Assurance emprunteur : Cafpi et Magnolia.fr signent un partenariat stratégique

La Rédaction
Le Courrier Financier

CAFPI et Magnolia.fr — spécialistes du crédit immobilier et de l’assurance de prêt — annoncent ce lundi 21 mars leur partenariat. Objectif, proposer à tous les clients emprunteurs de CAFPI, dès le 1er août 2022, « les meilleures offres en assurance de prêt immobilier ». Cette alliance s’inscrit dans l'ouverture du marché de l’assurance emprunteur, avec la promulgation de la loi Lemoine. Ce dispositif permettra aux nouveaux emprunteurs, dès le 1er juin prochain, de changer à tout moment d’assurance emprunteur. 

Ce partenariat de deux spécialistes du courtage de crédit et de l’assurance de prêt permet aux clients d'accéder à un service en assurance de prêt sur l’outil digital « SimulAssur », développé par Magnolia.fr. Il sera mis à disposition des entrepreneurs-courtiers de CAFPI afin de conseiller leurs clients. « CAFPI a de très fortes ambitions en crédit immobilier et en assurance-emprunteur, ce partenariat avec Magnolia s’inscrit donc dans la droite ligne de nos ambitions pour 2022 et les années à venir » souligne Olivier Lendrevie, président de CAFPI.

Contexte de concurrence accrue

« Le Groupe Magnolia.fr est très heureux de nouer ce partenariat avec CAFPI. Notre MarketPlace full digital mis à disposition du plus important courtier en crédits immobiliers Français est le moyen d’offrir à tous les emprunteurs le meilleur contrat en assurance de prêt. Avec une expérience utilisateur ultra qualitative et optimisée, CAFPI apportera à ses emprunteurs un service client optimisé aussi bien sur le plan tarifaire qu’au niveau des garanties », explique Gérald Loobuyck, Président Fondateur du groupe Magnolia.fr.

La promulgation récente de la loi Lemoine permet une ouverture à la concurrence accrue sur le marché de l’assurance-emprunteur. « Compte tenu des taux bas et de l’accélération prochaine de la concurrence sur le marché de l’assurance prêt immobilier, l’association du savoir-faire de nos entrepreneurs-courtiers et de Magnolia.fr paraît pertinente pour transformer ce marché », conclut Olivier Lendrevie, président de CAFPI.

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Assurance emprunteur : Eloa intègre Assuréa à travers une API

La Rédaction
Le Courrier Financier

Eloa — plateforme de financement — annonce ce lundi 1er mars la signature d'un partenariat avec Assuréa, le comparateur d’assurance emprunteur. Objectif, intégrer à travers une API de nouveaux produits d’ADE au sein de sa plateforme eCrédits. Après un premier partenariat avec le courtier grossiste April, Eloa enrichit son offre d’assurance de prêt avec Assuréa.

Assuréa dispose d’une offre complète de contrats d’assurance emprunteur. Grâce à son architecture ouverte, Eloa propose à ses clients courtiers un choix de produits d’ADE. Ce partenariat s’articule autour d’une connexion API entre eCrédits et Assuréa. Objectif, faciliter la distribution d’un contrat d’assurance emprunteur. Les caractéristiques de l’assurance sont déterminées à partir des données de prêt immobilier récoltées par le courtier sur eCrédits.

Enrichissement automatisé des données

La passerelle enrichit automatiquement des données : un clic suffit au professionnel pour générer les différentes offres d’assurance emprunteur Assuréa, personnalisées selon le profil de l’emprunteur et son projet. eCrédits détermine automatiquement le contrat pour le client. Les caractéristiques (taux, quotité, type de remboursement, etc.) sont instantanément intégrées dans la simulation de prêt immobilier, afin d'éviter la double saisie.

Enfin, le courtier finalise la souscription du contrat directement depuis l’extranet Assuréa ou à travers la fonctionnalité « Digital Autonome » directement depuis eCrédits. Avec ce nouveau partenariat, courtiers et emprunteurs bénéficient d’une expérience fluidifiée permise par un parcours entièrement digitalisé qui facilite l’adhésion au contrat d’assurance emprunteur.

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agéa annonce une nomination au Conseil d’Administration de la CNAM

La Rédaction
Le Courrier Financier

agéa — Fédération nationale des agents d’assurance — a annoncé le 22 février dernier la nomination de Ouidad Loncelle au Conseil d’administration de la CNAM (Caisse Nationale d’Assurance Maladie) au titre de l’U2P, Union des entreprises de proximité, à laquelle adhère l'UNAPL, Union Nationale des Professions Libérales. « Les compétences de Ouidad Loncelle en matière d’assurance et de prévoyance santé lui permettront sans nul doute de porter la voie des chefs d’entreprises dans l’enceinte de la CNAM », réagit Pascal Chapelon, Président d’agéa.

« Au sein de cette instance, je suis heureuse de représenter l’U2P, qui est le porte-voix de 2,8 millions de TPE-PME dans les secteurs de l’artisanat, du commerce de proximité et des professions libérales (dont les agents généraux) soit les deux-tiers des entreprises françaises. Elle constitue ainsi la première force patronale du pays », déclare Ouidad Loncelle.

Focus sur le parcours de Ouidad Loncelle

Titulaire d’un DUT en gestion des entreprises, Ouidad Loncelle est diplômée de l’IAE de Toulouse et du DSCG. Ayant eu une première carrière dans l’aéronautique de 2002 à 2014, elle occupe le poste de Chargée d’affaires chez Recaero SA (2002 à 2005), puis Responsable Logistique Aéronautique chez Figeac Aero (2005 -2008). Elle occupe ensuite les fonctions de Responsable de Production chez Atmeva (2008 à 2010).

Ouidad Loncelle devient Responsable des programmes aéronautiques chez Frégate Aéro (2010 à 2014), avant d’embrasser la profession d’Agent Général d’Assurance AXA depuis novembre 2014. Agent général AXA depuis novembre 2014, Ouidad Loncelle est Administratrice et membre du Bureau du Réseau Entreprendre Drôme Ardèche depuis juin 2018. Elle occupe par ailleurs le poste de Trésorière de Réussir - l’Union Professionnelle des agents généraux AXA.

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Risque climatique : la réforme de l’assurance récolte est adoptée par le Parlement

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le Gouvernement annonce ce jeudi 24 février que le projet de loi portant réforme des outils de gestion des risques climatiques en agriculture a été adopté par le Parlement, après un vote à une large majorité à l’Assemblée nationale puis au Sénat. Cette réforme historique portée par Bruno Le Maire, ministre de l’Economie, des Finances et de la Relance, et Julien Denormandie, ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, revoit en profondeur le système actuel pour mieux protéger tous les agriculteurs face aux aléas climatiques.

Couvrir les risques climatiques

Annoncée par le Président de la République, le 10 septembre dernier, la réforme de l’assurance récolte est née du constat d’une inefficacité du système actuel dans l’indemnisation des agriculteurs touchés par les aléas climatiques. Alors que ces aléas présentent une véritable menace pour la vie d’une exploitation, et donc pour la pérennité de notre modèle agricole, une réforme était essentielle. Cette réforme a pu être conçue grâce aux travaux menés lors du Varenne agricole de l’eau et de l’adaptation au changement climatique par le député Frédéric Descrozaille, puis, ces derniers mois, au Parlement.

Le projet de loi adopté établit une couverture universelle contre les risques climatiques accessible à tous les agriculteurs. A cette fin, il institue un dispositif de couverture des risques climatiques à trois étages, prévoyant une absorption des risques de faible intensité à l’échelle individuelle de l’exploitation agricole, une mutualisation entre les territoires et les filières des risques d’intensité moyenne, par le biais de l’assurance multirisque climatique dont les primes feront l’objet d’une subvention publique, et une garantie directe de l’Etat contre les risques dits catastrophiques.

Quatre principes fondamentaux

Ainsi, cette réforme du régime de l’assurance récolte repose-t-elle sur quatre principes fondamentaux :

  • une plus grande solidarité, avec une solidarité nationale accrue permettant d’atteindre un financement de 600 millions d’euros par an du dispositif (contre 300 millions d’euros aujourd’hui) ;
  • une universalité, en prévoyant une couverture des risques dits « catastrophiques » ouverte à tous les agriculteurs, quelle que soit leur filière ;
  • une meilleure lisibilité, avec une répartition des risques claire entre agriculteurs, assureurs et Etat ;
  • une plus grande rapidité, permettant une indemnisation accélérée — le système actuel pouvant conduire l’indemnisation à être versée avec jusqu’à deux ans de décalage ;

Ce texte, qui fixe les fondations de ce nouveau régime de couverture des risques climatiques en agriculture, sera promulgué dans les prochains jours. Un travail de concertation avec l’ensemble des parties prenantes se poursuivra afin de préparer les dispositions réglementaires et une ordonnance permettant de définir les modalités pratiques de mise en œuvre de la réforme. Ce nouveau régime de couverture devra être pleinement opérationnel en 2023 — soit l’année d’entrée en vigueur de la nouvelle programmation de la PAC, comme l’avait annoncé le Président de la République.

Système opérationnel dès 2023

« Nous menons, avec ce projet de loi, une réforme systémique de l’assurance récolte qui permettra de protéger chacune de nos exploitations agricoles. A partir de 2023, tous les agriculteurs pourront avoir accès à une couverture universelle, fondée sur la solidarité nationale, pour couvrir les risques les plus graves. En parallèle, un accès plus simple à l’assurance privée permettra de se protéger des autres risques. C’est un travail partenarial mené avec les fédérations professionnelles de l’agriculture, les assureurs et les parlementaires qui permet aujourd’hui d’aboutir à cette réforme historique », déclare Bruno Le Maire, ministre de l’économie, des finances et de la relance.

« L’adoption de la réforme de l’assurance récolte marque un véritable tournant dans nos politiques agricoles. La solidarité nationale vient se porter garante de la pérennité de nos productions agricoles dans un contexte d’accélération et d’intensification des épisodes climatiques exceptionnels. Cette réforme vient donc créer une véritable ceinture de sécurité pour tous les agriculteurs : en cas d’aléas exceptionnels la solidarité nationale indemnisera leurs pertes. Je tiens à saluer tout le travail mené avec les parlementaires permettant d’aboutir à une réforme structurelle, attendue et efficace. Désormais, le travail réglementaire doit s’ouvrir pour permettre la pleine opérationnalité du système dès 2023, comme annoncé par le Président de la République », déclare Julien Denormandie, ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation.

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La SCPI Pierre Expansion Santé cède un actif parisien

La Rédaction
Le Courrier Financier

Au terme d’une consultation restreinte, PIERRE EXPANSION SANTÉ a cédé un hôtel particulier d’environ 1 000 m² et ses dépendances, anciennement à usage de maison de retraite, au groupe DELTA IM, dans le cadre d’un projet de réaménagement en établissement d'enseignement.

Cette cession permet à la SCPI de dégager une plus-value conséquente sur un actif détenu depuis 1996, et à l’acquéreur d’associer un bâtiment historique à un programme neuf en cours de construction sur une parcelle contiguë.

Le site est intégralement pré-loué à un prestigieux établissement d’enseignement italien dans le cadre d’un bail de longue durée.

La SCPI PIERRE EXPANSION SANTÉ était conseillée par les sociétés Flabeau et BNP Paribas Real Estate, ainsi que par l’Etude Michelez Notaires.

L’acquéreur était conseillé par l’étude Monceau Notaires.

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L’ANACOFI Finance d’Entreprise innove avec son Observatoire des Signaux Faibles

La Rédaction
Le Courrier Financier

La section s’est renforcée par la mise en place d’une Commission Finance d’Entreprise pilotée par Jean-Louis PICOLLO qui s’appuie sur le soutien du Président Confédéral David CHARLET.

Composé d’une dizaine de professionnels reconnus, qui rencontrent au total près de 500 chefs d’entreprise par an, elle se réuni tous les 4 mois et elle apporte aux adhérents une réflexion et une visibilité sur leurs métiers, sur les bonnes pratiques, sur les formations, et initie des contacts qui viennent ainsi enrichir notre écosystème.

Pour 2024, la section Finance d’Entreprise innove avec son OBSERVATOIRE des SIGNAUX FAIBLES.
Loin des prévisions aléatoires et des statistiques utopiques, cet OBSERVATOIRE basé sur nos remontées du terrain, a pour objectif de donner une information rapide et synthétique à nos adhérents et aux clients de nos adhérents sur des indices naissants pouvant influencer les prises de décisions des prochains mois.

Les membres de la Commission Finance d’Entreprise :

  • Fabienne GRETEAU- COFINGEST
  • Sébastien ROUZAIRE – KERIUS FINANCE
  • Ludovic SARDA – PYTHAS CAPITAL
  • Guy COHEN – INGÉNIERIE SOCIALE
  • Florent GUIGUE – EMERGEANCES
  • Nathalie DESSEAUX et Franck MAGNE – EAVEST
  • Julien DRAY – UNCONFLICTED MANAGEMENT
  • Edouard SEGUIN – PIMENT & Co
  • Jean-Louis PICOLLO – RESOLVYS
    Invités : David GANDAR et Nébojsa SRECKOVIC.
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Fidelity International recrute un responsable des solutions assurantielles pour l’Europe

La Rédaction
Le Courrier Financier

Fidelity International — société de gestion mondiale — annonce ce mardi 22 février la nomination d'une Responsable des Solutions Assurantielles pour l’Europe. Au sein de cette fonction nouvellement créée, Ghislain Perisse appuiera le développement des activités auprès des clients assureurs en Europe — avec les équipes commerciales institutionnelles et distribution. À moyen terme, Fidelity recrutera également un Responsable mondial de l'Assurance.

« Au cours des dernières années, nous avons développé l’activité assurantielle avec succès. Pour soutenir nos projets de croissance, une structure internationale nous permettra de gagner en efficacité. Nous sommes convaincus que Ghislain Perisse est la bonne personne pour mener à bien cette tâche. Il comprend parfaitement les exigences spécifiques des clients assureurs en Europe et sait comment y répondre au sein d'une équipe internationale », commente Christian Staub, Directeur Général Europe chez Fidelity International.

Focus sur le profil de Ghislain Perisse

Fidelity International recrute un responsable des solutions assurantielles pour l'Europe
Ghislain Perisse

Ghislain Perisse rejoint les bureaux parisiens de Fidelity après avoir occupé la fonction de Responsable de la Stratégie d’Assurance pour la région EMEA chez Schroders. Il a également occupé des postes chez AXA Investment Manager et Morgan Stanley. Ghislain Perisse apporte avec lui une vaste expérience dans tous les domaines de solutions d’assurance : à savoir l'assurance vie, non-vie et la réassurance.

« Les assureurs intègrent de plus en plus les enjeux de développement durable au sein de leur processus d'investissement, tout en transférant leurs allocations vers des actifs privés dans le but d’obtenir des rendements diversifiés plus élevés. Les besoins de ces clients évoluent, c'est pourquoi nous avons pris la décision d’accorder une attention accrue sur ce domaine afin de les servir efficacement (...) Ce qui profitera non seulement à nos clients assureurs, mais aussi à l'ensemble de nos clients institutionnels », ajoute Annika Milz, Co-responsable de l’Institutionnel Europe chez Fidelity International.

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Assurance : l’ACPR publie son rapport sur la gouvernance du risque de changement climatique

La Rédaction
Le Courrier Financier

L’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) annonce ce jeudi 17 février la publication de son premier rapport sur la gouvernance du risque de changement climatique dans le secteur de l’assurance.

Synthétiser les bonnes pratiques

Ce rapport, qui a mobilisé 21 groupes d’assurance et de réassurance et trois fédérations professionnelles, synthétise les bonnes pratiques adoptées par le secteur pour s’adapter aux risques associés au changement climatique. Il souligne les avancées réalisées depuis une première analyse conduite en 2019 et constitue une base de travail dans la démarche d’intégration des risques de changement climatique.

« L’intégration quasi systématique de cette thématique au sein de la stratégie des organismes et la place croissance qu’elle occupe, au sein des instances dirigeantes et des directions métiers, démontrent la forte mobilisation de la place autour de cet enjeu, même si beaucoup doit encore être accompli », commente Jean-Paul Faugère, Vice-Président de l’ACPR.

Quatre axes-clés de gestion du risque

Le rapport se concentre sur les risques liés à l’exposition des (ré)assureurs aux risques physiques, de transition et de responsabilité qui découlent du changement climatique. Il s’intéresse aux mesures prises par les organismes pour s’adapter aux risques climatiques et contribuer également à atténuer le changement climatique. La gestion du risque de changement climatique s’articule autour de quatre axes-clés :

  • le déploiement d’une véritable stratégie de long terme avec des étapes intermédiaires pour atteindre un engagement de neutralité carbone en 2050 ;
  • l’utilisation d’outils, de données ESG et d’indicateurs de suivi de qualité pour piloter l’activité ;
  • l’évolution de l’organisation interne pour offrir une place stratégique et transversale à la gestion du risque climatique ;
  • une mobilisation de l’expertise en matière de risque climatique des organismes pour sensibiliser leurs assurés et les entreprises dans lesquelles ils investissent.

Continuer d'améliorer les pratiques

Ce rapport est une première étape. Des progrès sont naturellement possibles, notamment sur la fiabilisation des données et l’utilisation de scénarios climatiques prospectifs comme ceux du NGFS, réseau des banques centrales et des superviseurs pour le verdissement du système financier, basé à Paris. L’ACPR poursuit ses travaux en 2022 avec une attention particulière portée aux aspects liés à la gestion du passif des assureurs.

« Le dialogue amorcé entre l’Autorité et la place permet de partager les meilleures pratiques et de mieux en appréhender les enjeux, collectivement. Cette démarche ouverte sera poursuivie afin d’approfondir ou d’élargir certains sujets et continuer d’avancer sur ce sujet fondamental », indique Dominique Laboureix, secrétaire général de l’ACPR.

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Assurance vie : la MIF dévoile son taux 2021 pour le fonds en euros

La Rédaction
Le Courrier Financier

La MIF — assureur vie mutualiste — présente ce mardi 18 janvier ses performances 2021. Le Conseil d’Administration de la MIF s’est prononcé sur la rémunération servie par la MIF au titre de 2021 sur le fonds en euros de l’ensemble de ses contrats d’assurance vie de type épargne, et de son nouveau plan d’épargne retraite individuel, « MIF PER Retraite » : + 1,70 %.

« Parmi les plus élevés du marché, le rendement MIF 2021 atteste tout à la fois de la qualité de notre gestion financière et de notre volonté de servir le plus justement nos sociétaires tout en préservant l’avenir. Il marque aussi cette année la prise en compte du contexte inflationniste actuel et le souci de chercher à en limiter les effets sur le pouvoir d’achat de l’épargne », déclare Olivier Sentis, Directeur général de la MIF.

Gestion sous mandat

Dans le même temps, la MIF a veillé à la stabilité de ses réserves afin de sécuriser les rendements futurs : la Provision pour Participation aux Excédents (PPE) est à nouveau renforcée pour représenter désormais 3,47 % des encours épargne. La gestion sous mandat, proposée au sein de son contrat phare, le Compte Épargne Libre Avenir Multisupport, et du nouveau contrat MIF PER Retraite, affiche également pour 2021 des performances qui se distinguent sur ses différents profils de gestion :    

  • Prudent (30 % d'UC) : + 4,10 % ;  
  • Équilibré (50 % d'UC) : + 6,07 % ;
  • Dynamique (70 % d'UC) : + 8,22 % ;
  • Offensif (90 % d'UC) : + 12,06 %.

« La qualité du rendement 2021 du fonds en euros MIF ne peut cependant s’exempter de l’environnement durable de taux bas où seule la diversification permet d’espérer des rendements meilleurs. Les performances de notre gestion sous mandat, plébiscitée par nos sociétaires, viennent ainsi témoigner des bénéfices de cette diversification sur les rendements, tout en tenant compte du profil de chaque épargnant et notamment de son appétence au
risque
», commente Olivier Sentis.

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Transformation numérique : l’ACPR publie son étude sur la banque et l’assurance en France

La Rédaction
Le Courrier Financier

L’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) publie ce vendredi 14 janvier les résultats de son étude sur la transformation numérique dans les secteurs français de la banque et de l’assurance. L’ACPR a interrogé 12 groupes ou organismes d’assurance et 8 groupes bancaires pour mesurer les transformations engagées. Objectif, adapter en conséquence ses propres missions et sa participation aux instances européennes et internationales.

Les deux enquêtes se sont appuyées sur les réponses fournies par les organismes sollicités à un questionnaire, d’une cinquantaine de questions ouvertes, complétées par des entretiens. Ces documents permettent de caractériser les stratégies des acteurs, leur perception du contexte concurrentiel et le rythme effectif de leur transformation. De quoi élargir la seule perspective de l’écosystème innovant (« fintech ») ou des acteurs numériques dominants (« bigtechs »).

[caption id="attachment_82617" align="aligncenter" width="365"]Transformation numérique : l’ACPR publie son étude sur la banque et l’assurance en France Source : ACPR[/caption]

L’IA, moteur de la transformation numérique

Dans le secteur de l’assurance, plus de 83 % des acteurs interrogés considèrent que l’Intelligence artificielle (IA) va profondément transformer leurs processus internes. Les assureurs ont concentré leurs efforts sur la numérisation de la relation client.

Ils intègrent progressivement les nouvelles technologies à l’ensemble la chaîne de valeur de l’assurance. Ils tirent par exemple profit des outils d’IA pour améliorer la modélisation des risques ou les processus d’indemnisation des sinistres.

Dans le secteur bancaire, tous les acteurs ayant répondu à l’enquête ont développé puis déployé des outils d’IA opérationnels qui contribuent à améliorer la relation client, la lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme ou à mieux identifier les risques.

D'autres technologies moins plébiscitées

Dans le secteur de l’assurance, les assureurs interrogés estiment l’impact des objets connectés sur leur activité à 1 ou 2 à court terme (sur une échelle de 1 à 5) mais à 4 à moyen-long terme : ils y voient un moyen d’améliorer la prévention et de réduire les risques. Dans le secteur de la banque, la technologie de registre distribué (blockchain) fait l’objet d’appréciations contrastées.

Tandis que 25 % des banques interrogées estiment cette technologie trop peu mature et les cas d’usage pertinents peu nombreux, près de 40 %, jugent, à l’inverse, que l’impact de la blockchain sur l’activité bancaire sera important, voire « disruptif ».

Ces banques anticipent un fort développement des usages et sont actives dans le domaine de l’exploration. Certaines ont ainsi participé aux expérimentations de la Banque de France sur la monnaie numérique de Banque centrale.

Développement avec l’écosystème innovant

Face à une recomposition du paysage concurrentiel, les acteurs historiques du secteur bancaire sont incités à renforcer l’usage des nouvelles technologies et à adopter de nouveaux modèles d’affaire intégrant les acteurs innovants, à travers des partenariats ou des acquisitions, dans l’optique de conserver la relation avec le client. Dans le secteur de l’assurance, les « assurtechs » sont davantage perçus comme des partenaires ou des concurrents de niche.

Double défi de la sécurité et de la modularité

La transformation numérique augmente l’exposition des deux secteurs à de nouveaux risques opérationnels, dont les risques cyber et de fraudes. Dans ce contexte, une des priorités des acteurs interrogés est de renforcer la résilience de leurs systèmes d’information, tout en améliorant leur modularité ainsi que leur interopérabilité, nécessaires au développement de nouvelles technologies.

Ces études, qui permettent de disposer d’une vision à jour des problématiques de la place française, dans un contexte européen marqué par la mise en œuvre de la feuille de route pour la finance numérique, sont publiées sur le site de l'ACPR sous le format « Analyses et Synthèses ».

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Qonto et Regate unissent leurs forces pour offrir la meilleure solution de gestion financière aux TPE-PME et aux cabinets d’expertise-comptable

La Rédaction
Le Courrier Financier

Cette acquisition permet à Qonto de renforcer ses outils financiers destinés aux PME, d'introduire une offre spécifiquement conçue pour les cabinets d'expertise-comptable et illustre son ambition de devenir la solution de gestion financière de référence pour un million de PME et d'indépendants d'ici fin de 2025.

Une solution de gestion financière renforcée pour les PME européennes

Créée en 2020 et établie à Paris, Regate a développé une plateforme d'automatisation comptable et financière déjà utilisée par 10 000 TPE-PME et 500 cabinets d’expertise-comptable. En unissant leurs forces, Qonto et Regate vont créer l'offre la plus complète du marché à destination des TPE-PME et des cabinets d'expertise-comptable. Plus de 450 000 entreprises recourent déjà à Qonto pour simplifier la gestion de leurs finances, grâce à un compte professionnel en ligne complété par à des outils de gestion financière avancés. L'ajout de Regate à l'écosystème de Qonto apportera des fonctionnalités d’automatisation supplémentaires pour la gestion des comptes fournisseurs et clients, ainsi que pour la pré-comptabilité, garantissant un échange de données efficace et intégré entre les TPE-PME et leurs cabinets d’expertise-comptable.


Une offre dédiée à destination des cabinets d’expertise-comptable

L'intégration du produit et de l'équipe de Regate, permettra à Qonto de proposer une offre spécifique pour les cabinets d'expertise-comptable. Ces derniers bénéficieront d'une interface partagée avec leurs clients, depuis laquelle ils pourront en quelques instants générer leurs écritures comptables. Le tout de manière automatisée, en tirant le meilleur parti de leur outil de production historique tel que
Sage, Cegid ou ACD, leaders du marché européen.

Aujourd'hui, en France, 6 000 cabinets d'expertise-comptable utilisent déjà Qonto économisant jusqu’à deux heures par mois par client géré. Qonto aspire à faciliter encore davantage les échanges entre les PME et les cabinets d'expertise-comptable, notamment lors de l'étape cruciale de la création d'entreprise.

Dans cette optique, Qonto lancera d’ici fin mars 2024 une nouvelle fonctionnalité permettant aux cabinets d'expertise-comptable d’initier le processus de dépôt de capital au nom de leurs clients, rendant la création d’entreprise possible en moins d’une semaine.

La création d’un nouveau département dédié aux cabinets d’expertise-comptable au sein de Qonto L’équipe de Regate, forte de plus de 100 collaborateurs, rejoindra les 1 400 Qontoers pour former un nouveau département dédié aux services financiers à destination des cabinets d’expertise-comptable.

Alexis Renard et Laura Pallier, co-fondateurs de Regate, prendront la tête de ce nouveau département, respectivement en tant que Directeur Général et Directrice Produit.
Qonto a déjà démontré sa capacité à intégrer avec succès de nouvelles acquisitions, comme en témoigne le rachat de Penta, champion allemand de la fintech, en juillet 2022, dont l'intégration a été finalisée fin 2023.

Avec l'acquisition de Regate, Qonto confirme sa position de leader dans la consolidation de la fintech
européenne.

« Ce rapprochement avec Regate nous permet de proposer aux PME et aux cabinets d’expertisecomptable la solution de gestion financière la plus aboutie du marché. Cela va non seulement accélérer notre croissance, mais aussi renforcer significativement notre position de leader sur un marché hautement concurrentiel. Grâce à notre nouvelle offre spécifique, incluant les partenariats existants entre Regate et des acteurs leaders du secteur tels que Sage ou Cegid, nous sommes désormais équipés pour répondre aux besoins des cabinets d’expertise-comptable et devenir un partenaire privilégié pour eux et leurs clients », explique Alexandre Prot, CEO et cofondateur de Qonto. « Nous avons hâte d’accueillir les équipes de Regate – et au vu de leur parcours impressionnant et de leurs ambitions, je suis convaincu de leur très bonne intégration parmi nos 1 400 Qontoers. »

« Nous sommes très enthousiastes à l’idée de rejoindre Qonto et de contribuer ensemble à l'émergence d'un champion européen de la fintech. Je suis convaincue que nous avons un grand rôle à jouer, non seulement à travers le développement de l’offre produit, mais aussi en apportant notre expertise et notre expérience dans les domaines comptables et financiers - une situation gagnante tant pour nos clients que pour ceux de Qonto ! », déclare Laura Pallier, cofondatrice de Regate.

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Cours de l’or : nouveaux records historiques !

La Rédaction
Le Courrier Financier

Ce qu’il faut retenir du mois écoulé


• Nouveaux records à 1931 euros et 2098 dollars en clôture du 4 mars
• Performance 2024 : +4.2% en euros
• La perspective de baisse des taux dope le cours du le métal jaune
• Une demande chinoise robuste
• Géopolitique : enracinement et élargissement des crises


Nouveaux recordsEn ce début de mois de mars, le cours de l’or vient d’établir un nouveau record historique. Le 4 mars, au fixing du soir de Londres, Il a atteint un niveau de 1931.67 euros l’once. Après un mois de février à
l’équilibre, le métal jaune s’apprécie donc de 2.5% en mars.

Au matin du 5 mars, le cours continue même sa hausse et avoisine 1950 euros, soit une progression supplémentaire de 1% environ. A l’heure d’écrire ces lignes, le métal jaune s’apprécie de 4.2% depuis le début de l’année. A titre de comparaison, le CAC 40 s’apprécie de 5.6% depuis le début de l’année.

La photo est similaire pour le cours en dollar, avec une clôture à Londres le 4 mars au plus haut historique (2098 dollars) et une reprise le 5 mars dans le vert avec un cours de 2117 dollars.

Ces records dépassent les pics établis durant les précédentes crises, en 2020 pendant l’épidémie du Covid, en février/mars 2022 lors de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, et fin 2023 alors que le conflit entre Israël et le Hezbollah s’enclenchait.
Pour aller plus loin : Comment est fixé le cours de l’or ?

La perspective de baisse des taux américains booste le métal jaune

L’économie américaine accumule les mauvaise nouvelles ces derniers jours : commandes de biens durables en recul de 6%, confiance des ménages en net repli, inscriptions chômage plus élevées qu’attendues, indice de confiance des directeurs d’achats en berne, etc. Il n’en fallait pas plus pour raviver les attentes d’une baisse des taux directeurs américains. Le marché estime qu’il y a maintenant 4 chances sur 5 que la réserve fédérale abaisse ses taux en juin.
Le cours de l’or est dopé par cette perspective, puisqu’il a tendance à s’apprécier en période d’assouplissement monétaire et de baisse des taux d’intérêt réels. L’histoire récente le confirme : lors des 3 dernières cycles, après la première baisse des taux directeurs (2001, 2007, et 2019), le métal jaune s’est significativement apprécié.

Si beaucoup d’analystes s’attendaient à de nouveaux records en 2024, ils étaient plutôt anticipés pour la seconde moitié de l’année. Le fait que les records soient atteints maintenant, sur de simples anticipations et non après les premières baisses effectives, laisse penser que le cours pourrait aller beaucoup plus haut. Pour mémoire c’est le scénario de JP Morgan, qui anticipe un cours à 2300 dollars début 2025.

Il convient néanmoins de rester prudent à court terme sur ces anticipations de baisse de taux. Lors de son audition prochaine au congrès (6 mars), Jerome Powell devrait réaffirmer sa volonté de maintenir une politique monétaire plus restrictive. Des chiffres économiques meilleurs que prévus, notamment au niveau de l’emploi, pourraient également tempérer l’optimisme du marché.


Une demande chinoise robuste

Selon le World Gold Council, la demande d'or en Chine a atteint un niveau record en janvier, principalement due au réapprovisionnement avant le Nouvel An chinois (festivités entre le 10 et 17 février). Cet événement crucial semble avoir tenu ses promesses : les chiffres préliminaires du ministère du Commerce indiquent que les ventes d’or et de bijoux liées au nouvel an sont en hausse de 24% par rapport à l’an dernier. Parmi les explications de la demande soutenue, la popularité de l’année du dragon, assimilée à la prospérité et au succès.

Malgré le rebond de la bourse chinoise en février, l’or valeur refuge continue d’attirer sur fond de ralentissement économique, de volatilité des marchés, et de fragilité du marché immobilier. Les ETF or chinois ont connu des entrées significatives, atteignant un niveau record de gestion d'actifs (plus de 4 milliards de dollars).

Enfin, la Banque Populaire de Chine a continué ses achats d'or pour le 15ème mois consécutif, augmentant ainsi ses réserves de 10 tonnes.


Géopolitique : enracinement et élargissement des crises.

La confrontation OTAN- Russie s’enracine. En janvier, l’opération Steadfast Defender a été lancé par l’alliance atlantique. Il s’agit du plus grand exercice militaire occidental organisé sur le sol européen depuis la fin de la guerre froide. L’ambition, clairement affichée et exprimée est de se préparer à un conflit avec la Russie. Des exercices qui font écho aux propos de haut gradés européens.

La Russie continue à affirmer sa souveraineté sur la région arctique, soulignant l'importance pour les États arctiques comme le Canada de se préparer aux défis économiques et territoriaux dans cette zone stratégiquement significative. Fin février, des élus séparatistes de Transnistrie ont demandé la protection de la Russie face aux « pression » que subiraient les russophones de ce territoire situé en Moldavie, limitrophe de l’Ukraine.

Un appel qui ressemble à celui des populations du Donbass avant l’invasion russe en Ukraine. Parallèlement, la Chine étend son influence dans l'océan Indien, comme en témoigne un scandale impliquant un prétendu 'navire de recherche' chinois détecté près des exercices militaires Inde-Maldives-Sri Lanka, montrant l'empreinte militaire et diplomatique croissante de la Chine dans la région.

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IARD : le courtier PSD Courtage, filiale d’Apicil, acquiert Plebagnac

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le courtier PSD Courtage — filiale du Groupe Apicil — annonce ce jeudi 16 décembre l’acquisition de Plebagnac, marque commerciale spécialisée dans le handicap et la dépendance. Avec ce rachat, la filiale du Groupe Apicil conforte l’engagement du Groupe en faveur des personnes en situation de handicap.

Développer l'assurance IARD

Selon l’INSEE, la France compte 12 millions de personnes atteintes d’un handicap dont 850 000 qui sont en situation de handicap moteur, avec environ 45 % d’entre elles qui se déplacent en fauteuil roulant. Considérés comme des véhicules à moteur, les fauteuils roulants électriques doivent obligatoirement être couverts par une assurance. Le vol, l’obsolescence technique, les dommages matériels liés par exemple à des accidents de trottoirs à cause d’un nid de poule sont donc au coeur des enjeux assurantiels.

C’est dans ce contexte que PSD Courtage, filiale du Groupe Apicil, troisième groupe français de protection sociale, annonce l’acquisition de Plebagnac, spécialiste des risques liés au secteur du handicap et de la dépendance, en particulier du fauteuil roulant électrique. A travers cette acquisition, PSD Courtage développe son activité en assurance IARD (assurance de fauteuil roulant, bris de machine, responsabilité civile vie privée, etc.) et renforce son engagement en faveur de l’inclusion, axe majeur du plan stratégique du Groupe Apicil intitulé « Horizon 2024 ».

Handicap et dépendance

Plebagnac dispose de plus de 20 ans d’expérience dans le milieu du handicap et de la dépendance. Sa mission consiste à apporter des solutions d'assurances aux personnes à mobilité réduite, utilisant des fauteuils roulants électriques et scooters de mobilité. Plebagnac actuellement représente un portefeuille de plus de 7 000 contrats. Il dispose d’une clientèle fidèle qui, pour deux tiers d’entre elle, souscrit à des contrats d’une durée moyenne de cinq ans.

Plebagnac opère dans le secteur du handicap et de la dépendance, un marché qui est voué à se développer et ce pour plusieurs raisons. Tout d’abord, depuis la loi sur le handicap de 2005, les acteurs publics et privés doivent mettre en place des équipements adéquats afin de rendre la société accessible à tous. Ensuite, avec la crise du Covid-19, la demande en matériel d’aide à la mobilité s’est accentuée en raison de l’accélération des retours à domicile afin de libérer des places dans les hôpitaux. Le vieillissement de la population et le développement de l’hospitalisation à domicile sont d’autres facteurs qui renforcent cette tendance.

Politique d’inclusion d’Apicil

Dans le cadre de son plan stratégique « Horizon 2024 », l’IARD est un des axes sur lequel Apicil ambitionne de se diversifier. C'est dans ce contexte que le Groupe a souhaité acquérir un portefeuille de courtage de clients individuels assuré en IARD auprès d’assureurs reconnus sous la marque Plebagnac via sa filiale PSD courtage présidée par Pascal Proton, directeur général adjoint du groupe Apicil. Le groupe ambitionne ainsi de développer et assurer la gestion de ces risques pour le compte d’assureurs.

En apportant des solutions d'assurances aux personnes à mobilité réduite dont celles utilisant des fauteuils roulants électriques, cette acquisition s'inscrit également dans le cadre la stratégie RSE d’APICIL et incarne pleinement sa raison d'être « par une relation proche et attentionnée, soutenir toutes les vies, toute la vie ».

« L’acquisition de la société de courtage Plebagnac va nous permettre de mieux accompagner les personnes en situation de handicapL’inclusion des personnes en situation de fragilité, priorité de notre plan stratégique Horizon 2024, doit mobiliser l’ensemble de notre écosystème affinitaire. L’emploi des Personnes en situation de Handicap reste un enjeu sociétal majeur, il est important de mettre en lumière les besoins spécifiques des plus vulnérables et de proposer des solutions afin d’y répondre », explique Marie-Christine Eudes, pilote du projet et Directrice de l'innovation et des services chez Groupe Apicil.

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Obligations Relance : Smalt Capital sélectionné par les assureurs

La Rédaction
Le Courrier Financier

Smalt Capital — société de gestion française spécialisée dans le capital investissement, avec une approche territoriale et de proximité — annonce ce jeudi 9 décembre avoir été sélectionnée aux côtés d’Eurazeo Investment Manager, Trocadero Capital Partners et Zencap Asset Management dans le cadre du dispositif « Obligations Relance ».

40 millions d'euros à investir

Doté de 1,7 Md€, ce dispositif est l’un des volets du Plan Relance du ministère de l’Economie, des Finances et de la Relance, afin de soutenir les PME-ETI dans leur croissance et leur transformation à la suite de la crise économique résultant de la pandémie. Sur les 280 M€ confiés au groupement piloté par Eurazeo, Smalt Capital a l’ambition d’investir au moins 40 M€.

Cette somme sera déployée en Région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur, Occitanie, Corse, et à La Réunion. Fidèle à sa philosophie d’investissement, Smalt Capital financera des entreprises de tout secteur, ayant des projets de développement, visant une croissance durable, et intégrant les enjeux en matière d’ESG et de la transition écologique.

Aligner les intérêts des Gérants et des Assureurs

Aux côtés du fonds « Obligations Relance » est créé un fonds spécifique, d’un montant d’au moins 10 % du dispositif global, abondé par les sociétés de gestion et leurs investisseurs propres, pour aligner les intérêts entre les Gérants et les Assureurs. Smalt Capital apportera son concours à ce fonds avec le soutien de son actionnaire la Caisse d’Epargne CEPAC, ainsi que la Caisse d’Epargne Côte d’Azur. 

« Ce dispositif vise à renforcer la croissance des entreprises suite à la crise sanitaire. En tant qu’investisseur de proximité accompagnant des dirigeants ambitieux qui savent allier croissance et enjeux ESG, nous sommes entièrement en accord avec la philosophie du dispositif « Obligations Relance ». Smalt Capital jouera pleinement son rôle aux côtés de ses partenaires nationaux du groupement en déployant la somme qui lui est confiée dans les meilleures conditions », déclare Antoine Kraus, Gérant chez Smalt Capital.

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