La crise de 2008 et la modification de la structure de l’emploi auraient-elles des conséquences sur la constitution du patrimoine des ménages ? Plusieurs études soulignent que les jeunes actifs éprouvent des difficultés croissantes à épargner.
À côté des régimes par répartition, de nombreux pays se sont dotés d’un système de retraite par capitalisation à travers la mise en place de fonds de pension. Publics ou privés, les fonds de pension sont des structures juridiques destinées à recueillir les cotisations versées par les adhérents en vue de leur constituer des compléments de revenus pour leur retraite.
La Cour des Comptes a souligné dans son audit des finances publiques que la France doit réaliser de nouveaux efforts pour maîtriser son déficit et espérer réduire le niveau de sa dette publique qui atteint plus de 97 % du PIB.
L’Europe et les Etats-Unis sont deux grandes puissances agricoles qui se plaisent à se combattre dans le cadre des négociations commerciales internationales. Ils s’accusent mutuellement de protectionnisme. Quels sont les rapports de force et les politiques mises en œuvre par les pouvoirs publics pour soutenir leur agriculture ?
Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »
Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES.
“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !” explique Jean-Paul SERRATO
Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.
“Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendrela gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.
En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.
Selon l’OCDE, en 2017, le PIB mondial pourrait s’accroître de 3,5 %, ce qui constituerait sa plus forte progression enregistrée au cours de ces six dernières années. Néanmoins, il convient d’être prudent ; entre les évaluations de printemps et les résultats définitifs, les déconvenues n’ont pas été rares depuis 2011. En outre, l’OCDE qui a présenté mercredi 7 juin ses « Perspectives Economiques », a affiché un optimisme tout relatif.
La moitié des dirigeants du G7 qui se tenait en Sicile, ce week-end, en étaient à leur première participation. Plusieurs des dirigeants présents avaient des sujets de préoccupation variés, pas toujours en lien avec l’ordre du jour du sommet : Donald Trump empêtré dans ses relations avec la Russie, Theresa May devant gérer l’épineux dossier du Brexit, Emmanuel Macron à la recherche de sa majorité parlementaire et l’Italien Paolo Gentiloni qui devra faire face à ces élections législatives délicates en fin d’année. De son côté, Angela Merkel participait à son 12e sommet.
Les réformes graduelles menées au cours des toutes dernières années, devraient être poursuivies si le nouveau Président français Emmanuel Macron obtient, suite aux élections législatives de juin 2017, l’appui parlementaire nécessaire pour mettre en œuvre son programme.