Didier Le Menestrel
Au cours des semaines précédant l’élection de Donald Trump, les salles de marché n’avaient d’yeux que pour le peso mexicain qui se dépréciait ou regagnait du terrain à mesure que fluctuaient les prévisions de vote en faveur de l’outsider. Maintenant que la fièvre a traversé l’Atlantique pour gagner la France, c’est le « spread France-
Allemagne » – l’écart de rendement entre une obligation d’Etat allemande et une obligation française de même maturité – qui est surveillé comme le lait sur le feu.
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