Le Groupe Inter Invest franchit une nouvelle étape grâce à l’obtention d’agréments lui permettant de se positionner sur les métiers Titres et la gestion de portefeuille pour compte de tiers

La Rédaction
Le Courrier Financier

Ces agréments, délivrés lors de la séance du 13 juillet du Collège de l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution (ACPR) permettront à Inter Invest de développer une nouvelle plateforme Titres à destination de ses partenaires distributeurs (Banques Privées, Conseillers en Investissements Financiers) et d’offrir également des solutions de gestion d’actifs.

Une première offre, intitulée “Mon PER”, portera sur un Plan d’Epargne Retraite compte-titres entièrement sur-mesure, où l’investisseur disposera d’un large choix de supports.

Depuis plus de 30 ans, le Groupe Inter Invest met au cœur de sa stratégie, la maîtrise de l’ensemble de la chaîne de valeur sur ses différents secteurs d’activité (Défiscalisation Outre-mer, Capital Investissement et Immobilier Patrimonial) afin de proposer à ses clients particuliers ou partenaires des offres attractives, innovantes et différenciantes dans un cadre parfaitement maîtrisé. Le Groupe a ainsi souhaité obtenir ces nouveaux agréments pour créer un nouveau leader sur le métier Titres où très peu d’acteurs sont présents et proposer des solutions de gestion d’actifs innovantes, notamment sur le Plan d’Epargne Retraite qui rencontre un vif succès auprès des investisseurs.

Inter Invest pourra notamment proposer des offres en marque blanche à ses partenaires distributeurs, Banques Privées, Conseillers en Investissements Financiers, Société de gestion et Prestataires de Services d’Investissements (PSI) pour leur permettre de construire leur propre produit à leur propre couleur. Inter Invest offrira ainsi trois niveaux de services personnalisables pour ses partenaires, la Tenue de Compte Conservation, la gestion du Plan Epargne Retraite et enfin la gestion de portefeuille.

« Nous sommes ravis de l’obtention de ces agréments qui propulse le Groupe Inter Invest dans une nouvelle ère. Je me réjouis de l’intensification de notre stratégie de diversification et des perspectives de développement sur les marchés Titres et la gestion d’actifs. Nos trente années d’expertise dans la création de solutions d’investissement innovantes nous permettront de gérer, préserver et faire fructifier le patrimoine de nos investisseurs sur le long-terme, grâce à la capacité de nos équipes à leur proposer une gamme financière complète et à les accompagner sur toutes les étapes de leur parcours de vie » souligne Benoît Petit, Directeur Général du Groupe Inter Invest. 

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Capital-risque : le groupe Angelor devient une société de gestion

La Rédaction
Le Courrier Financier

Angelor — acteur lyonnais indépendant du capital risque créé en 2008 — annonce ce mardi 24 mai avoir déposé un dossier de demande d'agrément auprès de l'Autorité des marchés financiers (AMF) afin de devenir société de gestion. Objectif, avoir plus de moyens à apporter aux startups financées. L’agrément société de gestion est soumis à des conditions suspensives

20 millions d'euros investis en 10 ans

Angelor a investi ces dernières années des montants d'amorçage compris entre 200 000 euros et 1 M€ par startup. Mais avec le bon développement des startups ainsi financées, Angelor s’est vue confrontée au manque de moyens pour suivre les tours de financement suivants. Cela entraîne des problèmes de dilution, de gouvernance et de droits financiers qui empêchaient les actionnaires d'Angelor de profiter de la création de valeur initiée.

Après avoir investi plus de 20 M€ en 10 ans, Angelor vise ainsi à investir 50 M€ dans les trois ans à venir, dans environ 25 startups, essentiellement de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Ces investissements se feront dans trois secteurs à enjeux sociétaux : la santé, l'alimentation et l'environnement. Après cette nouvelle étape, Angelor peut désormais viser les 500 M€ sous gestion dans les 10 ans qui viennent et ainsi conforter sa place d'acteur de référence dans le capital-innovation.

Développement du groupe Angelor

« C'était le bon moment pour déposer ce dossier d'agrément à l’AMF et devenir société de gestion. Nous avons la chance d'avoir déjà la confiance de plusieurs acteurs institutionnels qui peuvent ainsi s'allier à notre actionnariat historique de dirigeants expérimentés d'entreprises établies. Les success stories vécues ces 12 derniers mois sont de bonnes preuves de notre qualité de sélection et d'accompagnement. L'équipe Angelor s'est aussi renforcée ces quatre dernières années et elle est aujourd'hui reconnue pour son professionnalisme », poursuit Sébastien Bonte, Président-Fondateur d’Angelor.  

Le statut société de gestion permettra d'accélérer le développement d'Angelor, avec l'alliance du capital expériences de ses Partners au capital financier des institutionnels. Le groupe pourra monter des fonds type FPCI, multithématiques, sectoriels ou dédiés — par exemple pour un Family Office qui voudrait avoir sa partie « Capital Innovation » ou un industriel qui voudrait soutenir l'innovation dans son secteur à travers la création de valeur. Angelor pourra ainsi investir des montants d’environ 500 000 euros en amorçage (startups), et poursuivre le financement jusqu’à 2,5 M€ dans les Série A des meilleures start-ups en phase dite de « scale-ups ».

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Crypto-actifs : Arquant Capital obtient l’agrément AMF pour ses fonds

La Rédaction
Le Courrier Financier

Arquant Capital — gérant d’actifs spécialisé dans les actifs numériques — annonce ce mardi 24 mai avoir obtenu l’agrément de société de gestion de portefeuille de fonds d’investissement alternatif (AIFM) auprès de l’Autorité des marchés financiers (AMF) le 9 mai dernier. Arquant Capital devient ainsi la première fintech du secteur des actifs numériques à obtenir, en France, un agrément de société de gestion qui permet de proposer des fonds professionnels spécialisés gérés activement et investis directement en actifs numériques. La société prépare le lancement imminent de ses fonds dédiés aux investisseurs professionnels et institutionnels.

Actifs numériques en gestion collective

Innovation de rupture dans le secteur financier, les actifs numériques constituent une nouvelle alternative aux actifs financiers traditionnels. Mais en dépit de leur potentiel, ils restent encore très complexes, et nécessitent un accompagnement adapté à un risque élevé de pertes en capital.

Partant de ce constat, Eron Angjele, gérant senior — disposant de 20 ans d’expérience en finance de marché et en gestion de portefeuilles alternatifs à la Caisse des Dépôts et Consignations et à la Banque Postale Asset Management — s’associeravec Gautier Chauvin, Antoine Paris et Florent Vanaerde, trois autres professionnels de la finance et de l’innovation technologique pour lancer le projet Arquant en 2019. Leurs objectifs :

  • faciliter l’accès des investisseurs professionnels (institutionnels, banques privées, Family Offices et corporates) aux actifs numériques en gestion collective et en gestion individuelle ;
  • offrir une gestion active adaptée à la forte volatilité de cette classe d’actifs.

En obtenant son agrément auprès de l’AMF, Arquant Capital franchit un cap décisif.

« Cet agrément marque une étape clé dans le développement d’Arquant Capital et illustre pleinement notre volonté de proposer à nos clients des solutions d’investissement innovantes tout en leur assurant les meilleurs standards en matière de gestion et de conformité. Nous sommes désormais en ordre de marche pour lancer nos premiers fonds professionnels spécialisés, en nous positionnant aux avant-postes d’un marché en pleine expansion », déclare Eron Angjele, Président d’Arquant Capital.

Structuration dédiée aux professionnels

Labellisée par le pôle de compétitivité Finance Innovation de la place financière de Paris, Arquant Capital prépare activement le lancement de fonds inédits en France. Arquant Capital lancera notamment le premier fonds professionnel entièrement dédié à Ethereum, deuxième cryptomonnaie en termes de capitalisation et principal challenger de Bitcoin.

« Face à la concurrence accrue d’autres places européennes, en particulier les places luxembourgeoise et irlandaise, qui déploient actuellement plusieurs typologies de véhicules d’investissement collectif en actifs numériques, il est essentiel que la France puisse compter sur des acteurs tel qu’Arquant Capital. C’est pourquoi nous sommes heureux d’avoir pu accompagner la société dans son processus d’agrément », déclare Karima Lachgar, avocate associée au sein du cabinet Osborne Clarke.

Gestion active en « Machine Teaching »

Arquant Capital a développé depuis trois ans un process de gestion qui combine gestion algorithmique et suivi discrétionnaire. Les stratégies d’investissement déployées s’appuient sur l’expertise de l’équipe de gestion et sur une technologie d’intelligence artificielle (IA) propriétaire, qui permet une gestion des risques avec l'optimisationde l’approche « token picking », le market timing et le money management. Plutôt que le « deep learning », Arquant privilégie ainsi une approche de « machine teaching ». Cette synergie entre l’humain et la technologie offre notamment une transparence de bout en bout sur les décisions d’investissement.

« Grâce à cette approche, Arquant est en mesure de proposer à ses clients de diversifier leurs investissements vers une nouvelle classe d’actifs tout en offrant les meilleures pratiques de la finance traditionnelle. C’est une proposition de valeur qui s’adapte pleinement à une clientèle professionnelle et institutionnelle souhaitant investir dans les actifs numériques via des véhicules d’investissement adaptés à leur haut niveau d’exigence », conclut Gautier Chauvin, Directeur du Développement d’Arquant Capital.

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Réforme du courtage : la CNCGP agréée par l’ACPR

La Rédaction
Le Courrier Financier

Dans le cadre de la réforme du courtage, l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) a agréé la Chambre Nationale des Conseils en Gestion de Patrimoine (CNCGP) ce mardi 22 mars. Pour rappel, la réforme du courtage entrera en vigueur le 1er avril prochain. La Chambre est en marche pour accueillir les courtiers dès le mois d’avril, que ce soit en termes de process ou de capacité, avec une équipe d’experts déjà parfaitement habitués à accompagner les Conseillers en Gestion de Patrimoine (CGP).

Accompagner les courtiers

« Nous remercions l’ACPR pour la confiance qu’elle nous porte en reconnaissant la Chambre comme association représentative de courtiers en assurance et en IOBSP (Intermédiaire en Opérations de Banque et Services de Paiement). Les courtiers vont rejoindre une association qui les accompagnera sur la réglementation, la formation, etc. Ils sortiront ainsi renforcés par cette collaboration, ce qui sécurisera la relation client », explique Julien Séraqui, Président de la CNCGP (Chambre Nationale des Conseils en Gestion de Patrimoine.) 

Créée en 1978, la CNCGP — association représentative de la profession — réunit 3 000 adhérents. Elle est le porte-parole des professionnels auprès des pouvoirs publics, des partenaires et du grand public. Première association de CIF agréée par l’AMF lors de la création du statut CIF en 2006, elle est membre du BIPAR, fédération européenne des intermédiaires d’assurance. Avec plus de 980 000 clients, les adhérents de la CNCGP conseillent plus de 75 milliards d'euros.

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Assurtech : Finovox signe un partenariat avec Sunlight Solutions

La Rédaction
Le Courrier Financier

Finovoxstartup française spécialisée dans la détection de faux documents — annonce ce jeudi 16 mars la signature d'un partenariat avec Sunlight Solutions, progiciel qui couvre l'ensemble des processus métiers de l'assurance. Les deux entités entendent mutualiser leurs compétences pour permettre à l’ensemble de l'écosystème de l’assurance d’optimiser et de sécuriser leurs opérations en luttant contre la fraude notamment.

Digitaliser l'administratif

Les acteurs du monde de l’assurance sont aujourd’hui confrontés à de nouveaux défis liés au besoin d’innovation : flexibilité et fiabilité, collecte et analyse des données, modernisation du service client, détection de la fraude, etc. Finovox et Sunlight Solutions s’associent afin d’offrir une solution clé-en-main et sur-mesure.

Objectif, gagner en temps et en efficacité en réalisant à travers une seule interface leurs tâches administratives et leurs vérifications documentaires. Tous les utilisateurs du système de gestion de Sunlight Solutions ont donc désormais accès au logiciel de détection de falsifications documentaires de Finovox, directement via leur système back-end.

En France et aux Etats-Unis

Pour Finovox, déjà présente sur le marché auprès de plusieurs acteurs de l’assurance (dont Luko et Parachut), ce partenariat représente également une opportunité d’accélérer son développement commercial en France et aux Etats-Unis.

« Nous sommes ravis de nous associer à Sunlight Solutions pour proposer un produit inédit et clé en main à tous les assureurs. Aujourd’hui, intégrer la technologie (blockchain, IA, etc.) est essentiel pour proposer des produits et des services performants et adaptés aux demandes des assurés, notamment pour les acteurs traditionnels du secteur. » déclare Marc de Beaucorps, CEO et co-fondateur de Finovox.

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Partenariat : DWS et Nippon Life prolongent leur alliance stratégique

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le Groupe DWS — gérant d'actifs mondial, avec 821 milliards d’euros sous gestion — annonce ce jeudi 16 mars le prolongement son alliance stratégique avec Nippon Life pour cinq années supplémentaires, à compter du 11 mars 2023. Ce pilier important pour les deux entreprises permettra d'ancrer leur croissance dans des domaines de collaboration bien définis.

« La signature de notre accord d'alliance stratégique en 2018 a été motivée par la conviction que nous allions former un partenariat fructueux au bénéfice de nos clients et de nos parties prenantes. Les cinq dernières années témoignent des forces et des atouts de ce partenariat. Nous sommes donc fiers de pouvoir prolonger cette collaboration pour cinq années supplémentaires, d'intensifier notre engagement commun et de viser à créer encore plus de valeur pour les deux entreprises », commente Stefan Hoops, PDG de DWS.

Plusieurs initiatives

Dans ce cadre, DWS et Nippon Life continueront à étendre la portée de la distribution, l'innovation en matière de produits et l'acuité de la recherche. Les initiatives comprennent :

  • l’identification des fonds que chaque société et ses filiales chercheront à distribuer dans leurs canaux de distribution respectifs ;
  • l'introduction d'un plus grand nombre d'ETF auprès des investisseurs japonais ;
  • une collaboration plus étroite entre DWS et Nippon Life dans les domaines du conseil et des solutions d'assurance pour les filiales de cette dernière, ainsi que pour les clients tiers ;
  • l’intégration des capacités de recherche les plus performantes de l'une et de l'autre afin de répondre aux besoins de compréhension et de cultiver les talents de recherche des deux entreprises.

Poursuivre l'alliance

« Cette alliance stratégique nous permettra de travailler sur des initiatives qui, au fil du temps, porteront leurs fruits. En combinant les forces de chacun et en travaillant sur des aspects tels que le renforcement des investissements, la distribution, le partage des connaissances et la collaboration en dehors du Japon, cet accord permettra aux deux entreprises de se positionner favorablement pour développer leurs activités de gestion d'actifs à l'échelle mondiale », explique Minoru Kimura, directeur général de Nippon Life Insurance Company.

L'accord d'alliance stratégique a été signé pour la première fois en mars 2018, et avait suscité un solide consensus à tous les niveaux des deux entreprises. Au cours des cinq dernières années, l'alliance a vu une augmentation des investissements réalisés par Nippon Life dans les solutions de produits de DWS, la distribution conjointe de produits grâce à l'établissement d'un réseau mutuel, et une nouvelle collaboration commerciale avec les affiliés du groupe Nippon Life.

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Crypto-actifs : la néo-bourse Kriptown obtient l’agrément PSAN auprès de l’AMF

La Rédaction
Le Courrier Financier

La néo-bourse Kriptown — qui permet aux PME de renforcer leurs fonds propres et d’investir en euros dans des actifs numériques — annonce ce mercredi 19 janvier son enregistrement en tant que Prestataire de services sur actifs numériques (PSAN) auprès de l’Autorité des marchés financiers (AMF). Kriptown assure des services de négociation d’actifs numériques, achat / vente d’actifs numériques contre monnaie ayant cours légal et de conservation d’actifs numériques.

« Nous sommes ravis de devenir le premier acteur PSAN et agent émetteur de monnaie électronique. La combinaison de ces deux statuts permettant d'offrir la meilleure expérience clients grâce à un règlement livraison instantanée en actifs numériques et en euro. Cela ouvre la voie à beaucoup de futures innovations dans le fonctionnement des exchange et même des bourses « traditionnelles », déclare Mark Kepeneghian, CEO de Kriptown.

Négociation d'actifs numérique

La fintech, qui est la quatrième société seulement à être enregistrée pour les services de Plateforme de négociation d’actifs numériques, est le seul PSAN à être également agent d'Établissements de Monnaie Électronique. C’est ce qui permet à Kriptown de créer des comptes avec un Iban dédié à chacun de ses utilisateurs et de faire circuler l’euro de manière instantanée dans son infrastructure.

Ce statut unique lui permet d’opérer un règlement-livraison instantané sans risque de contrepartie et en euro. Cette fonctionnalité technique représente une innovation majeure, permettant à Kriptown d’être en avance de plusieurs années sur le fonctionnement traditionnel des bourses. Kriptown a déjà mis à disposition cette technologie au profit de la Banque de France dans le cadre de leur expérimentation sur l'euro digital en juillet 2021.

Au service du financement des PME

Le statut PSAN et la réglementation sur les actifs numériques ont été créés par le gouvernement dans le cadre de la loi Pacte, qui énonçait : « Les entreprises manquent aujourd'hui de fonds propres indispensables à leur développement. Le PACTE facilitera l'accès à des financements diversifiés. Il orientera l'épargne des français vers les fonds propres des entreprises pour financer l'innovation et la croissance de demain ».

Obtenir cet enregistrement auprès des autorités compétentes permet à Kriptown d'être le premier PSAN à mettre ses équipes et sa technologie au profit du financement en fonds propres des PME françaises et à ainsi participer activement au développement de l’économie française. La néo-bourse s'aligne ainsi avec la philosophie de la Loi Pacte et du régime PSAN.

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Marc Emirian – Theoreim : multigestion immobilière, « réallouer son portefeuille selon les cycles »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
En septembre 2020, Theoreim a obtenu son agrément AMF. La société vise 200 millions d'euros d’actifs sous gestion d’ici 2021.Quels sont les avantages de son modèle de multigestion immobilière, en pleine période de crise sanitaire ? Quelles stratégies Theoreim va-t-elle lancer en 2021 ?
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Société de gestion : Theoreim obtient son agrément AMF

La Rédaction
Le Courrier Financier

Theoreim — société de gestion d’actifs en immobilier, créée par 4 experts du secteur — annonce ce vendredi 18 septembre qu'elle vient de recevoir son agrément délivré par l’Autorité des Marchés Financiers (AMF). La société propose une stratégie de multigestion immobilière à une clientèle grand public et institutionnelle, dans le cadre de véhicules diversifiés.

« Dans le contexte économique et financier actuel, nous sommes convaincus que l’immobilier restera pour longtemps un vecteur d’investissement particulièrement attractif pour les particuliers et les institutionnels. Theoreim proposera des solutions performantes, innovantes et flexibles, afin d’accompagner les investisseurs sur le long terme », explique Romain Welsch, président de Theoreim.

Focus sur Theoreim

Theoreim propose des véhicules d’investissement immobilier construits sur le principe de l’architecture ouverte, en s’appuyant sur des équipes de gestion sélectionnées pour leur capacité à créer de la valeur. Ces fonds d’investissement seront accessibles via les CGP, les Family Offices, les banques privées ou l’assurance vie.

Créée en mars 2020 par Romain Welsch, Gaëlla Hellegouarch, Marc Emirian et Matthieu Urruty, Theoreim est une société de gestion d’actifs spécialisée en investissement immobilier. Les stratégies d’investissement proposées par Theoreim s’appuient sur la sélection de fonds, de club-deals ou d’immeubles dont la gestion est réalisée par des équipes indépendantes, sélectionnées par Theoreim pour leur expertise spécifique.

200 M€ d’actifs pour 2021

Les quatre associés-fondateurs disposent d’une forte expérience dans le secteur de l’immobilier ainsi que dans la gestion et la distribution de véhicules d’investissement immobilier. Ils sont notamment issus, pour 3 d’entre eux, de la société de gestion BNP Paribas REIM. Romain Welsch, président de la société, Gaëlla Hellegouarch, directrice commerciale, Marc Emirian, directeur institutionnel et Matthieu Urruty, directeur immobilier, ont pour objectif d’atteindre 200 M€ d’actifs sous gestion d’ici 2021.

Theoreim lancera ses deux premiers fonds d’ici la fin de l’année pour ses partenaires, CGPFamily Offices, banques privées et institutionnels. Le premier sera accessible uniquement en unités de compte (UC) au travers de contrats d’assurance vie et le second sera proposé à une clientèle privée. Theoreim proposera d’autres stratégies d’investissement au cours des mois à venir. La société développera à terme une gamme suffisamment large pour s’adapter aux besoins patrimoniaux des investisseurs.

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Crowdfunding immobilier : Baltis Capital obtient l’agrément de Conseiller en Investissements Participatifs

La Rédaction
Le Courrier Financier

Baltis Capital — plateforme française d’investissement en immobilier commercial et hôtelier en cœur de ville — a annoncé ce lundi 2 décembre avoir obtenu l’agrément de Conseiller en Investissements Participatifs (CIP) délivré par l’Autorité des Marchés Financiers (AMF). Créé en 2016, Baltis Capital a lancé une trentaine de projets pour un montant d’investissement global d’environ 12 millions d’euros. Tous les projets de Baltis Capital sont accessibles à partir de 5 000 euros, et sont éligibles PEA.

En 2019, Baltis Capital a renforcé ses capitaux propres et lancé une nouvelle plateforme web. Par ailleurs, la plateforme a étoffé ses équipes et a consolidé son réseau d’apporteurs d’affaires, afin de dénicher les meilleurs produits d’investissement dans l’immobilier commercial, tant à Paris que dans les métropoles françaises. Baltis Capital lancera une nouvelle opération de crowdfunding immobilier en janvier 2020.

Investir dans l'immobilier commercial

Le crowdfunding immobilier permet à un groupe de particuliers d’acquérir ensemble un bien immobilier. Chez Baltis Capital, l’investisseur conserve la main sur son investissement. Il participe aux grandes orientations du projet telles que les changement de locataire, les travaux, la revente du local commercial ou encore la distribution de dividendes. La plateforme est accompagnée par un Conseil des Sages de qualité.

« Cet agrément marque un virage important dans l’histoire de Baltis Capital (...) Nous continuons de démocratiser l’investissement dans l’immobilier commercial — boulangerie, crèche, pharmacie, restaurant, hôtel — en le rendant plus accessible, plus transparent et plus simple, grâce à un système de signature électronique et de paiement en ligne avec des partenaires robustes comme Yousign et MangoPay », explique Alexandre Toussaint, Président de Baltis Capital.

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Girardin : Meyon propose en 2023 des rentabilités de 10 % à 13 %

La Rédaction
Le Courrier Financier

Meyonapplication de conseil en investissement — lance ce jeudi 16 mars son offre de placements Girardin, en partenariat avec InterInvest et Ecofip. Les rentabilités de ces produits iront de 13 % pour l’enveloppe classique à 10 % pour l’enveloppe assortie d’une garantie de bonne fin financière et fiscale.

Pourquoi investir en Girardin ?

La loi Girardin codifiée aux articles 199 undecies B et C du Code Général des Impôts (CGI) permet aux contribuables d'obtenir une réduction d'impôt au titre de leurs investissements dans les secteurs prioritaires du développement économique, énergétique et social des départements et collectivités d'outre-mer. Les résidents fiscaux français bénéficient ainsi d'une réduction d'impôt sur le revenu (IR) dès l'année suivante, s'ils investissent dans des matériels industriels neufs ou des logements sociaux neufs.

Si les conditions sont bien respectées, la réduction d'impôt obtenue est supérieure au montant de l'investissement. Cet investissement n'est pas exempt de risques. Si l'entreprise ultramarine ne respecte pas les conditions du dispositif ou si le matériel n'est pas loué pendant les cinq années requises, l'administration fiscale peut remettre en cause cette réduction d'impôt. Il est donc essentiel de sélectionner avec soin son investissement.

Jusqu'à 13 % de rentabilité

Meyon propose des opérations structurées par des acteurs locaux, capables de mutualiser et de suivre les investissements pour le compte de ses clients. Les rentabilités en début d’année iront de 10 %, pour profiter de la garantie de bonne fin financière et fiscale qui assure à l’investisseur ses gains même en cas de remise en cause du dispositif par l’administration, à 13 % pour ses enveloppes « classiques ». Les enveloppes d’investissement sont limitées, et les rentabilités des souscriptions pourraient baisser en cours d’année.

Après un parcours 100 % digital et un entretien obligatoire avec un conseiller Meyon, les clients accèdent à leur investissement pouvant procurer jusqu’à 60 000 euros de réduction d’impôt. « Nous sommes très heureux de proposer aux épargnants français cet investissement Girardin performant et compétitif dans un cadre maîtrisé et sécurisé. Nous offrons une expérience utilisateur unique en ligne et accompagné d’un conseiller pour garantir la parfaite adéquation du placement avec la situation fiscale de nos clients », déclare Ludovic Farnault, CEO de Meyon.

Conseil en gestion de patrimoine

En complément de cette offre Girardin, Meyon propose un véritable service de conseil en gestion de patrimoine ainsi qu’un accès à une offre complète et lisible de placements. Objectif, permettant aux épargnants d’optimiser leur épargne en investissant dans des secteurs tels que l’immobilier, les innovations technologiques, la transition énergétique, le private equity et les produits structurés.

Certains sont accessibles 100 % en ligne d’autres nécessitent de passer par un conseiller Meyon. Ces entretiens peuvent se faire chez Meyon, chez les clients ou en visioconférence. Meyon permet de bénéficier de conseils en investissement ainsi que d’une gamme de placements innovants depuis son ordinateur ou son smartphone tout en étant accompagné par des vrais conseillers !

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La CNCEF lance son Académie de l’économie durable

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le Groupe Chambre Nationale des Conseils Experts Financiers (CNCEF) — première organisation professionnelle créée en 1957 — annonce ce vendredi 17 mars le lancement de son Académie de l’économie durable. Cette structure s’adresse à tous les professionnels libéraux qu’elle regroupe dans les domaines du patrimoine, de l’assurance, du crédit, de l’immobilier de placement et du développement de l’entreprise. La CNCEF considère que ces experts financiers ont un rôle important à jouer face à trois défis contemporains : 

  • le renforcement de la souveraineté économique ;
  • la promotion d’une économie durable ;
  • L’amélioration de l’éducation et de la formation par la pédagogie financière. 

8 000 membres de l'Académie

Espace d’échanges et d’initiatives s’inscrivant dans le temps long, l’Académie se donne pour objectif de réfléchir aux évolutions profondes des métiers de la finance et souhaite apporter sa contribution au service de l’intérêt général et national — plus largement, du client final. Elle souhaite aussi s’adresser à la jeunesse (étudiants, universitaires, jeunes professionnels, etc.) pour favoriser la transmission et le dialogue entre les générations. 

L’Académie de l’économie durable est pilotée par les administrateurs de la CNCEF et animée par Pierre-Jean Gaudel. Elle regroupe les 8 000 adhérents de la CNCEF auxquels s’adressent prioritairement les événements qu’elle organise. Ces derniers sont également ouverts aux personnalités extérieures, notamment aux universitaires ainsi qu’aux nouveaux entrants dans la profession financière. 

Les initiatives de l’Académie 

L’Académie organise, chaque année, un concours destiné aux étudiants de France sur un sujet économique d’intérêt général. En 2023, le sujet était : « La sobriété est-elle l’avenir de notre économie ? ». Elle publie par ailleurs, les meilleures contributions reçues à l’occasion de ce concours annuel.  

Par ailleurs, l'Académie promeut les documents d’intérêt général publiés par les associations de la CNCEF — guides de bonnes pratiques, guides pour promouvoir l’usage du français dans nos métiers, etc. Elle propose également les formations de la CNCEF et de ses partenaires sur les bonnes pratiques professionnelles (déontologie, investissement responsable, etc.). Enfin, l'Académie se propose de nourrir la réflexion doctrinale et favoriser le partage d’expériences.

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Forêts : France Valley lance le 1er GFI agréé par l’AMF

La Rédaction
Le Courrier Financier

France Valley — spécialiste de l’investissement foncier — annonce ce mercredi 13 novembre le lancement de son GFI France Valley Patrimoine, premier Groupement forestier d’investissement (GFI) agréé par l’AMF. Il s'agit d'un nouveau type de placement de diversification mis en place par le régulateur. Objectif, permettre aux épargnants de bénéficier d’un placement collectif dédié aux actifs forestiers dans des conditions réglementaires sécurisantes.

Le GFI France Valley Patrimoine vise une performance moyenne d’environ 2,5 % par an (nette de frais de gestion et de commission de souscription) sur une période de 10 ans. Cet objectif n’est pas garanti, il se fonde sur des hypothèses. Les investisseurs sont invités à se reporter aux facteurs de risques présentés en documentation, dont les risques naturels (en partie assurés : tempête, incendie, risque phytosanitaire) et les risques financiers (rentabilité et liquidité non garanties, risque de perte en capital).

Focus sur le foncier forestier

Acquérir une forêt de qualité en direct impose un investissement de plusieurs centaines de milliers d’euros et nécessite de multiples expertises, tant pour identifier le bien, l’estimer que pour le gérer. La dimension collective du GFI permet aux investisseurs d’éviter ces contraintes. Accessible à partir de 1 000 euros, le GFI France Valley Patrimoine est accessible dès son lancement à tous les épargnants, auprès de leur conseiller financier habituel.

Le GFI France Valley Patrimoine s’appuie sur plus de 5 500 hectares répartis à travers 33 forêts (25 acquises, 8 en cours d’acquisition). En outre, son patrimoine composé de nombreuses essences (environ 50 % feuillus et 50 % résineux), jouit d’une véritable diversification géographique à travers l’Hexagone avec des biens de maturités variées.

Fiscalité du GFI France Valley Patrimoine

Sur le plan fiscal, le GFI France Valley Patrimoine permet de bénéficier d'une réduction de 18 % d'impôt sur le revenu (IR) et d'un abattement de 75 % sur les droits de transmission (donation/succession), en contrepartie d’un risque de perte en capital et d’une durée de blocage des parts. Enfin, il peut, sous certaines conditions, sortir totalement de l’assiette taxable à l’IFI.

« Si les Groupements fonciers forestiers permettent déjà aux investisseurs de diversifier une partie de leurs actifs, ils ont quelques contraintes, comme leur taille qui limite la diversification et réduit la liquidité des parts. Avec le Visa de l’AMF, le GFI fait offre au public et la liquidité, sans être garantie, est facilitée puisqu’organisée comme celle des SCPI, avec le mécanisme de retrait-souscription », commente Arnaud Filhol, directeur général de France Valley

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L’AMF donne son agrément à MyShareCompany, filiale de Drouot Estate et Voisin

La Rédaction
Le Courrier Financier

Drouot Estate — filiale d'AXA France — et Voisin — filiale de Foncière ATLAND — annoncent ce mardi 5 novembre l'agrément par l'AMF de leur filiale à 50 % - 50 % MyShareCompany en tant que société de gestion de portefeuille. Dédiée aux réseaux de distribution d'AXA France, elle s'appuiera sur les savoir-faire de ses deux actionnaires : la sélection et la distribution d'offres immobilières pour Drouot Estate ; la conception, la structuration, l'investissement et la gestion de fonds immobiliers destinés aux particuliers et institutionnels pour Voisin.

Focus sur l'offre MyShareSCPI

L'offre de la société de gestion, MyShareSCPI, est une SCPI de rendement créé en mars 2018. Son objectif consiste à surperformer le Taux de Distribution sur Valeur de Marché (DVM) moyen des SCPI d'immobilier d'entreprise, soit 4,35 % en 2018 d'après l'Institut de l'Epargne Immobilière et Foncière. Sa capitalisation à fin septembre 2019 s'élevait à 88,4 M€, et devrait dépasser les 100 M€ d'ici la fin de l'année. Plus d'une trentaine d'actifs devraient constituer son patrimoine au 31 décembre 2019.

La direction de MyShareCompany a été confiée à Philippe Ifergane, Président, et à son collègue Foulques de Sainte Marie, Directeur Général. L'un et l'autre sont dirigeants responsables de MyShareCompany et gérants financiers au sens du règlement général de l'AMF. Philippe Ifergane, ancien directeur financier, affiche 30 ans d'expérience dans la gestion de fonds d'investissement alternatifs. De son côté, Foulques de Sainte Marie a exercé en tant que Fund Manager de SCPI et Responsable d'Investissement.

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