Nomura acquiert Greentech Capital Advisors, rebaptisé Nomura Greentech

La Rédaction
Le Courrier Financier

Nomura Holding America Inc. — filiale de Nomura Group, holding financière japonaise — annonce ce jeudi 2 avril avoir achevé l'acquisition de Greentech Capital, une importante banque d'investissement dont le but consiste à soutenir ses clients dans le domaine des technologies et des infrastructures durables.

Expertise des marchés des capitaux

L'entreprise a été rebaptisée « Nomura Greentech » et a intégré la franchise Global Investment Banking de Nomura. Suite à cette opération, « Nomura Greentech » maintiendra sa présence mondiale, grâce à des personnels basés à New York, San Francisco, Chicago, Zurich et Paris.

Cette transaction renforce l'engagement de Nomura à fournir une valeur unique à ses clients internationaux. Dans cette perspective, le groupe va faire progresser la croissance des technologies et des infrastructures durables, et contribuer au développement durable de la société grâce à son expertise sur les marchés des capitaux.

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Stratégie d’investissement : le mouton et le chameau

Igor de Maack
Vitalépargne Paris
L'analyse du comportement des investisseurs sur les marchés financiers ressemble parfois à une fable de La Fontaine. Que retenir des valeurs de croissance ? Quelles perspectives pour la gestion value ? Les explications d'Igor de Maack, Gérant et porte-parole de la gestion chez DNCA Finance.
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Cours de l’or : la fin du Central Bank Gold Agreement

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le Comptoir National de l’or — spécialiste de l'investissement en or  et en expertise de bijoux — a commenté ce lundi 29 juillet la fin de l'accord de Washington. D'après cette société française spécialisée dans le marché physique de l'or, le message est clair. Dorénavant, les banques centrales ne revendent plus ce métal précieux, elles l'achètent.

Un accord devenu obsolète

En 1999, les banques centrales des principaux pays détenteurs d’or en Europe — y compris la Suisse — se sont mises d’accord pour limiter collectivement leurs ventes d’or à 400 tonnes par an. Cela faisait suite à l’annonce de ventes importantes par le Royaume-Uni, qui risquaient de fortement déstabiliser le marché. Pour rappel, le pays a vendu environ 400 tonnes d’or entre 1999 et 2002 à un cours moyen d’environ 275 dollars.

Cet accord a été renouvelé trois fois et prolongé jusqu’en 2019. Dans un communiqué (en anglais) publié le 26 juillet dernier, la Banque Centrale Européenne (BCE) a annoncé que l’accord ne serait pas reconduit une fois de plus... puisqu’il ne sert plus à rien. Le graphique ci-dessous — réalisé par la BCE — montre que les ventes d'or en tonnes restent aujourd'hui très loin du seuil à ne pas dépasser selon l'accord, voire même inexistantes.

Source : BCE

Aucune vente à court ou moyen terme

Depuis 2015, les ventes sont devenues pratiquement nulles. Et pour cause ! « D’une manière générale, les banques centrales ainsi que d’autres institutions officielles sont au contraire devenues des acheteurs nets sur le marché de l’or », souligne la BCE dans son communiqué.

L’abandon du Central Bank Gold Agreement — en plus de sa dimension symbolique — envoie donc un signal clair aux marchés financiers. Les investisseurs ne doivent attendre aucune vente de métal jaune sur le court et moyen terme, de la part des 21 signataires de l’accord.

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Europe : les valeurs de santé vont-elles surmonter la pression de Washington ?

Jane Bleeg
Alliance Bernstein
Les valeurs de santé ont sous-performé cette année. Les prix des médicaments sont de plus en plus contestés aux États-Unis, ce qui rend les marchés nerveux. De ce côté-ci de l’Atlantique, les craintes du secteur de la santé sont exagérées. Comment les investisseurs sélectifs peuvent-ils dénicher de bonnes opportunités ? Jane Bleeg, Analyste recherche actions chez Alliance Bernstein, partage son analyse.
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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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MIFID 2 : l’AMF se penche sur sur le nouveau mode de financement de la recherche

La Rédaction
Le Courrier Financier

La mise en œuvre de MIFID 2 a modifié l’économie du marché de la recherche. Le Collège de l’Autorité des marchés financiers (AMF) a confié le 10 juillet dernier à Jacqueline Eli-Namer —  membre du Collège de l’AMF —  et Thierry Giami — Président de la Société française des analystes financiers (SFAF) —  la mission d’explorer avec les acteurs de la place, les pistes concrètes qui pourraient améliorer la situation.

MIFID 2 a imposé une facturation séparée du service de recherche. La baisse des prix de la recherche facturée — couplée à une rationalisation des budgets des investisseurs — a des conséquences sur le nombre d’analystes et la couverture des sociétés. En parallèle, la recherche subventionnée — « sponsorisée » — par les émetteurs se développe. Cette tendance limite l’érosion de la production d’analyse mais soulève des problèmes spécifiques, notamment en matière de gestion des conflits d’intérêt.

Petites et moyennes valeurs

La couverture des sociétés cotées par des travaux de recherche indépendants assure la bonne formation des prix sur le marché, tout en garantissant sa liquidité. Si les « grandes valeurs » de la cote sont largement couvertes, les capitalisations plus faibles sont traditionnellement moins suivies par les analystes. Pour rappel, l’entrée en bourse des valeurs moyennes et petites reste un objectif de Place. Par ailleurs, la France dispose d’une base fournie d’analystes financiers.

Dans ces conditions, il est souhaitable d’explorer les initiatives qui pourraient être prises pour assurer la couverture des valeurs moyennes et petites par une recherche de qualité. Dans ce contexte, le Collège de l’AMF a demandé à Jacqueline Eli-Namer, et Thierry Giami,d’affiner le diagnostic sur l’évolution de la recherche. Ils devront explorer les pistes concrètes qui pourraient mobiliser la Place et conduire à améliorer la situation. Le résultat de ces travaux devrait être disponible avant la fin de l’année 2019.

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Marchés actions : valeurs cycliques et récession en zone euro, à quoi faut-il s’attendre ?

Nicolas Simar
NN Investment Partners
L’économie de la zone euro devrait rebondir avec la reprise du commerce asiatique à la fin de l’année. Les compagnies pétrolières et les valeurs cycliques offrent des opportunités d’investissement attractives. Comment les investisseurs peuvent-ils tirer profit des marchés actions ? Nicolas Simar, Gérant chez NN Investment Partners, partage son analyse.
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Marchés financiers : et vogue la galère !

Jacques de Panisse
Optigestion
Malgré de nombreuses secousses, la confiance ne quitte pas les marchés financiers. Faut-il néanmoins conserver son exposition en 2019 ? Jacques de Panisse-Passis, Président du Directoire, Gérant et Associé d'Optigestion, expose son point de vue.
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N’enterrez pas les grandes valeurs européennes !

Gérard Moulin
L’intensité concurrentielle et un environnement économique plus difficile renforcent la discrimination entre les valeurs. Les valeurs européennes qui disposent d’un réel savoir-faire et de barrières à l’entrée conséquentes offrent des perspectives alléchantes.
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La SCPI Pierre Expansion Santé cède un actif parisien

La Rédaction
Le Courrier Financier

Au terme d’une consultation restreinte, PIERRE EXPANSION SANTÉ a cédé un hôtel particulier d’environ 1 000 m² et ses dépendances, anciennement à usage de maison de retraite, au groupe DELTA IM, dans le cadre d’un projet de réaménagement en établissement d'enseignement.

Cette cession permet à la SCPI de dégager une plus-value conséquente sur un actif détenu depuis 1996, et à l’acquéreur d’associer un bâtiment historique à un programme neuf en cours de construction sur une parcelle contiguë.

Le site est intégralement pré-loué à un prestigieux établissement d’enseignement italien dans le cadre d’un bail de longue durée.

La SCPI PIERRE EXPANSION SANTÉ était conseillée par les sociétés Flabeau et BNP Paribas Real Estate, ainsi que par l’Etude Michelez Notaires.

L’acquéreur était conseillé par l’étude Monceau Notaires.

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L’ANACOFI Finance d’Entreprise innove avec son Observatoire des Signaux Faibles

La Rédaction
Le Courrier Financier

La section s’est renforcée par la mise en place d’une Commission Finance d’Entreprise pilotée par Jean-Louis PICOLLO qui s’appuie sur le soutien du Président Confédéral David CHARLET.

Composé d’une dizaine de professionnels reconnus, qui rencontrent au total près de 500 chefs d’entreprise par an, elle se réuni tous les 4 mois et elle apporte aux adhérents une réflexion et une visibilité sur leurs métiers, sur les bonnes pratiques, sur les formations, et initie des contacts qui viennent ainsi enrichir notre écosystème.

Pour 2024, la section Finance d’Entreprise innove avec son OBSERVATOIRE des SIGNAUX FAIBLES.
Loin des prévisions aléatoires et des statistiques utopiques, cet OBSERVATOIRE basé sur nos remontées du terrain, a pour objectif de donner une information rapide et synthétique à nos adhérents et aux clients de nos adhérents sur des indices naissants pouvant influencer les prises de décisions des prochains mois.

Les membres de la Commission Finance d’Entreprise :

  • Fabienne GRETEAU- COFINGEST
  • Sébastien ROUZAIRE – KERIUS FINANCE
  • Ludovic SARDA – PYTHAS CAPITAL
  • Guy COHEN – INGÉNIERIE SOCIALE
  • Florent GUIGUE – EMERGEANCES
  • Nathalie DESSEAUX et Franck MAGNE – EAVEST
  • Julien DRAY – UNCONFLICTED MANAGEMENT
  • Edouard SEGUIN – PIMENT & Co
  • Jean-Louis PICOLLO – RESOLVYS
    Invités : David GANDAR et Nébojsa SRECKOVIC.
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Sextant PME à nouveau ouvert aux souscriptions

La Rédaction
Le Courrier Financier

Dans un univers de petites et moyennes capitalisations européennes où la gestion de la liquidité est un facteur de création de valeur prépondérant et dans l’intérêt des porteurs de parts, il avait été décidé en juillet 2017 de fermer les souscriptions de parts de Sextant PME qui bénéficiait alors d'un encours sous gestion de 250M€.

"L’objectif de cette fermeture était d’assurer les meilleures conditions de gestion pour le fonds et de poursuivre une stratégie de sélection rigoureuse et efficace des valeurs. Avec un encours à ce jour de 175M€, nous retrouvons de la capacité pour investir sur le segment des petites et moyennes valeurs européennes", assure Raphaël Moreau, gérant coordinateur du fonds Sextant PME.

Reflet du savoir-faire historique d’Amiral Gestion en sélection de petites et moyennes valeurs européennes, Sextant PME présente à fin septembre 2018 une performance annualisée de 15,79% depuis le 1er janvier 2014 contre 12,86% pour son indice de référence.

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Romain Burnand – Moneta AM : Le marché exagère toujours dans ses amours et désamours !

Roxane Nojac
Le Courrier Financier
L'approche de gestion défendue par Romain Burnand, gérant chez Moneta AM, est, depuis toujours, de nager à contre-courant. Le portefeuille idéal, selon le fondateur de Moneta AM, se compose de petites valeurs inconnues qui ne donnent pas lieu à des conflits d'intérêt. Loin de la gestion value ou croissance pure, Romain Burnand défend une méthode pragmatique, qui s'éloigne des amours et désamours du marché, pas toujours justifiés. Dans ce nouvel épisode de / PERSPECTIVES /, Romain Burnand, fondateur de Moneta AM, nous dévoile sa philosophie de gestion.
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