Ukraine : les fonds communs de placement gérés par DWS cessent d’investir dans les titres russes

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le Groupe DWS — gérants d’actifs mondial — annonce ce mercredi 2 mars que les fonds communs de placement qu'il gère n'effectueront plus de nouveaux investissements dans des titres russes. « En tant que société fiduciaire mondiale, nous avons la responsabilité de relever les défis du marché mais aussi d’assumer notre part de responsabilité quant à la situation actuelle », déclare le gérant dans un communiqué. DWS y exprime sa solidarité avec le peuple ukrainien.

Entre sanctions et volatilité de marché

« Les événements de la semaine dernière marquent un triste tournant en Europe, où depuis des décennies, la liberté est la pierre angulaire de la prospérité collective. Cette attaque a non seulement altéré la confiance entre le gouvernement russe et le monde occidental, mais elle va également modifier de façon durable le système de sécurité et la politique énergétique de l'Europe, et créer une volatilité importante », déclare DWS.

DWS annonce également suspendre « la souscription de nouvelles actions dans les fonds communs de placement ayant une exposition significative à la Russie ». L'exposition existante à la Russie pour le compte des clients de DWS sera gérée « conformément à la politique d'investissement de chaque fonds et à notre engagement fiduciaire ». Dans ce cadre, le premier gérant d'actifs allemand assure qu'il respectera « toute sanction imposée par l'UE, le Royaume-Uni et les États-Unis à l'encontre des entités russes ».

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Ukraine : les sanctions pleuvent contre la Russie

Vincent Boy
IG France
La crise militaire se poursuit en Ukraine. Parmi une série de sanctions économiques, plusieurs pays européens ont retiré l'accès au réseau interbancaire SWIFT pour certains établissements russes. Comment la crise affecte-elle les marchés ? Les explications de Vincent Boy, Analyste marchés chez IG France.
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Guerre en Ukraine : le train des sanctions tente de rattraper les chars russes

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Ce jeudi 24 février, la Russie a lancé une offensive militaire en Ukraine. Les Etats-Unis et l'Union européenne (UE) réagissent avec de lourdes sanctions économiques. Cette stratégie va-t-elle payer à moyen et long terme ? Quel impact sur les marchés financiers ? Le point avec Le Courrier Financier.
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Guerre en Ukraine : quel impact sur les matières premières ?

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Ce jeudi 24 février, la Russie a lancé l'invasion de l'Ukraine. Pendant que les Occidentaux réagissent avec des sanctions économiques, les matières premières flambent sur les marchés. Céréales, pétrole, gaz... Quelles conséquences à moyen terme ?
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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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L’AMF peut refuser d’homologuer l’accord qui met fin aux poursuites contre une banque

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le Conseil d'État rend ce vendredi 20 mars une décision importante en matière de régulation économique. La commission des sanctions de l'Autorité des marchés financiers (AMF) peut refuser d'homologuer l'accord mettant fin aux poursuites contre une banque. Le Conseil d'Etat précise la répartition des rôles entre le collège et la commission des sanctions de l'AMF, lorsque des poursuites contre un professionnel aboutissent à un accord sur la sanction infligée.

Lorsqu'il entame des poursuites contre un prestataire de services financiers en raison de manquements à la réglementation ou à ses obligations professionnelles, le collège de l'AMF peut proposer à ce dernier d'entrer « en voie de composition administrative ». Il s'agit de trouver un accord sur le montant de la sanction financière et sur les engagements à prendre par l'entreprise pour remédier aux défaillances constatées.

Homologation de l'accord

Cet accord doit ensuite être homologué par la commission des sanctions de l'AMF, qui est compétente pour prendre les décisions de sanction à l'issue des poursuites engagées par le collège. Si la commission refuse l'homologation, les poursuites continuent normalement devant elle. Saisi par le président de l'AMF et par la banque concernée, le Conseil d'État précise — par sa décision de ce jour — que la commission doit indiquer le motif de son refus, même de façon succincte.

Par ailleurs, le Conseil d'État juge que la commission peut refuser d'homologuer l'accord, lorsque l'affaire pose une question nouvelle et difficile qu'elle estime devoir trancher elle-même. La commission des sanctions pourra alors — par une décision rendue à l'issue d'une procédure contradictoire devant elle plutôt que par la simple homologation d'un accord — préciser les obligations qui pèsent sur les professionnels soumis à la régulation financière afin d'en assurer la clarté et la prévisibilité.

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Vous reprendrez bien un peu de Donald Trump …

Guillaume Brusson
WiseAM
Des mesures fiscales aux diatribes protectionnistes, en passant par ses attaques à l’égard de la Corée du Nord, la Chine ou la Russie, pas un mois ne se passe sans que l’inénarrable Président du pays de l’oncle Sam ne monopolise les premières pages des éditoriaux… Sa dernière en date ? Donald Trump s’est retiré de l’accord iranien !
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L’AMF sanctionne Virtu Financial Europe et Euronext Paris

La Rédaction
Le Courrier Financier
La Commission des sanctions a prononcé le 4 décembre 2015 une sanction de 5 millions d'euros à l'encontre de la société Virtu Financial Europe pour manipulation de cours et méconnaissance des règles de marché d'Euronext. Elle a également prononcé une sanction du même montant à l'encontre de la société Euronext Paris pour ne pas avoir respecté l'obligation d'exercer ses activités avec neutralité et impartialité, dans le respect de l'intégrité du marché.
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