Etats-Unis : pourquoi garder un œil sur le revenu national

Christian Scherrmann
DWS
Aux Etats-Unis, les chiffres relatifs aux bénéfices des sociétés — utilisés dans les statistiques sur le revenu national américain — donnent à penser que la qualité des bénéfices pourrait avoir baissé. Dans ces conditions, comment interpréter les indicateurs du marché actions ? Les investisseurs doivent-ils s'attendre malgré tout à une récession ? Christian Scherrmann, économiste chez DWS, partage son analyse.
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Marchés financiers : ce ne sont pas les bénéfices trimestriels qui les portent

Thomas Bucher
DWS
Au terme de la saison des résultats des entreprises, les investisseurs constatent de fortes fluctuations sur les marchés financiers. Y a-t-il cette année une relation de cause à effet ? L'optimisme des marchés influence et maintient le cours des actions. Cette projection est-elle justifiée ? Thomas Bucher, stratège actions chez DWS, partage son analyse.
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LIVRE / Produits structurés, « gagner en bourse avec des risques limités »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Comment préserver son patrimoine financier face à la baisse des fonds euros ? Quels sont les éléments essentiels à prendre en compte pour analyser un produit structuré ? Quelle stratégie adopter sur des marchés de plus en plus volatils ? Début octobre, Régis Bryman et Jean-François Fliti publient aux éditions Eyrolles le livre « L'art de gagner en bourse avec des risques limités : les produits structurés ». Le Courrier Financier vous propose une fiche de lecture.
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Marchés actions : Les 4 risques du Brésil

Michel Audeban
Taux d’intérêts, BRL, révision à la baisse des bénéfices, éléctions... Quels sont les principaux risques au Brésil ?
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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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Une grande vigueur règne du côté des sociétés

Bernard Aybran
Les investisseurs américains avaient pu l’oublier au cours des derniers trimestres : les marchés ne montent pas en permanence, de manière linéaire. Le mois de février leur a donné un petit rappel de la notion de volatilité, et d’imprévisibilité : si le salaire horaire médian, la statistique qui a déclenché la correction de février, n’est généralement que peu observé, il a donné l’occasion aux craintes inflationnistes de se cristalliser, le tout sur un fond de très belle santé financière des entreprises cotées partout dans le monde.
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Réforme fiscale américaine : Donald, un ami qui vous veut du bien

Roxane Nojac
Le Courrier Financier
Un cadeau au goût doux-amer ? La réécriture des règles fiscales s'appliquant aux sociétés américaines aura permis à Berkshire Hathaway, la holding de Warren Buffet, de réaliser une plus-value de 29 milliards de dollars en 2017. Mais le milliardaire fait la fine bouche. Il refuse de s'attribuer les mérites de ces performances, et regrette qu'elles soient surtout le fruit des largesses du Congrès.

Ayant toujours estimé que la baisse d'impôt sur les entreprises, de 35 à 21%, était excessive, le magnat américain serait par ailleurs en panne d'opportunités d'investissement. Les 29 milliards de bonus vont en effet rejoindre, sur l'étagère de l'oracle d'Omaha, les 116 milliards de dollars qui constituent le trésor de guerre de Berkshire. Celui qui refuse de gâter ses actionnaires va devoir prendre des décisions, entre rachat d'actions et nouveaux investissements.
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Actions américaines ou européennes, lesquelles privilégier dans une poche actions ?

Clément Inbona
LFDE
La correction que les marchés viennent de subir a focalisé l’attention des investisseurs sur deux thèmes, l’un fondamental ; l’inflation et l’autre plus technique ; la volatilité en tant qu’actif à part entière.
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Politiques étrangères, inflation, bénéfices des entreprises : les leçons de 2017

Luca Paolini
Pictet AM
Les bénéfices des entreprises peuvent parfois dépasser les attentes et les banques centrales n'appliquent pas toujours ce qu'elles préconisent.
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La SCPI Pierre Expansion Santé cède un actif parisien

La Rédaction
Le Courrier Financier

Au terme d’une consultation restreinte, PIERRE EXPANSION SANTÉ a cédé un hôtel particulier d’environ 1 000 m² et ses dépendances, anciennement à usage de maison de retraite, au groupe DELTA IM, dans le cadre d’un projet de réaménagement en établissement d'enseignement.

Cette cession permet à la SCPI de dégager une plus-value conséquente sur un actif détenu depuis 1996, et à l’acquéreur d’associer un bâtiment historique à un programme neuf en cours de construction sur une parcelle contiguë.

Le site est intégralement pré-loué à un prestigieux établissement d’enseignement italien dans le cadre d’un bail de longue durée.

La SCPI PIERRE EXPANSION SANTÉ était conseillée par les sociétés Flabeau et BNP Paribas Real Estate, ainsi que par l’Etude Michelez Notaires.

L’acquéreur était conseillé par l’étude Monceau Notaires.

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L’ANACOFI Finance d’Entreprise innove avec son Observatoire des Signaux Faibles

La Rédaction
Le Courrier Financier

La section s’est renforcée par la mise en place d’une Commission Finance d’Entreprise pilotée par Jean-Louis PICOLLO qui s’appuie sur le soutien du Président Confédéral David CHARLET.

Composé d’une dizaine de professionnels reconnus, qui rencontrent au total près de 500 chefs d’entreprise par an, elle se réuni tous les 4 mois et elle apporte aux adhérents une réflexion et une visibilité sur leurs métiers, sur les bonnes pratiques, sur les formations, et initie des contacts qui viennent ainsi enrichir notre écosystème.

Pour 2024, la section Finance d’Entreprise innove avec son OBSERVATOIRE des SIGNAUX FAIBLES.
Loin des prévisions aléatoires et des statistiques utopiques, cet OBSERVATOIRE basé sur nos remontées du terrain, a pour objectif de donner une information rapide et synthétique à nos adhérents et aux clients de nos adhérents sur des indices naissants pouvant influencer les prises de décisions des prochains mois.

Les membres de la Commission Finance d’Entreprise :

  • Fabienne GRETEAU- COFINGEST
  • Sébastien ROUZAIRE – KERIUS FINANCE
  • Ludovic SARDA – PYTHAS CAPITAL
  • Guy COHEN – INGÉNIERIE SOCIALE
  • Florent GUIGUE – EMERGEANCES
  • Nathalie DESSEAUX et Franck MAGNE – EAVEST
  • Julien DRAY – UNCONFLICTED MANAGEMENT
  • Edouard SEGUIN – PIMENT & Co
  • Jean-Louis PICOLLO – RESOLVYS
    Invités : David GANDAR et Nébojsa SRECKOVIC.
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Quand la logique de la neutralité de la fiscalité s’impose !

Olivier Rozenfeld
Le Conseil d’Etat (08/11/2017, n°399764) consacre le droit de l’usufruitier de parts sociales à la déduction des déficits fonciers. Et nous trouvons cela extrêmement logique ! Rappelons-nous que la doctrine de l’administration fiscale, et ce depuis 1999, prévoit la taxation des revenus courants entre les mains de l’usufruitier de parts sociales semi-transparentes et la déduction des déficits entre les mains du nu-propriétaire.
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Les actions américaines soutenues par les bénéfices des entreprises

Stefan Kreuzkamp

À chaque fois que les marchés actions atteignent de nouveaux records, les questions autour de la soutenabilité des marchés haussiers (« bull ») réapparaissent. Jusqu’où peuvent aller les cours des actions ? Quel retour sur investissement de long terme les investisseurs en actions peuvent-ils attendre ?

Aujourd’hui, le graphique de la semaine met en avant le lien entre les profits des entreprises américaines et les cours des actions américaines. En prenant comme référence l’année 1945, les bénéfices après impôts des entreprises américaines ont progressé de 7,5% en rythme annuel (nous nous basons sur les données des statistiques des flux de la Fed, en particulier pour éviter les débats sur l’impact des rachats d’actions sur les bénéfices par action). Sur la même période, les actions représentées dans le graphique par l’indice S&P 500 ont progressé de 7,3%. Un gain quasi-similaire en fait. Cela ne devrait pas cependant pas ressortir comme une grande surprise : après tout, acheter une action signifie acquérir une part des profits futurs de l’entreprise.

Un regard plus affiné de notre graphique de la semaine révèle également qu’il existe des périodes où les cours des actions se détachent et progressent plus rapidement que les profits des entreprises, comme ce fut le cas, par exemple, en 2000. Ces périodes, que l’ancien patron de la Fed Alan Greenspan a qualifiées « d’exubérance irrationnelle » ont tendance à se terminer dans les larmes. Aujourd’hui, les marchés actions ont également progressé à un niveau supérieur aux cours équivalents, en moyenne historique, au niveau des profits réalisés par les entreprises, mais à la marge seulement. Par conséquent, aussi longtemps que les bénéfices des entreprises continueront d’augmenter, nous nous en tiendrons à cette approche constructive appliquée aux marchés actions. Bien sûr, cela ne signifie pas que quelqu’un pourrait, ou devrait, extrapoler les mouvements passés de taux de croissance des bénéfices dans le futur. Actuellement, les cours des actions à Wall Street semblent cependant bien soutenus par les profits des entreprises américaines.

 
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