Richard Restuccia – Orias : « Il faut impérativement renouveler son inscription avant le 31 mars »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
En 2023, l'Orias revient sur l'entrée en vigueur de la Réforme du courtage. Comment l'association accompagne-t-elle la mise en place du nouveau cadre réglementaire ? Qu'est-ce qui change cette année pour les intermédiaires en assurances dans le cadre de leur réinscription à l'Orias ?
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L’ACPR appelle à la vigilance des intermédiaires pour renouveler leur immatriculation à l’ORIAS

La Rédaction
Le Courrier Financier

L’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Régulation (ACPR) appelle ce jeudi 15 février l’ensemble des professionnels à déposer dorénavant sans délai leur dossier d’adhésion à une association pour pouvoir renouveler leur inscription à l’ORIAS pour l’exercice 2023.

Nouvelles conditions d'immatriculation

Depuis janvier 2023, en application de la loi n° 2021-402 du 8 avril 2021 relative à la réforme du courtage, les courtiers en assurance, les courtiers en opérations de banque et services de paiement et leurs mandataires respectifs, doivent pour procéder au renouvellement de leur immatriculation à l’ORIAS, adhérer à l’une des associations de leur choix parmi celles agréées par l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution.

Sans un justificatif d’adhésion à une association professionnelle, les demandes d’immatriculation ou de renouvellement d’immatriculation en tant que courtier ou mandataire de courtiers ne seront pas acceptées par l’ORIAS et les intermédiaires n’auront plus le droit d’exercer. Toute demande préalable d’adhésion auprès d’une association professionnelle nécessite la transmission d’un dossier complet permettant de justifier que les conditions d’accès à l’activité de l’intermédiaire concerné sont bien remplies.

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Intermédiaires en assurances : MetLife crée le Club MetUp

La Rédaction
Le Courrier Financier

MetLife France — spécialiste de la prévoyance individuelle — annonce ce mercredi 13 avril renforcer sa stratégie Marketing et Commerciale avec la création du Club MetUp. Ce programme met à disposition une plateforme réservée aux partenaires privilégiés de MetLife France, courtiers et conseillers en gestion de patrimoine (CGP). 

Accompagner les partenaires

Elaboré par les départements Marketing et Commercial, MetUp vise à accompagner les  intermédiaires d’assurance au travers d’outils d’aide à la vente, de formations, de coaching pour  les aider à renforcer leurs compétences et ainsi développer leur activité. Ce programme s'aligne sur le positionnement d’expert de MetLife, et la volonté de transmettre ce savoir-faire.

« Ce nouveau programme reflète la volonté de MetLife d’être un réel partenaire business pour les intérmédiaires d’assurance courtiers et conseillers en gestion de patrimoine. Cette nouvelle plateforme s’inscrit parfaitement dans l’accompagnement que fournit la marque à ses partenaires distributeurs grâce à notre réseau d’inspecteurs », indiquent Karim Boukni et Alfred Dittrick, Directeurs Commerciaux  de MetLife France. 

Quatre axes majeurs du programme

MetUp inclut quatre axe majeurs pour les intermédiaires d’assurance :  

  • Se former et former ses collaborateurs : Si le courtier est un professionnel de l’assurance, c’est également un chef d’entreprise. Il doit donc avoir de multiples compétences managériales, juridiques, commerciales mais aussi en marketing et communication ;  

Ainsi de nombreuses formations sont-elles proposées sur MetUp autour de tous les aspects du métier  de distributeur d’assurance : la technique assurantielle, la réglementation, les réseaux sociaux, la  négociation et le management d’équipe et de projets …  

En outre, au-delà de ces formations ou coachings dispensés par des organismes réputés, le site fournit  aussi une bibliothèque de contenus d’experts créés par MetLife, avec des articles et vidéos. Cette  bibliothèque est enrichie régulièrement. 

  • Dynamiser son business : des outils marketing, et notamment une gamme d’e-mails spécifiques  personnalisables (sur l’assurance emprunteur et les différentes garanties de prévoyance) que le  partenaire peut adresser à ses clients pour optimiser son portefeuille et développer son activité ; 
  • Profiter d’avantages professionnels : leasing de voitures ou de vélos à prix préférentiel,  abonnements à des titres de presse, ventes privées temporaires, etc.
  • Etre récompensé pour sa fidélité : avec un cadeau que chaque partenaire peut choisir dans la gamme disponible. 

Plusieurs statuts sont proposés : Silver – Gold – Platinum et Infinity et l’ensemble de ces avantages augmente avec le niveau de production correspondant des partenaires. 

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Assurance, banque et finance : l’Orias publie son rapport annuel 2019

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'Organisme pour le registre unique des intermédiaires en assurance, banque et finance (ORIAS) annonce ce mercredi 22 juillet la publication de son rapport annuel 2019. L'organisme y présente ses données statistiques arrêtées au 31 décembre 2019, c'est-à-dire avant la crise du coronavirus.

La troisième partie de ce rapport aborde les évolutions règlementaires entrées en vigueur au cours de l’année 2019, notamment les conséquences sur le registre de la Loi PACTE. Sont également abordées les incidences sur le contrôle de la condition de capacité professionnelle des IOBSP issue de la Directive crédit immobilier.

Hausse des immatriculations

Au 31 décembre 2019, l’ORIAS recensait 64 191 intermédiaires immatriculés en assurance, banque et finance représentant 107 321 catégories d’inscriptions, ce qui correspond à une hausse de 5 % du nombre d’intermédiaires et de 4 % toutes catégories confondues.

Cette augmentation s’inscrit dans la continuité des constats des précédents rapports. Cependant, il est à noter une hausse de 31 % du nombre de mandataires d’intermédiaires en opérations de banque et en services de paiement (IOBSP) et de la baisse de 12 % des mandataires non exclusifs en opérations de banque et en services de paiement. Il s’agit dans une majorité des cas d’un changement de catégorie.

Cumuls de catégorie

S’agissant des autres catégories, l'ORIAS observe une hausse généralisée du nombre d’inscriptions. Conséquence de ces augmentations, l’activité du Registre a également augmenté et le traitement des dossiers s’est effectué en moyenne dans un délai inférieur à 5 jours.

Le rapport annuel 2019 s’est enrichi d’une information relative aux cumuls des catégories d’inscriptions pour les intermédiaires en opérations de banque et en services de paiement (IOBSP). Rappelons que le contrôle de ce cumul ne relève pas du périmètre de l’ORIAS.

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Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

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La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

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Prêt Atout : la CNCEF interroge Bpifrance sur les intermédiaires financiers

La Rédaction
Le Courrier Financier

Dans le cadre de la crise du coronavirus, Bpifrance — banque publique d'investissement — a mis en place le dispositif « Prêt Atout » sur demande de l’Etat. Ce dispositif vise à renforcer la trésorerie des entreprises, afin de leur permettre de résoudre des tensions financières passagères (et non structurelles) dans un contexte conjoncturel exceptionnel, dans l'attente d’un retour à des conditions normales d’exploitation.

La Chambre Nationale des Conseils Experts Financiers (CNCEF) en a pris connaissance. L'organisation professionnelle s'interroge sur le fait que certaines entreprises d’intermédiation financière en seraient exclues, sans connaître lesquelles. C’est pourquoi, la CNCEF appelle Bpifrance à donner une définition plus précise des populations professionnelles qui pourraient se prévaloir de ce prêt.

Défendre les intermédiaires financiers

La CNCEF ne doute pas un seul instant, que l’Etat tout comme Bpifrance ont prévu de rendre bénéficiaires de ce dispositif, les courtiers en assurance, les intermédiaires en opérations de banque (IOBSP) et les conseillers en investissements financiers (CIF) et les conseillers en immobilier patrimonial. Autant de professionnels libéraux — et leurs salariés — qui sont actuellement touchés par les conséquences de l’épidémie.

La CNCEF rappelle que ces chefs d’entreprises ont entendu le soutien indispensable que le Gouvernement allait leur apporter. L'association souligne également que ces professionnels demeurent des acteurs indispensables au bon fonctionnement de l’économie réelle de la France, à travers les conseils qu’ils délivrent aux professionnels et aux particuliers.

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Rémunération de l’immobilier défiscalisant : les professionnels alertent le gouvernement

La Rédaction
Le Courrier Financier
La loi de finances pour 2018 introduit un amendement qui vise à plafonner par décret la rémunération des intermédiaires dans le cadre des ventes en défiscalisation Pinel. Les associations professionnelles du secteur, des représentants des CGP et des syndicats de l’immobilier ont réagi à cette annonce, à même selon eux, de nuire aux investisseurs ainsi qu'aux consommateurs, et publient conjointement ce communiqué.
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Encadrement des rémunérations des CGP & Intermédiaires Immobiliers : réaction de l’Anacofi

La Rédaction
Le Courrier Financier
L’ANACOFI avait pris connaissance de l’amendement proposé par Monsieur de Montgolfier, Sénateur membre de la Commission des Finances, qui visait à limiter par décret les frais d’intermédiation de biens immobiliers, communément définis comme « défiscalisants ».
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L’épargne des français doit-elle financer les PME ?

Roxane Nojac
Le Courrier Financier
Si l'épargne des français est abondante, les acteurs de la finance et de la gestion de patrimoine ont du mal à la diriger vers les PME. Faut-il mettre en place une fiscalité encourageante ? Faut-il éduquer les épargnants à la prise de risque ? Quel rôle peuvent jouer les intermédiaires ? 
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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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Fintechs : quels sont les freins au développement ?

Roxane Nojac
Le Courrier Financier
Manque de transparence, carence de notoriété, isolement industriel, méfiance à l’égard des nouvelles technologies ou encore positionnement trop nouveau… les freins à l’expansion de l’industrie Fintech sont encore nombreux.
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L’ORIAS fête son 10ème anniversaire

Roxane Nojac
Le Courrier Financier

L’arrêté du 31 janvier 2007 annonçait l’ouverture du registre des intermédiaires en assurance. Au cours de cette année de mise en œuvre d’une nouvelle obligation d’immatriculation des intermédiaires en assurance, l’ORIAS comptabilisait 37115 intermédiaires en assurance pour un total de 43308 inscriptions. Au surplus, 4144 intermédiaires ont notifié leur souhait de bénéficier du passeport européen introduit par la DIA.

A l’issue des recommandations du rapport Deletré de juillet 2009, la loi de régulation bancaire et financière du 232 octobre 2010 a enrichi à effet du 15 janvier 2013 la mission de l’ORIAS par l’enregistrement de nouvelles activités : les intermédiaires en opérations de banque et en services de paiement, les conseillers en investissements financiers et les agents liés de prestataire de services d’investissement.

Désormais Registre unique des intermédiaires en assurance, banque et finance, les collaborateurs de l’ORIAS ont eu à gérer près de 54920 demandes d’inscriptions concentrées sur les 1ers mois de l’année. Mise en place à cette occasion, la plateforme téléphonique a enregistré plus de 86.000 appels arrivés. En parallèle, l’ORIAS a traité 27366 demandes d’informations par mail.

En 2014, l’ORIAS s’est vue confiée l’enregistrement des nouveaux acteurs du crowdfunding, les intermédiaires en financement participatif et les conseillers en investissement participatif.

Au titre de ses missions de tenue du registre, l’ORIAS s’assure du contrôle de différentes conditions afférentes à chaque activité et notamment celle de la condition de capacité professionnelle, d’honorabilité, de responsabilité civile professionnelle ou de mandat et le cas échéant de garantie financière.

Depuis 2007, le nombre d’intermédiaires inscrits à l’ORIAS est en hausse de 50%, passant de 37115 en 2007 à 55617 au 31 décembre 2016. Ces intermédiaires sont immatriculés dans 93.606 catégories, soit plus du double de l’année 2007 (43308). capture-decran-2017-01-31-a-10-15-13
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