Emploi : au temps du travail rare

Philippe Crevel
Cercle de l'Epargne
La France fait actuellement face à une pénurie de main-d'œuvre dans certains secteurs. Pourtant, le taux de chômage demeure à 7,3 %. Philippe Crevel, Directeur du Cercle de l'Epargne, livre son analyse.
Lire (4 min.)

Zone euro : un taux de chômage au plus bas depuis le début des années 1980

Julien-Pierre Nouen
Lazard Frères Gestion
En zone euro, le chômage devrait continuer à baisser dans les mois à venir. Faut-il s'attendre à une poursuite durable de l'inflation ? Julien Pierre Nouen, Directeur des études économiques et de la gestion diversifiée chez Lazard Frères Gestion, partage son analyse.
Lire (2 min.)

Changement climatique : RGreen Invest lance son 3e fonds dédié au financement court-terme des acteurs de l’adaptation

La Rédaction
Le Courrier Financier

RGreen Invest — société de gestion française indépendante créée en 2013, entreprise à mission, spécialiste du financement de la transition énergétique — annonce ce mercredi 8 décembre le lancement de son troisième fonds dédié au financement court-terme des acteurs de l’adaptation au changement climatique. Ce véhicule vise une taille cible de 200 M€.

L’heure est au premier closing du fonds Infrabridge III à 105 M€, soit plus de la moitié de son objectif cible. Anciennement connu sous le nom Nouvelles Energies, ce véhicule se destine au besoin de financement en dette court-terme des impulseurs clés de la transition énergétique et climatique.

Financement flexible pour la transition énergétique

Les établissements financiers classiques se sont récemment adaptés pour répondre plus vite aux besoins en dette senior des développeurs sur des projets prêts à construire, mais ils manquent toutefois de réactivité sur des projets en phase de développement. Partant de ce constat, Infrabridge III a été conçu pour apporter une solution aux développeurs européens qui nécessitent un financement rapide en phase d’amorçage, afin qu’ils puissent bénéficier par la suite d’un financement bancaire compétitif.

« Du fait de la compétitivité des énergies renouvelables par rapport aux énergies fossiles, nous sommes passés d’un monde subventionné à un monde rentable accélérant ainsi le nombre de projets EnR, d’e-mobilité et de stockage en développement. Nous soutenons cette dynamique d’accélération en dotant rapidement les développeurs des outils financiers nécessaires pour les accompagner dans la phase critique de développement », indique Nicolas Rochon, Président fondateur de RGreen Invest.

S'adapter aux évolutions du secteur 

Les solutions Infrabridge se veulent flexibles pour s’adapter au mieux à un marché en forte évolution. Par leurs tailles d’environ 200 M€ et leurs maturités courtes, ces solutions s’investissent très vites et permettent de proposer aux investisseurs une performance attractive.

Ainsi, Infrabridge III investit-il en dette court-terme dans des projets greenfield (en développement ou prêts à construire) ou brownfield, mais également au niveau de la maison mère jusqu’à ce qu’une solution de refinancement long terme prenne la relève ou que le partenaire cède ses actifs, selon sa stratégie. 

Si les projets et sociétés financés par les deux premiers millésimes sont localisés ou opèrent principalement dans l’Espace Economique Européen, Infrabridge III se donne la possibilité d’investir hors Europe dans les pays de l’OCDE afin de favoriser le développement à l’international des partenaires historiques de RGreen Invest.

Lire (3 min.)

ISR : 130 pays signent un accord « historique » sur la taxation des multinationales

François Lett
Ecofi
Après l'engagement du G7 en juin 2021, l'OCDE a trouvé un accord pour lutter contre l'optimisation fiscale. Il prévoit un taux d'imposition minimal de 15 % pour les grandes entreprises. Quels sont les enjeux de cette réforme ?
Lire (4 min.)

Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

Lire (3 min.)

La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

Lire (2 min.)

Finance verte : Generali met à jour sa stratégie climat

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le groupe Generali — compagnie d'assurance italienne — partage ce mercredi 30 juin sa nouvelle stratégie en matière de changement climatique avec le conseil d'administration d'Assicurazioni Generali, présidé par Gabriele Galateri di Genola.

La stratégie, qui met à jour et prolonge celle approuvée en février 2018, adopte des actions significatives liées aux activités d'investissement et de souscription, les activités principales du groupe, en s'engageant dans un avenir à faible impact climatique.

Finance verte, 6 milliards d'euros

Le Groupe Generali a présenté ses nouveaux objectifs. « En particulier, les 6 milliards d'euros de nouveaux investissements verts et durables réalisés au cours des trois dernières années qui nous ont permis de dépasser nos objectifs préétablis plus tôt que prévu », déclare Philippe Donnet, Directeur Général du Groupe Generali.

« Nous sommes convaincus que le secteur privé peut jouer un rôle clé en soutenant financièrement la « transition juste » vers un avenir où les émissions de gaz à effet de serre seront nulles, en aidant les institutions publiques à prendre les mesures nécessaires », ajoute-il.

Quels investissements directs ?

Dans le détail, les nouveaux objectifs de la stratégie du Groupe Generali pour le climat englobent :

  • 8,5 à 9,5 milliards d'euros de nouveaux investissements verts et durables entre 2021 et 2025. Ce chiffre est conforme à l'objectif précédent de 4,5 milliards d'euros entre 2019 et 2021, qui a été dépassé un an à l'avance et qui s'élevait à 6 milliards d'euros à la fin de l'année 2020 ;
  • des critères d'exclusion de plus en plus restrictifs pour le secteur du charbon, en vue d'une élimination progressive mais complète des investissements dans ces activités. La nouvelle stratégie vise à exclure totalement les émetteurs qui opèrent dans le secteur du charbon thermique dans les pays de l'OCDE d'ici 2030 et 2040 dans le reste du monde ;
  • décarbonation progressive du portefeuille d'investissements directs pour atteindre la neutralité carbone d'ici 2050. Cet objectif est conforme à l'objectif de l'Accord de Paris de limiter le réchauffement climatique à 1,5°C par rapport aux niveaux préindustriels et à l'engagement pris dans le cadre de la Net-Zero Asset Owner Alliance. En tant qu'objectif intermédiaire pour 2025, Generali réduira de 25 % les émissions de carbone du portefeuille d'entreprises (obligations d'entreprises, actions cotées en bourse) et alignera le portefeuille immobilier sur la trajectoire de 1,5° C.

Défense de la « transition juste »

Les nouveaux objectifs sont la réduction de l'exposition minimale actuelle au secteur du charbon thermique, afin d'atteindre une exposition nulle d'ici 2030 dans les pays de l'OCDE et en 2038 dans le reste du monde ; ainsi que « la volonté d'aller de l'avant avec l'engagement de ne plus assurer les activités pétrolières et gazières en amont ».

Cela inclut l'engagement de ne plus souscrire les risques liés à l'exploration et à la production de combustibles fossiles provenant de sables bitumineux, de gisements de schiste (pétrole et gaz) ou extraits dans la zone arctique, à la fois sur terre et en mer.

Par ailleurs, le Groupe Generali s'engage à impliquer les parties prenantes dans la création d'un avenir à émissions nettes nulles et à soutenir une « transition juste ». Pour cela, Generali engagera au moins 20 des entreprises à forte intensité de carbone dans le portefeuille d'investissement du Groupe d'ici 2025 afin d'obtenir un réel impact mondial.

Être « climatiquement négatif »

Les nouveaux objectifs regroupent :

  • l'ambition d'être climatiquement négatif en 2040 avec l'objectif intermédiaire d'atteindre la neutralité climatique en 2023 ;
  • d'ici 2025, réduction des émissions de gaz à effet de serre liées aux bureaux, aux centres de données et au parc automobile de l'entreprise d'au moins 25 % par rapport au niveau de référence de 2019 ;
  • acheter de l'électricité provenant à 100 % de sources renouvelables dans la mesure du possible et poursuivre l'engagement d'investir dans l'efficacité énergétique.
Lire (4 min.)

Numérisation de l’économie : l’OCDE veut résoudre les défis fiscaux

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'Organisation de Coopération et de Développement Economiques (OCDE) annonce ce vendredi 31 mai sa volonté de résoudre les défis fiscaux que soulève la numérisation de l'économie. L'OCDE s'est aussi engagée à poursuivre ses efforts pour parvenir à une solution de long terme, fondée sur un consensus d'ici fin 2020.

Dans cette optique, les 129 membres du Cadre inclusif sur l'érosion de la base d’imposition et le transfert des bénéfices (BEPS) de l’OCDE et du G20 ont adopté une feuille de route (en anglais). Ce programme de travail définit la marche à suivre pour aboutir à un nouvel accord mondial, destiné à taxer les entreprises multinationales.

Un programme de travail qui s'appuie sur 2 piliers

Le document a reçu l'approbation des 289 délégués présents à la réunion plénière du Cadre inclusif, qui s'est tenue les mardi 28 et mercredi 29 mai. Ces délégués venaient des 99 pays et juridictions membres de l'OCDE, ainsi que des 10 organisations ayant le statut d'observateur. Cette feuille de route sera présentée par Angel Gurria — Secrétaire général de l'OCDE — aux ministres des Finances du G20 pour approbation, lors de leur réunion ministérielle des 8 et 9 juin qui se tiendra à Fukuoka, au Japon.

Ce programme de travail s'appuie sur l'analyse de la Note politique publiée en janvier 2019 et sur l’issue de la consultation publique tenue en mars 2019. Il appelle à l'intensification des discussions internationales, et explore les problématiques techniques à résoudre autour de deux piliers.

  • Le premier pilier cherche à déterminer où l’impôt devrait être payé et sur quelle base (le « lien »). Il se penche aussi sur la partie des bénéfices à imposer dans les juridictions où se situent les clients ou les utilisateurs (la « répartition des bénéfices »).
  • Le deuxième pilier examine l'hypothèse d'un système pour s’assurer que les entreprises multinationales — dans l'économie numérique et au-delà — paient un niveau minimum d'impôt. Cet outil permettrait aux Etats de protéger leur assiette fiscale du transfert des bénéfices vers des juridictions à imposition faible ou nulle. Il vise à résoudre les problèmes identifiés par l’initiative BEPS de l’OCDE et du G20.

Vers un aboutissement des travaux en 2020 ?

En 2015, l’OCDE estimait que les pertes de recettes entraînées par les pratiques de BEPS pourraient s’élever jusqu’à 240 milliards de dollars américains, soit jusqu’à 10 % des recettes fiscales globales. La communauté internationale a ainsi créé le Cadre inclusif pour coordonner les mesures internationales, afin de lutter contre les pratiques de BEPS et d'améliorer les règles fiscales internationales.

D'après le Cadre Inclusif, le travail technique doit encore être complété par une évaluation de l'impact des propositions sur les recettes, la croissance et les investissements des gouvernements. Les pays qui ont participé à l'élaboration de la feuille de route espèrent un accord politique rapide — idéalement avant la fin de l'année 2019 — pour voir les travaux aboutir en 2020.

Lire (4 min.)

Muzinich & Co recrute un expert de la politique et des marchés de capitaux

La Rédaction
Le Courrier Financier
Basé à Paris et à Londres, Fabrizio Pagani interviendra dans le développement de nouvelles stratégies et de nouveaux programmes d’investissement afin d’étendre les expertises de Muzinich à l’échelle mondiale. Avant de rejoindre Muzinich, Fabrizio Pagani a occupé plusieurs fonctions dans le secteur public. Il était dernièrement Chef de cabinet du Ministre italien des Finances, en charge des politiques macroéconomiques, fiscales, financières et bancaires. Auparavant, il a officié comme Sherpa (représentant du chef d’État) au sein du G20 et Conseiller économique senior du Premier Ministre italien. Fabrizio Pagani a également travaillé à l’OCDE à Paris, en tant que Chef de cabinet du Sherpa et Conseiller spécial du Secrétaire Général en charge de la coordination des contributions de l’OCDE au G20 et au G8, pendant et après la crise financière.
Lire (1 min.)

États-Unis : la menace protectionniste

Philippe Crevel
Cercle de l'Epargne
Donald Trump a annoncé, le 24 mai dernier, l’application de droits de douane de 25 % sur les véhicules étrangers en vertu de la section 232 de la loi sur le commerce de 1962 autorisant la mise en place de protections commerciales au nom de la « sécurité nationale » des États-Unis. Ce même texte a été mis en œuvre pour l’instauration des taux de 25 et 10 % sur l’acier et l’aluminium en mars dernier.
Lire (2 min.)

Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

Lire (2 min.)

Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

Lire (2 min.)

Le système de santé français sous pression

Philippe Crevel
Cercle de l'Epargne
La France se caractérise par le niveau record de ses dépenses publiques qui ont atteint 57,1 % du PIB en 2017. De manière implicite, notre pays a fait le choix d’une socialisation de la richesse créée par le pays.
Lire (11 min.)

Relations commerciales : escarmouches plus que guerre ouverte

Hervé Goulletquer
Le marché continue de s’interroger sur la politique commerciale des États-Unis. Avec cette impression que c’est en fait toute leur politique étrangère qui est en train de se durcir. John Bolton, dans le passé proche des néo-conservateurs, favorable à l’invasion de l’Irak, ne vient-il pas d’être nommé conseiller à la sécurité nationale ?
Lire (3 min.)