nouveau fonds continuera de fonder ses décisions d’investissement non seulement sur des critères qualitatifs élaborés par ses analystes, mais bénéficiera aussi de l’accès à des outils d’intelligence artificielle (IA) et de deep learning nouvellement développés. Cette combinaison de méthodologies qualitatives et quantitatives a pour objectif d’offrir aux investisseurs le potentiel de rendements ajustés au risque de meilleure qualité.

Le Fonds européen d’investissement (FEI) et Cassa Depositi e Prestiti (CDP) ont de nouveau agi en tant qu’investisseurs de référence dans cette deuxième initiative DLF. À l’instar du DLF I, ce nouveau fonds a été créé dans le cadre du programme «Diversified Loans Funds», un programme parrainé par le FEI qui, avec CDP, accompagne Muzinich dans le lancement et le développement de la stratégie de parallel lending dès 2018. Cette stratégie vise à soutenir les prêts sur les marchés des capitaux aux entreprises européennes du marché intermédiaire.

Compléter les modèles pré-existants

« Depuis fin 2018, le premier fonds (DLF I) a réalisé plus de 80 transactions, sans défaut ni  reports de paiement. Le fonds a entièrement investi son capital et dispose de deux années supplémentaires pour réinvestir les sommes déjà remboursées », déclare Gianpaolo Pellegrini, Chief Investment Officer chez Muzinich & Co.

« Contrairement au premier fonds, qui devait investir au moins 80 % de ses actifs sous gestion dans des PME italiennes, ce deuxième fonds investira dans tous les pays européens. Les principaux facteurs de différenciation sont aussi les outils propriétaires innovants d’IA et de Deep Learning que le fonds utilisera pour compléter les modèles fondamentaux et quantitatifs déjà consolidés », indique-t-il.

Prêts aux entreprises européennes

« Avec cette initiative, nous confirmons notre engagement à financer les PME européennes. Maintenant que le paradigme du parallel lending a été testé avec brio, nous allons le déployer dans un environnement plus vaste d’entreprises européennes. Nous investissons dans la dette d’entreprises depuis plus de 30 ans et nous nous sommes toujours basés sur une analyse fondamentale et approfondie pour sélectionner nos investissements », précise Filomena Cocco, présidente de Muzinich & Co.

« Au cours de ces deux dernières années, nous avons mis au point un nouveau système d’IA qui viendra compléter les processus d’investissement et de gestion des risques que nous utilisons dans nos stratégies privées. Ces outils propriétaires nous permettront de déployer le capital de manière rapide et efficace, nous permettant de canaliser des ressources financières importantes vers un grand nombre de PME solvables dans toute l’Europe », ajoute-elle.

Se développer à l'international

« La plateforme d’investissement italienne a été élargie et encore renforcée, et SGR gère aujourd’hui plus de 900 millions de dollars américains par le biais de trois stratégies de marché privé : prêts parallèles, prêts alternatifs et solutions de capital. La plateforme basée à Milan emploie 12 professionnels de l’investissement senior avec une feuille de route établie et une solide expérience internationale », explique Gianluca Oricchio, PDG de Muzinich & Co.

« SGR est entièrement intégré à la plateforme d’investissement mondiale de la société qui opère en Europe, en Asie et aux États-Unis. DLF II est géré par une équipe de professionnels de l’investissement senior basés à New York, Madrid, Paris, Francfort et Milan. Nous sommes fiers d’étendre le modèle de prêt parallèle dans toute l’Europe et espérons reproduire son succès à cette plus grande échelle », conclut-elle.

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