DEE Tech : le SPAC français lève 165 millions d’euros

La Rédaction
Le Courrier Financier

DEE Tech, premier SPAC (Special Purpose Acquisition Company) français dédié à la tech — sponsorisé par les entrepreneurs Marc Menasé, Michaël Benabou et Charles-Hubert de Chaudenay accompagnés par MACSF Epargne Retraite, représentée par Roger Caniard, et IDI, représentée par Julien Bentz — annonce ce mercredi 23 juin avoir levé avec succès 165 millions d’euros dans le cadre d’un placement privé.

16,5 millions d'unités

DEE Tech sera cotée à partir du vendredi 25 juin 2021 sur Euronext Paris. Sa vocation sera d'investir dans une entreprise technologique à fort potentiel pour faire émerger un géant de la tech européenne. La qualité du projet et de l’équipe de sponsors de DEE Tech ont permis d’attirer une base d’investisseurs institutionnels et de Family Office de premier plan.

« Le succès de ce placement démontre la qualité de notre projet, l’enthousiasme que suscite le secteur de la tech en Europe et l’attractivité de la place financière de Paris (...) Au travers de cette opération, nous nous dotons des moyens humains et financiers d’accélérer le développement d’un acteur incontournable de la tech européenne », déclare Marc Ménasé, Directeur général de DEE Tech.

Eléments clés de l’opération...

DEE Tech est constitué sous forme d’un véhicule d’acquisition. L'offre est réservée aux investisseurs qualifiés sur le compartiment professionnel du marché réglementé d’Euronext Paris. La taille finale de l’offre est de 165 millions d’euros, soit 16,5 millions d’unités souscrites à un prix unitaire de 10 euros. Chaque unité se compose d’une action de préférence stipulée rachetable et d’un bon de souscription d’actions ordinaires rachetable.

Trois BSAR donneront le droit de souscrire à une action ordinaire nouvelle de DEE Tech moyennant un prix d’exercice global de 11,50 euros. Les BSAR seront exerçables à compter de la date de réalisation de l’acquisition Initiale et expireront 5 années après la réalisation de l’acquisition initiale. Les Actions de Préférence et les BSAR de DEE Tech seront négociés séparément sous deux lignes de cotation identifiées respectivement par les mnémoniques « DEE » et « DEEW », à partir de la date de cotation, attendue pour le 25 juin 2021, concomitamment avec la date de règlement livraison.

...et l'accompagnement prévu

DEE Tech ambitionne d’accompagner les fondateurs, les managers et les actionnaires dans une nouvelle étape de la vie de leur entreprise, en permettant, grâce au SPAC, une cotation qui ouvrira la voie au développement d’un acteur incontournable de la tech européenne. DEE Tech aura 24 mois à partir du jour de l’admission aux négociations des Actions de Préférences et des BSAR pour réaliser l’acquisition initiale.

La direction générale de DEE Tech sera assurée par Marc Menasé. Le conseil d’administration, présidé par Michael Benabou, sera composé de MACSF Epargne Retraite (représentée par Roger Caniard) et IDI (représentée par Julien Bentz) aux côtés de Fanny Picard (fondatrice d’Alter Equity), Nathalie Balla (co-Présidente de La Redoute) et Inès de Dinechin (ancienne CEO d’Aviva Investors France), membres indépendants. Charles-Hubert de Chaudenay sera censeur au sein du conseil d’administration.

A l’issue de l’Offre, la société transférera un montant correspondant à 100 % du produit brut de l’émission des Unités sur un compte de dépôt dédié. Les fonds déposés sur le compte de dépôt dédié ne pourront être libérés qu’en cas de réalisation de l’acquisition initiale de la Société ou en cas de liquidation de la Société.

Les fondateurs de DEE Tech...

Les fondateurs de DEE Tech ont souscrit dans le cadre d’une augmentation de capital réservée 536 410 actions ordinaires assorties de bons de souscription d’actions ordinaires de la société rachetables et 329 278 actions ordinaires pour un montant total de 5,4 millions d’euros. Ces actions ordinaires seront converties en actions de préférence lors du règlement livraison.

Avec les bons de souscription d’actions ordinaires rachetables détenus par les fondateurs, elles ne seront pas admis aux négociations jusqu’à la réalisation de l’acquisition initiale. Suite à la réalisation de l’acquisition initiale, les fondateurs seront tenus, sous réserve de certaines exceptions, par des engagements de conservation d’une durée d’un an, pouvant être réduite à six mois en fonction des conditions de performance du cours de l’action DEE Tech.

En plus du capital à risque des fondateurs, MACSF Epargne Retraite, IDI et Michaël Benabou ont participé à l’Offre et souscrit respectivement 2 000 000 Unités, 1 500 000 Unités et 500 000 Unités, pour un montant total de 40 millions d’euros. Les actions qu’ils détiendront du fait de leur participation à l’Offre à compter du règlement livraison de l’Offre sont soumises à un engagement de conservation spécifique, duquel ils seront libérés 6 mois après la réalisation de l’acquisition initiale.

...détiendront 39,4 % du capital

Immédiatement après l’Offre, et en prenant en compte les ordres supplémentaires de MACSF Epargne Retraite, IDI et Michaël Benabou, les fondateurs détiendront un nombre total d’actions correspondant à 39,4 % du capital et des droits de vote de la Société.

Au jour de l’acquisition initiale, les Actions de Préférence détenues par les actionnaires de la Société n’ayant pas demandé le rachat en totalité de leurs Actions de Préférence seront automatiquement converties en actions ordinaires qui seront admises aux négociations.

A compter de l’acquisition initiale, les Actions de Préférence Fondateurs seront converties en actions ordinaires par tiers, en fonction de la progression du cours de bourse des actions DEE Tech.

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DEE Tech lance le premier SPAC français dédié à la tech

La Rédaction
Le Courrier Financier

DEE Tech — constituée sous la forme d’un véhicule d’acquisition « Special Purpose Acquisition Company » (SPAC) — lance une augmentation de capital d’un montant de 150 millions d’euros, pouvant être portée à 195 millions d’euros en cas d’exercice intégral de la clause d’extension. L’offre est réservée aux investisseurs qualifiés. La société sera cotée sur le compartiment professionnel du marché réglementé d’Euronext Paris.

Alors que de nombreuses entreprises du digital ont été financées par le « venture » et le « private equity », DEE Tech ambitionne d’accompagner les fondateurs, les managers et les actionnaires dans une nouvelle étape de la vie de leur entreprise, en permettant, au travers d’un SPAC, une cotation qui ouvrira la voie au développement d’un acteur incontournable de la tech européenne.

Jusqu'au 23 juin prochain

L’équipe de DEE Tech mettra son expérience et ses expertises au service de l’entreprise dans sa stratégie de croissance externe, son développement géographique et commercial. Dans ce cadre, DEE Tech offre 15 millions d’unités (actions de préférence stipulées rachetables assorties de bons de souscription d’actions ordinaires de la société rachetables) pour un prix unitaire de 10 euros chacune, ce nombre étant susceptible d’être porté à 19,5 millions d’unités en cas d’exercice intégral de la clause d’extension.

Le montant de souscription minimal dans le cadre de l’augmentation de capital a été fixé à 1 million d’euros ; l’offre est réservée exclusivement à des investisseurs qualifiés en France et à l’étranger. En complément de leur investissement en tant que fondateurs, l’équipe de sponsors participera à l’offre pour un montant total de 40 millions d’euros.

L’offre débute le 17 juin 2021, et devrait se clôturer le 23 juin 2021 à 17h. La période d’offre est susceptible d’être réduite ou prorogée, sans préavis à tout moment. Dans ce cas, les nouvelles dates de règlement-livraison et d’admission aux négociations seraient rendues publiques par un communiqué de presse diffusée par la société. Le montant de souscription minimal dans le cadre de l’offre a été fixé à 1 million d’euros.

Un marché en pleine expansion

DEE Tech offre une opportunité d’investissement dans le secteur attractif de la tech, à fort potentiel de développement, bénéficiant de la digitalisation, tout particulièrement depuis la crise sanitaire. Grâce à son expertise de la tech, de ses réseaux, de ses évolutions et à l’expérience de ses fondateurs, DEE Tech bénéficie d’une stratégie d’acquisition différenciée, axée sur des critères méthodiques de sourcing

Les entreprises cibles de DEE Tech devront répondre à plusieurs lignes directrices et critères sélectifs, notamment :

  • être déjà présentes dans les secteurs technologiques avec un positionnement privilégié pour les solutions à la digitalisation et/ou à l’e-commerce ;
  • bénéficier d’une plateforme à fort potentiel de développement sur de nouveaux marchés, avec un plan de création de valeur clair pour assurer une croissance rentable après l’acquisition initiale ;
  • proposer une stratégie de croissance externe afin de consolider les savoir-faire du marché ;
  • être un acteur établi et de premier plan ayant son siège social ou opérant en Europe (y compris au Royaume-Uni) ou en Israël, bénéficiant d’une forte position sur le marché et d'une reconnaissance de marque de premier plan dans les secteurs du digital et/ou de l’e-commerce ;
  • créer un partenariat entre les fondateurs de DEE Tech et l’équipe de manageurs expérimentés pour accélérer la croissance et la valeur de l'entreprise ;
  • intégrer les principes ESG autour des 3P « People, Planet and Profit » et/ou soutenir et accompagner l'équipe de managers dans la réussite de son processus de transformation ;
  • accompagner l’équipe de managers dans sa stratégie globale de business development à travers l’accompagnement sur l’efficacité commerciale.

Investisseurs et entrepreneurs

La direction générale de DEE Tech sera assurée par Marc Menasé. Le conseil d’administration, présidé par Michael Benabou sera composé de MACSF Epargne Retraite (représentée par Roger Caniard) et IDI (représentée par Julien Bentz) aux côtés de Fanny Picard (fondatrice d’Alter Equity), Nathalie Balla (co-Présidente de La Redoute) et Inès de Dinechin (ancienne CEO d’Aviva Investors France), membres indépendants. Charles-Hubert de Chaudenay sera censeur au sein du conseil d’administration.

Acquisition initiale, rachat d’actions et liquidation

La société aura 24 mois à partir du jour de l’admission aux négociations des Actions de Préférence et des BSAR pour réaliser l’acquisition initiale. Dans le cas contraire, les actifs de la société seront liquidés et la quasi-totalité de l'excédent de liquidation, après règlement des créances des créanciers, sera distribuée à ses actionnaires et à ses fondateurs selon un ordre de priorité, tel que détaillé dans les statuts de la société et dans le prospectus.

Le projet d’acquisition initiale devra être préalablement approuvé par le conseil d’administration de DEE Tech, statuant à la majorité des membres composant le conseil d’administration, en ce compris la majorité des deux-tiers des membres indépendants composant le conseil d’administration (la « Majorité Requise »). A l’issue de cette approbation, la société publiera un avis incluant une présentation détaillée de l’acquisition initiale (l’« Avis d’Acquisition Initiale »).

La publication de l'Avis d’Acquisition Initiale, les actionnaires de la société titulaires d’Actions de Préférence pourront demander à la Société, pendant une période de 30 jours calendaires suivant l’Avis d’Acquisition Initiale, le rachat de leurs Actions de Préférence à un prix de 10,00 euros par Action de Préférence, sous réserve de respecter certaines conditions décrites dans les statuts de la société et dans le prospectus. 

MACSF Epargne Retraite, IDI et Michaël Benabou se sont engagés à ne pas demander le rachat des Actions de Préférence qu’ils détiendront du fait de leur participation à l’offre en cas d’approbation d’une acquisition initiale par le conseil d’administration à la majorité requise.

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L’IDI nomme un Managing Partner de l’équipe d’investissement

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'IDI — groupe côté spécialiste du capital-investissement — annonce ce mercredi 16 décembre la nomination de Managing Partner de l'équipe d'investissement d'IDI. Dans ce cadre, Julien Bentz (45 ans) rejoint le comité exécutif. Depuis septembre 2015, cet organe se compose de Christian Langlois-Meurinne, Julien Bentz, Marco de Alfaro et Tatiana Nourissat.

L'équipe d'investissement sera désormais composée de Julien Bentz, Managing Partner, Marco de Alfaro, Partner, Augustin Harrel-Courtès et Jonathan Coll, Directeurs de Participations, Jonas Bouaouli, chargé d'affaires senior, et de trois chargés d'affaires, Arnaud Pierucci, Jeanne Delahaye et Inès Lavril, pour conduire la stratégie d'investissement et accompagner le développement des entreprises du portefeuille d'IDI.

Développement de l'IDI

« Dans cette nouvelle configuration, l'IDI poursuivra ses investissements dans des PME et ETI en Europe, en réalisant des opérations de « growth » et de LBO pour des investissements unitaires pouvant aller de 10 à 50 millions d'euros. L'IDI cherchera ainsi à renforcer sa place de partenaire incontournable des entrepreneurs du segment small-mid cap », explique Christian Langlois-Meurinne, Président du Groupe IDI.

« L'IDI continuera à accompagner activement ses associés, fondateurs ou managers, dans leur politique de croissance externe en France comme à l'international, à l'instar de ce qui a déjà été fait ces dernières années en Belgique — en Italie, au Danemark, en Allemagne, en Autriche, en Pologne et au Royaume-Uni », ajoute-il. Par ailleurs, le groupe prévoit de s'associer « à des co-investisseurs familiaux » dans les prochaines années.

Focus sur le parcours de Julien Bentz

Julien Bentz a rejoint l'équipe d'investissement d'IDI en 2005. Il a participé ou conduit la réalisation d'une vingtaine d'investissements et notamment dans Interclean, Thermocoax, EA Pharma, Armatis, Almaviva Santé, Axson, Alti ou Emeraude International. Il a également été très actif dans la prise de contrôle et l'accompagnement de la croissance pendant 8 ans d'Idinvest Partners.

Julien Bentz siège actuellement en qualité de président ou de membre de quatre conseils d'administration : Flex Composite Group (matériaux composites), Alkan (aéronautique de défense), groupe Label (e-commerce), VoIP (opérateur télécom alternatif). Julien Bentz est titulaire d'un MBA de l'Insead. Il est diplomé d'ESCP Europe et de l'Université Paris Dauphine.

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Prise de participation : IDI entre au capital du Groupe Sarbacane

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'IDI — spécialiste du capital investissement dans les PME-ETI — annonce ce mardi 8 septembre son entrée au capital du Groupe Sarbacane. Cet éditeur de logiciels propose aux entreprises (PME et TPE) — principalement issues du secteur BtoB — des solutions SaaS d'emailing et SMS afin de faciliter et automatiser leurs campagnes marketing.

Cette opération permet à l'IDI — qui prend le relais d'Ardian Growth — d'entrer au capital de façon minoritaire au côté du Président Fondateur Mathieu Tarnus. Ce dernier conserve la majorité du capital, avec son équipe de management. CIC Nord-Ouest, CMNE et Banque Populaire contribuent au financement de l'opération en apportant une dette senior de 15 M€, qui inclut une ligne de financement pour les croissances externes.

Focus sur le Groupe Sarbacane

Créé en 2001 et dirigé par son Fondateur et actuel Président Mathieu Tarnus, le Groupe Sarbacane connaît une croissance soutenue et rentable de son activité depuis sa création. Au fil des années, grâce à une équipe interne d'une vingtaine de développeurs, Sarbacane a enrichi son logiciel avec de nouvelles fonctionnalités.

Elles permettent, entre autres, d'améliorer la construction des emails (email builder) ou encore l'efficacité des campagnes avec des outils d'intelligence artificielle (envoi prédictif, eye tracking, etc.). La société développe et lance régulièrement de nouveaux produits tels que Touchdown, qui propose une solution de gestion de campagnes aux utilisateurs de Microsoft Dynamics.

Basé en région lilloise et employant une centaine de salariés, le Groupe a réalisé en 2019 un chiffre d'affaires de plus de 11 M€ et a enregistré une croissance annuelle de l'ordre de 10 % ces dix dernières années. Son portefeuille de clients très diversifiés et fidèles est présent en BtoB et BtoC, dans le public et le privé, dans de multiples secteurs d'activité.

Développement en Europe

Avec le soutien et l'accompagnement de son nouveau partenaire IDI, Sarbacane a l'ambition de devenir un groupe multi-solutions dans l'univers du marketing automation. Dans ce but, le Groupe prévoit un développement à la fois organique — notamment à travers le lancement d'offres complémentaires — et par croissances externes en France et en Europe.

« Avec la prise de participation dans Sarbacane, et après celles dans HEA Expertise, Groupe Label et CDS Groupe, l'IDI démontre à nouveau sa volonté d'accompagner des entreprises digitales en forte croissance qui font évoluer positivement leurs marchés au travers de services et produits innovants. En 2020, l'IDI est actif et conclut sa quatrième opération de l'année, après deux acquisitions et une cession réalisées au premier semestre », déclare Julien Bentz, Partner et Membre du comité exécutif de l'IDI.

« Nous avons été rapidement séduits par la qualité du produit Sarbacane et la résilience du business model de la société. Nous sommes ravis d'accompagner Mathieu et l'ensemble de l'équipe de management dans cette nouvelle opération qui doit permettre de transformer Sarbacane en un groupe multi-solutions de marketing digital européen, via notamment des projets internes de diversification et des acquisitions en Europe », complète Augustin Harrel-Courtès, Directeur de participations.

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Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

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La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

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