EXCLUSIF / Le secteur immobilier à l’épreuve du risque climatique

Sarah Daymier
Square
EXCLUSIF / Les conséquences du changement climatique transforment le marché immobilier. Outre la valeur intrinsèque des biens, comment les financer et les assurer sur le long terme ? Le point avec Sarah Daymier, Project Manager chez Square.
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Risque climat : Descartes Underwriting lance en France sa filiale Descartes Insurance

La Rédaction
Le Courrier Financier

Descartes Underwriting — agence de souscription spécialisée dans les produits d’assurance climatique — annonce ce mardi 13 décembre le lancement de sa filiale Descartes Insurance. Elle devient un assureur grâce à l’octroi de son agrément par l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution (ACPR). Soutenue par des porteurs de risques de premier plan, Descartes Insurance a l’ambition d’accompagner le haut de segment des PME et les ETI françaises.

Se protéger du changement climatique

La filiale prévoit de s’étendre dans plusieurs pays de l’Espace Economique Européen en 2023. En parallèle, Descartes Underwriting continuera dans le monde entier ses activités d’agence de souscription auprès de son portefeuille de clients Grandes Entreprises, grâce à ses partenaires historiques. Descartes propose des couvertures d’assurance dans un monde bouleversé par le changement climatique et l’émergence de nouveaux risques.

Après un été marqué par les nombreuses sécheresses, inondations et tempêtes de grêle en Europe, cette entité développera de nouveaux produits pour servir davantage de clients. L’utilisation de nouvelles technologies sera toujours au cœur du processus d’innovation de Descartes, dans un enrichissement permanent des solutions proposées. Pour Descartes Underwriting comme pour Descartes Insurance, cette étape clé permet de renforcer les partenariats existants et le service auprès des partenaires courtiers et des assurés.

« Cette nouvelle étape illustre l’évolution du secteur de l’assurance et la façon dont nous devons protéger les assurés. Nous voulons incarner une nouvelle génération d’assureurs soutenue par les leaders de l’industrie de l’assurance et de la réassurance. En combinant des structures d’assurance innovantes, des technologies performantes, et notre propre capacité, nous protégeons les assurés contre l’ensemble des risques climatiques et émergents », déclare Tanguy Touffut, Président de Descartes Underwriting et Président non-exécutif de Descartes Insurance.

Nouveaux horizons pour l'assurance

Sébastien Piguet devient Directeur Général de Descartes Insurance, tout en continuant d’assumer ses fonctions Directeur de la Souscription de Descartes Underwriting. En parallèle, Kevin Dedieu, Directeur Recherche & Développement de Descartes, prend le rôle de Directeur général adjoint. « Descartes Insurance a toutes les ressources pour exceller dans ces temps difficiles liés au durcissement du marché, à l’impact du changement climatique et à la transition vers une économie décarbonée », déclare Sébastien Piguet.

Philippe Rocard rejoint Descartes Insurance comme membre indépendant du Conseil d’administration. « L’approche paramétrique a ouvert de nouveaux horizons pour l’assurance. Descartes Underwriting est un pionnier de ce nouveau monde, en développant un savoir physique et mathématique et en le mettant au service de la protection d’entreprises contre de nombreux risques, y compris le changement climatique », déclare-t-il.

« Depuis notre création, notre positionnement à la pointe de l’innovation a été rendu possible par notre capacité à traiter de nouvelles sources de données et à en extraire de la valeur pour nos courtiers et nos clients. Nous voyons ce jalon comme une opportunité unique d’intégrer notre vision scientifique, centrée sur le service du client, au cœur de nos opérations d’assurance », déclare Violaine Raybaud, Directrice des Opérations.

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Finance responsable — 3 questions à… Thomas Boidot-Dorémieux, Directeur du Lab Innovation chez Lamarck Group

Mathilde Ledroit
Le Courrier Financier
EXCLUSIVITÉ — La semaine de l’investissement responsable se tient du 29 septembre au 7 octobre 2022. A cette occasion, Thomas Boidot-Dorémieux, Directeur du Lab Innovation chez Lamarck Group, explique en exclusivité pour Le Courrier Financier la méthodologie de Lamarck Group en matière de « matérialisation des risques climatiques ».
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Risque climatique : la réforme de l’assurance récolte est adoptée par le Parlement

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le Gouvernement annonce ce jeudi 24 février que le projet de loi portant réforme des outils de gestion des risques climatiques en agriculture a été adopté par le Parlement, après un vote à une large majorité à l’Assemblée nationale puis au Sénat. Cette réforme historique portée par Bruno Le Maire, ministre de l’Economie, des Finances et de la Relance, et Julien Denormandie, ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, revoit en profondeur le système actuel pour mieux protéger tous les agriculteurs face aux aléas climatiques.

Couvrir les risques climatiques

Annoncée par le Président de la République, le 10 septembre dernier, la réforme de l’assurance récolte est née du constat d’une inefficacité du système actuel dans l’indemnisation des agriculteurs touchés par les aléas climatiques. Alors que ces aléas présentent une véritable menace pour la vie d’une exploitation, et donc pour la pérennité de notre modèle agricole, une réforme était essentielle. Cette réforme a pu être conçue grâce aux travaux menés lors du Varenne agricole de l’eau et de l’adaptation au changement climatique par le député Frédéric Descrozaille, puis, ces derniers mois, au Parlement.

Le projet de loi adopté établit une couverture universelle contre les risques climatiques accessible à tous les agriculteurs. A cette fin, il institue un dispositif de couverture des risques climatiques à trois étages, prévoyant une absorption des risques de faible intensité à l’échelle individuelle de l’exploitation agricole, une mutualisation entre les territoires et les filières des risques d’intensité moyenne, par le biais de l’assurance multirisque climatique dont les primes feront l’objet d’une subvention publique, et une garantie directe de l’Etat contre les risques dits catastrophiques.

Quatre principes fondamentaux

Ainsi, cette réforme du régime de l’assurance récolte repose-t-elle sur quatre principes fondamentaux :

  • une plus grande solidarité, avec une solidarité nationale accrue permettant d’atteindre un financement de 600 millions d’euros par an du dispositif (contre 300 millions d’euros aujourd’hui) ;
  • une universalité, en prévoyant une couverture des risques dits « catastrophiques » ouverte à tous les agriculteurs, quelle que soit leur filière ;
  • une meilleure lisibilité, avec une répartition des risques claire entre agriculteurs, assureurs et Etat ;
  • une plus grande rapidité, permettant une indemnisation accélérée — le système actuel pouvant conduire l’indemnisation à être versée avec jusqu’à deux ans de décalage ;

Ce texte, qui fixe les fondations de ce nouveau régime de couverture des risques climatiques en agriculture, sera promulgué dans les prochains jours. Un travail de concertation avec l’ensemble des parties prenantes se poursuivra afin de préparer les dispositions réglementaires et une ordonnance permettant de définir les modalités pratiques de mise en œuvre de la réforme. Ce nouveau régime de couverture devra être pleinement opérationnel en 2023 — soit l’année d’entrée en vigueur de la nouvelle programmation de la PAC, comme l’avait annoncé le Président de la République.

Système opérationnel dès 2023

« Nous menons, avec ce projet de loi, une réforme systémique de l’assurance récolte qui permettra de protéger chacune de nos exploitations agricoles. A partir de 2023, tous les agriculteurs pourront avoir accès à une couverture universelle, fondée sur la solidarité nationale, pour couvrir les risques les plus graves. En parallèle, un accès plus simple à l’assurance privée permettra de se protéger des autres risques. C’est un travail partenarial mené avec les fédérations professionnelles de l’agriculture, les assureurs et les parlementaires qui permet aujourd’hui d’aboutir à cette réforme historique », déclare Bruno Le Maire, ministre de l’économie, des finances et de la relance.

« L’adoption de la réforme de l’assurance récolte marque un véritable tournant dans nos politiques agricoles. La solidarité nationale vient se porter garante de la pérennité de nos productions agricoles dans un contexte d’accélération et d’intensification des épisodes climatiques exceptionnels. Cette réforme vient donc créer une véritable ceinture de sécurité pour tous les agriculteurs : en cas d’aléas exceptionnels la solidarité nationale indemnisera leurs pertes. Je tiens à saluer tout le travail mené avec les parlementaires permettant d’aboutir à une réforme structurelle, attendue et efficace. Désormais, le travail réglementaire doit s’ouvrir pour permettre la pleine opérationnalité du système dès 2023, comme annoncé par le Président de la République », déclare Julien Denormandie, ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation.

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Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

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La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

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EXCLUSIF / Risque climatique : une opportunité pour l’industrie bancaire ?

Romain Parinaud
Groupe Square
Comment les banques peuvent-elles répondre aux objectifs de l'Accord de Paris ? Quelles opportunités peuvent-elles saisir face au changement climatique ? Les explications de Romain Parinaud, consultant senior chez Groupe Square.
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Risque climatique : Aviva Investors accompagne la transition des entreprises européennes

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Comment bénéficier des tendances macroéconomiques à long terme, à travers une gestion active du risque climatique ? Aviva Investors cible les secteurs d’avenir à l’heure de la trajectoire carbone et de la taxonomie européenne. Le Courrier Financier fait le point sur le fonds « Aviva Investors Climate Transition European Equity ».
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RSE et développement durable : transformer le DAF en Chief Value Officer

Delphine Gibassier
Audencia
Les entreprises se montrent de plus en plus sensibles aux enjeux du développement durable. Comment l'intégration des critères ESG est-elle devenue centrale ? Quels changements pour la fonction de directeur financier ? Les explications de Delphine Gibassier, titulaire de la chaire « performance globale multi-capitaux » et directrice académique de l’Executive MBA Chief Value Officer à Audencia.
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Gestion thématique : Aviva Investors lance le fonds Aviva Investors Climate Transition Global Equity

La Rédaction
Le Courrier Financier

Aviva Investors — branche internationale de gestion d’actifs d’Aviva — annonce ce lundi 5 octobre le lancement de son fonds thématique « Climate Transition Global Equity ». Ce dernier-né de sa gamme accompagne la transition vers une économie plus sobre en carbone et à lutte contre l’augmentation des températures mondiales liée au changement climatique.

La SICAV « Aviva Investors Climate Transition Global Equity Fund » vise à valoriser le capital dans le cadre d’un investissement de long terme sur les marchés actions internationaux. Le fonds est géré par Jaime Ramos Martin, gérant de portefeuille chez Aviva Investors, avec Rick Stathers, spécialiste du changement climatique d’Aviva Investors, qui a développé une méthodologie exclusive pour définir le risque d'investissement climatique.

Stratégie d'investissement

La gestion de ce fonds se fonde sur une approche d’investissement à long terme reposant sur des convictions fortes : il privilégie les entreprises dont une part importante du chiffre d’affaires provient de biens et de services qui permettent d’atténuer les effets du changement climatique mais aussi de s’y adapter.

Le fonds investira dans des entreprises qui ajustent leur modèle économique pour tenir compte d’un environnement bas-carbone, marqué par une augmentation des températures. Il n’investira pas dans des valeurs exposées au charbon, aux combustibles fossiles non conventionnels, à la production de pétrole et de gaz dans l’Arctique ou à la production d’électricité issue de centrales thermiques au charbon.

Il limitera également son exposition aux titres d’entreprises produisant du pétrole et du gaz ou à celles de centrales électriques au gaz. Il cherchera également à générer de la performance en adoptant une approche d’investissement intégrant les idées et les analyses des 24 membres de l’équipe mondiale d’Investissement responsable et de la quarantaine de professionnels de la gestion actions.

Face au changement climatique

« L'incapacité du marché à anticiper les conséquences du changement climatique crée simultanément des risques et des opportunités pour les investisseurs. Grâce à l'expertise de nos spécialistes du climat et de nos équipes de gestion, nous sommes en mesure d’identifier non seulement les entreprises qui proposent des solutions d'atténuation et d'adaptation, mais aussi celles qui intègrent le risque de changement climatique dans leur modèle économique », déclare Jaime Ramos Martin, gérant du fonds.

« Cette approche globale nous permet de construire des portefeuilles de fortes convictions pour les investisseurs qui veulent avoir un impact positif sur le climat », précise-il. « Les investisseurs sont de plus en plus conscients des risques et des opportunités induits par le changement climatique. Le lancement de cette SICAV s’inscrit dans notre stratégie ambitieuse de générer de la performance et d’obtenir des résultats durables pour les investisseurs, via une gestion constructive des risques climatiques », ajoute Rick Stathers, analyste ESG senior chez Aviva Investors.

Principaux risques

La valeur d’un investissement et les revenus qui en découlent peuvent varier à la hausse comme à la baisse en fonction des fluctuations des devises et des taux de change. Les investisseurs peuvent ne pas récupérer le montant initialement investi. Le fonds « Aviva Investors Climate Transition Global Equity Fund » est soumis au risque de perte en capital.

Des investissements peuvent être effectués dans des produits dérivés, lesquels peuvent être complexes et très volatils. Les produits dérivés peuvent ne pas se comporter comme prévu et entraîner des pertes importantes. Certains actifs peuvent être difficiles à valoriser ou à vendre au moment voulu, ou à un prix considéré comme juste — en particulier pour des quantités importantes. Leurs prix peuvent donc être volatils.

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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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Climat : Jeff Bezos veut consacrer 10 milliards de dollars à sauver la planète

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Cette semaine, le patron d'Amazon Jeff Bezos annonce vouloir consacrer 10 milliards de dollars à la lutte contre le réchauffement climatique. Cette annonce intervient alors que les activités de la société américaines sont fortement critiquées pour leur bilan carbone. Le point avec Le Courrier Financier.
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