Investir en biens divers : l’AMF met en garde contre plusieurs acteurs

La Rédaction
Le Courrier Financier

L’Autorité des marchés financiers (AMF) a publié ce lundi 2 octobre la liste des nouveaux sites internet identifiés qui proposent en France d’investir dans des biens divers, mais sans disposer des autorisations nécessaires. Voici la liste de ces acteurs non autorisés :

Investir en biens divers : l’AMF met en garde contre plusieurs acteurs
Source : AMF

Pour rappel, toute offre d’investissement dans des biens divers doit être enregistrée à l’AMF pour être commercialisée. La liste blanche des offres enregistrées en biens divers est également consultable sur le site internet de l’AMF. Depuis le 1er janvier 2023, l’AMF a ajouté cinq noms sur sa liste des sites non autorisés à proposer des investissements dans des biens divers. En 2022, elle avait inscrit 20 noms sur cette liste, dont 11 en catégorie « vins ». 

Vigilance constante

La liste de l’ensemble des sites non autorisés à proposer des investissements dans des biens divers est disponible sur le site internet de l’AMF (rubrique : Espace Épargnants → Protéger son épargne → Listes noires et mises en garde) et sur le site internet Assurance Banque Épargne Info Service – ABE IS (rubrique : Épargne → Se protéger contre les arnaques → Les listes noires des sites internet et entités non autorisés).

Cette liste est mise à jour régulièrement mais n’a pas vocation à être complète car de nouveaux acteurs non autorisés apparaissent régulièrement. Par ailleurs, les décisions d’enregistrement délivrées par l’AMF sont consultables sur le site internet de l’AMF. 

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Transition énergétique : l’AMF met en garde contre les offres frauduleuses d’investissement

La Rédaction
Le Courrier Financier

Suite à de nombreux signalements d’épargnants, l’Autorité des marchés financiers (AMF) appelle ce lundi 21 novembre à la plus grande vigilance à l’égard de propositions d’investissement dans des « éco-parkings » ou parcs solaires. Les fraudeurs usurpent généralement l’identité de grands groupes. 

D’après les témoignages recueillis par la plateforme AMF Epargne Info Service et les constats de l’AMF issus de sa veille publicitaire, de nombreuses offres frauduleuses proposent aux particuliers d’investir dans la transition énergétique. Par exemple par le biais d‘un « livret hydrogène » — parfois décliné en version « pétrole » ou « solaire » — ou dans des places de stationnement avec bornes de recharge électrique — présentées comme des « éco-parkings » — ou dans des centrales photovoltaïques en Espagne, au Portugal, en France ou en Belgique.

Fraude et usurpations d'identité

Ces offres frauduleuses s’appuient généralement sur l’usurpation d’identité de groupes connus du secteur de l’énergie ou de la grande distribution, d’opérateurs immobiliers — mais aussi de professionnels de la finance, sociétés de gestion ou conseillers en investissements financiers. Elles prétendent aussi parfois bénéficier d’une soi-disant garantie de capital de l’ACPR, de la Banque de France ou de la Banque centrale européenne (BCE).

Les fausses brochures commerciales font valoir qu’il s’agirait d’un « placement écoresponsable » ou « durable, à haut potentiel et sécurisé », avec un « taux de rendement élevé » (6 % à 12 % par an). Elles proposent à l'investisseur de « survolter son épargne », parfois sous la forme de « contrats de financement participatif ».

Les épargnants sont généralement sollicités par mail ou par téléphone, après avoir renseigné leurs coordonnées dans des formulaires de contact sur Internet. Certaines victimes de ces fraudes indiquent avoir découvert l’offre sur les réseaux sociaux. Il n’y a aucune réalité derrière ces offres frauduleuses. Peu après avoir effectué les virements, les victimes ne parviennent plus à joindre les faux conseillers ni à récupérer leurs fonds.

70 000 euros de préjudice moyen

Depuis le début de l’année, l’AMF a reçu plus d’une centaine de réclamations et signalements et plus d’une cinquantaine de demandes d’épargnants concernant ce type de propositions d’investissements. Les pertes déclarées par les épargnants ayant contacté l’AMF après avoir souscrit ce type d’offres frauduleuses sont élevées, avec un préjudice moyen de 70 000 euros.

L’AMF rappelle que le conseil en investissement est une activité réglementée. Seuls des prestataires de services d'investissement agréés, figurant sur le registre Regafi ou des intermédiaires autorisés dans la catégorie des conseillers en investissement financier (CIF immatriculés à l’Orias) y sont habilités. L’AMF recommande aux épargnants de ne pas donner suite aux sollicitations des personnes les incitant à investir sans avoir vérifié que ces personnes disposent des garanties ou des autorisations nécessaires.  D’une manière générale, l’AMF invite les épargnants à appliquer des règles de vigilance avant tout investissement :

  • attention aux publicités que vous voyez sur internet et particulièrement sur les réseaux sociaux : ce sont les terrains de prédilection des escrocs pour hameçonner leurs futures victimes ;
  • ne communiquez pas vos coordonnées personnelles (téléphone, mail, pièces d’identité, RIB, IBAN, justificatifs de domicile, etc.) à des sites dont vous ne pouvez attester la fiabilité ;
  • méfiez-vous des promesses de gains rapides sans contreparties. Il n’y a pas de rendement élevé sans risque élevé ;
  • ne prenez pas pour argent comptant les informations données par les sociétés, que cela soit à l’oral ou à l’écrit. Les usurpations sont fréquentes, nombreuses et faciles à réaliser ;
  • ne cédez pas à l’urgence ou aux pressions de votre interlocuteur, prenez le temps de la réflexion. 
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Investissement dans le vin : l’AMF inscrit trois nouveaux sites sur sa liste noire

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'Autorité des marchés financiers publie la liste des nouveaux sites internet identifiés proposant en France d’investir dans des biens divers sans disposer des autorisations nécessaires. Les dernières sociétés identifiées sont :

  • www.clconseil-cave.com/fr
  • www.groupe-lrconseil.com/fr
  • www.gst-investissements.com/fr

Depuis le début de l’année 2022, l’AMF a inscrit huit nouveaux sites sur cette liste noire, dont sept dans la catégorie « vins ».

Un enregistrement obligatoire

Toute offre d’investissement dans des biens divers doit être enregistrée à l’AMF pour être commercialisée. La liste blanche des offres enregistrées en biens divers est consultable sur le site internet de l’AMF.

La liste de l’ensemble des sites non autorisés à proposer des investissements dans des biens divers est disponible sur le site internet de l’AMF et sur le site internet Assurance Banque Épargne Info Service – ABE IS.

N.B. : Attention, cette liste est mise à jour régulièrement mais n’a pas vocation à être complète car de nouveaux acteurs non autorisés apparaissent régulièrement. Par ailleurs, les décisions d’enregistrement délivrées par l’AMF sont consultables sur le site internet de l’AMF.

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Propositions frauduleuses de crédits, livrets d’épargne, paiements et assurances : l’ACPR met à jour sa liste noire

La Rédaction
Le Courrier Financier

L’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) publie ce mercredi 14 avril une mise en garde contre les propositions frauduleuses de crédits, de livrets d’épargne, de services de paiement et de contrats assurances. L'ACPR met à jour régulièrement sa liste noire des sites ou entités qui proposent en France ce type de services sans y être autorisés. 322 nouveaux sites internet ou entités ont été ajoutés à cette liste au 1er trimestre 2021.

Attention, la liste noire « crédits, livrets d’épargne, services de paiement et assurances » n'est pas exhaustive — dans la mesure où de nouveaux sites non autorisés apparaissent régulièrement sur Internet. Si le nom d’un site ou d’une entité n’y figure pas, cela ne signifie pas pour autant qu’il est autorisé à proposer des produits bancaires ou des assurances en France.

Comment se protéger des offres frauduleuses ?

Vérifiez systématiquement que votre interlocuteur est autorisé à proposer des produits bancaires ou des assurances en consultant le registre des agents financiers - REGAFI, le registre des organismes d’assurance - REFASSU et le site de l’ORIAS, organisme chargé de tenir le registre des intermédiaires en assurance, en banque ou en financement participatif. 

Soyez vigilant face au risque d’usurpation d’identité d’un professionnel autorisé. En tout état de cause, si la société ou la personne qui vous sollicite n’est mentionnée sur aucun de ces registres, ne répondez pas à sa proposition.

Que faire en cas de fraude ?

Si vous avez été victime d’une fraude, déposez une plainte dans les meilleurs délais. L’ACPR vous recommande également de contacter INFO ESCROQUERIES en appelant le 0 805 805 817 (service et appel gratuits du lundi au vendredi de 09h00 à 18h30) et d’effectuer un signalement, même si vous n’avez pas subi de préjudice. Un signalement peut être utile pour empêcher d’autres tentatives d’escroquerie.

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Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

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La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

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Assurances : l’ACPR met en garde contre des pratiques commerciales contraires aux intérêts des assurés

La Rédaction
Le Courrier Financier

L’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) publie ce jeudi 7 janvier une mise en garde un organisme d’assurance. L'organisme a constaté la diffusion de documents publicitaires qui présentent de manière insuffisamment équilibrée les avantages et inconvénients du contrat proposé — ce qui porte atteinte aux règles de bonnes pratiques de la profession en matière de communication à caractère publicitaire.

Courriers publicitaires

En l’espèce, les pratiques relevées consistaient à transmettre aux assurés détenant des contrats de retraite supplémentaire relevant de gammes anciennes, comportant des garanties contractuelles importantes (taux de revalorisation notamment), des courriers publicitaires.

Ces derniers visent à promouvoir le transfert de l’épargne vers des contrats de retraite de type Madelin ou PERP plus récents, assortis de garanties moindres. Or, ces courriers publicitaires mettaient en avant les avantages potentiels des opérations de transfert, sans pour autant présenter clairement les risques de baisse de la rente annuelle garantie s’y attachant.

Informer les assurés

L’ACPR est particulièrement attentive à la clarté et à l’exactitude de l’information contenue dans les communications à caractère publicitaire. Elle appelle l’ensemble des professionnels, assureurs et intermédiaires, à toujours veiller à l’équilibre des communications diffusées.

Cette attitude doit prévaloir, quel que soit le type de contrats. Les clients doivent comprendre les caractéristiques principales de l’offre, avec une présentation loyale et équilibrée des avantages et des risques encourus.

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L’AMF et l’ACPR mettent en garde le public contre les activités de plusieurs acteurs qui proposent en France des investissements sur le Forex et sur des produits dérivés sur crypto-actifs sans y être autorisés

La Rédaction
Le Courrier Financier


Voici la liste des sites d’acteurs non autorisés récemment identifiés :   

Produits dérivés sur crypto-actifs :Voici la liste des sites d’acteurs non autorisés récemment identifiés :

  Les listes de l’ensemble des sites non autorisés à proposer des investissements sur le Forex ou sur les produits dérivés sur crypto-actifs sont disponibles sur le site internet Assurance Banque Épargne Info Service – ABE IS (rubrique : Vos démarches → Se protéger contre les arnaques → Les listes noires des sites internet et entités non autorisés) ainsi que sur le site internet de l’AMF (rubrique : Espace épargnants → Protéger son épargne → Listes noires et mises en garde) et l’application AMF Protect Epargne.

Attention, ces listes sont mises à jour régulièrement mais n’ont pas vocation à être complètes car de nouveaux acteurs non autorisés apparaissent régulièrement.
Pour vous assurer que l'intermédiaire qui vous propose des produits ou services financiers est autorisé à opérer en France, vous pouvez consulter la liste des prestataires de services d'investissement habilités (https://www.regafi.fr) ou la liste des intermédiaires autorisés dans la catégorie conseiller en investissement financier (CIF) ou conseiller en investissements participatifs (CIP) (https://www.orias.fr/search).

Si la personne ne figure sur aucune de ces deux dernières listes, nous vous invitons fortement à ne pas répondre à ses sollicitations car celle-ci est en infraction avec la législation applicable et n’est pas tenue de respecter les règles élémentaires de protection des investisseurs, de bonne information ou de traitement des réclamations.

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L’AMF lance une alerte vigilance face à certaines activités de Laurent Chenot

La Rédaction
Le Courrier Financier

A la suite de plusieurs dizaines de signalements d’épargnants, l’Autorité des marchés financiers (AMF) met en garde le public ce mercredi 18 novembre à l’encontre des propositions et activités de Laurent Chenot, au travers de ses sociétés Legendary Learning et Tradinvest.

Rappel des faits

Laurent Chenot a invité des particuliers à souscrire sur son site internet des formations payantes dans le domaine de la finance afin de les rediriger par la suite vers des courtiers en ligne. Une fois inscrits sur ces plateformes, les épargnants ont effectué des opérations financières sur des produits financiers très spéculatifs selon des recommandations d’investissement précises. Nombre d’épargnants ont contacté les services de l’AMF à la suite de pertes conséquentes sur ces plateformes.

Les activités exercées par Laurent Chenot et son équipe relèveraient des services d’investissement de gestion de portefeuille pour compte de tiers et/ou du conseil en investissements financiers pour lesquels ni Laurent Chenot, ni son équipe, pas plus que ses sociétés Legendary Learning ou Tradinvest, ne disposent des autorisations réglementaires. Les courtiers extra-européens que Laurent Chenot présente aux particuliers ne sont pas non plus habilités à fournir des services d’investissement en France.

Recommandations de l'AMF

La fourniture de ces services d’investissement nécessite obligatoirement une autorisation de l’AMF en application du code monétaire et financier. L’AMF recommande aux investisseurs de ne pas donner suite aux sollicitations et formations financières de Laurent Chenot — directement ou au travers de ses sociétés — notamment les services nommés « Livret Alpha », « Livret Alpha Performance », « Dollar King », « Money Daddy » ou « First Trading », et de ne pas les relayer auprès de tiers.

D’une manière générale, l’AMF invite les épargnants à appliquer des règles de vigilance avant tout investissement :

  • aucun discours commercial ne doit faire oublier qu’il n’existe pas de rendement élevé sans risque élevé ;
  • obtenez un socle minimal d’informations sur les sociétés ou intermédiaires qui vous proposent le produit : identité sociale, pays d’établissement, responsabilité civile, règles d’organisation, etc. ;
  • ayez conscience qu’on ne devient pas un trader expert en quelques heures de formation en ligne ;
  • évitez le Forex, le marché des devises non régulé, où les risques de perte en capital supérieure à la somme investie sont élevés — si vous n’êtes pas un investisseur expérimenté. 
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Jetons : l’AMF met en garde contre l’offre de la société Cash Flash

La Rédaction
Le Courrier Financier

L’Autorité des marchés financiers (AMF) appelle à la vigilance ce mardi 21 juillet à l’égard d’une offre au public de jetons (en anglais Initial Coin Offering ou ICO) réalisée par la société Cash Flash, non autorisée à faire l’objet de démarchage en France en l’absence de visa AMF.

Démarchage interdit en France

Cette société diffuse, dans un document d’information (« white paper ») disponible sur son site internet des informations indiquant ou laissant entendre que celle-ci aurait obtenu un visa de l’AMF, au sens de l’article L. 552-4 du code monétaire et financier.

L'AMF précise qu’aucun visa n’a été délivré à l’offre au public de jetons actuellement réalisée par la société Cash Flash, ni sur aucune autre offre de jetons réalisée par cette société. Cette offre au public de jetons ne présente dès lors pas les garanties légales associées au visa de l’AMF et ne peut, conformément à l’article L. 341-10, 6° du code monétaire et financier, faire l’objet d’actes de démarchage auprès du public français.

A quoi sert le visa de l'AMF ?

Aux termes de l’article L. 552-1 du code monétaire et financier, un émetteur qui procède à une offre au public de jetons peut solliciter un visa de l'AMF. Les garanties attachées au visa de l’AMF sont rappelées sur le site du régulateur. Le visa indique que l'AMF a vérifié que le document d'information de cette offre est complet et compréhensible.

L'AMF rappelle que l'investissement dans une offre au public de jetons comporte des risques de perte partielle ou totale du capital investi. Aucune garantie n'est donnée quant à la liquidité des jetons au cours de l'offre, l'existence effective d'un marché secondaire permettant d'échanger ces jetons, ni même leur valeur en devise (euro, dollar, etc.).

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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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Crypto-actifs : L’AMF et l’ACPR mettent en garde contre de nouvelles plateformes

La Rédaction
Le Courrier Financier

Avec l’objectif de protéger les épargnants, l’Autorité des marchés financiers (AMF) et l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) mettent à jour ce lundi 29 juin leurs listes noires. Les deux institutions mettent en garde contre plusieurs sites, qui proposent des investissements sur le marché des changes non régulé (Forex) et sur des produits dérivés dont le sous-jacent est constitué de crypto-actifs, sans y être autorisés. Voici la liste des sites d’acteurs Forex non autorisés récemment identifiés : 

  • www.bitworldfx.com ;
  • www.brightfinance.co ;
  • www.daxbase.com/fr ;
  • www.daxioma.com/fr ;
  • www.fortiscapitalmanagers.com ;
  • https://fr.uptos.com ;
  • www.investisafe.com ;
  • www.lvmexchange.com/fr/ ;
  • www.wavetomarkets.com.

Voici la liste des sites d’acteurs non autorisés récemment identifiés :

  • bitcoin-storm.com/fr ;
  • cryptolegacypro.com/fr.

Produits dérivés sur crypto-actifs :

Les listes de l’ensemble des sites non autorisés à proposer des investissements sur le Forex ou sur les produits dérivés sur crypto-actifs sont disponibles sur le site de l’AMF, sur l’application AMF Protect Epargne, ainsi que sur le site Assurance Banque Épargne Info Service – ABE IS. Ces listes sont mises à jour régulièrement, mais restent non exhaustives. De nouveaux acteurs non autorisés apparaissent régulièrement.

Pour vous assurer que l'intermédiaire qui vous propose des produits ou services financiers est autorisé à opérer en France, vous pouvez consulter la liste des prestataires de services d'investissement habilités, ou la liste des intermédiaires autorisés dans la catégorie conseiller en investissement financier (CIF) ou conseiller en investissements participatifs (CIP).

Si la personne ne figure sur aucune de ces deux dernières listes, l'AMF et l'ACPR incitent fortement les épargnants à ne pas répondre à ses sollicitations. Celle-ci est en effet en infraction avec la législation applicable et n’est pas tenue de respecter les règles élémentaires de protection des investisseurs, de bonne information ou de traitement des réclamations.

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L’AMF met en garde le public contre les activités de la société Naftoil et de son dirigeant

La Rédaction
Le Courrier Financier

La société Naftoil n’est pas autorisée par l’AMF à fournir des services d’investissement. D’une manière générale, l’AMF invite les épargnants à appliquer des règles de vigilance avant tout investissement :

  aucun discours commercial ne doit vous faire oublier qu’il n’existe pas de rendement élevé sans risque élevé ;

  obtenez un socle minimal d’informations sur les sociétés ou intermédiaires qui vous proposent le produit (identité sociale, pays d’établissement, responsabilité civile, règles d’organisation, etc.) ;

 n’investissez que dans ce que vous comprenez ;

 posez-vous la question de savoir comment est réalisée la valorisation du produit proposé (prix d’achat ou prix de vente), renseignez-vous précisément sur les modalités de revente du produit et les délais liés, notamment dans le cas où le produit investit sur une classe d’actifs peu liquide.

Pour vous assurer que l'intermédiaire qui vous propose des produits ou services financiers est autorisé à opérer en France, vous pouvez consulter la liste des prestataires de services d'investissement habilités (https://www.regafi.fr ou la liste des intermédiaires autorisés dans la catégorie conseiller en investissement financier (CIF) ou conseiller en investissements participatifs (CIP)(https://www.orias.fr/search).

Si la personne ne figure sur aucune de ces listes, nous vous invitons fortement à ne pas répondre à ses sollicitations car celle-ci est en infraction avec la législation applicable et n’est pas tenue de respecter les règles élémentaires de protection des investisseurs, de bonne information ou de traitement des réclamations.

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