Marchés financiers : un rapport d’emploi décent

Karamo Kaba
Taux de chômage, niveau des salaires, qualité de l'emploi... La conjoncture est-elle suffisante pour que la Fed débute la réduction de ses rachats de titres ? Karamo Kaba, Directeur de recherche économique chez Ecofi.
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Parole de CGP – Social Care Consulting : « La crise sanitaire a accéléré notre transformation digitale »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Retrouvez l'émission du Courrier Financier, « Parole de CGP ». Les conseillers en gestion de patrimoine (CGP) nous présentent leur activité, les problématiques auxquelles ils sont confrontés, et nous racontent l’évolution de leur profession. Plongez dans l’actualité de la gestion de patrimoine !
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PER : l’AFG publie son étude 2021 sur l’épargne salariale

La Rédaction
Le Courrier Financier

L’Association Française de la Gestion financière (AFG) — organisation qui représente les professionnels de la gestion pour compte de tiers — publie ce jeudi 18 mars son enquête annuelle à propos de l’épargne salariale et de l’épargne retraite collective d’entreprise en 2020. Il en ressort notamment ce quelques chiffres-clés :

  • 147 milliards d’euros d’encours sur les plans d’épargne salariale et plans d’épargne retraite d’entreprise ;
  • 22,5 milliards d’euros en épargne retraite collective d’entreprise ;
  • 1,15 millions de titulaires d’un PER Collectif pour 8 milliards d’euros d’encours ;
  • 13 140 euros d’épargne par bénéficiaire en moyenne.

11,2 millions de salariés

« La crise sanitaire n’a pas entamé la détermination des entreprises à mettre en place ou à faire évoluer leurs dispositifs d’épargne salariale et retraite. La loi PACTE et l’ensemble des mesures en faveur de l’épargne salariale et retraite ont un impact concret, permettant à plus de 11,2 millions de salariés de bénéficier d’un dispositif d’épargne », déclare Dominique Dorchies, Vice-présidente de la Commission Epargne salariale et épargne retraite de l’AFG.

« Les Plans d’Epargne Retraite Collectifs se développent à bon rythme, représentant près de 35 % des flux de capitaux en épargne d’entreprise collective, après seulement un peu plus d’un an d’existence. La dynamique reste très positive sur les premiers mois de l’année 2021, mais sera à pondérer par les effets de la baisse attendue des résultats des entreprises sur les distributions de participation et d’intéressement », ajoute-elle.

PER, un bon cru en 2020

« Malgré la crise Covid-19, l’année 2020 est un très bon cru pour l’épargne salariale et l’épargne retraite d’entreprise avec l’essor du PER. L’année 2021 sera probablement marquée par une baisse sensible des sommes distribuées par les entreprises au titre de la participation et de l’intéressement à destination des salariés », explique Xavier Collot, Président de la Commission Epargne salariale et épargne retraite de l’AFG.

« La prise de conscience collective des valeurs de l’investissement responsable s’accélère et l’épargne salariale et retraite n’est pas en reste. Enfin, les bonnes mesures du plan de Relance sur l’actionnariat salarié ainsi que le fort développement des fonds labellisés Relance seront des leviers à activer en 2021 ! », se félicite-il.

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Rémunération des dirigeants du CAC 40 : des progrès timides

François Lett
Ecofi
D'après une récente étude Proxinvest, la rémunération des dirigeants d'entreprises a reculé en 2020. Cette évolution indique-t-elle les premiers effets du ratio d'équité, obligatoire depuis la loi PACTE ? Quel a été l'impact de la crise sanitaire ?
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Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

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La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

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Non, le travail au bureau ne deviendra pas l’exception !

Jean-Marc Peter
Pour freiner la transmission de la Covid-19, le télétravail s’est imposé dans de nombreuses entreprises pendant et à la sortie du confinement… avec comme corollaire des milliers de mètres carrés de bureaux dépeuplés. Le point avec Jean-Marc Peter, directeur général de Sofidy.
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Chômage partiel : renforcement du dispositif de contrôle des fraudes

La Rédaction
Le Courrier Financier

Face à la propagation du Covid-19, la France a décidé de généraliser l'accès des entreprises — quelle que soit leur taille — au dispositif de chômage partiel. Depuis le 25 mars dernier, la procédure de demande a été simplifiée pour permettre aux employeurs d'en bénéficier rapidement. Ce jeudi 17 septembre, le Gouvernement publie un état des lieux sur la mobilisation des services de l’Etat pour contrôler les fraudes.

Le choix d’une procédure simplifiée

Dans ce contexte exceptionnel, les autorités ont donc pris des mesures dérogatoires pour l’octroi de l’activité partielle. Objectif, indemniser au plus vite les entreprises pour le maintien de l’emploi et l’outil de production. Cela a conduit à mettre en place une procédure d’acceptation tacite dans les 48 heures et une indemnisation en moins de 10 jours. Plus de 1,1 millions de comptes ont été créés en mars contre 100 000 gérés avant la crise.

Face à cet afflux massif de demandes, des moyens ont été mis en œuvre pour effectuer des contrôles tout au long de la chaîne du processus d’indemnisation :

  • contrôle a priori à travers un système embarqué détectant les SIRET inactif ou les demandes multiples ;
  • croisement des données mises en œuvre progressivement (infolegale, DSN) ;
  • contrôle a posteriori sur pièces et places par les équipes du ministère du Travail ;
  • contrôle par l’organisme payeur ASP d’adresses mail frauduleuses ;

Les contrôles se produisent pendant tout le processus d’indemnisation : a priori tout au long du processus et après le paiement de l’indemnisation ; et a posteriori sur pièces ou dans l’entreprise. « Plus de 270 000 contrôles ont été menés depuis la mise en place du dispositif. Nous allons poursuivre ces contrôles et serons intransigeants avec ceux qui fraudent », déclare Elisabeth Borne, ministre du Travail, de l'Emploi et de l'Insertion.

50 000 contrôles a posteriori

D'après les chiffres du Gouvernement, plus de 220 000 contrôles à ce jour ont été menés a priori et plus de 50 000 contrôles menés a posteriori — après le versement de l’indemnisation. L’objectif fixé en mai dernier de 50 000 contrôles a posteriori réalisés avant la fin de l’été est donc tenu.

La fraude au total est évaluée à 225 millions d’euros, dont plus de la moitié a déjà été bloquée ou récupérée sur un dispositif global de 30 milliards d'euros. Pour continuer à lutter efficacement contre la fraude, de nouvelles dispositions sont en cours de déploiement :

  • une aide au contrôle via un outil informatique ;
  • un puits de données auprès de l’ASP ;
  • un allongement des délais de contrôle de 2 à 15 jours pour limiter la délinquance astucieuse

Collaboration renforcée

Les outils mis en place ont été accompagnés d’une coopération étroite entre les services, pour lutter contre la fraude au niveau national et local. La coopération étroite entre les services du ministère du Travail et du ministère des Comptes publics (services fiscaux, URSAFF, DGEFP, DGT et Tracfin) sera encore renforcée à l'avenir.

« Notre volonté est que chaque centime dépensé soit une aide apportée aux entreprises pour les soutenir pendant la crise que nous traversons. Grâce à la vigilance et à l’efficacité des services du ministère de l’Economie, des Finances et de la Relance, et en collaboration avec ceux du ministère du travail, nous veillons plus que jamais à détecter et sanctionner toutes les tentatives de fraude et nous allons dès les prochains jours renforcer encore la performance de nos outils », précise Olivier Dussopt, ministre délégué auprès du ministre de l'Économie, des Finances et de la Relance, chargé des Comptes publics.

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Covid-19 : l’Ordre des experts-comptables défend les entreprises

Charles-René Tandé
Président du Conseil Supérieur de l'Ordre des Experts Comptables

Point au 1er avril 2020

Parallèlement à la mise en œuvre d’un dispositif d’accompagnement global des professionnels dans cette période particulièrement difficile (« SOS entreprises » et « SOS cabinets EC/CAC » qui ont déjà traité plus de 3 000 demandes en 15 jours), le Conseil supérieur de l'Ordre fait remonter quotidiennement au Gouvernement les difficultés de terrain rencontrées par les experts-comptables et les entreprises.

A ce stade, je vous informe des messages que nous avons portés, des améliorations que nous avons obtenues, des questions sur lesquelles nous n’avons pas été entendus et des sujets sur lesquels des négociations sont toujours en cours. Car le Conseil supérieur est en contact avec des interlocuteurs privilégiés des principaux ministères et des administrations.

Ce que nous avons obtenu :

  • En début de crise, la possibilité pour les collaborateurs des cabinets de circuler librement dans le cadre de leur activité professionnelle ;
  • Le passage de 70 % à 50 % du seuil de baisse de CA ouvrant accès au fonds de solidarité pour les petites entreprises, annoncé hier par le ministre de l’Economie après la publication du décret ;
  • La suspension des contrôles fiscaux et des contrôles Urssaf ;
  • Le remboursement des crédits d’impôt sur les sociétés ;
  • L’assouplissement des procédures d’inscription, pour les experts-comptables, sur le portail déclaratif de l’activité partielle (dispense de faire signer un contrat de prestation de services au client) ;
  • L’application d’un seul taux de CSG aux allocations d’activité partielle à compter de mars ;
  • Le bénéfice du régime social de l’allocation d’activité partielle (exonération de charges sociales, CSG et CRDS au taux de 6,7 %) pour le complément de rémunération décidé par l’employeur ;
  • Des garanties sur la responsabilité pénale des employeurs qui continueraient de faire travailler les salariés sur site ;
  • L’extension du dispositif d’activité partielle pour réduction d’activité aux salariés sous convention de forfait annuel en heures ou en jours ;
  • L’extension du dispositif d’activité partielle aux entreprises étrangères sans établissement en France, pour leurs salariés travaillant en France ;
  • Le décalage des délais de dépôt des comptes de campagne ;
  • Un premier décalage des délais de dépôt des liasses fiscales et des déclarations de revenus des indépendants ;
  • Le décalage des délais d’approbation des comptes et l’adaptation des modalités de tenue des AG ;
  • Des mesures de bienveillance de la part du réseau des URSSAF.

Ce qui ne changera pas, malgré nos demandes :

  • La nécessité de déclarer et de verser la TVA ;
  • La déclaration et la transmission DSN : 5 avril pour les entreprises d’au moins 50 salariés, 15 avril pour les autres ;
  • La mise en place d’une hotline dédiée aux experts-comptables, pour le portail déclaratif de l’activité partielle.

Ce qui est en cours de négociation et d’amélioration :

  • Un nouveau report des délais de dépôt des liasses fiscales et des déclarations de revenus ;
  • Le report de paiement des échéances d’impôts directs du mois d’avril ;
  • Le report du paiement du solde de l’IS, de la liquidation de la CVAE et de la TVA ;
  • L’assouplissement des modalités de déclaration de TVA faites en avril et en mai pour tenir compte des difficultés d’obtention des pièces justificatives et de la réduction sensible d’activité pour un grand nombre d’entreprises ;
  • Le remboursement immédiat des créances de carry-back ;
  • L’assouplissement généralisé et homogénéisé des exigences des banques dans le cadre du prêt garanti par l’Etat (PGE) ;
  • L’homogénéisation de la doctrine des DIRRECTE dans la prise en charge de l’activité partielle et les modalités pratiques d’indemnisation des salariés ;
  • L’extension du bénéfice de l’activité partielle aux mandataires sociaux assimilés salariés (gérant minoritaire SARL, dirigeant SAS…) ;
  • L’homogénéisation des règles applicables aux salariés bénéficiant d’un arrêt garde d’enfants, lorsque l’entreprise est en activité partielle ;
  • L’acceptation des millésimes 2019 pour les liasses déjà transmises.

Par ailleurs, nous avons sollicité le ministère de l’Economie suite aux annonces du Ministre relatives à l’interdiction de verser des dividendes pour les entreprises ayant bénéficié des aides de l’Etat pendant la crise. Pour un nombre important de petites entreprises, les dividendes permettent de compléter la rémunération des dirigeants, ou encore de faire face au remboursement des prêts liés à l’acquisition du fonds de commerce ou de la structure d’exercice. Nous poursuivons les échanges avec le ministère sur ce sujet.

Vous noterez que pendant toute cette période, nous n’avons pas souhaité réagir ou surréagir à chaque annonce, privilégiant la prise de recul et le sang-froid. Nous avons opté pour une communication sûre et vérifiée.

Quoi qu’il en soit, tout ceci illustre à la fois notre détermination et notre volonté d’obtenir des aménagements de dispositifs réalistes permettant à un maximum d’entreprises d’être sauvées, et aux professionnels que nous sommes de travailler dans des conditions acceptables et pragmatiques.

Merci à toutes et à tous !

Prenez soin de vous.

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Prime Macron : les grands groupes adoptent le dispositif fiscal

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Pour calmer la crise des Gilets Jaunes, Emmanuel Macron a présenté en décembre dernier sa prime d'activité défiscalisée. Les entreprises peuvent la verser jusqu'à fin mars à leurs salariés payés moins de trois fois le Smic. Les grands groupes se sont emparés du dispositif avec enthousiasme.
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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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L’épargne salariale distribue près de 18 milliards d’euros en 2016

Philippe Crevel
Cercle de l'Epargne
Les résultats de l'épargne salariale en 2016 ont été dévoilés par le Ministère du Travail. L'étude révèle que 8,9 millions de salariés, soit 56% des salariés du secteur marchand non agricole, ont accès à un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale.
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Loi pacte : la CNCEF a remis ses contributions

La Rédaction
Le Courrier Financier
La Chambre Nationale des Conseils Experts Financiers (CNCEF), rassemblant une communauté d'experts dédiés à l'Entreprise (Conseils experts financiers, conseils haut de bilan et conseils aux institutionnels) a apporté sa contribution au plan d'action pour la croissance et la transformation des entreprises (PACTE).
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