Yahoo! le rachat qui fait mal

Frédéric Ichay
Pinsent Masons
Depuis plusieurs mois, la disparition programmée de Yahoo a attiré au total la curiosité d'une quarantaine de sociétés (AT&T, Time Inc., Disney, la filiale de Google Alphabet, Bain Capital) ayant manifesté leur intérêt dans la reprise du pionnier d'internet, encore troisième service en ligne le plus populaire après Google et Facebook.
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