Développement durable : au fil de l’eau

Olivier de Berranger
LFDE
L'accès à l'eau douce représente un enjeux stratégique de développement durable — alors que la consommation mondiale d'eau a été multipliée par six en un siècle. Quel rôle la finance à impact peut-elle jouer face à ce défi ? Olivier de Berranger, Directeur Général Délégué et CIO de La Financière de l’Echiquier (LFDE) présente l'édito du mois de novembre.
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ESG : les engagements en faveur de la nature commencent à devenir sérieux

Michael Lewis
DWS
Forêts, océans, climat... En 2023, la protection de la planète arrive en tête des agendas politiques. Comment se traduisent les engagements financiers en faveur de la nature ? Quelles trajectoires se dessinent pour les investissement ESG ? Les explications de Michael Lewis, responsable de la recherche ESG chez DWS.
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COP27 : quels engagements financiers pour le climat ?

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Les négociations de la COP27 ont pris fin ce dimanche 20 novembre, à Charm-el-Cheikh en Egypte. Qu'en est-il du financement du fonds « pertes et préjudices » ? Quelle feuille de route pour réduire l'utilisation des énergies fossiles ? Plus de détails avec Le Courrier Financier.
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Responsabilité sociale : un Océan de possibilités

Luc Olivier
Chaque année, les océans produisent 2 500 milliards de dollars de biens et services. Seulement, ces richesses sont désormais menacées par la pollution sous-marine. Il convient, dès lors, d'apporter des réponses adaptées. Les éclairages de Luc Olivier, Gérant d’Echiquier Climate et Biodiversity Impact Europe chez La Financière de l’Echiquier.
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Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

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La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

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Marchés émergents : opportunités d’investissement dans l’eau

Les équipes de Pictet AM
Pictet Asset Management
Les entreprises privées ont un rôle clé à jouer dans l'amélioration de l'accès et le traitement de l'eau dans les pays émergents. Les investisseurs peuvent tirer parti de ce secteur de croissance. Le point avec le Conseil consultatif thématique de Pictet AM.
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CPR AM : quels moteurs de croissance en 2021 ?

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Ce mardi 8 mars, CPR Asset Management (CPR AM) a dévoilé son un bilan 2021. Comment le gérant va-t-il accélérer son développement en gestion thématique et impact investing ? Quelle place pour les distributeurs CGP ? Le point avec Le Courrier Financier.
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Climat : quel bilan tirer du « One Ocean Summit » ?

François Lett
Ecofi
Investir pour le climat doit passer par la protection des océans, alerte l'association Ocean Risk and Resilience Action Alliance (ORRAA). Quelles recommandations retenir après le « One Ocean Summit » ?L'analyse de François Lett, Directeur du département éthique et solidaire chez Ecofi.
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Océans : Amundi et Accor s’allient à la Fondation de la Mer

La Rédaction
Le Courrier Financier

Amundi (spécialiste de l’investissement responsable) et Accor (spécialiste mondial de l’hôtellerie) annoncent ce jeudi 10 février leur engagement renforcé en faveur de la protection des océans avec l’adoption du Ocean Framework, élaboré par Fondation de la Mer dans le but d’aider les entreprises et les investisseurs à mesurer l’impact de leurs activités sur la vie marine. Accor est la première entreprise à adopter ce référentiel, défini avec l’aide d’Amundi, dans le cadre d’une stratégie et d’un reporting dédiés sur les océans.

En cohérence avec leurs engagements environnementaux, Amundi et Accor ont entamé une étroite coopération avec la Fondation de la Mer, qui a mis au point un cadre d’analyse pour aider les entreprises à mesurer et à corriger leurs impacts sur les fonds marins en ligne avec l’Objectif de Développement Durable numéro 14 des Nations Unies (vie aquatique). Cet objectif vise à la préservation des mers et des océans et à une utilisation responsable des ressources marines.

Objectifs de ce partenariat

L’un des premiers contributeurs à l’élaboration du Ocean Framework, et en lien avec l’engagement du groupe Crédit Agricole en faveur de la sauvegarde des océans et de la biodiversité, Amundi s’est appuyé sur cet outil pour engager un premier cercle d’entreprises dès l’an dernier, dont Accor, dans quatre domaines essentiels (pêche et aquaculture, énergie hôtellerie, fret maritime/croisières). L’objectif était de les inciter à :

  • évaluer l’impact de leurs activités sur les océans en utilisant la grille d’analyse du Ocean Framework ;
  • documenter les impacts spécifiques sur les océans sur la base d’indicateurs du Ocean Framework ;
  • développer des stratégies dédiées aux océans et des politiques incluant la préservation des océans dans les stratégies de biodiversité.

A l’avenir, Amundi vise à doubler le nombre d’entreprises qu’il engage sur le thème des océans, afin de les encourager à réduire leurs impacts négatifs à l’aide d’indicateurs de performance spécifiques. Amundi a aussi pour objectif d’allouer plus de capital à la protection des océans.

Label « Ocean approved »

Accor a annoncé l’adoption d’une stratégie et d’une politique de reporting dédiées aux océans sur la base du Ocean Framework, sous le label international « Ocean approved ». Le Groupe a éliminé six espèces de poisson en danger ou menacées localement de ses menus et s’assure que les produits de pêche utilisés aussi bien sauvage que d’élevage proviennent de pêcheries durables, partout où cela est possible.

Accor s’est aussi fixé des objectifs ambitieux en matière de développement durable, visant à la préservation de la biodiversité au sens large. Il s’est engagé à supprimer le plastique à usage unique de l’expérience client dans ses hôtels d’ici à la fin 2022, afin de réduire son empreinte carbone et dans l’espoir de ne plus contribuer aux 14 millions de tonnes de plastique qui sont déversées chaque année dans les océans.

Stratégie de biodiversité

« En tant qu’acteur global de l’hospitalité nous devons placer les océans au cœur de notre stratégie de biodiversité, en mettant en place des actions concrètes en vue de leur protection. Pour ce faire, nous avons besoin non seulement d’une stratégie claire mais aussi d’un système de reporting solide. Travailler main dans la main avec nos investisseurs et partenaires tout au long de notre chaîne de valeur nous aide à concevoir des stratégies efficaces en faveur des océans et de la biodiversité », déclare Brune Poirson, Directrice du Développement Durable chez Accor.

« Le Ocean Framework est un outil essentiel dans l’engagement d’Amundi en faveur de la préservation du capital naturel, car il fournit des indicateurs concrets sur la base desquels Amundi peut engager un dialogue plus fructueux avec les entreprises sur les océans. Nous sommes fermement déterminés à soutenir les entreprises dans leurs contributions positives à l’environnement. Nous sommes fiers d’avoir travaillé avec Accor, entreprise pionnière dans l’adoption de ce cadre, afin de nous assurer que les océans ne sont pas oubliés dans nos engagements environnementaux », commente Jean-Jacques Barbéris, Directeur de la Clientèle Institutionnelle et Corporate, ESG chez Amundi.

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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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Finance durable : DNB AM lance son fonds DNB Future Waves, dédié à l’économie bleue et verte

La Rédaction
Le Courrier Financier

DNB Asset Management (DNB AM)asset managers nordiques, avec une gamme de produits thématiques et nordiques — annonce ce mardi 12 octobre poursuivre le développement de solutions ESG avec le lancement de son fonds « DNB Future Waves ». Axé sur l’économie bleue et verte, il se concentre sur des investissements répondant à 11 des 17 Objectifs de Développement Durable (ODD) des Nations Unies.

DNB Future Waves vise à la fois un positionnement différencié sur des thèmes durables et une performance pérenne supérieure à celle du marché. Par ce biais, le fonds entend soutenir les entreprises soucieuses de développer des solutions de long terme. Cogéré par Isabelle Juillard Thompsen et Audun Wickstrand Iversen, « DNB Future Waves » met l’accent sur des secteurs d'activité liés à l’économie bleue (37 %), l’économie verte (31 %) le climat (19 %) et la prospérité sociale (12 %). 

Pourquoi l'économie bleue ?

« L’économie bleue recouvre une multitude de secteurs qui ont un lien direct, ou indirect avec les océans comme la pêche, le transport maritime, les ressources biomarines ou les énergies renouvelables offshore. Si l’ensemble des océans était un pays, ce serait la 7e économie mondiale avec un PIB de 2 500 milliards de dollars », déclare Isabelle Juillard-Thompsen, co-gérante de « DNB Future Waves ».

« Couvrant 71 % de la surface du globe, ils produisent 50 % de l’oxygène que nous respirons et absorbent 21 % des émissions mondiales de CO2. Les océans représentent aussi le deuxième pourvoyeur de nourriture au monde et la principale source de protéines pour près de trois milliards de personnes. L'OCDE estime que l'industrie maritime peut croître deux fois plus vite que l'économie mondiale d'ici 2030 », ajoute-elle.

Place centrale de l'Océan

De son côté, l’économie verte embrasse aussi un large spectre — de l’agriculture ou des infrastructures durables, à l’innovation ou l’économie circulaire. Le thème du climat se concentre sur les énergies renouvelables et abordables, l’efficacité énergétique et l’électrification. Enfin, celui de la prospérité sociale touche tant à l’alimentation qu’à la santé ou à l’éducation. Présent sur l’ensemble de ces thèmes, « DNB Future Waves » est investi sur les marchés actions monde avec un focus particulier sur les pays nordiques, proches de la thématique de l’Océan notamment. 

« De par sa diversification, DNB Future Waves propose une approche globale aux défis contemporains. Il nous a semblé important de favoriser une approche multithématique afin d’aborder les sujets liés aux ODD dans son ensemble, tout en assurant une place prépondérante au sujet de l’Océan, une thématique qui n’a pas été assez abordée jusque-là. Par ailleurs, ses caractéristiques répondent à une demande croissante des investisseurs pour des fonds combinant durabilité et rendement », déclare Marta Oudot, directrice distribution en France de DNB AM.

L'outil DNB ESG LAB

En investissement responsable, la disponibilité des données et leur analyse sont devenues fondamentales. DNB AM a développé son propre ESG LAB dont l'objectif est de collecter, structurer et analyser des données, puis de faciliter leur intégration dans le processus d’investissement. ESG LAB permettra de mesurer l'alignement des entreprises avec les ODD. Afin de faciliter la collecte de data sur des sujets complexes tels que l’Océan ou la gestion de l’eau, DNB AM a noué des partenariats avec le milieu académique — comme le Columbia University aux États-Unis. 

Outil indispensable à la stratégie d’investissement, l’ESG LAB a été un maillon essentiel à la construction et à la sélection des valeurs du fonds DNB Future Waves. Sur la base de plus de 1 280 sociétés alignées sur les ODD et répondant à des critères ESG, sa méthodologie permet de réduire l'univers d’investissement à 180 valeurs. Au final, DNB Future Waves est concentré sur un spectre de 45 à 75 sociétés sur lesquelles l’équipe de gestion a de fortes convictions. Le fonds est géré activement (« active share » 80 %) avec un horizon d’investissement long terme.

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Finance responsable : investir dans le cycle de l’eau pour protéger la biodiversité

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
En 2021, la biodiversité marine recule à cause de l'activité humaine. Pourtant, lutte contre le réchauffement climatique et protection des espèces sont directement liées. Comment gérer l'océan de manière durable et préserver sa biodiversité ? Quelles approches déploient les gérants d'actifs ? Tour d'horizon avec Le Courrier Financier.
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