Les outils d’Intelligence Artificielle développés par BDL Capital Management viennent renforcer les capacités de l’équipe d’analystes

La Rédaction
Le Courrier Financier

Nous ne pouvons cependant ignorer le fait que les marchés actions sont de plus en plus techniques, avec la montée en puissance des stratégies thématiques, de la gestion passive et factorielle. Mieux, nous avons anticipé ces évolutions en investissant dès l’origine de la société dans notre infrastructure et nos outils propriétaires de gestion.

Ces outils ne cessent d’évoluer pour intégrer les dernières innovations capables de nous aider à mieux sélectionner les entreprises dans nos portefeuilles.

Les outils à base d’Intelligence Artificielle et de « machine learning » que nous avons développés améliorent au quotidien l’efficacité de l’équipe de gestion dans sa démarche d’analyse des entreprises cotées : 

RadarInput

  • Fondé sur 8 ans de données historiques et un algorithme de type random forest (ou forêt d’arbres de décision), RadarInput nous permet de convertir les questions fondamentales des analystes en probabilité. Cette probabilité, calculée à partir de nos investissements passés, reflète la confiance que nous pouvons avoir dans l’entreprise notée.

TimeSaver

  • En utilisant un algorithme de traitement du langage naturel, cet outil nous permet de mesurer le sentiment qui se dégage du rapport financier, annuel ou trimestriel, d’une entreprise.
  • Certains mots clefs sont en effet typiquement annonciateurs de mauvaises surprises potentielles. D’autres nous permettent de détecter un risque de comptabilité agressive.

Trendicator

  • Cet outil nous permet d’enregistrer certaines tendances observées sur Google ainsi que sur les moteurs de recherche chinois.
  • Cela nous permet de connaître l’évolution des recherches historiques sur certaines informations ou données, et de la mettre en parallèle avecles objectifs de croissance de certaines entreprises de grande consommation notamment

Tous ces indicateurs peuvent être utilisés de manière très directe. Nous les utilisons comme des signaux pour la gestion de notre fonds Durandal. Pour nos stratégies Rempart, Convictions et Transition, ce sont de précieux outils d’aide à l’analyse. La machine au service de l’humain.

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MIFID 2 : l’AMF se penche sur sur le nouveau mode de financement de la recherche

La Rédaction
Le Courrier Financier

La mise en œuvre de MIFID 2 a modifié l’économie du marché de la recherche. Le Collège de l’Autorité des marchés financiers (AMF) a confié le 10 juillet dernier à Jacqueline Eli-Namer —  membre du Collège de l’AMF —  et Thierry Giami — Président de la Société française des analystes financiers (SFAF) —  la mission d’explorer avec les acteurs de la place, les pistes concrètes qui pourraient améliorer la situation.

MIFID 2 a imposé une facturation séparée du service de recherche. La baisse des prix de la recherche facturée — couplée à une rationalisation des budgets des investisseurs — a des conséquences sur le nombre d’analystes et la couverture des sociétés. En parallèle, la recherche subventionnée — « sponsorisée » — par les émetteurs se développe. Cette tendance limite l’érosion de la production d’analyse mais soulève des problèmes spécifiques, notamment en matière de gestion des conflits d’intérêt.

Petites et moyennes valeurs

La couverture des sociétés cotées par des travaux de recherche indépendants assure la bonne formation des prix sur le marché, tout en garantissant sa liquidité. Si les « grandes valeurs » de la cote sont largement couvertes, les capitalisations plus faibles sont traditionnellement moins suivies par les analystes. Pour rappel, l’entrée en bourse des valeurs moyennes et petites reste un objectif de Place. Par ailleurs, la France dispose d’une base fournie d’analystes financiers.

Dans ces conditions, il est souhaitable d’explorer les initiatives qui pourraient être prises pour assurer la couverture des valeurs moyennes et petites par une recherche de qualité. Dans ce contexte, le Collège de l’AMF a demandé à Jacqueline Eli-Namer, et Thierry Giami,d’affiner le diagnostic sur l’évolution de la recherche. Ils devront explorer les pistes concrètes qui pourraient mobiliser la Place et conduire à améliorer la situation. Le résultat de ces travaux devrait être disponible avant la fin de l’année 2019.

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Amiral Gestion nomme un analyste financier

La Rédaction
Le Courrier Financier

Amiral Gestion — société de gestion indépendante, détenue par ses salariés — annonce ce lundi 27 mai 2019 la nomination d'un nouvel analyste financier. Basé à Paris, Mario Santos suivra plus particulièrement l’univers des petites et moyennes capitalisations européennes. Il contribuera au sein de l’équipe de gestion à la recherche d'opportunités d’investissement pour les fonds Sextant d’Amiral Gestion. La société compte aujourd'hui 45 collaborateurs dans le monde.

Créée en 2003, Amiral Gestion s’appuie sur une philosophie de gestion active de conviction afin d'optimiser les performances sur des placements à long terme. Amiral Gestion s'adresse aux investisseurs institutionnels, investisseurs professionnels — CGPI, family offices et banquiers privés — et particuliers avertis. Amiral Gestion gère les 6 fonds Sextant ainsi que plusieurs fonds dédiés aux institutionnels. Son encours atteint près de 4 milliards d’euros à fin avril 2019.

Focus sur le parcours de Mario Santos

Mario Santos est diplômé en génie industriel de l'Universidad Pontificia de Comillas (ICAI) et titulaire d'un Master en finance avec spécialisation en investissement value de la London Business School (LBS). Il possède 5 ans d'expérience dans le secteur bancaire et des assurances. Mario Santos débute sa carrière en 2012 chez Management Solution, comme consultant. En 2014, il devient analyste en risques et solvabilité chez Mapfre.

En 2015, Mario Santos entre chez Deloitte en tant que consultant en risques financiers. Il exerce ensuite plusieurs fonctions dans le secteur financier en Espagne. En avril 2018, Mario Santos rejoint le groupe Crystal Amber à Londres. En janvier 2019, il rejoint le groupe Amiral Gestion où il exerce désormais la fonction d'analyste financier.

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Il est temps de s’intéresser à nouveau aux marchés émergents

Claudia Bernasconi
SwissLife AM
Les économies émergentes ont connu un triple choc depuis 2014, mais la situation se stabilise sur tous les fronts. Des opportunités s’ouvrent aux investisseurs en particulier sur le marché des obligations d’entreprises.
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Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

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La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

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