Marchés financiers : le théâtre de la Maison Blanche

Les équipes de gestion d'APICIL AM
APICIL Asset Management
Jusqu'au 1er juin prochain, les marchés financiers surveillent le plafond de la dette américaine. Quel impact sur la volatilité des actions ? Les équipes de gestion d'Apicil Asset Management (Apicil AM) publient leur lettre hebdomadaire d'analyse des marchés financiers.
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La relance : remède à la crise des partis ?

Thomas Planell
DNCA
Aux Etats-Unis, l'élection présidentielle 2020 s'est déroulée dans une grande confusion. Le pays sort profondément divisé de cet affrontement entre républicains et démocrates. La relance économique suffira-t-elle à modifier cette dynamique ? L'éclairage de Thomas Planell, Gérant-analyste chez DNCA.
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Marchés financiers : les yeux rivés sur le confinement américain et le high yield

Alexandre Baradez
IG France
Cette semaine, les interventions des banques centrales et des Etats pour soutenir l'économie ont redonné un peu d'oxygène aux marchés. Le refus des Etats-Unis d'observer un confinement strict reste alimente pourtant les inquiétudes. Le pays de l'Oncle Sam va-t-il devenir le nouvel épicentre de l'épidémie de coronavirus ? Quelles conséquences cette crise sanitaire va-t-elle avoir sur le High Yield ? L'éclairage d'Alexandre Baradez, Responsable Analyses Marchés chez IG France.
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Etats-Unis : un socialiste à la Maison-Blanche ?

Frédéric Rollin
Pictet AM
Bernie Sanders mène la course à l’investiture démocrate et le Super Tuesday du 3 mars pourrait sceller sa victoire. Les Républicains s’en frottent les mains. Bernie Sanders a l’imprudence de se dire socialiste et beaucoup estiment qu’il s’agit là d’un handicap majeur pour l’élection de novembre. Un président des Etats-Unis socialiste ? Frédéric Rollin, conseiller en stratégie d’investissement chez Pictet AM, partage son analyse.
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Fonds daté : Cogefi Gestion lance Cogefi Bonds 2026

La Rédaction
Le Courrier Financier

Cogefi Gestion — spécialiste de la gestion d'actifs — annonce ce vendredi 26 mai renforcer sa gamme de fonds obligataires avec le lancement de « Cogefi Bonds 2026 », organisme de placement collectif (OPC) de droit français à échéance 2026. Le fonds est ouvert aux souscriptions jusqu’au 30 septembre 2023.

Opportunités obligataires

Après une année de remontée de taux historique en 2022, le couple rendement/risque du marché obligataire offre de nouvelles opportunités — y compris sur les dettes courtes. Dans l’environnement actuel (taux et crédit) l’objectif de rendement brut annuel cible est supérieur à 6 %. 

Cette performance sera liée à l’évolution des marchés obligataires, notamment en raison d’une exposition majoritaire aux dettes high yield détenues jusqu’à leur maturité en 2026 (stratégie de portage).

Diversification du portefeuille

Le gérant s’impose une gestion stricte et lisible : aucune exposition résiduelle aux actions, pas de dettes émergentes, une maturité maximum des obligations au 30 septembre 2026 alignée avec la date de remboursement du fonds.

Le portefeuille est bien diversifié en termes d’émetteurs (minimum 50 lignes), de secteurs, de pays (majoritairement européens) et sur des obligations liquides — pas de dettes perpétuelles ou d’hybrides, etc.

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SCPI Remake Live : Remake acquiert un immeuble à Harcourt Street au cœur de Dublin

La Rédaction
Le Courrier Financier

Remake — spécialiste de l'investissement immobilier — annonce ce jeudi 25 mai l’acquisition d’un troisième immeuble à Dublin (Irlande), pour le compte de sa SCPI Remake Live. Objectif pour la société de gestion, poursuivre sa stratégie opportuniste en Europe. Remake investit ainsi à long terme dans des actifs immobiliers de qualité dans des villes européennes attractives.

Pour cette acquisition, Remake était conseillé par Knight Frank, Maples Group and Hollis International. Les performances exprimées ne sont pas garanties et ne sont pas nécessairement un bon indicateur de la performance future de Remake Live.

SCPI Remake Live : Remake acquiert un immeuble à Harcourt Street au cœur de Dublin
L'actif est localisé au 87-88 Harcourt Street à Dublin 2.
Source : Remake

Quartier central des affaires de Dublin

Cet actif se trouve au 87-88 Harcourt Street à Dublin 2, dans le quartier central des affaires de Dublin. Il s'agit d'un emplacement de bureau « prime » qui concentre les sièges de nombreuses sociétés internationales telles que EY, KPMG, Mazars, Dropbox et Deloitte, ainsi qu’un environnement très recherché, qui offre un mélange varié de commerces, cafés et restaurants.

L'immeuble est bien desservi par les transports publics — notamment avec la ligne de tramway qui relie le nord et le sud de Dublin. Restructuré en 2003, l'immeuble développe une surface totale de 4 953 m² à usage de bureaux avec 45 places de parking en sous-sol. Il comprend une partie de style « Géorgien » en façade, ainsi qu’une partie moderne sur l’arrière du bâtiment.

SCPI Remake Live : Remake acquiert un immeuble à Harcourt Street au cœur de Dublin
L'immeuble comprend une façade de style « Géorgien » et une partie moderne sur l’arrière.
Source : Remake

Renforcer sa présence en Irlande

L’actif est entièrement loué par l’un des principaux cabinets d’avocats d’Irlande, dans le cadre
d’un bail ferme d’une durée restante de près de 9 années. Le loyer annuel atteint de 2,5 M€. Le prix d’acquisition s’élève à 34 M€, soit une valeur métrique attractive de l’ordre de 6 500 €/m² (hors parkings). Celui-ci permet de dégager un taux de rendement immédiat de 6,70 % selon l’analyse de la société de gestion en mai 2023.

« Cette nouvelle acquisition à Dublin qui vient renforcer notre présence en Irlande. Le pays devrait enregistrer la meilleure croissance et l’un des taux d’inflation les plus faibles d’Europe, tout en restant une porte d’entrée anglo-saxonne en Union Européenne. Le timing de ces acquisitions bénéficie d’un repricing qui nous semble excessif en comparaison à beaucoup d’autres pays européens », déclare Julien Lamy, Directeur des Investissements de Remake.

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Relations commerciales : escarmouches plus que guerre ouverte

Hervé Goulletquer
Le marché continue de s’interroger sur la politique commerciale des États-Unis. Avec cette impression que c’est en fait toute leur politique étrangère qui est en train de se durcir. John Bolton, dans le passé proche des néo-conservateurs, favorable à l’invasion de l’Irak, ne vient-il pas d’être nommé conseiller à la sécurité nationale ?
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Les « casseroles » de Trump entraînent une réévaluation du risque américain

Clément Inbona
LFDE
L’hypothèse aurait pu être qualifiée de saugrenue il y a peu. Mais c’était sans compter sur la personnalité hors norme du président fraîchement élu qui pourrait se voir accusé d’obstruction à la justice suite aux déclarations de James Comey, l’ancien directeur du FBI. En effet, après son éviction, celui-ci a déclaré au New York Times avoir fait l’objet de pression de la part du président pour renoncer à l’enquête sur le Général Michael Flynn, l’ancien conseiller à la sécurité de la Maison Blanche remercié pour ses liens supposés avec la Russie.
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