Assurance vie : Generali France fait le point sur le fonds G Croissance 2014

La Rédaction
Le Courrier Financier

Generali France — filiale française de l'assureur Generali — publie ce lundi 17 février le bilan de son fonds « G Croissance 2014 », cinq ans après son lancement. Ce véhicule d'investissement affiche une performance nette annualisée de 5,37 % depuis sa création. Comme en 2019, le renforcement des actifs non cotés — Private Equity, Dette privée et Immobilier — se poursuit dans l’allocation du fonds. Generali France proposera en 2020 une nouvelle génération de fonds Croissance en accord avec la loi PACTE.

« Dans l’environnement actuel de taux bas, le fonds G Croissance 2014 est une alternative au sein de nos contrats d’assurance vie (...) Grâce à la gestion flexible et opportuniste mise en place par notre équipe Investissements depuis 5 ans, il remplit sa promesse de performance et de garantie à terme. Forts de ce succès, nous comptons capitaliser sur notre expérience pour lancer une nouvelle génération de fonds croissance courant 2020, en ligne avec la loi
PACTE
», déclare Hugues Aubry, membre du comité exécutif de Generali France en charge de l’Epargne et de la Gestion de Patrimoine.

Bilan 2019 du fonds

En 2019, l’allocation du fonds s’est renforcée en actifs non cotés — Private Equity, Dette privée et Immobilier — et a poursuivi sa montée en puissance vers le financement de l’économie réelle et les investissements verts : Green bonds, fonds Actions ESG, notamment avec Sycomore. Depuis le 1er trimestre 2019, la poche actions est ainsi majoritairement composée de fonds respectant les critères d’investissements ESG. 

Au 4e trimestre 2019, l’équipe de gestion a baissé la duration moyenne du portefeuille obligataire. Elle a augmenté la poche monétaire pour pouvoir profiter à nouveau du marché primaire début 2020. Différents risques vont demeurer en 2020 sur l’évolution de la croissance mondiale et pourraient apporter plus de volatilité sur les marchés. L’allocation sectorielle de la poche obligataire restera défensive et diversifiée au 1er semestre 2020.

L’exposition aux marchés actions restera quant à elle prudente dans l’attente de mise en œuvre de stratégies opportunistes. La stratégie visant à renforcer les actifs non cotés dans l’allocation du fonds se poursuit. Elle permet de limiter la volatilité de la valorisation des actifs tout en confortant le rendement attendu du fonds à moyen terme.

Caractéristiques du fonds

Lancé en janvier 2015, « G Croissance 2014 » est un fonds croissance qui se situe à mi-chemin entre les fonds en euros et les supports en unités de compte (UC). Son objectif d’investissement de moyen-long terme peut s’adapter aux différents projets de vie des épargnants : financer les études de leurs enfants, épargner en vue d’un achat immobilier, se constituer un complément de revenus pour la retraite, etc.

Lors d’un investissement sur le « fonds G Croissance 2014 », le souscripteur a la possibilité d’investir au sein d’un seul et même contrat — assurance vie ou de capitalisation — sur trois engagements différents. Chacun correspond à un couple durée/niveau de garantie au terme qu’il a lui-même déterminé. La durée d’un engagement peut ainsi varier de 8 à 30 ans maximum et le niveau de garantie en capital au terme de 80 % à 100 %. Par ailleurs, le souscripteur peut diversifier son épargne en la répartissant entre fonds en euros, le fonds « G Croissance 2014 » et des supports en UC.

Le fonds « G Croissance 2014 » est notamment disponible au sein des contrats Himalia (distribué par les Conseillers en Gestion de Patrimoine), Espace Invest 5 (distribué par les Banques privées et Banques régionales) et L’Epargne Generali Platinium (distribué par les Agents généraux et Courtiers).  Il est accessible lors de la souscription d’un nouveau contrat, par transformation d’un contrat existant ou par transfert, à condition de préserver l’antériorité fiscale du contrat d’origine.

Loi PACTE et fonds Eurocroissance

La loi Plan d’Action pour la Croissance et la Transformation des Entreprises (PACTE) du 22 mai 2019 vise à multiplier par 10 les encours du fonds Eurocroissance en 2 ans. Cela revient à passer de 2 à 20 Mds€ à l’horizon fin 2022. Le principal objectif de la loi PACTE consiste à créer une nouvelle génération de fonds Eurocroissance, dont le fonctionnement et la communication seront simplifiés par rapport au fonds Eurocroissance existant afin de le rendre plus lisible pour les épargnants. 

La loi PACTE prévoit notamment la création d’un nouveau fonds Eurocroissance qui coexiste avec le fonds Eurocroissance actuel ; et la possibilité de transférer un contrat comportant l’ancien fonds Eurocroissance vers un contrat comportant le nouveau fonds Eurocroissance, selon les modalités et conditions définies par l’assureur. L’investissement net de frais sur le fonds « G Croissance 2014 » supporte un risque de perte en capital, en cas de désinvestissement avant l’échéance ou d’un niveau de garantie partiel.

Les montants investis sur le fonds « G Croissance 2014 » sont sujets à des fluctuations à la hausse ou à la baisse dépendant de l’évolution des marchés financiers. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. L'investissement sur les supports en UC supporte un risque de perte en capital puisque leur valeur est sujette à fluctuation à la hausse comme à la baisse dépendant notamment de l'évolution des marchés financiers. L'assureur s'engage sur le nombre d'UC et non sur leur valeur, qu'il ne garantit pas.

Lire (6 min.)

Generali France recrute une Directrice des Solutions d’Assurance

La Rédaction
Le Courrier Financier

Generali France — filiale française de Generali — annonce ce lundi 3 février le recrutement d'une nouvelle Directrice des Solutions d'assurance du marché de l'Epargne. Anne-Emmanuelle Corteel (49 ans) rejoint l'assureur en tant que Directrice des Solutions d'assurance du marché de l'Epargne.

Dans le cadre de ses fonctions, elle est rattachée à Hugues Aubry, membre du Comité exécutif, en charge du marché de l'Epargne et de la Gestion de Patrimoine. Elle accompagnera la dynamique de transformation de l’Epargne au sein de Generali France.

Focus sur le parcours d'Anne-Emmanuelle Corteel

Generali France nomme une Directrice des Solutions d'Assurance
Anne-Emmanuelle Corteel


Anne-Emmanuelle Corteel est diplômée de l’Université Paris IX Dauphine, d’un DESS en Stratégie et Contrôle, ainsi que d’une Maîtrise de Gestion des Entreprises en Finance. Après avoir occupé différents postes au sein d’UAP Collectives puis d’AXA Conseil, elle intègre en 2000 la Direction Technique Vie Individuelle d’AXA France en qualité de Responsable de l’inventaire.

En 2003, elle évolue au poste de Responsable Actuariat et Rentabilité, au sein de la même Direction. En 2007, Anne-Emmanuelle Corteel devient Responsable du pilotage économique du réseau Epargne et Prévoyance au sein de la Direction AXA Particuliers Professionnels d’AXA France.

En 2010, elle rejoint l’entité AXA Méditerranée – Amérique Latine, basée à Madrid, en charge du Business Developpement sur le marché du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord avant d’être nommée Directrice Epargne et Prévoyance, en 2012.

Dans ce cadre, elle mène des projets de transformation comme le développement des Unités de compte, la rationalisation des portefeuilles d’Epargne ou le redressement de portefeuilles en prévoyance. En 2017, Anne-Emmanuelle Corteel rejoint la Direction Epargne et Prévoyance d’AXA France en tant que Directrice Offre Investissement et Devoir de Conseil, à Paris.

Lire (2 min.)

Generali Global Corporate & Commercial recrute une nouvelle Directrice France

La Rédaction
Le Courrier Financier

Generali Global Corporate & Commercial (GC&C) annonce ce mardi 2 avril le recrutement d'une nouvelle Directrice France. Gaëlle Tortuyaux prendra ses fonctions le 1er juin 2019, avec pour mission de conduire la stratégie du Groupe Generali sur le segment des grandes entreprises dommages et de mener le développement rentable et durable de l’activité en France. Elle succède à Vincent Moutier, qui quitte le Groupe Generali.

Focus sur le parcours de Gaëlle Tortuyaux

Gaëlle Tortuyaux est diplômée en droit des affaires de l’Université de Paris XII ainsi que d’un Mastère en droit des assurances et de la responsabilité civile. Elle bénéficie de 20 ans d’expérience dans l’assurance des entreprises, dont 6 sur le marché londonien.

Depuis 1999, Gaëlle Tortuyaux a occupé des postes de responsabilité croissante au sein du Groupe AXA, jusqu’à devenir PDG d’AXA Corporate Solutions UK. Elle a ensuite rejoint l'assureur RSA, chez qui elle exerçait jusqu’ici les fonctions de Managing Director France.

Lire (1 min.)

Nominations chez Generali France

La Rédaction
Le Courrier Financier
Arnaud Leboucher devient directeur commercial du courtage IARD Il est rattaché  à Régis Lemarchand, membre du comité exécutif de Generali France. Arnaud Leboucher, a commencé sa carrière en 1997 en tant que souscripteur Financial Lines chez Chubb, avant de devenir Financial Lines and Financial Institutions Manager chez Zurich Global Corporate France puis Client Executive chez Marsh France. Il a ensuite occupé les fonctions de Global Relationship Leader chez Zurich Global Corporate France, puis de Financial Lines Proposition Manager chez Zurich Global Corporate Europe, et enfin de Head of Broker Relationship Management chez Zurich Global Corporate France. Il rejoint Generali en 2014 et y occupe les fonctions de Head of Client & Broker Relationship Management de Global Corporate & Commercial France et responsable de la coordination Grand Courtage de Generali France. Arnaud Leboucher, 45 ans, est titulaire d’un Master 2 Droit des Assurances de l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne et est diplômé de l’Institut des Assurances de Paris Dauphine. Thierry Rogez devient directeur commercial du courtage Vie Il est rattaché à Sophie Vannier, directrice du marché de la protection sociale des professionnels et petites entreprises. Thierry Rogez a commencé sa carrière dans le Groupe Arpège en 1993. Il rejoint ensuite le Groupe Médéric en 1998 en tant que Délégué régional. En 1999, il devient Inspecteur Assurances collectives aux AGF. En 2006, il rejoint Allianz comme délégué régional Nord et Paris. Enfin, en 2011, il rejoint Generali comme Directeur province de l’inspection collectives courtage et à partir de 2016 en tant que Directeur Paris Ile-de-France de l’inspection collectives grand courtage. Thierry Rogez, 48 ans, est titulaire d’une maîtrise de droit privé de l’Université de Strasbourg III Robert Schuman.
Lire (1 min.)

La SCPI Pierre Expansion Santé cède un actif parisien

La Rédaction
Le Courrier Financier

Au terme d’une consultation restreinte, PIERRE EXPANSION SANTÉ a cédé un hôtel particulier d’environ 1 000 m² et ses dépendances, anciennement à usage de maison de retraite, au groupe DELTA IM, dans le cadre d’un projet de réaménagement en établissement d'enseignement.

Cette cession permet à la SCPI de dégager une plus-value conséquente sur un actif détenu depuis 1996, et à l’acquéreur d’associer un bâtiment historique à un programme neuf en cours de construction sur une parcelle contiguë.

Le site est intégralement pré-loué à un prestigieux établissement d’enseignement italien dans le cadre d’un bail de longue durée.

La SCPI PIERRE EXPANSION SANTÉ était conseillée par les sociétés Flabeau et BNP Paribas Real Estate, ainsi que par l’Etude Michelez Notaires.

L’acquéreur était conseillé par l’étude Monceau Notaires.

Lire (1 min.)

L’ANACOFI Finance d’Entreprise innove avec son Observatoire des Signaux Faibles

La Rédaction
Le Courrier Financier

La section s’est renforcée par la mise en place d’une Commission Finance d’Entreprise pilotée par Jean-Louis PICOLLO qui s’appuie sur le soutien du Président Confédéral David CHARLET.

Composé d’une dizaine de professionnels reconnus, qui rencontrent au total près de 500 chefs d’entreprise par an, elle se réuni tous les 4 mois et elle apporte aux adhérents une réflexion et une visibilité sur leurs métiers, sur les bonnes pratiques, sur les formations, et initie des contacts qui viennent ainsi enrichir notre écosystème.

Pour 2024, la section Finance d’Entreprise innove avec son OBSERVATOIRE des SIGNAUX FAIBLES.
Loin des prévisions aléatoires et des statistiques utopiques, cet OBSERVATOIRE basé sur nos remontées du terrain, a pour objectif de donner une information rapide et synthétique à nos adhérents et aux clients de nos adhérents sur des indices naissants pouvant influencer les prises de décisions des prochains mois.

Les membres de la Commission Finance d’Entreprise :

  • Fabienne GRETEAU- COFINGEST
  • Sébastien ROUZAIRE – KERIUS FINANCE
  • Ludovic SARDA – PYTHAS CAPITAL
  • Guy COHEN – INGÉNIERIE SOCIALE
  • Florent GUIGUE – EMERGEANCES
  • Nathalie DESSEAUX et Franck MAGNE – EAVEST
  • Julien DRAY – UNCONFLICTED MANAGEMENT
  • Edouard SEGUIN – PIMENT & Co
  • Jean-Louis PICOLLO – RESOLVYS
    Invités : David GANDAR et Nébojsa SRECKOVIC.
Lire (1 min.)

La Place ouvre ses portes au Palais Brongniart

La Rédaction
Le Courrier Financier
Poumon de l’activité financière tout au long des XIXe et XXe siècles, le Palais Brongniart a été le foyer de la levée des capitaux qui ont financé la première puis la deuxième révolution industrielle. Animé aujourd’hui par GL events, leader mondial de l’événementiel, ce lieu désormais mythique a rassemblé en 2016 pas moins de 150 événements dans le domaine de la finance et des nouvelles technologies, et accueilli plus de 200 000 dirigeants et cadres. Au cœur de ce monument phare du patrimoine parisien, La Place souhaite renouer avec l’histoire de ce lieu avec un regard résolument tourné vers l’avenir. Avec l’appui de ses grands partenaires, Generali France et le Crédit Agricole, et de ses membres fondateurs – Bpifrance, le Pôle Finance Innovation, l’Institut Louis Bachelier et Paris Europlace –, La Place affiche un objectif clair : devenir le symbole du dynamisme des Fintech et de l’innovation dans la finance.
Lire (1 min.)

Nomination de Sophie Vannier au sein de Generali France

La Rédaction
Le Courrier Financier
Elle exerçait  précédemment au sein du groupe AXA, en tant que directrice épargne, prévoyance et santé pour les régions Amérique latine, Afrique et Moyen Orient.

Sophie Vannier commence sa carrière en 1987 à la banque de l’Union Européenne (Groupe CIC) où elle est gérante obligataire pour le compte d’investisseurs institutionnels.

En 1989, elle intègre la direction des investissements du GAN en tant que gérante obligataire pour les sociétés du groupe et comptes de tiers. En 1993, elle rejoint la direction du plan/comptabilité technique, en charge notamment des prévisions des résultats de l’ensemble des branches d’activité, et participe à la vente du GAN à Groupama.

A partir de 1999, Sophie Vannier poursuit sa carrière dans les domaines de l’épargne, de la prévoyance et de la santé, d’abord au sein de SOCAPI (groupe CIC) en tant que responsable technique des offres Vie et Prévoyance Individuelles.

Puis, en 2001 elle est nommée  directrice technique Vie individuelle des réseaux non-captifs d’AXA France. En 2008, elle rejoint la Holding du Groupe pour animer la Stratégie Epargne monde, et l’offre auprès des clients patrimoniaux et seniors au sein de la direction Marketing et Distribution. Enfin, en 2013, elle part exercer à Madrid en tant que directrice épargne, prévoyance et santé pour la  régions EMEA-LATAM du Groupe AXA.

Sophie Vannier, 53 ans,  est titulaire  d’un DESS banques et assurances et d’un diplôme d’actuaire délivré par le CNAM. Elle est membre associé de l’Institut Français des Actuaires.

Lire (1 min.)

Marine Nguyen et Laurence Massot-Delorme prennent les rênes de la conformité et de la trésorerie de Generali France

La Rédaction
Le Courrier Financier
Marine Nguyen est nommée Directrice de la conformité de Generali France, en remplacement de Christine Metz. Jusqu’à présent directrice des solutions d’assistance d’Europ Assistance France, Marine Nguyen, 37 ans, est […] Marine Nguyen est nommée Directrice de la conformité de Generali France, en remplacement de Christine Metz. Jusqu’à présent directrice des solutions d’assistance d’Europ Assistance France, Marine Nguyen, 37 ans, est diplômée de l’ESSEC. Elle débute sa carrière en 2002 comme responsable organisation au sein des AGF Vie. En 2004 elle devient auditeur interne avant de rejoindre Le Conservateur en tant que chargée de mission auprès de la direction générale en 2007. Elle intègre Generali France en 2008 comme responsable de mission au sein de la direction de l’audit interne. En 2013, elle devient responsable conformité et contrôle interne à la direction de l’Indemnisation. En parallèle, elle participe à un groupe de travail international destiné à construire la stratégie 2015-2020 du groupe Generali. Depuis 2015, Marine Nguyen était directrice des solutions d’assistance d’Europ Assistance France.   Laurence Massot-Delorme est nommée Directrice trésorerie et corporate finance de Generali France. Laurence Massot-Delorme, 52 ans, est diplômée de l’ICS Bégué. Elle débute sa carrière en 1988 à la banque WORMS à Paris aux services comptables et financiers avant de devenir en 1993 contrôleur Front Office de la Salle des Marchés. En 1998, elle intègre Generali Finances comme manager du Middle Office. Elle devient responsable de la Trésorerie Groupe de Generali France en 2003 puis du Cash Management et du Reporting en 2008. Depuis 2014, elle était au Head Office Corporate Finance et Treasury à Trieste en charge du projet stratégique du pilotage de la trésorerie.
Lire (1 min.)

Hélène N’Diaye rejoint le Comité exécutif de Generali France

La Rédaction
Le Courrier Financier

Hélène N’Diaye, 44 ans, est actuaire, diplômée de l’Institut de Sciences Financières et d’Assurances (ISFA). Elle débute sa carrière en 1995 chez GAN Assurances en tant qu’actuaire à la Direction Vie avant d’intégrer la Direction de l’Audit Interne. Au moment de l’acquisition du Gan par Groupama, elle évolue au sein de la Direction Internationale puis de la Direction Actuariat Groupe de Groupama.

Hélène N’Diaye rejoint Generali France en 2006, en tant que responsable de la gestion des risques, puis est nommée directrice des Risques en janvier 2013. Depuis avril 2016, elle est directrice en charge de la Technique Assurance.

Lire (1 min.)

Qonto et Regate unissent leurs forces pour offrir la meilleure solution de gestion financière aux TPE-PME et aux cabinets d’expertise-comptable

La Rédaction
Le Courrier Financier

Cette acquisition permet à Qonto de renforcer ses outils financiers destinés aux PME, d'introduire une offre spécifiquement conçue pour les cabinets d'expertise-comptable et illustre son ambition de devenir la solution de gestion financière de référence pour un million de PME et d'indépendants d'ici fin de 2025.

Une solution de gestion financière renforcée pour les PME européennes

Créée en 2020 et établie à Paris, Regate a développé une plateforme d'automatisation comptable et financière déjà utilisée par 10 000 TPE-PME et 500 cabinets d’expertise-comptable. En unissant leurs forces, Qonto et Regate vont créer l'offre la plus complète du marché à destination des TPE-PME et des cabinets d'expertise-comptable. Plus de 450 000 entreprises recourent déjà à Qonto pour simplifier la gestion de leurs finances, grâce à un compte professionnel en ligne complété par à des outils de gestion financière avancés. L'ajout de Regate à l'écosystème de Qonto apportera des fonctionnalités d’automatisation supplémentaires pour la gestion des comptes fournisseurs et clients, ainsi que pour la pré-comptabilité, garantissant un échange de données efficace et intégré entre les TPE-PME et leurs cabinets d’expertise-comptable.


Une offre dédiée à destination des cabinets d’expertise-comptable

L'intégration du produit et de l'équipe de Regate, permettra à Qonto de proposer une offre spécifique pour les cabinets d'expertise-comptable. Ces derniers bénéficieront d'une interface partagée avec leurs clients, depuis laquelle ils pourront en quelques instants générer leurs écritures comptables. Le tout de manière automatisée, en tirant le meilleur parti de leur outil de production historique tel que
Sage, Cegid ou ACD, leaders du marché européen.

Aujourd'hui, en France, 6 000 cabinets d'expertise-comptable utilisent déjà Qonto économisant jusqu’à deux heures par mois par client géré. Qonto aspire à faciliter encore davantage les échanges entre les PME et les cabinets d'expertise-comptable, notamment lors de l'étape cruciale de la création d'entreprise.

Dans cette optique, Qonto lancera d’ici fin mars 2024 une nouvelle fonctionnalité permettant aux cabinets d'expertise-comptable d’initier le processus de dépôt de capital au nom de leurs clients, rendant la création d’entreprise possible en moins d’une semaine.

La création d’un nouveau département dédié aux cabinets d’expertise-comptable au sein de Qonto L’équipe de Regate, forte de plus de 100 collaborateurs, rejoindra les 1 400 Qontoers pour former un nouveau département dédié aux services financiers à destination des cabinets d’expertise-comptable.

Alexis Renard et Laura Pallier, co-fondateurs de Regate, prendront la tête de ce nouveau département, respectivement en tant que Directeur Général et Directrice Produit.
Qonto a déjà démontré sa capacité à intégrer avec succès de nouvelles acquisitions, comme en témoigne le rachat de Penta, champion allemand de la fintech, en juillet 2022, dont l'intégration a été finalisée fin 2023.

Avec l'acquisition de Regate, Qonto confirme sa position de leader dans la consolidation de la fintech
européenne.

« Ce rapprochement avec Regate nous permet de proposer aux PME et aux cabinets d’expertisecomptable la solution de gestion financière la plus aboutie du marché. Cela va non seulement accélérer notre croissance, mais aussi renforcer significativement notre position de leader sur un marché hautement concurrentiel. Grâce à notre nouvelle offre spécifique, incluant les partenariats existants entre Regate et des acteurs leaders du secteur tels que Sage ou Cegid, nous sommes désormais équipés pour répondre aux besoins des cabinets d’expertise-comptable et devenir un partenaire privilégié pour eux et leurs clients », explique Alexandre Prot, CEO et cofondateur de Qonto. « Nous avons hâte d’accueillir les équipes de Regate – et au vu de leur parcours impressionnant et de leurs ambitions, je suis convaincu de leur très bonne intégration parmi nos 1 400 Qontoers. »

« Nous sommes très enthousiastes à l’idée de rejoindre Qonto et de contribuer ensemble à l'émergence d'un champion européen de la fintech. Je suis convaincue que nous avons un grand rôle à jouer, non seulement à travers le développement de l’offre produit, mais aussi en apportant notre expertise et notre expérience dans les domaines comptables et financiers - une situation gagnante tant pour nos clients que pour ceux de Qonto ! », déclare Laura Pallier, cofondatrice de Regate.

Lire (4 min.)

Cours de l’or : nouveaux records historiques !

La Rédaction
Le Courrier Financier

Ce qu’il faut retenir du mois écoulé


• Nouveaux records à 1931 euros et 2098 dollars en clôture du 4 mars
• Performance 2024 : +4.2% en euros
• La perspective de baisse des taux dope le cours du le métal jaune
• Une demande chinoise robuste
• Géopolitique : enracinement et élargissement des crises


Nouveaux recordsEn ce début de mois de mars, le cours de l’or vient d’établir un nouveau record historique. Le 4 mars, au fixing du soir de Londres, Il a atteint un niveau de 1931.67 euros l’once. Après un mois de février à
l’équilibre, le métal jaune s’apprécie donc de 2.5% en mars.

Au matin du 5 mars, le cours continue même sa hausse et avoisine 1950 euros, soit une progression supplémentaire de 1% environ. A l’heure d’écrire ces lignes, le métal jaune s’apprécie de 4.2% depuis le début de l’année. A titre de comparaison, le CAC 40 s’apprécie de 5.6% depuis le début de l’année.

La photo est similaire pour le cours en dollar, avec une clôture à Londres le 4 mars au plus haut historique (2098 dollars) et une reprise le 5 mars dans le vert avec un cours de 2117 dollars.

Ces records dépassent les pics établis durant les précédentes crises, en 2020 pendant l’épidémie du Covid, en février/mars 2022 lors de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, et fin 2023 alors que le conflit entre Israël et le Hezbollah s’enclenchait.
Pour aller plus loin : Comment est fixé le cours de l’or ?

La perspective de baisse des taux américains booste le métal jaune

L’économie américaine accumule les mauvaise nouvelles ces derniers jours : commandes de biens durables en recul de 6%, confiance des ménages en net repli, inscriptions chômage plus élevées qu’attendues, indice de confiance des directeurs d’achats en berne, etc. Il n’en fallait pas plus pour raviver les attentes d’une baisse des taux directeurs américains. Le marché estime qu’il y a maintenant 4 chances sur 5 que la réserve fédérale abaisse ses taux en juin.
Le cours de l’or est dopé par cette perspective, puisqu’il a tendance à s’apprécier en période d’assouplissement monétaire et de baisse des taux d’intérêt réels. L’histoire récente le confirme : lors des 3 dernières cycles, après la première baisse des taux directeurs (2001, 2007, et 2019), le métal jaune s’est significativement apprécié.

Si beaucoup d’analystes s’attendaient à de nouveaux records en 2024, ils étaient plutôt anticipés pour la seconde moitié de l’année. Le fait que les records soient atteints maintenant, sur de simples anticipations et non après les premières baisses effectives, laisse penser que le cours pourrait aller beaucoup plus haut. Pour mémoire c’est le scénario de JP Morgan, qui anticipe un cours à 2300 dollars début 2025.

Il convient néanmoins de rester prudent à court terme sur ces anticipations de baisse de taux. Lors de son audition prochaine au congrès (6 mars), Jerome Powell devrait réaffirmer sa volonté de maintenir une politique monétaire plus restrictive. Des chiffres économiques meilleurs que prévus, notamment au niveau de l’emploi, pourraient également tempérer l’optimisme du marché.


Une demande chinoise robuste

Selon le World Gold Council, la demande d'or en Chine a atteint un niveau record en janvier, principalement due au réapprovisionnement avant le Nouvel An chinois (festivités entre le 10 et 17 février). Cet événement crucial semble avoir tenu ses promesses : les chiffres préliminaires du ministère du Commerce indiquent que les ventes d’or et de bijoux liées au nouvel an sont en hausse de 24% par rapport à l’an dernier. Parmi les explications de la demande soutenue, la popularité de l’année du dragon, assimilée à la prospérité et au succès.

Malgré le rebond de la bourse chinoise en février, l’or valeur refuge continue d’attirer sur fond de ralentissement économique, de volatilité des marchés, et de fragilité du marché immobilier. Les ETF or chinois ont connu des entrées significatives, atteignant un niveau record de gestion d'actifs (plus de 4 milliards de dollars).

Enfin, la Banque Populaire de Chine a continué ses achats d'or pour le 15ème mois consécutif, augmentant ainsi ses réserves de 10 tonnes.


Géopolitique : enracinement et élargissement des crises.

La confrontation OTAN- Russie s’enracine. En janvier, l’opération Steadfast Defender a été lancé par l’alliance atlantique. Il s’agit du plus grand exercice militaire occidental organisé sur le sol européen depuis la fin de la guerre froide. L’ambition, clairement affichée et exprimée est de se préparer à un conflit avec la Russie. Des exercices qui font écho aux propos de haut gradés européens.

La Russie continue à affirmer sa souveraineté sur la région arctique, soulignant l'importance pour les États arctiques comme le Canada de se préparer aux défis économiques et territoriaux dans cette zone stratégiquement significative. Fin février, des élus séparatistes de Transnistrie ont demandé la protection de la Russie face aux « pression » que subiraient les russophones de ce territoire situé en Moldavie, limitrophe de l’Ukraine.

Un appel qui ressemble à celui des populations du Donbass avant l’invasion russe en Ukraine. Parallèlement, la Chine étend son influence dans l'océan Indien, comme en témoigne un scandale impliquant un prétendu 'navire de recherche' chinois détecté près des exercices militaires Inde-Maldives-Sri Lanka, montrant l'empreinte militaire et diplomatique croissante de la Chine dans la région.

Lire (5 min.)