Philippe Blez – Kirao AM : Kirao Smallcaps, « nous profitons du regain d’intérêt des investisseurs »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Kirao Asset Management (Kirao AM) — société de gestion indépendante entrepreneuriale — présente ses perspectives 2023. Après la saison des publications de résultats des entreprises, comment Kirao AM oriente-elle son stock picking ? Quels secteurs intéressent particulièrement les investisseurs ?
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Rémi Adam – Comgest : valeurs tech américaines, « diversifier les leviers de croissance »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
En 2023, pourquoi conserver des valeurs tech américaines en portefeuille ? Comment sélectionner les entreprises ? Rémi Adam, gérant de portefeuille et analyste spécialiste des actions américaines chez Comgest, répond au Courrier Financier.
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Les Françaises et l’investissement en bourse : une logique de long-terme

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Ce mercredi 8 mars, c'est la Journée internationale des droits des femmes. Quelle place les Françaises accordent-elles à l'investissement en bourse ? Le point avec Le Courrier Financier — échange exclusif avec Scalable Capital.
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Teddy Cognet & Elena Ganem – MainFirst : marchés actions, investir dans les sociétés en croissance

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
En 2023, MainFirst revient sur sa stratégie d'investissement sur les marchés actions — à travers le positionnement de plusieurs de ses fonds. Pourquoi investir dans les actions internationales ? Quel avantage y a-t-il à intégrer des actions européennes dans son allocation de portefeuille ?
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Assurtech : Finovox signe un partenariat avec Sunlight Solutions

La Rédaction
Le Courrier Financier

Finovoxstartup française spécialisée dans la détection de faux documents — annonce ce jeudi 16 mars la signature d'un partenariat avec Sunlight Solutions, progiciel qui couvre l'ensemble des processus métiers de l'assurance. Les deux entités entendent mutualiser leurs compétences pour permettre à l’ensemble de l'écosystème de l’assurance d’optimiser et de sécuriser leurs opérations en luttant contre la fraude notamment.

Digitaliser l'administratif

Les acteurs du monde de l’assurance sont aujourd’hui confrontés à de nouveaux défis liés au besoin d’innovation : flexibilité et fiabilité, collecte et analyse des données, modernisation du service client, détection de la fraude, etc. Finovox et Sunlight Solutions s’associent afin d’offrir une solution clé-en-main et sur-mesure.

Objectif, gagner en temps et en efficacité en réalisant à travers une seule interface leurs tâches administratives et leurs vérifications documentaires. Tous les utilisateurs du système de gestion de Sunlight Solutions ont donc désormais accès au logiciel de détection de falsifications documentaires de Finovox, directement via leur système back-end.

En France et aux Etats-Unis

Pour Finovox, déjà présente sur le marché auprès de plusieurs acteurs de l’assurance (dont Luko et Parachut), ce partenariat représente également une opportunité d’accélérer son développement commercial en France et aux Etats-Unis.

« Nous sommes ravis de nous associer à Sunlight Solutions pour proposer un produit inédit et clé en main à tous les assureurs. Aujourd’hui, intégrer la technologie (blockchain, IA, etc.) est essentiel pour proposer des produits et des services performants et adaptés aux demandes des assurés, notamment pour les acteurs traditionnels du secteur. » déclare Marc de Beaucorps, CEO et co-fondateur de Finovox.

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Partenariat : DWS et Nippon Life prolongent leur alliance stratégique

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le Groupe DWS — gérant d'actifs mondial, avec 821 milliards d’euros sous gestion — annonce ce jeudi 16 mars le prolongement son alliance stratégique avec Nippon Life pour cinq années supplémentaires, à compter du 11 mars 2023. Ce pilier important pour les deux entreprises permettra d'ancrer leur croissance dans des domaines de collaboration bien définis.

« La signature de notre accord d'alliance stratégique en 2018 a été motivée par la conviction que nous allions former un partenariat fructueux au bénéfice de nos clients et de nos parties prenantes. Les cinq dernières années témoignent des forces et des atouts de ce partenariat. Nous sommes donc fiers de pouvoir prolonger cette collaboration pour cinq années supplémentaires, d'intensifier notre engagement commun et de viser à créer encore plus de valeur pour les deux entreprises », commente Stefan Hoops, PDG de DWS.

Plusieurs initiatives

Dans ce cadre, DWS et Nippon Life continueront à étendre la portée de la distribution, l'innovation en matière de produits et l'acuité de la recherche. Les initiatives comprennent :

  • l’identification des fonds que chaque société et ses filiales chercheront à distribuer dans leurs canaux de distribution respectifs ;
  • l'introduction d'un plus grand nombre d'ETF auprès des investisseurs japonais ;
  • une collaboration plus étroite entre DWS et Nippon Life dans les domaines du conseil et des solutions d'assurance pour les filiales de cette dernière, ainsi que pour les clients tiers ;
  • l’intégration des capacités de recherche les plus performantes de l'une et de l'autre afin de répondre aux besoins de compréhension et de cultiver les talents de recherche des deux entreprises.

Poursuivre l'alliance

« Cette alliance stratégique nous permettra de travailler sur des initiatives qui, au fil du temps, porteront leurs fruits. En combinant les forces de chacun et en travaillant sur des aspects tels que le renforcement des investissements, la distribution, le partage des connaissances et la collaboration en dehors du Japon, cet accord permettra aux deux entreprises de se positionner favorablement pour développer leurs activités de gestion d'actifs à l'échelle mondiale », explique Minoru Kimura, directeur général de Nippon Life Insurance Company.

L'accord d'alliance stratégique a été signé pour la première fois en mars 2018, et avait suscité un solide consensus à tous les niveaux des deux entreprises. Au cours des cinq dernières années, l'alliance a vu une augmentation des investissements réalisés par Nippon Life dans les solutions de produits de DWS, la distribution conjointe de produits grâce à l'établissement d'un réseau mutuel, et une nouvelle collaboration commerciale avec les affiliés du groupe Nippon Life.

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BNP AM crée le pôle de gestion Systematic and Quantitative Investment

La Rédaction
Le Courrier Financier

BNP Paribas Asset Management (BNPP AM) — filiale de gestion d'actifs de BNP Paribas — annonce ce mardi 21 février la création d’une nouvelle équipe de gestion dédiée à l’investissement quantitatif et systématique, pour compléter ses capacités de gestion fondamentale en actions, obligations et multi-actifs.

Baptisée « SQI » pour Systematic and Quantitative Investment, la nouvelle division rassemblera les équipes de gestion quantitative et ETF & indiciel, avec l’ambition de devenir un centre d’excellence en gestion systématique. Dans un environnement marqué par les évolutions réglementaires, cette initiative reflète la volonté de croissance de BNPP AM, axée sur des solutions d’investissement innovantes intégrant les critères financiers et extra-financiers.

Organisation du nouveau pôle

Ce nouveau pôle sera piloté par Robinson Rouchié, ainsi nommé CIO de la gestion quantitative et systématique. Basé à Paris, il reportera à Rob Gambi, Responsable Global des Gestions. Actuellement Directeur de cabinet de Rob Gambi, Robinson conservera ce rôle en parallèle de ses nouvelles fonctions jusqu’à la nomination de son successeur, et continuera également de siéger au Comité d’Investissement.

En outre, Guy Davies, Responsable adjoint des gestions, va superviser à partir de mars les équipes multi-actifs et solutions (hors équipe SQI), en plus de son poste actuel de CIO Fundamental Active Equities. Il remplacera ainsi Denis Panel, qui prendra prochainement de nouvelles fonctions dans une autre entreprise de l’industrie de la gestion d’actifs.

Enfin, conscient de la prédominance des stratégies obligataires au sein des affiliés marchés émergents de BNPP AM, Olivier de Larouzière deviendra Responsable des équipes de gestion des affiliés marchés émergents, en plus de son rôle de CIO pour la gestion obligataire. Guy Davies et Olivier de Lazouzière continuent de reporter à Rob Gambi.

Focus sur le profil de Robinson Rouchié

BNPP AM crée le pôle de gestion Systematic and Quantitative Investment
Robinson Rouchié

Robinson Rouchié évolue au sein du groupe BNP Paribas depuis plus de dix ans. Il a exercé différents postes dans les équipes de la banque d’investissement, de la gestion de fortune et au sein d’Exane. Diplômé d’une licence en mathématiques appliquées de l’université Paris-Dauphine, d’un master de l’EDHEC en finance et d’un diplôme en comptabilité & finance de la London School of Economics & Political Science. Il fait partie de l’initiative Leaders for Tomorrow de BNP Paribas.

« Robinson Rouchié a su faire preuve d’une vision stratégique, d’une connaissance technique approfondie ainsi que d’une forte orientation commerciale. Il apportera sa vaste expérience en gestion, de la recherche fondamentale, à l’analyse quantitative en passant par l’allocation d’actifs », commente Rob Gambi, Responsable Global des Gestions de BNPP AM.

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Edouard Narboux — Aether Financial services : OCABSA, « cette typologie de financement continuera à évoluer »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Le 14 février dernier, l'Autorité des marchés financiers (AMF) demandait aux sociétés cotées de mieux informer leurs investisseurs sur « les risques encourus à l'occasion d'opérations de financement dilutives ». Pourquoi cette mise au point sur les OCABSA ? De quoi s'agit-il ? Edouard Narboux, PDG d’Aether Financial services, répond en exclusivité au Courrier Financier.
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Emmanuel Laussinotte – Gay-Lussac Gestion : investir dans les small caps, « le stress de liquidité est derrière nous »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Pourquoi s'intéresser au segment des petites capitalisations en 2023 ? Quelle place leur donner dans une stratégie d'épargne — notamment pour préparer sa retraite ? Emmanuel Laussinotte, Président de Gay-Lussac Gestion, répond en exclusivité au Courrier Financier.
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Gestion thématique : Pictet AM lance Pictet-ReGeneration

La Rédaction
Le Courrier Financier

Pictet Asset Management (Pictet AM) — filiales et départements opérationnels du groupe Pictet se consacrant à la gestion institutionnelle ainsi qu’à la gestion de fonds de placement — annonce ce mardi 14 février le lancement de Pictet-ReGeneration.

Ce fonds est axé sur les actions mondiales d’entreprises qui contribuent à la transition vers l’économie régénérative. Dernier né de la gamme de stratégies thématiques de Pictet AM, ces fonds affichent déjà des montants sous gestion de 62 Mds$.

Consommation plus durable

La biodiversité connaît un déclin rapide, en grande partie en raison de la surconsommation des ressources naturelles. « Les investisseurs ont un rôle majeur à jouer pour soutenir les entreprises participant à la régénération des écosystèmes et à la création de sociétés plus résistantes », souligne Gabriel Micheli, gérant d’investissement senior du fonds.

Pictet-ReGeneration cible les entreprises qui soutiennent une consommation moindre et plus durable des ressources naturelles — y compris la réutilisation des produits ou la prolongation de leur durée de vie. Objectif, favoriser une économie plus circulaire et d’augmenter la production de ressources renouvelables. Cette stratégie allouera du capital aux entreprises dont les produits et services offrent une plus grande inclusion sociale et économique.

Elle donnera à plus de personnes les moyens nécessaires pour faciliter la transition vers une économie régénérative. Le fonds Pictet-ReGeneration, qui relève de l’article 9 du règlement SFDR, s’appuie sur plus de 20 ans d’expérience de Pictet AM dans l’investissement durable, ainsi que dans la mise en œuvre du Modèle des limites planétaires.

Vers une économie régénérative

L’évolution vers une économie régénérative est inévitable, et les acteurs en mesure de contribuer au mieux à cette transition enregistreront à terme une croissance supérieure. En plus de viser un rendement intéressant, l’équipe s’engagera aux côtés des entreprises pour les encourager à adopter des modèles d’affaires et des pratiques plus écoresponsables.

Cette stratégie est gérée depuis Genève. Gabriel Micheli est épaulé par Claire Chamberlin, gérante d’investissement, et Viktoras Kulionis, gérant d’investissement et économiste senior spécialiste des questions environnementales.

Domicilié au Luxembourg et conforme à la directive UCITS (OPCVM), le fonds Pictet-ReGeneration est autorisé à la distribution en Allemagne, Autriche, Belgique, à Chypre, au Danemark, en Finlande, Espagne, France, Grèce, Irlande, Italie (réservé aux investisseurs professionnels), au Liechtenstein, Luxembourg, en Norvège, aux Pays-Bas, Royaume-Uni, en Suède et en Suisse.

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Girardin : Meyon propose en 2023 des rentabilités de 10 % à 13 %

La Rédaction
Le Courrier Financier

Meyonapplication de conseil en investissement — lance ce jeudi 16 mars son offre de placements Girardin, en partenariat avec InterInvest et Ecofip. Les rentabilités de ces produits iront de 13 % pour l’enveloppe classique à 10 % pour l’enveloppe assortie d’une garantie de bonne fin financière et fiscale.

Pourquoi investir en Girardin ?

La loi Girardin codifiée aux articles 199 undecies B et C du Code Général des Impôts (CGI) permet aux contribuables d'obtenir une réduction d'impôt au titre de leurs investissements dans les secteurs prioritaires du développement économique, énergétique et social des départements et collectivités d'outre-mer. Les résidents fiscaux français bénéficient ainsi d'une réduction d'impôt sur le revenu (IR) dès l'année suivante, s'ils investissent dans des matériels industriels neufs ou des logements sociaux neufs.

Si les conditions sont bien respectées, la réduction d'impôt obtenue est supérieure au montant de l'investissement. Cet investissement n'est pas exempt de risques. Si l'entreprise ultramarine ne respecte pas les conditions du dispositif ou si le matériel n'est pas loué pendant les cinq années requises, l'administration fiscale peut remettre en cause cette réduction d'impôt. Il est donc essentiel de sélectionner avec soin son investissement.

Jusqu'à 13 % de rentabilité

Meyon propose des opérations structurées par des acteurs locaux, capables de mutualiser et de suivre les investissements pour le compte de ses clients. Les rentabilités en début d’année iront de 10 %, pour profiter de la garantie de bonne fin financière et fiscale qui assure à l’investisseur ses gains même en cas de remise en cause du dispositif par l’administration, à 13 % pour ses enveloppes « classiques ». Les enveloppes d’investissement sont limitées, et les rentabilités des souscriptions pourraient baisser en cours d’année.

Après un parcours 100 % digital et un entretien obligatoire avec un conseiller Meyon, les clients accèdent à leur investissement pouvant procurer jusqu’à 60 000 euros de réduction d’impôt. « Nous sommes très heureux de proposer aux épargnants français cet investissement Girardin performant et compétitif dans un cadre maîtrisé et sécurisé. Nous offrons une expérience utilisateur unique en ligne et accompagné d’un conseiller pour garantir la parfaite adéquation du placement avec la situation fiscale de nos clients », déclare Ludovic Farnault, CEO de Meyon.

Conseil en gestion de patrimoine

En complément de cette offre Girardin, Meyon propose un véritable service de conseil en gestion de patrimoine ainsi qu’un accès à une offre complète et lisible de placements. Objectif, permettant aux épargnants d’optimiser leur épargne en investissant dans des secteurs tels que l’immobilier, les innovations technologiques, la transition énergétique, le private equity et les produits structurés.

Certains sont accessibles 100 % en ligne d’autres nécessitent de passer par un conseiller Meyon. Ces entretiens peuvent se faire chez Meyon, chez les clients ou en visioconférence. Meyon permet de bénéficier de conseils en investissement ainsi que d’une gamme de placements innovants depuis son ordinateur ou son smartphone tout en étant accompagné par des vrais conseillers !

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La CNCEF lance son Académie de l’économie durable

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le Groupe Chambre Nationale des Conseils Experts Financiers (CNCEF) — première organisation professionnelle créée en 1957 — annonce ce vendredi 17 mars le lancement de son Académie de l’économie durable. Cette structure s’adresse à tous les professionnels libéraux qu’elle regroupe dans les domaines du patrimoine, de l’assurance, du crédit, de l’immobilier de placement et du développement de l’entreprise. La CNCEF considère que ces experts financiers ont un rôle important à jouer face à trois défis contemporains : 

  • le renforcement de la souveraineté économique ;
  • la promotion d’une économie durable ;
  • L’amélioration de l’éducation et de la formation par la pédagogie financière. 

8 000 membres de l'Académie

Espace d’échanges et d’initiatives s’inscrivant dans le temps long, l’Académie se donne pour objectif de réfléchir aux évolutions profondes des métiers de la finance et souhaite apporter sa contribution au service de l’intérêt général et national — plus largement, du client final. Elle souhaite aussi s’adresser à la jeunesse (étudiants, universitaires, jeunes professionnels, etc.) pour favoriser la transmission et le dialogue entre les générations. 

L’Académie de l’économie durable est pilotée par les administrateurs de la CNCEF et animée par Pierre-Jean Gaudel. Elle regroupe les 8 000 adhérents de la CNCEF auxquels s’adressent prioritairement les événements qu’elle organise. Ces derniers sont également ouverts aux personnalités extérieures, notamment aux universitaires ainsi qu’aux nouveaux entrants dans la profession financière. 

Les initiatives de l’Académie 

L’Académie organise, chaque année, un concours destiné aux étudiants de France sur un sujet économique d’intérêt général. En 2023, le sujet était : « La sobriété est-elle l’avenir de notre économie ? ». Elle publie par ailleurs, les meilleures contributions reçues à l’occasion de ce concours annuel.  

Par ailleurs, l'Académie promeut les documents d’intérêt général publiés par les associations de la CNCEF — guides de bonnes pratiques, guides pour promouvoir l’usage du français dans nos métiers, etc. Elle propose également les formations de la CNCEF et de ses partenaires sur les bonnes pratiques professionnelles (déontologie, investissement responsable, etc.). Enfin, l'Académie se propose de nourrir la réflexion doctrinale et favoriser le partage d’expériences.

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Marchés actions : trop en avance par rapport aux banques centrales ?

Alexandre Baradez
IG France
Depuis le début de l'année, les marchés financiers affichent leur optimisme — en dépit des annonces des banques centrales, qui indiquent un cap monétaire restrictif. L'éclairage d'Alexandre Baradez, responsable de l’analyse marchés chez IG France.
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2023 : le retour du (vrai) Pricing Power

Gilles Constantini
Faute de Pricing Power, de nombreuses hausses de prix imposées depuis un an ne sont pas soutenables dans le temps. Après une année de banalisation, la capacité d’une entreprise à créer un rapport de force favorable sur son marché devrait peu à peu retrouver une place centrale et discriminante dans les grilles d’analyse. Les explications de Gilles Constantini, Gérant du fonds Amplegest Pricing Power.
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