Antoine Andreani – XTB France : guerre Israël-Hamas, « le pétrole et les actions pétrolières demeurent des valeurs cycliques »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Comment le conflit au Proche-Orient pourrait-il impacter le prix du pétrole ? Dans ce contexte économique, comment adapter sa stratégie d'investissement ? Antoine Andreani, Analyste marché senior chez XTB France, répond en exclusivité au Courrier Financier.
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Marchés américains : Twilight Struggle

Thomas Planell
DNCA
En 2023, les gérants d'actifs mondiaux sont ballotés entre inflation persistante et risques géopolitiques. Quelles perspectives sur les marchés américains ? Comment la Réserve fédérale (Fed) adapte-elle sa politique monétaire ? Les explications de Thomas Planell, gérant – analyste chez DNCA Finance.
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Marchés financiers : des inconnues connues

Les équipes de Muzinich & Co.
Muzinich & Co.
La fin de l'année 2023 reste marquée par l'inflation persistante et les risques géopolitiques, liés à la guerre en Ukraine et au Proche-Orient. Faut-il craindre la stagflation aux Etats-Unis ? Quelles perspectives pour les investisseurs ? Les équipes de gestion de Muzinich & Co. publient leur commentaire de marché hebdomadaire.
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Etats-Unis : la Fed en pause malgré le rebond de l’inflation

César Pérez Ruiz
Pictet Wealth Management
La flambée des prix se poursuit aux Etats-Unis, sur fond de conflit entre le Hamas et Israël. Comment la Fed adapte-elle sa politique monétaire ? L'éclairage de César Perez Ruiz, Responsable des investissements et CIO chez Pictet Wealth Management.
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Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

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La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

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Matières premières : le pétrole à 150 dollars en cas de conflit direct entre l’Iran et Israël ?

Thomas Planell
DNCA
Le 7 octobre dernier, l'attaque du Hamas contre Israël a rallumé le feu de la guerre au Proche-Orient. Quelles conséquences sur les prix du pétrole ? Quel rôle l'Iran pourrait-il jouer dans cette équation ? Les explications de Thomas Planell, CFA, Gérant-analyste chez DNCA Finance.
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Guerre Israël-Hamas : quel impact économique sur les marchés ?

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Au lendemain de l'offensive menée par le Hamas, l'Etat d'Israël est entré officiellement en guerre le 8 octobre dernier. Quelles seront les conséquences sur son économie ? Quel impact sur les marchés financiers ? Le point avec Le Courrier Financier.
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Agritech : Maor II atteint plus de 150 millions de dollars pour son premier closing

La Rédaction
Le Courrier Financier

Maor Investments — l’un des 10 fonds de venture capital les plus actifs en Israël — annonce ce lundi 4 mars le premier closing de son fonds Maor II, dont l’objectif de collecte a été dépassé, auprès d’investisseurs européens qualifiés. Dédié à l’investissement dans les pépites technologiques israéliennes, Maor II atteint plus de 75 % de la taille cible du fonds. Sa capacité d'investissement de plus de 150 M$ qui dépasse ainsi celle de son premier fonds Maor I.

Ce premier closing coïncide avec un premier déploiement vers SupPlant, une Agritech israélienne proposant des solutions d’irrigation innovantes dans la Smart Agriculture. Cinq mois après l’annonce de son lancement, pour ce premier closing, Maor Investments a pu compter sur ses souscripteurs historiques — dont plus de 90 % ont souscrit à Maor II — mais également sur de nouveaux investisseurs français et européens. Le tour de table qui rassemble de nombreux family offices et quelques institutions, reflète une forte hausse du ticket moyen de souscription.

Cibler les pépites israéliennes

Le montant de ce premier closing, au-delà des attentes, conforte Maor Investments dans l’atteinte de son objectif de collecte auprès d’investisseurs européens qualifiés de 200 M$, dédié à l’investissement dans les pépites technologiques israéliennes. L’allocation des souscriptions résiduelles entre le premier closing et le closing définitif sera principalement réservée aux investisseurs institutionnels ayant déjà exprimé leur intérêt pour Maor II.

L'engouement des investisseurs pour Maor II s'explique d'abord par la très bonne performance de Maor I. Clôturé en 2019, ce fonds est déjà investi à plus de 85 % dans 18 startups évoluant dans des secteurs très divers (intelligence artificielle, fintech, sportstech, immobilier, construction, marketing, santé numérique, agriculture, infrastructure cloud et cyber-sécurité). Maor II poursuivra un objectif d’investissement similaire dans les entreprises technologiques israéliennes en forte croissance, afin de leur offrir des débouchés commerciaux en Europe.

Le premier closing de Maor II coïncide avec un premier investissement dans SupPlant. Grâce à sa technologie d’IA unique brevetée d’irrigation autonome, SupPlant analyse les données collectées en direct sur les plantes et les sols, les croise avec des indicateurs extérieurs — exemple, les prévisions météorologiques — et les traduit en recommandations d’irrigation pour les agriculteurs. Il s'agit d’améliorer leur productivité, tout en optimisant la consommation en eau. Objectif, s'adapter au changement climatique en accompagnant une exploitation agricole et en développant des modes de consommation plus durables.

Méthodologie ESG exhaustive

Enfin, les souscripteurs ont été particulièrement convaincus par les engagements et l'approche de Maor Investments en matière d’ESG. Signataire de la charte pour les investissements responsables (PRI), MAOR Investments a entrepris de mettre systématiquement en œuvre les pratiques ESG dans son processus d'investissement et de gestion de portefeuille. La société s’est également fixé pour objectif de mettre au point une méthodologie ESG exhaustive à fin 2023.

Très connecté à l’écosystème des startups israéliennes, Maor Investments est aussi un membre actif de plusieurs organisations locales dont « Power in Diversity » et « Tmura » visant à améliorer la diversité, l’égalité et l’inclusion au sein de la Silicon Wadi ainsi que l’accès à l’éducation des jeunes en Israël. Depuis sa création, Maor Investments s’attache à œuvrer au rapprochement des startups Israéliennes avec les grands groupes, français d’abord, puis Européens, en quête d’innovation.

Israël représente une opportunité aux portes de l’Europe pour les investisseurs institutionnels et Family Offices européens à ce jour sous-investis dans les sociétés technologiques non cotées. À seulement 4 heures de vol et une heure de décalage horaire, la Silicon Wadi Israélienne est une alternative à la Silicon Valley. Les collaborations technologiques et industrielles contribueraient ainsi à renforcer les industries françaises et européennes face aux géants américains.

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Capital-risque : Maor Investments lance Maor II, fonds européen dédié aux startups israéliennes

La Rédaction
Le Courrier Financier

Maor Investments — l’un des 10 fonds de venture capital les plus actifs en Israël — annonce ce mardi 12 octobre le lancement de son nouveau fonds Maor II, avec un objectif de collecte de 200 M$ auprès d’investisseurs Européens qualifiés, dédié à l’investissement dans les pépites technologiques israéliennes.

Maor Investments a été lancé en 2018 pour faciliter l'accès des investisseurs européens — en particulier des Family Offices — à l'écosystème et aux opportunités technologiques israéliennes. Depuis sa création, Maor déploie une double culture Israélo-Européenne ainsi qu’une forte présence locale pilotée par une équipe Israélienne basée à Tel-Aviv — dont le réseau constitue un avantage majeur dans le sourcing des pépites. Maor ouvre les portes des grandes entreprises européennes aux startups israéliennes.

Sa création est partie du constat que l’Europe et Israël sont confrontés à un même défi qui représente à moyen-long terme un enjeu de souveraineté et de compétitivité industrielle critique pour les deux territoires : proposer à leurs entreprises technologiques, qui s’expatrient aujourd’hui en majorité aux États-Unis, une alternative locale pour les retenir et les faire prospérer.

Se renforcer face aux Etats-Unis

Si la forte culture du risque et l’esprit entrepreneurial d’Israël ont conféré au pays une avance notable par rapport à l’Europe, le même phénomène s’observe de plus en plus dans les deux régions :  les startups à succès sont largement financées par des fonds américains et choisissent en masse de s’expatrier aux États Unis, soit se cotant sur le Nasdaq ou le NYSE, soit en étant rachetées par un groupe technologique ou financier américain. Cela s’explique pour principalement deux raisons en ce qui concerne Israël : 

  • d’une part, les principaux fonds de venture capital actifs en Israël sont les fonds américains qui poussent bien souvent les sociétés israéliennes à transférer leur siège social aux États-Unis, notamment pour simplifier les rapports entre membres du conseil d’administration et les équipes de direction ;
  • d’autre part, les débouchés sur le marché local Israélien étant limités, les startups israéliennes se tournent volontiers vers les États-Unis comme le premier pays d’exportation car ils présentent deux commodités : une seule langue sur l’ensemble du territoire et la possibilité de toucher tout le pays depuis une ou deux villes majeures.

Même constat pour les jeunes entreprises technologiques européennes, alors même que l’Europe constitue une zone de développement commercial plus importante que les États-Unis. En témoignent des levées de fonds record réalisées récemment par des fonds américains sur des startups françaises. Maor Investments se positionne sur ce thème en œuvrant au rapprochement des startups Israéliennes avec les grands groupes — Français d’abord, puis Européens — en quête d’innovation.

Stratégie du fonds Maor II

Après le succès de Maor I, le lancement de Maor II constitue une étape de développement supplémentaire pour Maor Investments. Il fait suite à la levée de 100 millions de dollars clôturée en 2019 du fonds Maor I, déjà investi à plus de 75 % dans 18 startups de secteurs divers (intelligence artificielle, fintech, sportstech, immobilier, construction, marketing, santé numérique, agriculture, infrastructure cloud et cyber-sécurité).

En moins de trois ans, Maor I a réalisé une sortie et une introduction en bourse de ses startups en portefeuille. Près de 25 % du capital investi a été reversé à ses investisseurs privés. Maor II vise à poursuivre une stratégie très similaire — avec toutefois plus de flexibilité et une taille de fonds doublée. Maor II pourra ainsi être présent sur des tours de tables plus importants et investir davantage en tant qu’Investisseur Lead

Israël représente une opportunité aux portes de l’Europe pour les investisseurs institutionnels et Family Offices européens — à ce jour sous-investis dans les sociétés technologiques non cotées. Avec seulement une heure de décalage horaire, la Silicon Wadi Israélienne est une alternative sérieuse et bien plus accessible que la Silicon Valley. Les collaborations technologiques et industrielles contribueraient ainsi à renforcer les industries françaises et européennes face aux géants américains.

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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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Sweetwood Ventures et le Groupe Azimut signent un partenariat stratégique

La Rédaction
Le Courrier Financier

Sweetwood Ventures — société israélienne d'investissement en capital-risque — annonce le lancement de son second fonds de fonds, qui vise à investir dans des entreprises technologiques israéliennes en phase de démarrage et de croissance. La société signe un partenariat stratégique avec le Groupe Azimut, gestionnaire d'actifs indépendants en Europe.

« Ce partenariat accroît notre gamme d'investissements alternatifs et offre à nos clients un accès privilégié au deuxième plus grand marché de capital-risque au monde », déclare Giorgio Medda, co-PDG et responsable mondial de la gestion d'actifs du Groupe Azimut. « A travers ce partenariat, nous allons renforcer notre présence sur le marché israélien du capital-risque en tirant parti de la présence et de l'expertise mondiale du Groupe Azimut », déclare Samuel Cohen Solal, Associé Gérant de Sweetwood Ventures.

Vers une alliance stratégique

Suite au succès de « Sweetwood Ventures I SCSp-RAIF » lancé en 2018, le nouveau fonds — qui vise 120 M$ d'engagements — permettra aux investisseurs d'accéder aux startups technologiques israéliennes les plus prometteuses. Il combinera des investissements primaires et secondaires dans des fonds israéliens de capital-risque de premier plan et des co-investissements directs. Incorporé au Luxembourg, le fonds est soutenu par des investisseurs institutionnels, family office et investisseurs privés.

Sweetwood Ventures conclut un partenariat stratégique avec le Groupe Azimut — gestionnaire d'actifs indépendant européen coté en bourse, présent dans 17 pays, dont les actifs sous gestion dépassent les 88 Mds$. Le Groupe Azimut, par l'intermédiaire de sa filiale luxembourgeoise Azimut Investments, fournira une supervision institutionnelle et une gouvernance opérationnelle accrues au processus d'investissement de Sweetwood Ventures. Le partenariat prévoit le lancement de nouvelles initiatives d'ici mi-2022, à destination des investisseurs non européens.

Startups tech israéliennes

Selon IVC, principal institut de recherche israélien en technologie, les startups israéliennes ont levé la somme impressionnante de 10,2 Mds$ en 2020 et généré 15,4 Mds$ de sorties. Au cours du premier trimestre 2021, les startups israéliennes ont levé un montant record de 5,3 Mds$, témoignant ainsi de leur capacité d'adaptation et de leur faculté à relever les défis posés par la pandémie mondiale.

26 nouvelles licornes israéliennes ont vu le jour depuis 2020. Israël se place ainsi en deuxième position après les États-Unis, avec un écosystème technologique mâture. « Bien que l'année 2020 ait été dominée par les impacts de la Covid-19, les startups israéliennes ont démontré leur capacité à s'adapter rapidement et transformer cette crise en de nouvelles opportunités », affirme Manuel Sussholz, Associé Gérant de Sweetwood Ventures.

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Sweetwood Ventures lance son fonds de fonds israélien de 70 millions de dollars

Michael McEachern
Muzinich & Co.

Sweetwood Ventures — branche capital-risque de Sweetwood Capital — annonce ce mardi 28 avril la clôture finale de son premier fonds de fonds israélien de capital-risque de 70 millions de dollars. Le fonds associe des investissements primaires et secondaires dans des fonds israéliens de capital-risque de premier plan avec des co-investissements directs dans des startups identifiées comme prometteuses.

Objectif, ouvrir aux investisseurs européens un accès aux startups technologiques israéliennes les plus prometteuses. Basé en Israël, le fonds est domicilié au Luxembourg. Il est soutenu par plusieurs investisseurs institutionnels et privés — notamment une banque privée belge — ainsi que des Family Office européens, notamment belges et luxembourgeois.

Croissance malgré le Covid-19

« Notre fonds engage des capitaux auprès des meilleurs gestionnaires de capital-risque israéliens sur une période de 3 ans. Les fonds sous-jacents eux-mêmes investissent généralement sur une période initiale de 3 ans. Cette approche d'investissement multicycle nous permettra de bénéficier de la probable vague de baisse des valorisations due à la crise du Covid-19 et aux opportunités attractives qui se présenteront sur les marchés secondaires », déclare Samuel Cohen Solal, Associé Gérant de Sweetwood Ventures.

« Depuis 18 mois, nous investissons à travers notre premier fonds et nous nous sommes engagés auprès de cinq nouveaux fonds de capital-risque ainsi qu'auprès d'une position secondaire et avons réalisé un co-investissement direct. Nous sommes impatients de la croissance de notre portefeuille dans les années à venir », ajoute Amit Kurz, associé de Sweetwood Ventures.

Développement technologique

« Beaucoup de nos investisseurs européens reconnaissent le potentiel qu'a Israël à développer des entreprises technologiques révolutionnaires, et nous sommes fiers d'être reconnus comme l'un des principaux points d'accès à l'écosystème du capital-risque israélien », a déclaré Manuel Sussholz, Associé Gérant de Sweetwood Ventures.

Selon IVC — société de recherche technologique de référence en Israël — les startups israéliennes ont levé, en 2019, un montant de 8,2 milliards de dollars, tandis que les fusions ou acquisitions et les IPO des startups israéliennes représentaient 21,7 milliards de dollars. Au cours du premier trimestre de 2020, les startups israéliennes ont levé un montant record de 2,7 milliards de dollars, malgré le ralentissement survenu en mars.

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