Label Relance : Promepar AM l’obtient pour son fonds Promepar PME Opportunities

La Rédaction
Le Courrier Financier

Promepar AM — société de gestion d’actifs de la BRED depuis 1992 — annonce ce vendredi 4 décembre avoir obtenu le label Relance pour son fonds Promepar PME Opportunities. Un an après la signature des PRI, l’obtention de ce label montre l’implication de la Promepar AM dans la finance durable et sa volonté de s'engager dans l’économie réelle.

Promepar PME Opportunités vise à investir auprès des dirigeants de petites et moyennes valeurs cotées en France. Créé en 2014 et éligible aux PEA et PEA-PME, le fonds est investi à plus de 90 % en actions françaises et à plus de 80 % sur des PME et ETI françaises. Le fonds respecte un ensemble de critères environnementaux, sociaux et de bonne gouvernance (ESG) et favorise les sociétés engagées dans la transition écologique et énergétique.

Reconstruire l'économie

Lancé le 19 octobre 2020 par la Direction du Trésor, le label « Relance » vient reconnaître les fonds qui s’engagent à mobiliser rapidement des ressources nouvelles pour soutenir les fonds propres et quasi-fonds propres des entreprises françaises (PME et ETI) cotées ou non. Il permet d’identifier ces fonds (OPC) qui répondent aux besoins de financement des entreprises françaises et ainsi de mobiliser l’épargne pour la relance.

« L’obtention du « Label Relance » pour le fonds Promepar PME Opportunités concrétise notre engagement de longue date auprès des PME et ETI françaises. Nous croyons plus que jamais que, dans le contexte actuel de reconstruction de l’économie, tous les efforts doivent être mobilisés pour que ces dernières puissent maintenir et développer leur potentiel d’innovation, de croissance durable et de création d’emplois sur le long terme », précise Renaud Ramette, le gérant du fonds Promepar PME Opportunités.

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Label Relance : Moneta l’obtient pour ses fonds Moneta Micro Entreprises et Moneta Multi Caps

La Rédaction
Le Courrier Financier

Moneta Asset Management (Moneta AM) — société de gestion de fonds actions — annonce ce lundi 30 novembre avoir obtenu le label « Relance ». Cette labellisation vient distinguer ses fonds d'investissement « Moneta Micro Entreprises » et « Moneta Multi Caps ».

450 millions d'euros en fonds propres

Le label « Relance » vise à faciliter l’identification des OPC investissant dans les fonds propres des entreprises françaises, en particulier des PME et ETI. Ce label a été créé le 19 octobre 2020 par un Accord de Place gouvernemental, dans le cadre plus large du plan de relance de l’économie et vise à renforcer la situation financière des entreprises françaises en soutenant leur financement. 

« Cette labellisation témoigne de notre engagement d’investisseurs fondamentaux, animés par une vision de long terme et actifs sur des sociétés de toutes tailles, y-compris les plus petites d’entre elles. Nous sommes fiers d’avoir pu apporter plus de 450 M€ de fonds propres à des entreprises européennes au cours des 17 ans d’existence de notre société », déclare Romain Burnand, Président de Moneta AM.

Financer les entreprises françaises 

Depuis son lancement le 20 juin 2003, « Moneta Micro Entreprises » investit dans des sociétés majoritairement françaises — avec une spécialisation sur les moyennes, petites, voire très petites valeurs qui constituent son univers de prédilection. Le fonds a pris part à 188 augmentations de capital pour 122 millions d’euros d’apport en fonds propres aux entreprises, ce qui représente plus du tiers de son actif actuel. « Moneta Micro Entreprises », éligible au PEA, est actuellement fermé aux souscriptions.

Depuis son lancement le 24 mars 2006, « Moneta Multi Caps » investit également depuis sa création en 2006 dans des sociétés majoritairement françaises sur la base d’une approche originale « toutes capitalisations ». Son positionnement à la fois « France » et « Multi Caps » (grandes, moyennes et petites capitalisations) l’a rendu légitime dans l’obtention du label France Relance. Le fonds a pris part à 157 augmentations de capital pour un montant de 337 millions d’euros. Moneta Multi Caps est éligible au PEA et référencé dans de nombreux contrats d’assurance-vie.

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France Relance : Amiral Gestion reçoit le label pour son fonds Sextant PME

La Rédaction
Le Courrier Financier

Après la labellisation début novembre du fonds d'investissement NOVA 2, Amiral Gestion — société de gestion indépendante — annonce ce lundi 30 novembre avoir également obtenu le label gouvernemental « France Relance » pour son fonds Sextant PME, dédié aux PME/ETI européennes.

Sextant PME, créé en janvier 2014, est investi dans les PME/ETI européennes cotées dont la capitalisation boursière est inférieure à 1 milliard d’euros. Le fonds est éligible au PEA/PME ainsi qu’au PEA.

Soutenir les entreprises

« Nous nous réjouissons de cette nouvelle labellisation qui vient valider l’ambition portée par les équipes d’Amiral Gestion de soutenir le tissu entrepreneurial local. Les petites et moyennes valeurs sont, en effet, au cœur de notre expertise historique, et c’est une nouvelle fois l’occasion pour Amiral Gestion de les soutenir dans cette période difficile, mais riche en opportunités », déclare Nicolas Komilikis, Directeur Général d’Amiral Gestion.

Mis en place fin octobre par le ministère de l’Économie, des Finances et de la Relance dans le cadre du plan de relance de l’économie française, le label « France Relance » vise à permettre aux investisseurs de participer à l’effort collectif en dirigeant les investissements vers les PME et les ETI. Ce label sélectionne des fonds d’investissement qui s’engagent à mobiliser rapidement des ressources pour répondre aux besoins des entreprises.

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Label Relance : Meeschaert AM l’obtient pour deux fonds d’investissement

La Rédaction
Le Courrier Financier

Meeschaert Asset Management (Meeschaert AM) — société de gestion indépendante — annonce avoir obtenu le Label Relance pour ses deux fonds d'investissement, MAM Entreprises Familiales et MAM France PME. Pour une durée de 4 ans, ce label permet d'accompagner le plan de reprise du gouvernement français en soutenant les petites et moyennes entreprises (PME) françaises dans le contexte sanitaire et économique actuel.

Spécialiste de l’investissement éthique en France, le groupe Meeschaert place, depuis son origine, l’homme au cœur de ses préoccupations. Ce label, seulement accordé à 16 organismes de placement collectif en valeurs mobilières et fonds d’investissement à vocation générale (au 16 novembre 2020), s’inscrit ainsi dans les engagements de Meeschaert AM en faveur d’une finance responsable au service du bien commun.

Soutenir les PME françaises

Ce label récompense le soutien apporté à la croissance et à l’emploi dans l’Hexagone par MAM Entreprises Familiales et MAM France PME, dont les portefeuilles sont investis respectivement à hauteur de 72 % et 98 % dans des entreprises françaises au 20 novembre 2020. De même, 40 % des investissements sont réalisés dans des PME et ETI françaises pour MAM Entreprises Familiales et 94 % pour MAM France PME.

Soutenu par la Direction générale du Trésor, le label Relance a pour objectif de mobiliser l’épargne de tous les investisseurs — tant particuliers qu’institutionnels — en faveur de la relance économique en réorientant l’épargne des Français. Ceci à travers des véhicules d’investissements dédiés aux TPE et PME. Ainsi, le Label Relance vise-t-il à faciliter le financement de long terme des entreprises touchées par le contexte sanitaire.

« Ce label Relance marque très concrètement nos engagements auprès des dirigeants de petites et moyennes entreprises. Ils font face aujourd’hui à des défis majeurs qui nécessitent de les accompagner pour une relance juste et responsable », précise Aurélien Taïeb, Gérant des deux fonds.

Focus sur les fonds labellisés

MAM France PME, créé en 1999, a pour objectif de sélectionner les opportunités d'investissement dans des petites et moyennes entreprises (PME) ainsi que dans des sociétés de tailles intermédiaires (ETI), principalement en France.

MAM Entreprises Familiales, créé en 2002, a pour objectif d’offrir une gestion de convictions en apportant une croissance du capital à moyen ou long terme par le biais d’un portefeuille investi en actions d’entreprises des pays de l'Union Européenne dont les principaux actionnaires sont une ou des personnes physiques ou encore une ou des familles

Meeschaert AM a publié en 2020 l’empreinte Croissance et Emploi des fonds MAM Entreprises Familiales et MAM France PME. Cette mesure d’impact extra-financier évalue la croissance de l’emploi au sein des sociétés du portefeuille de ces deux fonds.

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La SCPI Pierre Expansion Santé cède un actif parisien

La Rédaction
Le Courrier Financier

Au terme d’une consultation restreinte, PIERRE EXPANSION SANTÉ a cédé un hôtel particulier d’environ 1 000 m² et ses dépendances, anciennement à usage de maison de retraite, au groupe DELTA IM, dans le cadre d’un projet de réaménagement en établissement d'enseignement.

Cette cession permet à la SCPI de dégager une plus-value conséquente sur un actif détenu depuis 1996, et à l’acquéreur d’associer un bâtiment historique à un programme neuf en cours de construction sur une parcelle contiguë.

Le site est intégralement pré-loué à un prestigieux établissement d’enseignement italien dans le cadre d’un bail de longue durée.

La SCPI PIERRE EXPANSION SANTÉ était conseillée par les sociétés Flabeau et BNP Paribas Real Estate, ainsi que par l’Etude Michelez Notaires.

L’acquéreur était conseillé par l’étude Monceau Notaires.

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L’ANACOFI Finance d’Entreprise innove avec son Observatoire des Signaux Faibles

La Rédaction
Le Courrier Financier

La section s’est renforcée par la mise en place d’une Commission Finance d’Entreprise pilotée par Jean-Louis PICOLLO qui s’appuie sur le soutien du Président Confédéral David CHARLET.

Composé d’une dizaine de professionnels reconnus, qui rencontrent au total près de 500 chefs d’entreprise par an, elle se réuni tous les 4 mois et elle apporte aux adhérents une réflexion et une visibilité sur leurs métiers, sur les bonnes pratiques, sur les formations, et initie des contacts qui viennent ainsi enrichir notre écosystème.

Pour 2024, la section Finance d’Entreprise innove avec son OBSERVATOIRE des SIGNAUX FAIBLES.
Loin des prévisions aléatoires et des statistiques utopiques, cet OBSERVATOIRE basé sur nos remontées du terrain, a pour objectif de donner une information rapide et synthétique à nos adhérents et aux clients de nos adhérents sur des indices naissants pouvant influencer les prises de décisions des prochains mois.

Les membres de la Commission Finance d’Entreprise :

  • Fabienne GRETEAU- COFINGEST
  • Sébastien ROUZAIRE – KERIUS FINANCE
  • Ludovic SARDA – PYTHAS CAPITAL
  • Guy COHEN – INGÉNIERIE SOCIALE
  • Florent GUIGUE – EMERGEANCES
  • Nathalie DESSEAUX et Franck MAGNE – EAVEST
  • Julien DRAY – UNCONFLICTED MANAGEMENT
  • Edouard SEGUIN – PIMENT & Co
  • Jean-Louis PICOLLO – RESOLVYS
    Invités : David GANDAR et Nébojsa SRECKOVIC.
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Label Relance : Innovacom l’obtient pour son fonds Avenir Numérique 2

La Rédaction
Le Courrier Financier

Innovacom Gestion — spécialiste du capital-innovation en France — annonce ce jeudi 19 novembre avoir reçu le label « Relance » pour son fonds commun de placement dans l’innovation (FCPI) Avenir Numérique 2. Il est ouvert à la souscription depuis novembre 2020. Les particuliers peuvent souscrire par l’intermédiaire d’un réseau bancaire, de conseillers en gestion de patrimoine (CGP) ou directement depuis le site.

Le nouveau label « Relance » reconnaît la contribution positive du fonds « Avenir Numérique 2 ». Plus généralement, il valide la philosophie de gestion d’Innovacom qui accompagne, depuis plus de trente ans, des start-up et entreprises innovantes au service de l’économie française.

Soutenir les entreprises

Né d’un accord de place signé le 19 octobre par le Ministre de l’Economie et des Finances, le label « Relance » valorise les fonds d’investissement qui mobilisent rapidement des ressources pour financer à long terme des entreprises françaises. Objectif, accélérer la relance de l’économie.

Ce label « est un signal fort adressé à tous les particuliers désireux de placer utilement leur épargne dans l’économie française au service de leur futur. « Avenir Numérique 2 » a pour mission de soutenir les meilleurs projets innovants, moteurs de progrès pour demain, créateurs de valeur financière et sociétale », pointe Jérôme Faul, Managing Partner d’Innovacom.

Jeunes pousses numériques

Le FCPI « Avenir Numérique 2 » propose aux épargnants français de soutenir de jeunes pousses technologiques prometteuses. Dans le cadre d’opérations de capital-innovation et de capital développement, « Avenir Numérique 2 » investira notamment dans les sociétés qui développent des solutions à même d’accompagner la révolution numérique de l’industrie, afin de répondre aux enjeux sociétaux et environnementaux.

Innovacom rappelle que ce fonds n’est pas à capital garanti. Investir dans des sociétés actives dans des secteurs économiques en croissance ne constitue pas un gage de performances pour le fonds. Ce produit inclut une durée de blocage de 8 ans minimum — soit jusqu’au 31 décembre 2028 — et qui peut aller jusqu’à̀ 10 ans — soit jusqu’au 31 décembre 2030 au plus tard.

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Projet de loi de finances pour 2021 : développer l’actionnariat salarié

La Rédaction
Le Courrier Financier

Bruno Le Maire, ministre de l’Economie, des Finances et de la Relance, et Olivier Dussopt, ministre délégué chargé des Comptes publics, se félicitent ce mardi 17 novembre de l’adoption par l’Assemblée nationale en première lecture du Projet de loi de finances pour 2021 de deux amendements favorisant le partage de la valeur en faveur des salariés dans l’entreprise.

Favoriser l'actionnariat salarié

L’Assemblée nationale a adopté en première lecture du Projet de loi de finances pour 2021, sur avis favorable du Gouvernement, deux amendements qui faciliteront le développement de l’actionnariat salarié. Objectif favoriser la participation des salariés aux bénéfices dégagés par l’entreprise tout leur conférant des droits dans sa gouvernance. Bruno Le Maire souhaite que 10% du capital des entreprises françaises puissent, à terme, être détenus par les salariés.

« Les Français ont accumulé plus de 80 milliards d’euros d’épargne depuis le confinement. Les entreprises auront un besoin massif de fonds propres pour porter pleinement la relance de l’économie. En encourageant le développement de l’actionnariat salarié, nous donnons une place plus importante aux salariés dans le partage des bénéfices et la gouvernance de leur entreprise, tout en soutenant financièrement les entreprises dans cette période », déclare Bruno Le Maire.

Exonération des abondements

Le premier amendement adopté exonère de forfait social les abondements de l’employeur complétant les versements volontaires des salariés pour acquérir des actions de leur entreprise au sein de leur plan d’épargne salariale. Cette mesure, qui durera le temps de la relance, jusqu’à fin 2022, incite les salariés à flécher leur épargne vers le renforcement des fonds propres des entreprises. 

Cet amendement clarifie par ailleurs le taux s’appliquant aux versements unilatéraux de l’employeur à l’ensemble de leurs salariés pour l’acquisition d’actions de leur entreprise, qui a été fixé à 10 % par la loi Pacte, dans la limite du 8 % du plafond annuel de la sécurité sociale.

Etendre le dispositif aux ETI

Le deuxième amendement étend aux entreprises de taille intermédiaire (ETI), qui n’ont jamais versé de dividendes depuis leur création, les exonérations dont bénéficient aujourd’hui les petites et moyennes entreprises (PME), qui attribuent gratuitement à leurs salariés des actions de l’entreprise. Il concrétise ainsi un engagement pris par le Président de la République en faveur des entreprises de taille intermédiaire.

« Avec ces nouvelles mesures, nous poursuivons notre politique de développement de l’actionnariat salarié, qui permet de conforter la place des salariés dans le partage de la valeur ajoutée, de fidéliser les salariés, et de renforcer les fonds propres de nos entreprises et donc leur capacité à investir et à se développer », conclut Olivier Dussopt.

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PME-ETI : le fonds ISR Talence Epargne Utile obtient le label « Relance »

La Rédaction
Le Courrier Financier

Talence Gestion — société de gestion indépendante française — annonce ce mardi 17 novembre l’obtention du Label « Relance » pour son fonds ISR Talence Epargne Utile. Ce label récompense un engagement en faveur des investissements qui donnent du sens au patrimoine des clients.

Focus sur le label « Relance »

Créé suite à un Accord de Place, signé le 19 octobre 2020 par l’Etat et les associations parties prenantes, le label « Relance » vise à soutenir le financement des petites et moyennes entreprises (PME-ETI) françaises. Dans ce but, il identifie les fonds d'investissement qui contribuent activement à la relance de l’économie réelle.

« Un mois après avoir remporté le 1er prix des Trophées de la Finance Responsable dans la catégorie Actions Petites et Moyennes Capitalisations, nous franchissons une nouvelle étape pour notre fonds Talence Epargne Utile avec l’obtention du label Relance. Ce label conçu par le gouvernement est un véritable gage de confiance », déclare Julien Fauvel, Gérant du fonds Talence Epargne Utile.

100 critères d'évaluation ESG

L’obtention de ce nouveau label, qui garantit aux épargnants d’être au plus près des entreprises françaises dans le contexte de la relance économique, reflète la contribution économique positive du fonds Talence Epargne Utile. Il investit dans des PME françaises cotées dites « responsables ».

Le fonds combine l’expertise de ses gérants sur cette classe d’actifs et la notation extra-financière réalisée par son partenaire EthiFinance sur plus de 100 critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) et parties prenantes. Talence Epargne Utile est éligible PEA et assurance vie.

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Label Relance : LFDE l’obtient pour quatre de ses fonds

La Rédaction
Le Courrier Financier

La Financière de l’Echiquier (LFDE) — société de gestion entrepreneuriale française — annonce ce mardi 17 novembre avoir obtenu le label « Relance » pour quatre de ses fonds : Echiquier Excelsior, Tremplin PME M, UFF Tremplin PME et NOVI Coté 2020. Ce dernier est un fonds professionnel spécialisé, dédié au soutien des petites et moyennes entreprises (PME) françaises affectées par la crise sanitaire.

Lancé en octobre dernier, le label Relance a pour objectif de mobiliser l’épargne de tous les investisseurs, tant particuliers qu’institutionnels, en faveur de la relance économique. Octroyé par la Direction générale du Trésor, il s’inscrit dans le cadre du Plan de Relance pour faciliter le financement de long terme des entreprises.

Engagement auprès des PME

Lancé en juillet 2020 dans le cadre du programme d’Investissement Assureurs-Caisse des Dépôts et Consignations, NOVI Coté 2020 repose sur une double expertise de LFDE, un savoir-faire historique de sélection de petites et moyennes valeurs et une expertise ISR qui se traduit par une approche extra-financière enrichie, notamment dans sa dimension sociale.

Les trois autres fonds s'inscrivent dans la même démarche. « Nous sommes avant tout des investisseurs en entreprises, et notre expertise s'est forgée auprès des petites et moyennes valeurs. Il était naturel de nous mobiliser dans ce contexte de crise. L'obtention du label Relance pour quatre de nos fonds traduit la constance de notre engagement », déclare Olivier de Berranger, Directeur Général Délégué en charge de la Gestion d'actifs de LFDE.

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Qonto et Regate unissent leurs forces pour offrir la meilleure solution de gestion financière aux TPE-PME et aux cabinets d’expertise-comptable

La Rédaction
Le Courrier Financier

Cette acquisition permet à Qonto de renforcer ses outils financiers destinés aux PME, d'introduire une offre spécifiquement conçue pour les cabinets d'expertise-comptable et illustre son ambition de devenir la solution de gestion financière de référence pour un million de PME et d'indépendants d'ici fin de 2025.

Une solution de gestion financière renforcée pour les PME européennes

Créée en 2020 et établie à Paris, Regate a développé une plateforme d'automatisation comptable et financière déjà utilisée par 10 000 TPE-PME et 500 cabinets d’expertise-comptable. En unissant leurs forces, Qonto et Regate vont créer l'offre la plus complète du marché à destination des TPE-PME et des cabinets d'expertise-comptable. Plus de 450 000 entreprises recourent déjà à Qonto pour simplifier la gestion de leurs finances, grâce à un compte professionnel en ligne complété par à des outils de gestion financière avancés. L'ajout de Regate à l'écosystème de Qonto apportera des fonctionnalités d’automatisation supplémentaires pour la gestion des comptes fournisseurs et clients, ainsi que pour la pré-comptabilité, garantissant un échange de données efficace et intégré entre les TPE-PME et leurs cabinets d’expertise-comptable.


Une offre dédiée à destination des cabinets d’expertise-comptable

L'intégration du produit et de l'équipe de Regate, permettra à Qonto de proposer une offre spécifique pour les cabinets d'expertise-comptable. Ces derniers bénéficieront d'une interface partagée avec leurs clients, depuis laquelle ils pourront en quelques instants générer leurs écritures comptables. Le tout de manière automatisée, en tirant le meilleur parti de leur outil de production historique tel que
Sage, Cegid ou ACD, leaders du marché européen.

Aujourd'hui, en France, 6 000 cabinets d'expertise-comptable utilisent déjà Qonto économisant jusqu’à deux heures par mois par client géré. Qonto aspire à faciliter encore davantage les échanges entre les PME et les cabinets d'expertise-comptable, notamment lors de l'étape cruciale de la création d'entreprise.

Dans cette optique, Qonto lancera d’ici fin mars 2024 une nouvelle fonctionnalité permettant aux cabinets d'expertise-comptable d’initier le processus de dépôt de capital au nom de leurs clients, rendant la création d’entreprise possible en moins d’une semaine.

La création d’un nouveau département dédié aux cabinets d’expertise-comptable au sein de Qonto L’équipe de Regate, forte de plus de 100 collaborateurs, rejoindra les 1 400 Qontoers pour former un nouveau département dédié aux services financiers à destination des cabinets d’expertise-comptable.

Alexis Renard et Laura Pallier, co-fondateurs de Regate, prendront la tête de ce nouveau département, respectivement en tant que Directeur Général et Directrice Produit.
Qonto a déjà démontré sa capacité à intégrer avec succès de nouvelles acquisitions, comme en témoigne le rachat de Penta, champion allemand de la fintech, en juillet 2022, dont l'intégration a été finalisée fin 2023.

Avec l'acquisition de Regate, Qonto confirme sa position de leader dans la consolidation de la fintech
européenne.

« Ce rapprochement avec Regate nous permet de proposer aux PME et aux cabinets d’expertisecomptable la solution de gestion financière la plus aboutie du marché. Cela va non seulement accélérer notre croissance, mais aussi renforcer significativement notre position de leader sur un marché hautement concurrentiel. Grâce à notre nouvelle offre spécifique, incluant les partenariats existants entre Regate et des acteurs leaders du secteur tels que Sage ou Cegid, nous sommes désormais équipés pour répondre aux besoins des cabinets d’expertise-comptable et devenir un partenaire privilégié pour eux et leurs clients », explique Alexandre Prot, CEO et cofondateur de Qonto. « Nous avons hâte d’accueillir les équipes de Regate – et au vu de leur parcours impressionnant et de leurs ambitions, je suis convaincu de leur très bonne intégration parmi nos 1 400 Qontoers. »

« Nous sommes très enthousiastes à l’idée de rejoindre Qonto et de contribuer ensemble à l'émergence d'un champion européen de la fintech. Je suis convaincue que nous avons un grand rôle à jouer, non seulement à travers le développement de l’offre produit, mais aussi en apportant notre expertise et notre expérience dans les domaines comptables et financiers - une situation gagnante tant pour nos clients que pour ceux de Qonto ! », déclare Laura Pallier, cofondatrice de Regate.

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Cours de l’or : nouveaux records historiques !

La Rédaction
Le Courrier Financier

Ce qu’il faut retenir du mois écoulé


• Nouveaux records à 1931 euros et 2098 dollars en clôture du 4 mars
• Performance 2024 : +4.2% en euros
• La perspective de baisse des taux dope le cours du le métal jaune
• Une demande chinoise robuste
• Géopolitique : enracinement et élargissement des crises


Nouveaux recordsEn ce début de mois de mars, le cours de l’or vient d’établir un nouveau record historique. Le 4 mars, au fixing du soir de Londres, Il a atteint un niveau de 1931.67 euros l’once. Après un mois de février à
l’équilibre, le métal jaune s’apprécie donc de 2.5% en mars.

Au matin du 5 mars, le cours continue même sa hausse et avoisine 1950 euros, soit une progression supplémentaire de 1% environ. A l’heure d’écrire ces lignes, le métal jaune s’apprécie de 4.2% depuis le début de l’année. A titre de comparaison, le CAC 40 s’apprécie de 5.6% depuis le début de l’année.

La photo est similaire pour le cours en dollar, avec une clôture à Londres le 4 mars au plus haut historique (2098 dollars) et une reprise le 5 mars dans le vert avec un cours de 2117 dollars.

Ces records dépassent les pics établis durant les précédentes crises, en 2020 pendant l’épidémie du Covid, en février/mars 2022 lors de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, et fin 2023 alors que le conflit entre Israël et le Hezbollah s’enclenchait.
Pour aller plus loin : Comment est fixé le cours de l’or ?

La perspective de baisse des taux américains booste le métal jaune

L’économie américaine accumule les mauvaise nouvelles ces derniers jours : commandes de biens durables en recul de 6%, confiance des ménages en net repli, inscriptions chômage plus élevées qu’attendues, indice de confiance des directeurs d’achats en berne, etc. Il n’en fallait pas plus pour raviver les attentes d’une baisse des taux directeurs américains. Le marché estime qu’il y a maintenant 4 chances sur 5 que la réserve fédérale abaisse ses taux en juin.
Le cours de l’or est dopé par cette perspective, puisqu’il a tendance à s’apprécier en période d’assouplissement monétaire et de baisse des taux d’intérêt réels. L’histoire récente le confirme : lors des 3 dernières cycles, après la première baisse des taux directeurs (2001, 2007, et 2019), le métal jaune s’est significativement apprécié.

Si beaucoup d’analystes s’attendaient à de nouveaux records en 2024, ils étaient plutôt anticipés pour la seconde moitié de l’année. Le fait que les records soient atteints maintenant, sur de simples anticipations et non après les premières baisses effectives, laisse penser que le cours pourrait aller beaucoup plus haut. Pour mémoire c’est le scénario de JP Morgan, qui anticipe un cours à 2300 dollars début 2025.

Il convient néanmoins de rester prudent à court terme sur ces anticipations de baisse de taux. Lors de son audition prochaine au congrès (6 mars), Jerome Powell devrait réaffirmer sa volonté de maintenir une politique monétaire plus restrictive. Des chiffres économiques meilleurs que prévus, notamment au niveau de l’emploi, pourraient également tempérer l’optimisme du marché.


Une demande chinoise robuste

Selon le World Gold Council, la demande d'or en Chine a atteint un niveau record en janvier, principalement due au réapprovisionnement avant le Nouvel An chinois (festivités entre le 10 et 17 février). Cet événement crucial semble avoir tenu ses promesses : les chiffres préliminaires du ministère du Commerce indiquent que les ventes d’or et de bijoux liées au nouvel an sont en hausse de 24% par rapport à l’an dernier. Parmi les explications de la demande soutenue, la popularité de l’année du dragon, assimilée à la prospérité et au succès.

Malgré le rebond de la bourse chinoise en février, l’or valeur refuge continue d’attirer sur fond de ralentissement économique, de volatilité des marchés, et de fragilité du marché immobilier. Les ETF or chinois ont connu des entrées significatives, atteignant un niveau record de gestion d'actifs (plus de 4 milliards de dollars).

Enfin, la Banque Populaire de Chine a continué ses achats d'or pour le 15ème mois consécutif, augmentant ainsi ses réserves de 10 tonnes.


Géopolitique : enracinement et élargissement des crises.

La confrontation OTAN- Russie s’enracine. En janvier, l’opération Steadfast Defender a été lancé par l’alliance atlantique. Il s’agit du plus grand exercice militaire occidental organisé sur le sol européen depuis la fin de la guerre froide. L’ambition, clairement affichée et exprimée est de se préparer à un conflit avec la Russie. Des exercices qui font écho aux propos de haut gradés européens.

La Russie continue à affirmer sa souveraineté sur la région arctique, soulignant l'importance pour les États arctiques comme le Canada de se préparer aux défis économiques et territoriaux dans cette zone stratégiquement significative. Fin février, des élus séparatistes de Transnistrie ont demandé la protection de la Russie face aux « pression » que subiraient les russophones de ce territoire situé en Moldavie, limitrophe de l’Ukraine.

Un appel qui ressemble à celui des populations du Donbass avant l’invasion russe en Ukraine. Parallèlement, la Chine étend son influence dans l'océan Indien, comme en témoigne un scandale impliquant un prétendu 'navire de recherche' chinois détecté près des exercices militaires Inde-Maldives-Sri Lanka, montrant l'empreinte militaire et diplomatique croissante de la Chine dans la région.

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Entreprises : BFT IM obtient le label « Relance » pour son fonds BFT Euro Futur ESG

La Rédaction
Le Courrier Financier

BFT Investment Managers (BFT IM) — société de gestion pour le compte de clients institutionnels et distributeurs, filiale d’Amundi — annonce ce lundi 16 novembre avoir obtenu la labellisation « Relance » de son fonds « BFT Euro Futur ESG ». Il s'agit de son second fonds labellisé après l’obtention du label Relance par « BFT France Futur ».

Redonner du sens à l'épargne

Ce label de place s’inscrit dans le cadre du Plan de Relance gouvernemental publié le 3 septembre dernier — et qui vise à renforcer le potentiel de financement des entreprises françaises, en ciblant notamment les plus petites d’entre elles. Ce plan s’articule autour de trois priorités : transition écologique, compétitivité des entreprises et cohésion sociale et territoriale. Il comprend 70 mesures avec un budget de 100 Mds€ sur deux ans.

« Redonner un sens à l’épargne en proposant une solution d’investissement au cœur du financement responsable des entreprises en France et également en zone Euro fait partie de notre ADN », déclare Gilles Guez, directeur général de BFT IM. « Les entreprises intégrant les enjeux ESG dans leur stratégie offrent de meilleures perspectives à long terme tout en réduisant les risques auxquels ils sont exposés », ajoute Julien Bonnin, gérant du fonds.

30 % d'entreprises françaises

Le fonds « BFT Euro Futur ESG » de BFT IM est géré de manière active. Il est investi dans des entreprises françaises et de la zone euro de toute capitalisation, notamment :

  • le segment des petites capitalisations : il permet de sélectionner des sociétés dynamiques, qui offrent des potentiels attractifs sur des niches d’activité que la société de gestion juge porteuses ;
  • le segment des moyennes capitalisations : il comprend les entreprises souvent déjà leaders sur leur marché, qui cherchent à développer leur expertise à l’international ou sur des marchés connexes.

Les entreprises françaises représentent plus de 30 % des investissements du fonds, avec plus de 10 % sur les entreprises de petites capitalisations. Le fonds « BFT Euro Futur ESG » s’inscrit dans la démarche du label Relance, par exemple avec un investissement dans une entreprise spécialisée dans les équipements de production d’hydrogène « vert ». Il est aussi actionnaire d’une entreprise française spécialisée dans l’accompagnement et les soins aux personnes âgées, répondant ainsi au défi de la cohésion sociale.

Intégration des critères ESG

L’objectif est aussi de favoriser l’émergence de fleurons nationaux: c’est le cas en étant actionnaire d’une entreprise française qui conçoit, fabrique et commercialise des produits aromatiques. L’équipe de gestion intègre des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans son choix de valeurs, en même temps que les critères proprement financiers. La démarche « durable » de la société de gestion comporte 3 piliers :

  • l’exclusion des entreprises qui, selon la société de gestion, ne respectent pas la démarche de progrès — exclusion des entreprises qui appartiennent au secteur du tabac, qui sont impliquées dans la production ou la distribution de mines antipersonnel et des bombes à sous-munitions, etc. ;
  • la prise en compte de risques potentiels au travers d’indicateurs de controverses ;
  • et enfin l’intégration systématique de critères ESG selon une approche  « Best-in-class », qui consiste à sélectionner les entreprises les mieux notées selon les critères extra financiers ESG, dans leur secteur d'activité, avec l’engagement d’une note moyenne du portefeuille supérieure à son indice de référence après élimination de 20 % des valeurs les moins bien notées.

BFT IM souhaite également s’inscrire dans une démarche de réduction significative de l'empreinte carbone de ses fonds par rapport à leur univers d'investissement. A ce titre, BFT Euro Futur ESG diminuera de 30 % minimum ses émissions carbones (en tonnes de CO2 par million d’euros investis) par rapport à son univers d’investissement.

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Label Relance : Amundi l’obtient pour son programme Private Equity Mégatendances II

La Rédaction
Le Courrier Financier

Amundi — spécialiste européen de la gestion d’actifs — annonce ce jeudi 12 novembre l’obtention du label Relance pour les trois fonds de son programme d’investissement « Amundi Private Equity Megatendances II », géré par Amundi Private Equity Fund (PEF). Ce label vise à aider les investisseurs à identifier les fonds d’investissement dont la vocation est d’accompagner le développement des PME et ETI françaises et de contribuer ainsi activement à la relance de l’économie réelle.

« Avec le programme d’investissement « Amundi Private Equity Mégatendances II », nous avons voulu mettre à la disposition des investisseurs une solution permettant d’investir dans les plus belles entreprises non cotées de nos territoires qui sont les fleurons de notre économie. Nous sommes très fiers que nos 3 fonds du programme soient reconnus comme participants pleinement à l’effort de relance de l’économie », Stanislas Cuny, Directeur Général Délégué de Amundi PEF.

Investir dans les PME-ETI

Fort du succès de son premier programme d’investissement « Amundi Private Equity Mégatendances I », Amundi PEF lance son deuxième programme d’investissement à destination des particuliers et institutionnels : « Amundi Private Equity Mégatendances II ».

Il investit dans des PME ou ETI françaises principalement non cotées bénéficiant d’une ou plusieurs des 5 grandes tendances mondiales :  la technologie, la démographie, la globalisation, l’environnement et les évolutions sociétales. Le programme s’inscrit dans le plan de relance qui s’articule autour de trois priorités : la transition écologique, la compétitivité des entreprises et la cohésion sociale et territoriale.

Favoriser les critères ESG

Amundi PEF a signé la Charte du label « Relance », créé par le Gouvernement le 19 octobre 2020. Le gérant continuera d’investir dans les fonds propres et quasi-fonds propres des entreprises françaises et en particulier des PME et ETI. Signataire des Principes de l’investissement socialement responsable, Amundi PEF applique également les critères extra financiers environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG).

Les fonds labellisés doivent respecter la Charte du label, dont la bonne application est assurée par la direction générale du Trésor. Parmi les fonds d’Amundi, plusieurs ont reçu le label Relance :

  • Amundi Finance & Solidarité ;
  • BFT France Futur ;
  • CPR Ambition France ;
  • FCPR Amundi Private Equity Mégatendances II ;
  • FCPR Mégatendances II ;
  • FPCI Amundi Private Equity Mégatendances II.
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