Relance : BFT IM lance le fonds BFT France Emploi ISR

La Rédaction
Le Courrier Financier

BFT Investment Managers (BFT IM) — filiale d’Amundi, spécialiste de la gestion d'actifs — annonce ce jeudi 1er juillet le lancement du fonds actions françaises « BFT France Emploi ISR ». Ce véhicule favorise les entreprises vertueuses en matière d’emploi en France. Ce premier fonds à impact illustre l’ambition de BFT IM de faire du thème « Investir en France avec impact » le cœur de son offre moyen-long terme.

Le fonds « BFT France Emploi ISR » est géré dans une démarche d’investissement socialement responsable et vise l’obtention du label investissement socialement responsable (ISR). Dans le contexte actuel de relance économique, la thématique de l’emploi occupe une place centrale. Le fonds vise à sélectionner des entreprises qui participent à l’amélioration du marché de l’emploi en France, afin de générer un impact indirect.

Déterminer un score emploi

S’appuyant sur des bases de données extra-financières, un score emploi est attribué à chaque entreprise analysée selon trois piliers :

  • la création d’emploi ou l’évolution des effectifs en France ;
  • l’emploi des catégories vulnérables face à l’emploi (jeunes, seniors et personnes en situation d’handicap) ;
  • la transparence de la politique sur l’emploi (qualité de l’emploi, référence aux ODD, etc.).

Chaque année une campagne d’engagement sera menée avec plusieurs entreprises dans lesquelles le fonds est investi. Objectif, analyser les risques et opportunités auxquelles font face les entreprises françaises sur l’emploi, afin de les inciter à améliorer continuellement leurs pratiques à travers des discussions avec les organes de direction.

Tendance de long terme

Le fonds « BFT France Emploi ISR » reversera également 5 % des frais de gestion perçus par la société de gestion à des associations sélectionnées pour leur action dans le domaine de l’emploi. « Nous assistons aujourd’hui à une demande grandissante pour des solutions d’épargne favorisant l’investissement en France. Cette tendance devrait s’amplifier au cours des prochaines années », déclare Gilles GUEZ, Directeur général de BFT IM.

« Après le succès de BFT France Futur, ce nouveau fonds confirme notre volonté de participer au soutien des entreprises qui contribuent activement à la reprise de l’emploi en France. Notre objectif est de redonner du sens à l’épargne à travers un financement responsable de l’économie grâce à une offre dédiée à la thématique ‘Investir en France avec impact’ », ajoute-il.

 « Notre objectif est de sélectionner les entreprises qui combinent à la fois de solides fondamentaux d’un point de vue financier et des politiques favorables à l’emploi.» commente Fabrice Masson, directeur de la gestion actions chez BFT IM. Le marché français permet d’investir sur des entreprises de qualité et présentes sur l’ensemble des secteurs d’activités », conclut-il.

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PME-ETI : Small & Mid Cap, un segment de la cote qui résiste à la crise sanitaire

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Après un premier semestre 2020 très chahuté, les PME-ETI cotées font preuve de résilience en France. Quel a été l'impact de la crise sanitaire sur les petites et moyennes valeurs ? Quels sont les gagnants structurels qui tirent leur épingle du jeu ? Afin de mieux comprendre ce segment de la cote, Portzamparc Gestion publie une étude intitulée « La puissance des PME au cœur de notre gestion ». Explications avec Le Courrier Financier.
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Small caps : le monde post-Covid va porter un regard différent sur les PME

Augustin Bloch-Lainé
Malgré un parcours boursier difficile depuis plus de deux ans, les petites valeurs françaises constituent toujours une sérieuse opportunité d’investissement. La crise du Covid-19 a mis en lumière la nécessité de revenir à une production locale et à une consommation raisonnée et responsable. Elle pourrait même déboucher sur un monde nouveau, qui appartiendra davantage aux PME qu’aux grandes multinationales. L'éclairage d'Augustin Bloch-Lainé, gérant actions en charge des fonds Amplegest MidCaps et Amplegest PME.
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EXCLUSIF / Portzamparc Entrepreneurs : comment les PME-ETI françaises résistent-elles à la crise ?

Adil Kada
Les petites et moyennes capitalisations françaises continuent d’offrir des opportunités aux investisseurs. Le fonds Portzamparc Entrepreneurs fait ainsi 5 à 6 points de mieux que son indice de référence. Son gérant Adil Kada explique au Courrier Financier sa stratégie de gestion.
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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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Digitalisation : qui sont les acteurs cachés ?

Les équipes de Mandarine Gestion
Mandarine Gestion
Face à la crise sanitaire, la digitalisation s'affirme comme un enjeu stratégique. Cette thématique offre de nombreuses opportunités d'investissement dans des valeurs de croissance, en dehors des mastodontes du secteur. Comment identifier ces acteurs cachés ? L'éclairage de l'équipe Croissance de Mandarine Gestion.
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Covid-19 : l’AMF précise l’organisation des AG pour les sociétés cotées

La Rédaction
Le Courrier Financier

Dans le contexte exceptionnel de la crise sanitaire, l’Autorité des marchés financiers (AMF) publie ce vendredi 27 mars un communiqué concernant les modalités particulières de participation aux assemblées générales (AG) 2020. Le régulateur recommande aux sociétés cotées de suivre — lorsque cela est possible — certaines bonnes pratiques.

Nécessaire continuité de l'activité

En application de la loi du 23 mars 2020 d’urgence pour faire face à l’épidémie de covid-19, le gouvernement a pris par ordonnance — en date du 25 mars — plusieurs dispositions pour simplifier et adapter les règles de convocation, d’information, de réunion et de délibération des assemblées générales. Leur objectif : « faire face aux conséquences de la propagation du covid-19 et des mesures prises pour limiter cette propagation ».

Comme l’indique le Rapport au Président de la République relatif à l'ordonnance précitée, « l'application de ce dispositif exceptionnel est soumise à une condition : l'assemblée doit être convoquée en un lieu affecté, à la date de la convocation (entendue au sens large, ce qui inclut, dans les sociétés cotées, l'avis de réunion) ou à celle de la réunion, par une mesure administrative limitant ou interdisant les rassemblements collectifs pour des motifs sanitaires ».

Ces dérogations temporaires, applicables aux assemblées tenues à compter du 12 mars 2020 et jusqu’au 31 juillet 2020, sauf prorogation de ce délai jusqu’à une date fixée par décret en Conseil d’Etat et au plus tard le 30 novembre 2020, font l’objet d’une communication du ministère de l’Economie et des Finances. Elles visent à permettre aux organes des entités concernées de continuer d’exercer leurs missions malgré le confinement et ainsi d’assurer la continuité du fonctionnement de ces entités.

Vote à distance des actionnaires

L’AMF encourage vivement les actionnaires à exercer leur droit de vote, prérogative essentielle au bon fonctionnement et à une saine gouvernance des émetteurs. Le régulateur attire l'attention des épargnants sur le fait que les AG se tiendront à huis clos, hors la présence des actionnaires. Dans le contexte actuel, les sociétés sont exceptionnellement autorisées à tenir leur AG sans que leurs actionnaires — et autres personnes ayant le droit d’y assister, tels que les commissaires aux comptes et les représentants des instances représentatives du personnel — ne soient physiquement présents.

En conséquence, les actionnaires pourront exercer leur droit de vote uniquement à distance et avant l’AG. Ils procéderont ainsi :

  • en votant par correspondance via un formulaire de vote : il est recommandé d’utiliser l’envoi électronique dans les circonstances actuelles où les délais postaux sont incertains ;
  • en donnant un mandat de vote (également appelé « procuration ») à une personne de leur choix ou à l’émetteur sans indication de mandataire (pouvoir « en blanc ») : l’AMF attire l’attention des actionnaires sur les difficultés pouvant résulter, dans le contexte d’une assemblée générale tenue à huis clos, du recours au mandat de vote donné à une personne de son choix (hors « pouvoir en blanc »). L’AMF invite les actionnaires qui souhaiteraient utiliser cette modalité à contacter au préalable l’émetteur concerné. Il est rappelé que « pour toute procuration d'un actionnaire sans indication de mandataire, le président de l'assemblée générale émet un vote favorable à l'adoption des projets de résolution présentés ou agréés par le conseil d'administration ou le directoire, selon le cas, et un vote défavorable à l'adoption de tous les autres projets de résolution ».
  • en votant sur Internet via une plateforme de vote sécurisée, si les statuts de l’émetteur le permettent et si cette modalité de vote est prévue par la société cotée : en pratique, ce vote s’exerce avant l’assemblée générale.

L’AMF invite les actionnaires à s’informer au plus tôt sur les modalités de participation prévue, notamment grâce au site internet des sociétés cotées et aux communiqués publiés. Les actionnaires doivent impérativement prendre en compte les délais impartis pour exercer leurs droits de vote.Par ailleurs, l’ordonnance assouplit les conditions d'organisation des AG — conférence téléphonique ou audiovisuelle — mais à condition que les moyens techniques mis en œuvre permettent d'identifier les actionnaires.

Bonnes pratiques pour les émetteurs

L’ordonnance prévoit que lorsqu’un émetteur décide de se prévaloir des dispositions qui lui permettent d’organiser une AG à huis clos — et que tout ou partie des formalités de convocation ont été accomplies préalablement à la date de cette décision — les actionnaires en sont informés dès que possible par voie de communiqué. Sa diffusion effective et intégrale est assurée par la société.

Si les formalités de convocation n’ont pas été accomplies à cette date, les actionnaires sont informés de cette décision via les documents de convocation, mais la publication d’un communiqué dont la société s’assure de la diffusion effective et intégrale est également encouragée dans cette hypothèse. Afin d’assurer une information appropriée des actionnaires dans le contexte exceptionnel de crise sanitaire, l’AMF encourage les émetteurs à suivre les bonnes pratiques suivantes :

  • mettre en place — le plus tôt possible en amont de l’AG — une communication claire, précise et accessible à l’attention de l’ensemble des actionnaires, concernant :

— les modalités particulières de tenue de l’AG dans le contexte de crise sanitaire, rappelant que l’AG se tiendra à huis clos, sans présence des actionnaires) ;

— les différentes modalités d’information des actionnaires et notamment de consultation des documents relatifs à l’AG, y compris la liste des actionnaires ;

— les différentes modalités de participation possibles, mentionnant notamment les modalités pour poser des questions en amont de l’AG ; le cas échéant, l’impossibilité de poser des questions pendant l’AG ; le cas échéant, l’impossibilité de proposer des « résolutions nouvelles » pendant l’AG ;

— les différentes modalités de vote disponibles, en précisant, sur leur site internet et dans leurs communiqués relatifs à l’assemblée générale, le traitement qui sera fait des mandats de vote dans ce contexte.

  • mettre en évidence, sur la page d’accueil du site internet de l’émetteur, un lien vers les pages du site internet dédiées à l’AG afin de permettre aux actionnaires de trouver sans difficulté l’information pertinente sur les AG ;
  • mentionner sur les pages du site Internet dédiées à l’AG les informations appropriées concernant les modalités particulières de tenue de l’AG, et de participation des actionnaires, dans le contexte de crise sanitaire ;
  • dans le communiqué devant être diffusé — en application de l’ordonnance précitée — par l’émetteur (« diffusion effective et intégrale ») s’il décide de tenir son AG à huis clos et que tout ou partie des formalités de convocation ont été accomplies préalablement à la date de cette décision, rappeler les modalités de vote offertes aux actionnaires dans ce contexte et insérer un lien hypertexte vers les différentes modalités de vote disponibles (formulaire de vote ou, le cas échéant, plateforme de vote électronique) ;
  • permettre aux actionnaires de voter sur Internet via une plateforme de vote sécurisée, si les délais avant la tenue de l’AG permettent à l’émetteur de mettre en place une telle modalité de vote ;
  • informer directement par voie électronique (email), lorsque l’adresse électronique est connue de l’émetteur, les actionnaires au nominatif des modalités particulières de vote et de tenue de l’AG. Cette information ne dispense pas du respect des obligations d’information des actionnaires au nominatif par voie postale auxquelles l’émetteur est tenu ;
  • compte tenu de l’impossibilité pour les actionnaires de se rendre, dans le contexte actuel, au siège de l’émetteur pour consulter les documents concernant l’émetteur qu’ils sont en droit de consulter, permettre aux actionnaires, lorsque cela est possible, d’exercer leur « droit à communication » en leur adressant — sur demande et par email — une copie des documents qui ne sont pas accessibles sur le site internet de l’émetteur ;
  • retransmettre l’AG en direct, en format audio ou vidéo, par diffusion en streaming ou par tout procédé de retransmission accessible aux actionnaires. Cette retransmission doit être aisément accessible à l’ensemble des actionnaires à partir du site Internet de l’émetteur ;
  • dans la mesure où les AG à huis clos ne permettent pas aux actionnaires de poser de questions orales pendant l’AG, accepter de recevoir et traiter, dans la mesure du possible, les questions écrites des actionnaires qui sont envoyées à l’émetteur après la date limite prévue par les dispositions réglementaires et avant l’AG ;
  • au terme de la retransmission en direct, maintenir en libre accès pour les actionnaires la vidéo de l’AG sur le site Internet de l’émetteur ;
  • publier dès que possible le procès-verbal de l’assemblée générale sur le site Internet de l’émetteur.

Compte tenu du fonctionnement altéré des services postaux, l’AMF recommande plus généralement aux actionnaires et aux émetteurs de recourir dans ce contexte — lorsque cela est possible — aux moyens de communications électroniques dans le cadre de leurs démarches et communications relatives aux assemblées générales.

A cet égard, l’AMF invite les émetteurs à créer une adresse email dédiée aux questions des actionnaires relatives à l’assemblée générale et à informer largement les actionnaires, notamment sur le site internet, de l’existence de cette adresse. En outre, l’AMF recommande aux teneurs de comptes-conservateurs d’informer, le plus tôt possible, leurs clients des modalités particulières de vote et de tenue des AG dans ce contexte exceptionnel.

Report possible des AG

Certaines sociétés cotées ont annoncé leur décision de reporter la tenue de leur assemblée générale de plusieurs semaines. L’AMF rappelle aux émetteurs qu’ils peuvent — s’ils l’estiment opportun dans ce contexte exceptionnel de crise sanitaire — reporter la date de leur AG, notamment dans les conditions prévues par l’ordonnance n°2020-318 du 25 mars 2020.

Les sociétés cotées qui souhaitent reporter la tenue de leur AG doivent en informer dès que possible leurs actionnaires par un communiqué à diffusion effective et intégrale. Enfin, les sociétés qui modifieraient leur proposition de dividende, sa date ou ses modalités de paiement, doivent le communiquer dès que possible.

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Karl Toussaint du Wast – netinvestissement : « Nous sommes résolument positionnés à l’achat »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Face au coronavirus, la panique semble s'être emparée des marchés financiers. Comment les investisseurs doivent-ils adapter leur stratégie ? Quelles seront les conséquences macroéconomiques à long terme ? Karl Toussaint du Wast, cofondateur du site netinvestissement, répond en exclusivité aux questions du Courrier Financier.
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Clément Duval – Keren Finance : une stratégie plus offensive sur les obligations européennes

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier

A l’occasion de la convention ANACOFI 2019, Clément Duval, Responsable Développement France chez Keren Finance, nous présente l’actualité de sa structure.

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La SCPI Pierre Expansion Santé cède un actif parisien

La Rédaction
Le Courrier Financier

Au terme d’une consultation restreinte, PIERRE EXPANSION SANTÉ a cédé un hôtel particulier d’environ 1 000 m² et ses dépendances, anciennement à usage de maison de retraite, au groupe DELTA IM, dans le cadre d’un projet de réaménagement en établissement d'enseignement.

Cette cession permet à la SCPI de dégager une plus-value conséquente sur un actif détenu depuis 1996, et à l’acquéreur d’associer un bâtiment historique à un programme neuf en cours de construction sur une parcelle contiguë.

Le site est intégralement pré-loué à un prestigieux établissement d’enseignement italien dans le cadre d’un bail de longue durée.

La SCPI PIERRE EXPANSION SANTÉ était conseillée par les sociétés Flabeau et BNP Paribas Real Estate, ainsi que par l’Etude Michelez Notaires.

L’acquéreur était conseillé par l’étude Monceau Notaires.

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L’ANACOFI Finance d’Entreprise innove avec son Observatoire des Signaux Faibles

La Rédaction
Le Courrier Financier

La section s’est renforcée par la mise en place d’une Commission Finance d’Entreprise pilotée par Jean-Louis PICOLLO qui s’appuie sur le soutien du Président Confédéral David CHARLET.

Composé d’une dizaine de professionnels reconnus, qui rencontrent au total près de 500 chefs d’entreprise par an, elle se réuni tous les 4 mois et elle apporte aux adhérents une réflexion et une visibilité sur leurs métiers, sur les bonnes pratiques, sur les formations, et initie des contacts qui viennent ainsi enrichir notre écosystème.

Pour 2024, la section Finance d’Entreprise innove avec son OBSERVATOIRE des SIGNAUX FAIBLES.
Loin des prévisions aléatoires et des statistiques utopiques, cet OBSERVATOIRE basé sur nos remontées du terrain, a pour objectif de donner une information rapide et synthétique à nos adhérents et aux clients de nos adhérents sur des indices naissants pouvant influencer les prises de décisions des prochains mois.

Les membres de la Commission Finance d’Entreprise :

  • Fabienne GRETEAU- COFINGEST
  • Sébastien ROUZAIRE – KERIUS FINANCE
  • Ludovic SARDA – PYTHAS CAPITAL
  • Guy COHEN – INGÉNIERIE SOCIALE
  • Florent GUIGUE – EMERGEANCES
  • Nathalie DESSEAUX et Franck MAGNE – EAVEST
  • Julien DRAY – UNCONFLICTED MANAGEMENT
  • Edouard SEGUIN – PIMENT & Co
  • Jean-Louis PICOLLO – RESOLVYS
    Invités : David GANDAR et Nébojsa SRECKOVIC.
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Des opportunités sont à saisir dans l’univers des actions françaises

Fabrice Masson
BFT Investment Managers
Les conditions actuelles propices aux opérations de croissance externe créent des opportunités d’investissement sur les valeurs françaises, dont les valorisations ne paraissent pas particulièrement excessives.
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