Cette semaine, le cabinet de recherche économique PrimeView présente une vaste étude sur l'efficacité des dispositifs fiscaux qui soutiennent l'investissement locatif neuf en France. Objectif, mesurer — entre autres — l'impact de la loi Pinel sur le marché du logement. Faut-il prolonger de nouveau ce dispositif temporaire ? Tour d'horizon avec Le Courrier Financier.
Les chiffres sont sans équivoque : d’une rue à l’autre dans le même arrondissement de Paris, les différences de rentabilité varient du simple au double. La cartographie a été établie tel un plan de métro de la capitale, pour mettre à jour ces fortes disparités au sein même d’un quartier.
Selon MeilleureSCPI.com, la collecte nette pour les SCPI de rendement a atteint les 4,06 milliards d'euros en 2015, avec notamment une poussée sur les second et quatrième trimestre 2015. En moyenne, les SCPI ont servi un rendement de 5,93 % et un taux de distribution sur la valeur de marché de 4,85 %. L'année 2015 s'est illustrée par une concentration des investissements sur les bureaux. Ceux-ci représentent 75 % des acquisitions immobilières réalisées dans l'année. Pour 2016, le rendement moyen est attendu à 4,70 %.
Alors que la fin de l’année est généralement propice aux achats en vue de la location, le mois de décembre 2015 n’a connu qu’une très légère augmentation de l’investissement locatif à 12 % des acquisitions, contre 11 % le mois précédent. "Si le neuf semble tirer son épingle du jeu grâce au dispositif Pinel, c’est l’investissement dans l’ancien qui régresse", note CAFPI. Les propriétaires bailleurs sont découragés par les nouvelles contraintes juridiques qui pèsent sur eux, ainsi que par l’encadrement des loyers, la fiscalité immobilière en hausse, les rendements locatifs en baisse, etc.
Dans son analyse, CAFPI s'intéresse aussi aux primo-accédants, qui sont toujours à la peine. Ils consacrent encore ce mois-ci près de cinq années de revenus à leur acquisition. En moyenne, ils empruntent 179 278 euros sur une durée de 239 mois, c’est-à-dire quasiment 20 ans. La proportion des primo-accédants à acheter dans l’ancien est stable, à 81 %. Pour CAFPI, "il sera intéressant de suivre, dans les prochains mois, l’effet du prêt à taux zéro 2016 sur la relance de la primo-accession dans le neuf, et notamment en maison individuelle".
Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »
Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES.
“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !” explique Jean-Paul SERRATO
Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.
“Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendrela gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.
En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.