Reporting ESG : WeeFin analyse la parité dans les stratégies d’investissement des SGP

La Rédaction
Le Courrier Financier

WeeFin — fintech à impact créée en 2018 pour démocratiser l’investissement socialement responsable (ISR) — publie ce mardi 21 novembre une analyse de l’intégration de la parité dans les stratégies d’investissement des sociétés de gestion (SGP).

Quelle place pour les femmes ?

Un tiers des membres des conseils d’administration des plus grandes sociétés cotées en bourse de l’UE sont des femmes. L’égalité Femmes-Hommes est encore loin d’être une réalité. Pour pallier ce constat, un cadre réglementaire se met peu à peu en place en Europe :

  • la Directive Européenne Women on Board de 2022, exigeant un pourcentage minimum de femmes dans les postes d’administrateurs non exécutifs ou dans les postes de direction ;
  • la loi Français Rixain de 2021, exigeant un pourcentage minimum de femmes cadres dirigeantes et membres d’instances dirigeantes.

Ces réglementations sont efficaces puisque les pays ayant instauré des quotas obligatoires ont vu la part des femmes dans les Conseils d’Administration augmenter plus rapidement. A titre d’exemple, la France se place comme le meilleur acteur de l’UE avec 45,3 % de femmes au sein des instances de directions de les grandes entreprises. 

Toutefois, malgré ces chiffres encourageants, il reste un long chemin à parcourir pour atteindre une mixité parfaite. Le secteur financier n’échappe pas à ce bilan, alors que l’étude Harvard Business Review a démontré que la mixité des équipes de gestion améliore considérablement la performance en matière de retour sur investissement. 

PAI 12 et 13, indicateurs de la parité

Le règlement (UE) 2019/2088 du Parlement européen et du Conseil du 27 novembre 2019, dit règlement « Disclosure » ou SFDR, introduit la notion de PAI (principales incidences négatives) en matière de durabilité. Il s’agit des décisions d’investissement ayant un impact négatif d’un point de vue environnemental, social ou de bonne gouvernance.

Parmi la liste des PAI, les sociétés de gestion se basent sur 2 PAI sociaux pour mesurer la parité : 

  • PAI 12 : Écart de rémunération entre hommes et femmes non corrigé (au sein des sociétés bénéficiaires des investissements) ;
  • PAI 13 : Mixité au sein des organes de gouvernance (le ratio femmes/hommes moyen dans les organes de gouvernance des sociétés concernées, en pourcentage du nombre total de membres).

WeeFin a étudié 50 sociétés de gestion de taille différente afin de rendre compte du niveau de reporting sur ces PAI ainsi que de leur prise en compte au niveau entité. 

Limitation au cadre réglementaire

Concernant la mixité au sein des organes de gouvernance, les niveaux d’incidence sont sensiblement similaires entre les acteurs, avec en moyenne, des émetteurs dont les conseils d’administration sont composés de 33 % de femmes. Un chiffre qui semble respecter mais ne pas dépasser le cadre réglementaire qui impose justement, la présence de femmes au sein des gouvernances à hauteur de 33 %.

Les mesures du PAI 12 révèlent, quant à elles, un écart de rémunération moyen de 12 % entre hommes et femmes dans les sociétés investies par les SDG. Ce qui rejoint finalement les conclusions d'Eurostat selon lesquelles les femmes travailleraient gratuitement depuis le 6 novembre. Toutefois, côté PAI, ce chiffre reste difficilement interprétable puisqu'en moyenne seulement 23% des sociétés investies ont communiqué les chiffres.

Favoriser la parité au sein des SGP

70 % des sociétés de gestion déclarent prendre en compte les PAI et 56 % ont bien reporté le premier jet de données quantitatives attendu pour juin 2023. A noter que parmi les sociétés de gestion ne déclarant pas prendre en compte ces PAI, certaines précisent qu’elles n’ont pas les données nécessaires pour le faire ou qu’elles ne sont pas dans l’obligation de le faire.  

Mais l’accès aux données ne devrait pas empêcher les fonds d’investissement d’être ambitieux sur la question de la parité. Des outils comme ceux proposés par WeeFin permettent d’accéder à diverses sources de données, de les agréger et de suivre des indicateurs afin de s’assurer que les choix d’investissement sont en adéquation avec la stratégie du fonds d’investissement.

« Nous constatons que les acteurs avec les meilleurs taux d’incidence et de couverture sont les acteurs utilisant l’engagement, la notation ESG et des exclusions dans ses modalités de prise en compte des PAI. Ainsi, ces résultats sont en accord avec nos recommandations sur la nécessité de combiner des méthodologies quantitatives et qualitatives, pour assurer une mitigation des impacts négatifs et également une amélioration des performances sur ces PAI des titres des portefeuilles », précise Sabrine Aouida, Chief Impact Officer de WeeFin.

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Groupama AM lance une stratégie actions sur la santé et le bien-être

La Rédaction
Le Courrier Financier

Groupama Asset Management (Groupama AM) — société de gestion d'actifs, filiale du Groupe Groupama — annonce ce lundi 3 avril le lancement d’un compartiment actions de sa Sicav « G Fund Health and Wellness ». Ce dernier investit dans « des entreprises estimées innovantes, créatrices de valeurs économiques et sociétales », dans les secteurs de la santé et du bien-être.

« G Fund Health and Wellness » met en œuvre une stratégie d’investissement de conviction dans les entreprises estimées en croissance, de toutes capitalisations, de toutes zones géographiques. Sa thématique est centrée sur l’innovation dans les domaines de la santé, la prévention, l’allongement de la vie en bonne santé et le bien-être tout au long de la vie.

Momentum favorable

La santé et le bien-être rejoignent de nombreuses tendances de fond — allongement de l’espérance de vie, prévention par le suivi médical et l’innovation technologique, développement de pathologies chroniques, etc. Depuis la crise sanitaire, ces enjeux deviennent stratégiques. Les entreprises de ces secteurs présentent une dynamique de croissance potentielle avec des perspectives prometteuses, sur des produits ou services essentiels et/ou très difficiles à remplacer.

L’équipe de gestion conjugue les expériences et expertises complémentaires de Julia Kung, gérante actions et convertibles internationales, de Philippe Vialle, gérant actions internationales et de Stéphane Fraenkel, directeur des gestions small & mid cap. L’équipe sélectionne les valeurs sur des critères de croissance, de valorisation, de qualité et d’évaluation des risques. Objectif, investir dans 30 à 60 entreprises présentes sur ces marchés porteurs à long terme, afin d’accompagner leur potentielle croissance future.

« Nous avons conçu cette stratégie fondamentalement pour accompagner les entreprises estimées innovantes qui contribuent activement au soutien du secteur de la santé et du bien-être dans le monde. L’investissement dans l’innovation est un vecteur de progrès pour atteindre une croissance durable et responsable. G Fund Health and Wellness entend renforcer cette dynamique d’innovation pour répondre aux problèmes de santé et de bien-être à travers le monde », explique Philippe Vialle, gérant actions internationales chez Groupama AM.

Suivre les ODD de l'ONU

L’univers d’investissement éligible se concentre sur les sociétés qui contribuent positivement, de manière exclusive ou cumulative :

  • à l’Objectif de Développement Durable (ODD) n°3 qui vise à assurer la santé et le bien-être de tous, en améliorant la santé procréative, maternelle et infantile, en réduisant les principales maladies transmissibles, non transmissibles, environnementales et mentales ;
  • à l’Objectif de Développement Durable n°9 qui promeut l’essor résilient et durable d’infrastructures, de l’industrialisation et de l’innovation. Ces secteurs doivent en effet être un moteur pour le recul de la pauvreté et l’amélioration de la qualité de vie dans le monde, tout en ayant un impact mineur sur l’environnement.

Objectifs de gestion ESG

La sélection repose également sur des facteurs d’exclusion : exclusion des filières jugées non compatibles avec la stratégie ISR (Investissement Socialement Responsable), de G Fund Health & Wellness (énergies fossiles, armes controversées) et exclusion des valeurs les moins bien notées de l’univers. Le résultat se matérialise par des objectifs de gestion ESG d’afficher un meilleur score que l’univers sur deux critères :

  • Le pourcentage de création d’emploi, indicateur disponible sur 90 % du portefeuille (hors liquidités détenues à titre accessoire dont OPC monétaire) ;
  • Le pourcentage d’émetteurs ayant une politique en matière des droits de l’Homme, indicateur disponible sur 70 % du portefeuille (hors liquidités détenues à titre accessoire dont OPC monétaire).

« Groupama Asset Management est engagé de longue date dans une gestion durable des investissements. Avec G Fund Health and Wellness, nous franchissons une étape supplémentaire avec l’intégration d’un objectif social dans l’objectif de gestion. En choisissant de soutenir les sociétés engagées sur l’ODD 3 et/ou l’ODD 9, nous apportons une réponse aux exigences croissantes de nos clients, investisseurs institutionnels comme particuliers, en matière d’investissement durable et leur offrons la possibilité d’investir pour l’avenir de manière responsable et transparente »commente Mirela Agache Durand, directrice générale de Groupama AM.

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BFT Investment Managers nomme une Responsable de la stratégie ESG

La Rédaction
Le Courrier Financier

BFT Investment Managers — société de gestion de portefeuille — annonce ce mardi 18 janvier renforcer ses équipes avec l’arrivée d'une Responsable de la stratégie ESG. Julie Fardoux prend ses fonctions dans le cadre d'un poste nouvellement créé, afin d'accompagner la croissance de l'activité de BFT Investment Managers.

Focus sur le parcours de Julie Fardoux

Julie Fardoux est diplômée d’HEC (1997). Elle débute sa carrière au sein des groupes L’Oréal puis Procter & Gamble dans des fonctions marketing (1998-2001). Elle occupe ensuite des fonctions de Responsable de la communication chez Crédit Agricole CIB puis CA Cheuvreux (courtier actions). Elle rejoint le groupe Amundi en 2011, en tant que Responsable du Marketing Corporate d’Amundi ETF & Indiciel.

En 2015, elle intègre le département Investissement Responsable d’Amundi comme Responsable du pôle relations extérieures (Head of Advocacy). Elle y développe les relations avec les organismes de place, les initiatives de finance durable et les coalitions d’investisseurs ainsi que les ONG. Elle contribue aux relations avec les autorités de tutelle sur les sujets d’investissement responsable, et promeut l’investissement responsable auprès des investisseurs, et plus largement des publics externes comme internes d’Amundi.

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Capital investissement : Epopée Gestion finalise un premier closing de 84 millions d’euros

La Rédaction
Le Courrier Financier

Epopée Gestion — entreprise d’investissement co-fondée par Ronan Le Moal et Charles Cabillic en septembre 2020 — finalise ce jeudi 15 juillet une première levée de fonds à hauteur de 84 millions d’euros pour son fonds de capital investissement Epopée Transitions I.

Stratégie ESG

Le fonds a vocation à intervenir sur le long terme auprès de PME et ETI du Grand Ouest afin d’accompagner les dirigeants dans leurs projets de croissance et de transitions digitales, environnementales et sociétales.

Le fonds met en place une stratégie Environnementale, Sociale et de Gouvernance (ESG) qui incite toute entreprise du portefeuille à définir et suivre des critères de performance extra-financière. L’objectif consiste à revitaliser les territoires ruraux et générer un impact sociétal global.

Impact et emploi

Ce premier closing a été réalisé auprès de grands institutionnels français parmi lesquels Bpifrance, Tikehau Capital, MACSF, La Région Bretagne, Macif, Matmut, Caisse d’Epargne Normandie, ainsi qu’auprès d’entrepreneurs et de family office comme Louis Le Duff (Fondateur du Groupe Le Duff), Christian Roulleau (fondateur de Samsic), Malik Benrejdal (fondateur de IAD) ou encore Erwan Faiveley (via Faivinvest).

Epopée Transitions I est un fonds d’entrepreneurs pour les entrepreneurs. Sa vocation consiste à investir en fonds propres sur le long terme dans des PME ainsi que des ETI du Grand Ouest — de la Normandie à la Nouvelle Aquitaine — pour créer durablement de l’impact et de l’emploi dans les territoires.

84 millions d'euros

La particularité du fonds repose sur sa capacité à conjuguer accompagnement en fonds propres et accompagnement entrepreneurial pour soutenir les dirigeants dans leurs transitions qu’elles soient managériales, économiques, écologiques ou digitales.

Le fonds aura notamment recours à deux leviers : la croissance externe (stratégie de build-up) et un accompagnement opérationnel auprès des dirigeants par l’équipe d’accélération interne, pour transformer durablement les modèles d’entreprises. Pour ce premier closing, 84 millions d’euros ont été levés auprès d’une quinzaine de souscripteurs.

Critères de valeur durable

Les entreprises sont au cœur de la transition économique, écologique et solidaire. C’est pourquoi Epopée Gestion définira, avec elles, des critères de création de valeur durable pour prendre en compte les enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG).

Il s’agit pour Epopée Gestion de s’inscrire dans une démarche vertueuse globale, d’accompagnement au changement ; d'inciter les entreprises à intégrer les enjeux de création de valeur durable comme levier de transformation de la société — quel que soit le secteur d’activité de l’entreprise en question.

Des critères de performance extra-financière seront ainsi définis lors de chaque investissement, avec la mise en œuvre d’un plan d’actions ESG piloté par l’équipe de gestion. Une partie du carried sera directement indexé sur ces critères ESG.

Objectif 120 millions d'euros

Epopée Transitions I est un Fonds Professionnel de Capital-Investissement (FPCI) d’une durée de dix ans qui vise une taille finale de 120 M€. Le fonds investira principalement en qualité d’actionnaire minoritaire, en fonds propres ou quasi fonds propres, dans des entreprises de tout secteur : Telecom, santé, industrie, communication, agro-alimentaire, software, etc.

Epopée Transitions I prévoit d’investir un montant initial entre 2 et 10 millions d’euros dans une douzaine de participations. Il gardera une réserve financière pour accompagner durablement ces entreprises par des réinvestissements.

Proximité avec les territoires

Il fait partie des 10 premiers fonds à avoir obtenu le label « France Relance » dont l’objectif consiste à accompagner durablement la relance des entreprises dans les territoires. Le fonds a obtenu ce label grâce à son implication dans les territoires, ainsi qu’à son approche dans laquelle les impacts sociétaux et environnementaux sont fortement pris en compte.

Epopée Transitions I a la particularité d’être associé à un fonds de dotation au service des territoires et des écosystèmes locaux. Ce fonds permettra la réimplantation d’activités de première nécessité dans les villages du Grand Ouest et soutiendra ainsi la création d’emplois locaux.

Investir en fonds propres

Epopée Gestion abondera le fonds de dotation à hauteur d’un maximum de 10 % du carried du fonds et d’une partie des frais de gestion perçus par la société. Les souscripteurs d’Epopée Gestion peuvent également choisir d’abonder le fonds jusqu'à 5 % de leurs investissements dans une logique vertueuse de soutien global aux territoires et à leurs habitants.

« La vocation d’Epopée Transitions I est d’investir durablement en fonds propres dans des entreprises régionales pour faire éclore des champions régionaux en soutenant la croissance de PME et ETI. Dans un contexte marqué par une crise sans précédent, nous avons la conviction que les entreprises sont un puissant levier au service de la transformation sociétale et écologique », déclare Ronan Le Moal, co-fondateur d’Epopée Gestion.

« En combinant l’apport en capital à un soutien opérationnel, nous voulons avoir un impact global sur les territoires par la création d’emplois en local et la valorisation de circuits courts, au service d’une meilleure empreinte écologique et d’une plus grande qualité de vie », ajoute-il.

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Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

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La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

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