Mon Petit Placement passe le cap des 100 millions d’euros investis

La Rédaction
Le Courrier Financier

Mon Petit Placement — fintech lyonnaise, spécialisée dans l’investissement financier auprès des particuliers — publie ce mercredi 29 mars son bilan 2022. L'entreprise passe les 100 millions d’euros investis depuis sa création, en 2017. Mon Petit Placement revendique aujourd'hui plus de 150 000 utilisateurs, et plus de 220 % de croissance en trois ans. En 2022, la fintech gagne plus de 12 000 nouveaux clients. Côté produits, sa gamme s'élargit.

Mon Petit Placement lance quatre nouveaux portefeuilles : Immobilier, Environnement, Private Equity et Anti-Inflation. En 2022, la fintech a fait de ce développement une priorité, au regard du contexte inflationniste et macroéconomique. Pour accélérer sa stratégie d'acquisition client, Mon Petit Placement a recruté 15 personnes — ce qui porte son effectif total à 50 collaborateurs, tous basés à Lyon (Rhône).

Démocratiser l'investissement

Mon Petit Placement souhaite désormais gagner plus de 50 000 nouveaux clients. Objectif, multiplier par quatre le montant total de son capital sous gestion. Pour ce faire, l'entreprise prévoit de recruter 30 nouveaux collaborateurs — majoritairement afin de renforcer l'équipe support client (stratégie « client centric ») et l'équipe tech.

La synergie entre acteurs financiers est essentielle, c'est pourquoi Mon Petit Placement prévoit de poursuivre sa stratégie de partenariats. Elle souhaite nouer de nouvelles collaborations, avec d'autres fintechs françaises et de grandes institutions financières — banques, assurances, etc.

« L’année 2022 a été particulièrement difficile entre la guerre en Ukraine et l'inflation record, pourtant c’est dans un contexte comme celui-ci que notre solution a pris tout son sens. Celui de redonner du pouvoir d’achat aux Français et rendre accessible une solution qui n’était jusqu’à présent destinée qu'à une certaine classe sociale », déclare Thomas Perret, Président et fondateur de Mon Petit Placement.

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Bourse : qui sont les investisseurs particuliers depuis la crise sanitaire ?

La Rédaction
Le Courrier Financier

Après une première analyse du comportement en Bourse des particuliers réalisée en avril 2020 lors du premier confinement, l’Autorité des marchés financiers (AMF) publie ce mardi 30 novembre une nouvelle étude. Elle a été menée sur un périmètre différent, du T3 2018 au T3 2021. Dans ce document, L'AMF confirme le regain d’intérêt des particuliers pour les instruments financiers dont elle a la compétence.

Chargée de veiller au bon fonctionnement des marchés financiers et à la protection de l’épargne investie dans des instruments financiers, l’AMF suit de près les marchés. Elle assure une veille des tendances et des comportements des différents intervenants, dont les investisseurs particuliers. Cette étude passe au crible quelque 218 millions de transactions réalisées par des particuliers français ou étrangers sur les titres financiers sous la compétence de l’AMF.

Rôle accru des neo-brokers

Elle témoigne d’une très nette progression des investisseurs actifs : alors que leur nombre par trimestre évoluait autour de 1 million jusqu’au troisième trimestre 2019, il a atteint les 2,5 millions et se maintient au-dessus de ce niveau depuis trois trimestres, et ce malgré la reprise du travail en présentiel. En trois ans, l’âge moyen des investisseurs particuliers a reculé de 8 ans pour s’établir au-dessous de 50 ans.

Sur la seule catégorie des neo-brokers, une génération d’intermédiaires ayant émergé récemment et se présentant avec une offre différenciante, l’âge moyen atteint de 36 ans. Habituellement capté par des acteurs comme les banques et les courtiers en ligne traditionnels, l’investissement en Bourse des particuliers passe de plus en plus par les neo-brokers, tous établis en dehors du territoire français. Le pourcentage par trimestre des transactions réalisées par leur intermédiaire est passé d’un peu moins de 10 % au troisième trimestre 2018 à 21,8 % au troisième trimestre 2021.

Plus de 400 000 clients

La clientèle active par trimestre des neo-brokers a été multipliée par 12 depuis le troisième trimestre 2018 pour atteindre plus de 400 000 personnes, se rapprochant ainsi des effectifs de la clientèle active des courtiers en ligne. L’AMF s’est intéressée aux instruments financiers traités par les particuliers. Comparativement à la clientèle des banques et courtiers en ligne, les clients des neo-brokers semblent plus enclins à la négociation d’instruments complexes et optent pour des actions au profil différent.

Ce comportement pourrait s’expliquer par une appétence au risque plus importante mais aussi par les instruments offerts à la négociation par les intermédiaires. Parmi les actions, le palmarès des dix valeurs les plus traitées montre que les clients des neo-brokers incluent dans leur portefeuille des titres de sociétés de moindre capitalisation dans des secteurs fortement influencés par l’actualité. S’ils interviennent en Bourse plus fréquemment, le montant moyen de leurs transactions est plus faible.

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Particuliers en bourse : le regain d’intérêt se confirme au premier trimestre 2021

La Rédaction
Le Courrier Financier

L’Autorité des marchés financiers (AMF) a publié ce vendredi 16 avril sa deuxième édition du tableau de bord des investisseurs particuliers actifs. Ce document montre que le nombre d’épargnants intervenant sur les marchés d’actions s’est maintenu à un niveau élevé au cours des trois premiers mois de l’année. Le flux régulier de nouveaux investisseurs augmente et les volumes de transaction ont atteint un record.

70 000 nouveaux investisseurs

De début janvier à la fin mars 2021, quelques 772 000 particuliers ont acheté ou vendu des actions. Une hausse par rapport au quatrième trimestre 2020 et se situant au plus haut niveau depuis un an. Le premier trimestre 2020 avait connu une forte activité et un afflux d’investisseurs particuliers pendant les turbulences sur les marchés — sans dépasser le pic de l’automne 2019 au moment de l’introduction de la Française des Jeux (FDJ), qui avait rencontré un franc succès auprès des investisseurs de détail.

Plus de 600 000 investisseurs particuliers ont réalisé au moins un achat d’actions au cours du trimestre écoulé, près du double des niveaux observés en 2019 en dehors du quatrième trimestre. Le nombre de nouveaux investisseurs — qui n’ont jamais passé d’ordre de bourse jusqu’ici ou inactifs depuis janvier 2018 — s’est élevé à 70 000, en progression par rapport aux deux trimestres précédents.

18,2 millions de transactions

Le nombre de transactions réalisées par des particuliers en France sur des actions admises aux négociations en Europe a atteint un niveau record au premier trimestre, à 18,2 millions. Ce chiffre s'inscrit dans le prolongement des volumes élevés constatés en 2020 : plus de 60 millions de transactions enregistrées sur l’année, contre 25 millions les années précédentes.

« Nous ne pouvons que nous réjouir de cette évolution qui permet de créer un lien plus direct entre les Français et le développement de nos entreprises, ainsi que de mobiliser nos forces vives pour contribuer au renforcement de leurs fonds propres. Encore faut-il que cette évolution s’inscrive bien dans une perspective de long terme et ne se traduise pas par des prises de risques excessives. Attention aussi à ne pas céder à la magie du « zéro commission » qui est une illusion », se félicite Robert Ophèle, le président de l’AMF.

Directive européenne MIF2

Le nombre d’investisseurs particuliers acheteurs d’actions est redevenu légèrement supérieur au nombre de vendeurs d’actions ce trimestre. Le tableau de bord de l’AMF s’appuie sur les données de transactions détaillées fournies par les établissements financiers français et les succursales en France d’établissements de l’Union européenne (UE).

Cette transmission date de l’entrée en vigueur de la directive européenne sur les marchés d’instruments financiers MIF2 en janvier 2018. Les prestataires de services d’investissement doivent notamment indiquer la date de naissance de la personne ayant passé un ordre sur un instrument financier, le montant et le « sens » de l’ordre (achat ou vente) ainsi que le type d’instrument financier traité.

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Immobilier : Orange Bank signe un partenariat avec Nexity Solutions Crédit

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier

Nexity — plateforme de services immobiliers — annonce ce lundi 18 novembre poursuivre le développement de son modèle de services immobilier destiné aux clients particuliers. Dans ce cadre, Orange Bank vient de signer un partenariat bancaire de Nexity Solutions Crédit.

Prêt immobilier et digitalisation

Les deux acteurs souhaitent notamment accélérer les délais de traitement des dossiers des particuliers, dans le cadre de la recherche et l’émission d’un prêt bancaire pour acquérir un bien immobilier, grâce à un montage global. Dans un communiqué commun, ils mettent en avant « un accompagnement sur-mesure, à la fois digital et humain ».

« Notre modèle de plateforme de services permet de couvrir l’ensemble des besoins de nos clients, jusqu’au financement de leur projet immobilier», déclare Julien Carmona, Directeur général délégué de Nexity. Le partenariat avec Orange Bank permet de « prendre en considération les nouveaux modes de consommation immobilière », ajoute-il.

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Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

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La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

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Le marché des forêts poursuit son essor

La Rédaction
Le Courrier Financier
Le nombre des transactions, les surfaces vendues et la valeur du marché atteignent en 2017 des niveaux inédits, tandis que le prix moyen des forêts est pratiquement stable (+ 0,2 %). Les personnes morales privées deviennent cette année les premiers acquéreurs du marché, du fait d’une nette progression des surfaces acquises.
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Évolution des taux : les particuliers et primo-accédants toujours favorisés

La Rédaction
Le Courrier Financier

En ce mois d’avril, les particuliers tirent profit d’une concordance de facteurs favorables : la stabilisation de l’OAT à 0,43%, les taux avantageux accordés aux banques françaises, les conditions actuelles de crédit et le Prêt à Taux Zéro permettent à de nombreux ménages de rentrer sur le marché de l’accession. Le soutien des établissements de crédit à la primo-accession est d’ailleurs manifeste : 32 % des prêts du mois de mars sont accordés à des primo-accédants.

Cette situation devrait perdurer et ouvrir une période propice pour renégocier son crédit immobilier ou en demander le rachat. La loi Hamon, qui permet de choisir librement l’assurance de prêt la moins onéreuse, contribuera sans doute à cette dynamique.

Enfin, la reprise économique vantée par le gouvernement, alimentée par des prix du pétrole relativement bas et des conditions monétaires favorables, devrait logiquement entraîner un rebond des transactions d’ici l’été.

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