Logement : DWS lance une stratégie institutionnelle européenne à capital variable

La Rédaction
Le Courrier Financier

DWS Real Estate — spécialiste de l'investissement immobilier, filiale du Groupe DWS — annonce ce lundi 10 mai le lancement de sa nouvelle stratégie immobilière institutionnelle à capital variable. Celle-ci sera axée sur les principaux actifs du secteur résidentiel et de l'habitat sur les marchés les plus matures d'Europe.

L'allocation initiale ciblera les grands marchés métropolitains résidentiels dont en priorité l'Allemagne, les pays nordiques, les Pays-Bas, l'Irlande et la France. Sa cible secondaire sera les marchés résidentiels et de séjour en développement au Royaume-Uni, en Espagne et en Italie — avec une intégration ESG dans le processus d'investissement, ainsi que l'engagement global de DWS envers l'objectif climatique de l'Accord de Paris.

Immobilier résidentiel

« DWS est un investisseur de premier plan dans l'espace résidentiel avec une connaissance approfondie construite sur plus de 15 ans d'investissement dans ce secteur pour nos clients. Notre portefeuille résidentiel européen est substantiel, avec plus de six milliards d'euros. Pour les investisseurs de base qui recherchent une diversification des revenus, le résidentiel est un excellent secteur d'actifs par rapport à d'autres, se révélant défensif en période de stress du marché », déclare Clemens Schaefer, responsable de l'immobilier, Asie-Pacifique/EMEA chez DWS.

« Alors que les investissements résidentiels continuent à se développer, notre objectif stratégique sera les actifs résidentiels abordables dans des emplacements urbains et de banlieue dans les principales zones métropolitaines d'Europe avec de solides fondamentaux d'investissement à long terme. En tant qu'investisseur dominant dans le secteur de l'habitat, nous disposons d'un vivier continu d'opportunités d'investissement solides », ajoute Jessica Hardman, responsable de la gestion des portefeuilles européens chez DWS.

Trésorerie et résilience

Le portefeuille de logements actuel de DWS couvre l'ensemble du spectre — y compris un mélange de résidences étudiantes, de constructions à louer, de centres de soins et d'hôtels dans des micro-localisations bien desservies à travers l'Europe, gérées par un réseau local de professionnels de l'investissement et de la gestion d'actifs. DWS affiche plus de 50 ans d'expérience dans les fonds européens ouverts et une présence locale établie sur les principaux marchés cibles européens.

« La résilience établie de ce secteur, ainsi que l'offre limitée et les moteurs de la demande solide soutiennent l'attractivité du résidentiel. Nous anticipons une poursuite de l'institutionnalisation du marché résidentiel européen, les investisseurs se tournant vers des stratégies offrant des flux de trésorerie stables grâce à des niveaux d'occupation soutenus », conclut Simon Wallace, co-responsable de la recherche immobilière

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Actions nordiques : 2021, le début d’un cycle très positif

Peter Lindahl, Janne Kujala et Ville Tiainen
Evli
Après la crise sanitaire, 2021 s'annonce comme le début d'un cycle très positif pour les actions nordiques. Quelles sont les spécificités et les forces de ce marché ? Quelles différences avec le reste de l'Europe ? Le point avec Peter Lindahl, Responsable Tactical Asset Allocation, Janne Kujala, Gérant actions nordiques et Ville Tiainen, Analyste chez Evli.
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Gestion thématique : DNB Asset Management lance DNB Disruptive Opportunities

La Rédaction
Le Courrier Financier

DNB Asset management (DNB AM) — filiale du premier groupe financier norvégien DNB ASA — annonce ce lundi 11 janvier poursuivre l’élargissement de sa gamme thématique. DNB AM vient d’enregistrer en France son nouveau fonds, DNB Disruptive Opportunities.

Investir dans les mégatendances

Les tendances mondiales — telles que le vieillissement de la population, la transformation numérique et le changement climatique — créent des opportunités d’investissement. La crise sanitaire a accentué le besoin d’innovation et de technologie.

Elle a aussi servi d'accélérateur aux transformations à l'œuvre dans beaucoup de domaines — comme le travail, la consommation ou la perception du changement climatique. Le fonds DNB Disruptive Opportunities cherche ainsi à s’exposer à cinq thématiques clés qui traduisent ce développement : la connectivité, la mobilité urbaine, la démographie, la révolution de la machine et le Pacte Vert.

Compléter la gamme thématique

DNB Disruptive Opportunities est géré par Audun Wickstrand Iversen, qui a rejoint DNB AM en 2019, après de nombreuses expériences en tant qu’analyste, gérant, CEO et membre de conseils d’administrations des entreprises norvégiennes cotées. Il avait déjà travaillé au sein du groupe DNB entre 1996 et 2007.

Le fonds vient compléter la gamme thématique existante de DNB AM, avec notamment les fonds DNB Technology et DNB Renewable Energy, déjà enregistrés en France. DNB Disruptive Opportunities compte déjà 1 an d’historique au sein de la SICAV Luxembourgeoise DNB Fund, et affiche une performance de 53,23 % en 2020.

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ESG : DNB AM développe son propre outil d’analyse

La Rédaction
Le Courrier Financier

DNB Asset Management (DNB AM) — gestionnaires d'actifs de la région nordique — annonce ce mercredi 4 novembre renforcer son contrôle de qualité des émetteurs sur le marché obligataire en termes de critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). Grâce à la mise en place d’une notation interne, la société de gestion entend les inclure de manière systématique dans son analyse et sa sélection des émetteurs.

« Nos investisseurs réclament une meilleure lisibilité de ces critères dans l'analyse des entreprises. Elle est dautant plus importante sur le fixed income, longtemps resté en marge de lESG, et a fortiori sur le marché du crédit nordique qui manque aujourdhui de données sur le sujet », explique Marta Oudot, Directrice de la distribution en France chez DNB AM.

Favoriser la transparence ESG

Le manque de transparence sur ces facteurs peut, à terme, altérer la qualité de crédit des émetteurs. Un constat d’autant plus vrai pour les petites et moyennes entreprises (PME). Contrairement aux plus grandes, elles n'ont pas toujours les ressources nécessaires pour publier des rapports sur le sujet et ne sont pas couvertes par des fournisseurs de données ESG tiers.

De fait, il est souvent difficile pour un gérant d’actifs comme DNB AM, qui finance autant les grandes que les petites et moyennes entreprises sur le marché norvégien, d’avoir accès aux évaluations de la gestion des risques ESG, notamment des plus petits émetteurs.

« Nous sommes fermement convaincus que la prise en compte des critères ESG par les entreprises est capitale. Les efforts fournis dans ce sens seront dune importance cruciale dans les années à venir en termes de compétitivité, de profitabilité et de solvabilité. Il nous apparaît essentiel d'avoir une vision plus complète de la gestion de ces facteurs de risque au sein des entreprises que nous finançons », déclare Svein Aage Aanes, Directeur de la gestion obligataire chez DNB AM.

Mesurer les progrès obtenus

DNB AM a développé son propre système de notation ESG afin de pallier ce manque de transparence. Pour ce faire, ses équipes fixed income et ESG ont défini un cadre de notation pour évaluer les risques et opportunités ESG par secteur. Celui-ci a été élaboré à la fois avec des experts de chaque secteur, des entreprises sélectionnées mais aussi à l’aide de sources telles que le Sustainability Accounting Standards Board (SASB).

Sur cette base, DNB AM a envoyé aux entreprises des questionnaires spécifiques à leur secteur, en tenant compte aussi des particularités du marché norvégien. Les émetteurs obligataires ont ainsi été notés sur la qualité et la transparence de leur travail ESG dans les secteurs de la banque, des services publics et de l'immobilier. Les notes portent tant au niveau global de l’entreprise que sur chaque branche de leur activité.

Ces notes seront alors intégrées aux systèmes de gestion de portefeuille et prises en compte dans l’évaluation globale du risque de crédit des entreprises. Les données et les informations collectées constituent, par ailleurs, des éléments tangibles de dialogue avec les entreprises dans lesquelles DNB AM investit et permettront de mesurer de façon concrète les progrès réalisés dans le temps.

Des reportings plus exigents

DNB AM souligne l’intérêt d’une telle démarche en prévision de nouvelles obligations réglementaires européennes relatives aux déclarations des investisseurs. Il en est de même pour les émetteurs qui devront faire face à des exigences accrues en matière de reporting.

À ce titre, les propositions sur la révision de la Directive européenne sur l’information extra- financière ont fait l’objet d'une consultation pour laquelle DNB AM a soumis ses commentaires par l’intermédiaire de l'Association norvégienne des fonds communs de placement (VFF).

A notamment été proposé que le seuil de déclaration, jusqu’alors réservé aux entreprises de plus de 500 salariés, soit abaissé à celles de plus de 250 salariés. En-dessous de ce seuil, les sociétés pourraient également être astreintes à réaliser et publier un rapport moins détaillé.

Fort de sa position sur le marché obligataire norvégien, DNB AM entend par cette initiative encourager les entreprises à davantage de transparence en matière d’ESG et contribuer à terme à l’établissement de normes. Une démarche qui s’inscrit dans un cadre d’échange avec les émetteurs afin de les influencer positivement dans l’amélioration de leurs pratiques.

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Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

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La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

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DNB AM nomme le Lead Manager de son fonds DNB Renewable Energy

La Rédaction
Le Courrier Financier

DNB Asset Management (AM) — société de gestion d'actifs norvégienne, filiale à 100 % de DND ASA — annonce ce mardi 11 août la nomination d'un nouveau Lead Manager pour son fonds climat de DNB Asset Management (AM). Christian Rom (38 ans) prend immédiatement ses fonctions.

Il était jusqu'ici co-gérant de DNB Renewable Energy aux côtés de Jon Sigurdsen. Ce dernier quitte le gérant d'actifs scandinave afin de se consacrer à la gestion de ses propres actifs. Dans ce contexte, DNB AM a lancé un recrutement afin de renforcer l’équipe de gestion. La philosophie d'investissement et le process de gestion du fonds resteront inchangés.

Focus sur le portefeuille de Christian Rom

Christian Rom est diplômé de la Norwegian School of Management. Durant sa carrière, il travaille en tant qu'analyste actions sell-side chez Carnegie Securities — poste dans le cadre duquel il se spécialise dans le domaine des énergies renouvelables. Il rejoint DNB AM en 2010, où il s'implique dans la direction stratégique et la gestion du fonds DNB Renewable Energy.

En 2011, Christian Rom prend la responsabilité du sous-secteur de la production d'électricité au sein de l'équipe. Depuis, le ratio d'information s'est amélioré de 0,3 %. En 2015, il assume une responsabilité supplémentaire du secteur éolien.

Depuis 2017, ce segment de portefeuille a réalisé une augmentation à deux chiffres de la performance relative — par rapport aux sous-indices et un écart-type inférieur d’1 % dans ses segments par rapport à l'ensemble du portefeuille. En conséquence, son coverage est passé de 25 % à plus de 40 % en 3 ans.

Les résultats de sa gestion à impact ont été récemment publiés dans une étude (en anglais) approfondie, menée en partenariat avec la société ISS-ESG. Christian Rom montre dans cette étude comment l’impact environnemental des investissements peut être mesuré grâce à l’approche des émissions évitées.

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Norvège : la banque DNB nomme son nouveau CEO

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le Conseil d'administration de DNB — banque norvégienne — a désigné le 18 juin dernier la nouvelle Directrice Générale du groupe. Kjerstin Braathen prendra ses fonctions le 1er septembre prochain. Elle remplace Rune Bjerke, qui a signalé au Conseil d'administration sa volonté de se retirer après 13 ans à la tête du groupe. Rune Bjerke occupe le poste de directeur général depuis le 1er janvier 2007.

Détenue à 34 % par l'Etat norvégien, DNB ASA est aujourd'hui le premier groupe bancaire du pays. La société revendique 2 millions de clients particuliers en Norvège, ainsi qu’une base importante de clients corporate au niveau global. La société est cotée sur la bourse d’Oslo. De 2008 à aujourd'hui, DNB a connu la meilleure progression en termes de capitalisation boursière des 30 principales banques européennes. Elle est passée de la cinquième à la première position des banques scandinaves. La société de gestion DNB Asset Management est filiale à 100 % de DNB ASA.

Focus sur le parcours de Kjerstin Braathen

Depuis 2017, Kjerstin Braathen occupait la fonction de Chief Financial Officer chez DNB, après 4 ans en tant que Group Executive Vice President pour la branche Corporate Banking (2013-2017). Précédemment, elle a occupé plusieurs fonctions dans le département maritime et offshore de la banque (1999-2013) et a présidé le conseil d'administration de plusieurs filiales détenues par DNB. Kjerstin a démarré sa carrière chez Norsk Hydro (1995 -1999).

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DNB Asset Management lance son fonds High Yield nordique en France

La Rédaction
Le Courrier Financier

DNB Asset Management (AM) — société de gestion norvégienne — annonce ce mardi 14 mai l’enregistrement de son fonds haut rendement nordique, DNB Fund High Yield, sur le marché français. Domicilié au Luxembourg, le fonds affiche un encours de 287 millions d'euros. L'ensemble de la stratégie haut rendement comprend également un fonds de droit norvégien ainsi que des mandats, pour un poids total de près de 1,6 milliard d' euros.

Une gamme de fonds complète sur le marché français

DNB AM — filiale de la principale banque Norvégienne DNB ASA — organisait le 9 avril dernier sa première conférence à Paris en présence d’investisseurs et des médias. La société de gestion compte près de 63 milliards d'euros d’actifs sous gestion. DNB AM applique une intégration des critères ESG au service de la gestion de toutes ses stratégies.

Fin 2018, DNB AM a recruté Marta Oudot comme Responsable de la distribution pour développer son activité dans l'Hexagone. A la même période, l'entreprise a enregistré ses fonds actions sur le marché français. Celle de DNB Fund High Yield permet à DNB AM de proposer une gamme de fonds complète à ses clients en France.

Répondre à un besoin de diversification des portefeuilles

« Nous constatons un fort besoin de diversification des portefeuilles taux et diversifiés, au rythme de l’accroissement de la règlementation et dans un environnement prégnant de taux bas. Les obligations High Yield nordiques répondent parfaitement à ce besoin. Elles proposent un rendement plus élevé que dans la zone euro tout en ayant une duration structurellement faible » explique Marta Oudot.

Dans le cadre de son développement en France, DNB AM entend tirer parti de sa place d'acteur de premier plan sur les marchés nordiques. Fort d'une équipe de 14 spécialistes de taux, la société de gestion est très bien placée pour rendre les marchés scandinaves accessibles aux investisseurs, conclut la Responsable de la distribution pour le marché français.

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Révolution à venir pour la gestion obligataire du fonds souverain norvégien

François Jubin
Forte dispersion et optimisation du rapport rendement/risque font ils bon ménage sur le marché obligataire ? La question est en tout état de cause posée par le fonds souverain de Norvège.
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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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Perspectives économiques nordiques : sur la voie de la convergence

La Rédaction
Le Courrier Financier
L’économie mondiale se caractérise par un niveau de croissance faible, et l’incertitude demeure élevée, en particulier autour des impacts possibles du Brexit, des élections présidentielles américaines et de la situation géopolitique. Selon Nordea, les pays nordiques offriront une croissance en ligne avec celle des autres pays développés.
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