À quand le retour du discernement ?

Gérard Moulin
Dans le contexte macroéconomique actuel, les investisseurs revoient leurs prévisions de croissance des marges bénéficiaires. Ces comportements sont-ils adéquats ? Gérard Moulin, responsable Pôle Actions Européennes chez Amplegest, livre son analyse.
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Pénurie de semi-conducteurs : développement du numérique et tensions géopolitiques

Yan Taw Boon
Neuberger Berman
La pénurie mondiale de semi-conducteurs est souvent décrite comme un déséquilibre à court terme entre l'offre et la demande. De quelle façon révèle-t-elle un besoin important et durable en investissements ? Le point avec Yan Taw Boon, Directeur de la recherche Asie chez Neuberger Berman
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Hong Kong : quelles représailles économiques contre la Chine ?

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Le 30 juin dernier, la Chine imposait à Hong Kong sa nouvelle loi de sécurité nationale. Cette décision déclenche des remous économiques et politiques sur la scène internationale. Comment se positionnent les Etats-Unis et l'Union européenne (UE) ?
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Momentum – La rivalité Chine/Etats-Unis

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Au cœur de la crise sanitaire, Pékin est particulièrement agressif sur les plans diplomatique et militaire. Les stratèges chinois considèrent que la démocratie libérale est morte. Quel visage va prendre l'affrontement avec les Etats-Unis à l'avenir ? Notre expert Waldemar Brun-Theremin vous livre son analyse dans ce nouveau Momentum, votre incontournable rendez-vous financier !
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Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

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La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

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Marchés financiers : un contraste saisissant avec l’économie et les tensions politiques

Alexandre Baradez
IG France
Même si les marchés américains étaient fermés ce lundi 25 mai, le début de semaine a été marqué par la bonne tenue des marchés européens, malgré la forte hausse des tensions politiques entre les Etats-Unis et la Chine ce weekend. Comment comprendre la trajectoire des marchés actions ? Quel rôle la Fed a-t-elle joué ? L'éclairage de Alexandre Baradez, Responsable Analyses Marchés chez IG France.
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Etats-Unis / Chine : guerre commerciale, une série de défaites

Johannes Müller
DWS
Sur fond de pandémie de coronavirus, les Etats-Unis et la Chine reprennent la guerre commerciale. La menace d'une rupture des échanges, brandie par Donald Trump, représente-elle un risque réel ? Comment ces nouvelles tensions vont-elles affecter les échanges commerciaux, et notamment les exportations ?
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Etats-Unis / Chine : le conflit augmente sur fond de tensions à Hong Kong

Vincent Boy
IG France
Les tensions entre les Etats-Unis et la Chine s’intensifient sur fond de conflit commercial mais également concernant la nouvelle loi de sécurité que propose de mettre en place le parti chinois à Hong Kong. Quelles conséquences sur les marchés financiers ? Les explications de Vincent Boy, Analyste marché chez IG France.
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Marchés financiers : Donald Trump suggère de couper les liens avec la Chine

Vincent Boy
IG France
Cette semaine, les marchés deviennent nerveux. Fidèle à lui-même, le président Donald Trump évoque la rupture des liens commerciaux avec la Chine. En pleine crise sanitaire, quels seront les impacts économiques à venir de cette politique ? Les explications de Vincent Boy, Analyste chez IG France.
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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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Risques géopolitiques : Moyen-Orient, les tensions s’accentuent

Vincent Boy
IG France
Début 2020, les Etats-Unis ont réveillé les tensions avec l'Iran en orchestrant l’attaque qui a tué le général iranien Qasem Soleimani. Quelles seront les conséquences de ce retour des risques géopolitiques sur les marchés financiers ? Vincent Boy, Analyste chez IG France, partage son analyse.
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Brexit, guerres commerciales, tensions géopolitiques… Vers un 2e semestre instable ?

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le Brexit, les guerres commerciales et les tensions géopolitiques actuelles vont-ils se traduire par un second semestre instable ? Les stratégistes marché de Natixis Investment Managers et de ses sociétés de gestion affiliées ont publié le 13 août dernier la première édition du sondage Natixis Midyear Strategist. Les résultats suggèrent que les marchés seront confrontés à un certain nombre de scénarios défavorables, qui devraient entraîner un bilan 2019 plus faible.

Deux scénarios probables se dégagent : un Brexit houleux et une reprise de la croissance tirée par les nouvelles politiques des banques centrales. Les perspectives sont plus optimistes pour les obligations souveraines américaines, les actions émergentes, les titres immobiliers cotés internationaux (REIT) et les obligations émergentes avec la politique accommodante des banques centrales. Les prévisions sont plus pessimistes pour les cryptodevises, les actions britanniques, le high yield américain et les crédits bancaires.

Performances mondiales médiocres

Malgré un premier semestre 2019 globalement positif, les investisseurs mondiaux devront composer avec des performances médiocres au cours des six à douze prochains mois, d’après le sondage de Natixis Midyear Strategist publié par le Natixis Investment Institute. Le rapport présente pour la première fois les conclusions de 17 directeurs généraux, stratégistes marché et économistes de Natixis Investment Managers et de ses sociétés de gestion affiliées, sur les attentes des investisseurs au second semestre.

Le sondage a été achevé en juillet, juste avant la dernière querelle qui a encore agité les négociations commerciales entre les États-Unis et la Chine. Malgré deux années de confrontation entre ces superpuissances — qui ont à plusieurs reprises perturbé les marchés mondiaux — le scénario noir d’un Brexit houleux arrive en première position des risques pour l’économie mondiale. Les répondants sont moins préoccupés par le risque d’une récession. La majorité désigne « une récession aux États-Unis et/ ou dans le monde » comme étant le scénario pessimiste le moins envisageable.

La crainte d'un Brexit dur

Peu de stratégistes anticipent un dénouement favorable pour le Brexit. Même si certains d’entre eux espèrent que les nouvelles mesures des banques centrales entraîneront une reprise de la croissance, ils sont tout aussi nombreux à penser le contraire. Par ailleurs, les personnes interrogées n’anticipent pas d’accélération de la croissance mondiale ni de bénéfices des actions dans les six à douze prochains mois.

« Nos répondants voient peu de catalyseurs positifs sur les marchés. Ils ne considèrent pas non plus que le scénario noir d’une récession soit probable à court terme. Ces perspectives sont plutôt floues. Après une fin d’année 2018 morose, les actions et les obligations ont regagné du terrain au premier semestre 2019. Les performances des marchés ont jusqu’ici été largement motivées par les espoirs de nouvelles mesures d'assouplissement des banques centrales », commente Esty Dwek, Responsable de la stratégie marché internationale, Dynamic Solutions, Natixis Investment Managers.

Perspectives par classe d’actifs

Tandis qu’une nouvelle baisse des taux de la Fed semble très probable, les stratégistes de Natixis sont surtout optimistes pour les obligations souveraines américaines. Elles sont suivies par les actions émergentes, les titres immobiliers cotés internationaux et les obligations émergentes de tous types — à savoir les obligations libellées dans une devise forte ou locale et les obligations d’entreprises.

Le fil conducteur de ces prévisions haussières serait la politique accommodante des banques centrales, ainsi que l’abondance des liquidités mondiales. Les répondants sont en revanche plus pessimistes pour les cryptodevises, les actions britanniques, le haut rendement américain et les crédits bancaires. Pour chaque classe d’actifs, le sondage révèle les prévisions suivantes :

  • Actions : les stratégistes de Natixis Investment Managers prévoient de faibles rendements pour les actions américaines et de la zone euro au cours des six à douze prochains mois, mais n’anticipent pas non plus d’importantes pertes. Globalement, les perspectives pour les actions sont équilibrées et aucun stratégiste ne projette un marché baissier (-20 %) ni même une correction (-10 %) pour cette période.
  • Titres à revenu fixe : les banques centrales restent au cœur des préoccupations, tandis que les stratégistes de Natixis anticipent une politique plus conciliante de la part de la Réserve fédérale des États-Unis et de la Banque centrale européenne (BCE). En moyenne, ils prévoient que la Fed abaissera ses taux de 50 points de base d’ici la fin de l’année. Quant à l’Europe, les répondants s’accordent sur un nouvel assouplissement de la part de la BCE et anticipent une réduction de 5 à 10 points de base du taux de dépôt au jour le jour. Ces estimations ne font pas l’objet d’un consensus aussi fort : près de la moitié des personnes interrogées (8 sur 17) ne prévoient aucune modification du taux de dépôt au jour le jour. Ce positionnement suggère que la banque centrale européenne pourrait essayer d’activer d’autres leviers avant de réduire ses taux. Il s’agirait, par exemple, de mettre en œuvre des lignes directrices supplémentaires, de relancer le programme d’achats d’actifs à grande échelle (QE), ou d’adopter un système de taux par palier pour les dépôts.
  • Devises : la perspective d’une politique de taux d'intérêt plus souple de la part de la Fed et de la BCE se reflète particulièrement dans l’opinion des stratégistes sur les devises. Le consensus autour de la volatilité des devises est le plus fort : 10 répondants sur 17 anticipent une forte volatilité et aucun ne prévoit de baisse.
  • Matières premières : les stratégistes estiment que l’or reculera légèrement, de 1 à 3 % en moyenne, toutefois les opinions sont partagées à égalité. Ils projettent par ailleurs une baisse d’environ 5 % du cours du Brent brut sur la même période.
  • Volatilité : les prévisions des stratégistes de Natixis en matière de volatilité vont de pair avec leurs perspectives sur les actions. Ils anticipent une légère augmentation de la volatilité, avec une hausse du VIX de 2,1 points par rapport à son niveau de 15,1 en milieu d’année. Cette projection moyenne à 17,2 représente une augmentation modeste mais significative de la volatilité globale. Contrairement aux dernières interprétations des mouvements de marchés, les répondants estiment que les devises connaîtront la plus forte hausse de volatilité, suivies des actions. Les obligations/taux d’intérêt connaîtront probablement la plus faible volatilité.
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