Fusion : quatre entités de gestion de patrimoine créent Pluralle Groupe

La Rédaction
Le Courrier Financier

Quintésens (gestion de patrimoine), Privilège Courtage (crédit immobilier), LifeStone (transaction immobilière) et Quiétis Gestion (gestion locative) annoncent ce jeudi 19 novembre s'unir pour fonder Pluralle Groupe.

Ce rapprochement est né de la volonté de faire converger les ressources et les savoir-faire de chaque entité au bénéfice du particulier. Ce nouveau groupe indépendant agit dans les domaines patrimoniaux et immobiliers.

Opportunités patrimoniales et immobilières

La raison d'être de Pluralle Groupe est d'offrir toute l'expertise des métiers des quatre entités qui le composent. Il met à disposition une solution globale pour les projets de vie des Français tels que l'épargne, l'optimisation fiscale, le financement, l'achat, la location ou la vente immobilière.

Objectif, proposer aux particuliers l'ensemble de l'éventail fiscal et patrimonial afin de garantir son avenir financier. « Avec cette fusion, nous unissons nos savoir-faire patrimoniaux et immobiliers au service des particuliers », explique Julien Joubert, Président de Puralle Groupe.

« La réalisation des projets et leur traitement par nos équipes en devient plus efficaces », ajoute-il. Le Groupe couvre désormais l'ensemble de l'Hexagone avec près de 60 agences, et plus de 800 collaborateurs.

Un nouveau groupe aux grandes ambitions

Aujourd'hui, Pluralle Groupe c'est près de 30 millions d'euros sous gestion, plus de 5 000 dossiers de courtage par an et 9 biens sur 10 vendus dans le premier mois en transaction immobilière. « Nous sommes heureux de pouvoir désormais répondre de manière transversale aux projets immobiliers et patrimoniaux des Français. Cette union permettra une meilleure complémentarité de nos offres. », ajoute Julien Joubert.

Pluralle Groupe c'est aussi des webinars publics sur les diverses problématiques immobilières et patrimoniales. Des guides à télécharger pour mieux arbitrer ses projets de placement et d'investissement. C'est également un système de signature électronique et un coffre-fort numérique pour simplifier et sécuriser la gestion de son portefeuille de placements et d'investissements.

Pluralle Groupe c'est enfin un groupe en pleine expansion. Le groupe souhaite recruter 600 nouveaux collaborateurs en CDI ou mandataires en gestion de patrimoine, transactions immobilières, courtage ou gestion locative d'ici la fin 2022 pour faire face à sa forte croissance.

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Fiscalité : quelles nouveautés dans la gestion de trésorerie au sein des groupes ?

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le cabinet d'avocats CMS Francis Lefebvre Avocats — spécialiste des affaires internationales — publie ce jeudi 30 avril une note sur les nouveaux éléments fiscaux en termes de trésorerie au sein des groupes. Dans le cadre de la crise sanitaire liée au coronavirus, le cabinet apporte régulièrement son expertise sur les nouvelles mesures.

L’augmentation des besoins en trésorerie des entreprises pendant la crise actuelle rend souvent nécessaire le soutien financier entre entités d’un même groupe. Cette situation exceptionnelle fait naître un certain nombre de questions fiscales. L’actualité administrative et législative vient renouveler ces problématiques.

Commentaires administratifs sur l’intégration fiscale

L’administration fiscale vient de publier ses commentaires au BOFIP sur l'article 32 de la loi de finances pour 2019 ayant introduit plusieurs modifications au régime de l'intégration fiscale. Parmi celles-ci, se trouve la règle désormais codifiée à l’article 223 B, 5e alinéa du CGI qui autorise les livraisons de biens composant l’actif circulant et les prestations de services à prix coûtant, lorsqu’elles ont lieu entre sociétés membres d’un même groupe d’intégration fiscale.

L’Administration confirme que les prêts et avances consentis entre sociétés d'un même groupe fiscal relèvent de ces dispositions et, si l'entreprise prêteuse n’est pas en mesure de produire la justification qu’elle a elle-même contracté une dette spécifique pour financer le prêt ou l’avance consenti au sein du groupe, le BOFIP apporte cette précision : « Le prix de revient de la prestation de prêt est estimé d’après la rémunération que cette entreprise prêteuse pourrait obtenir d’un établissement financier ou d’un organisme assimilé auprès duquel elle placerait les sommes ; en pratique cette rémunération est déterminée d’après le taux Euribor 3 mois communiqué par la Banque de France » (BOI-IS-GPE-20-20-40, n° 290).

Lorsque ce taux est négatif comme c’est le cas actuellement, il nous semble que l’entreprise prêteuse devrait être fondée à prévoir dans la convention de prêt un plancher à zéro, puisqu’en pareille hypothèse elle aurait intérêt, sur le marché, à placer ses excédents de trésorerie sur un compte non rémunéré. Si l’Administration admet, à titre pratique, que le taux Euribor 3 mois puisse tenir lieu de prix de revient pour les prêts et avances intragroupe fiscal — sans restriction aucune, notamment quant aux caractéristiques de ce financement — la société créancière agira économiquement de manière rationnelle en se protégeant contre le risque d’érosion de sa trésorerie, dans l’hypothèse où le taux de référence procurerait à son placement un rendement négatif.

De fait, il lui suffirait alors de conserver la disponibilité immédiate des fonds correspondants, plutôt que de s’en déposséder temporairement au profit d’une société membre du même groupe, pour améliorer la situation de son patrimoine financier. Attention toutefois : lorsque les fonds prêtés se rattachent à un financement souscrit spécifiquement à cet effet par l’entreprise prêteuse, il paraît douteux, au regard du texte de loi, que les sociétés puissent faire application de cette solution pragmatique, même si les commentaires administratifs ne sont pas totalement dénués d’équivoque à cet égard. Au surplus, la notion de « dette spécifiquement contractée pour financer un prêt » pourra elle-même prêter à débat selon les circonstances.

Mesures dérogatoires sur les abandons de créance

Introduite par voie d’amendement, une disposition de la deuxième loi de finances rectificative pour 2020 crée, à l’égard de certains abandons de créance, une nouvelle possibilité de déduction fiscale élargie pour l’entreprise créancière, ainsi qu’un nouveau cas de majoration de la base d’imputation des déficits fiscaux en report pour l’entreprise débitrice.

La mesure concerne les abandons de créance de loyers et accessoires consentis entre le 15 avril et le 31 décembre 2020, à condition qu’il n’existe pas de lien de dépendance au sens de l’article 39,12 du CGI entre les deux entreprises. Ces abandons de créance sont déductibles en totalité sans qu’il soit nécessaire que l’entreprise qui les supporte justifie d’un intérêt commercial ou financier à ce titre, ni que l’entreprise qui en bénéficie fasse l’objet d’une procédure collective ; quant à cette dernière, elle peut augmenter la limite d’un million d’euros prévue pour l’imputation des déficits reportables, à hauteur du montant de l’abandon de créance reçu.

Nous rappelons que l'article 39, 12 du CGI répute dépendantes l'une de l'autre les entreprises dont l'une détient, directement ou par personne interposée, la majorité du capital social de l'autre ou y exerce en fait le pouvoir de décision. Un lien de dépendance est également réputé exister entre deux sociétés au sens de l'article 39, 12 du CGI, alors même qu'il n'existe aucun lien capitalistique direct entre elles, soit lorsque l'une de ces sociétés exerce en fait le pouvoir de décision par personne interposée au sein de l'autre, soit lorsque ces deux sociétés sont sous le contrôle d'une même tierce entreprise. 

Notons enfin que ces dispositions nouvelles ne s’appliquent qu’à l’égard des créances de loyers (et accessoires) et ne concerne formellement que les aides octroyées sous forme d’abandon de créance. Les autres aides, telles que les renonciations à recettes de toute nature et notamment les prêts et avances non rémunérés, sont donc exclues. Il faut souhaiter qu’une autre loi de finances permettra d’étendre le champ de la mesure, car les entreprises vont avoir besoin d’un cadre fiscal les encourageant à soutenir plus largement qu’au moyen d’un abandon de loyers celles qui traversent d’importantes difficultés financières du fait de la crise sanitaire.

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Christian BERTRAND est nommé Directeur Général Délégué de PERIAL Property Management

La Rédaction
Le Courrier Financier
Christian BERTRAND est nommé Directeur Général Délégué en charge du développement de la filiale de property management du Groupe PERIAL. Christian BERTRAND, âgé de 55 ans, est diplômé de Sciences […]
Christian BERTRAND est nommé Directeur Général Délégué en charge du développement de la filiale de property management du Groupe PERIAL. Christian BERTRAND, âgé de 55 ans, est diplômé de Sciences Politique (IEP d’Aix-en-Provence), et d’un 3ème cycle de Droit de l’Immobilier (CERCOL Paris). Il est également membre de la RICS et chargé d’enseignement à l’ISTIA. Fort de 30 années d’expérience, Christian bénéficie d’un riche parcours dans les métiers de l’immobilier.Il a auparavant occupé les postes de Directeur de la Gestion au sein de NEXITY, Directeur des Opérations et Services au sein de GE Real Estate. Il rejoint ensuite SAVILLS en 2010 au poste de Secrétaire Général et Directeur du Property Management. Christian prend la responsabilité de l’ensemble des équipes de property management, 40 collaborateurs répartis dans 4 agences (Paris, Nantes, Bordeaux et Toulouse).Il a pour mission de poursuivre le développement des activités et déployer de nouvelles offres de service.
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Vers une entrée de Bridgepoint au capital de Primonial Holding ?

La Rédaction
Le Courrier Financier

L’entrée au capital de Bridgepoint, l’un des principaux investisseurs européens en capital-investissement, aux côtés du management du groupe, permettra à Primonial de poursuivre son fort développement en France, consolider sa position de leader indépendant, dans les domaines de la distribution de solutions patrimoniales et de la gestion d’actifs et mettre en œuvre son déploiement à l’international.

Bridgepoint détiendra à terme 52,5% du capital, CMA 35%, le Management et collaborateurs du groupe 12,5%. Les fonds BlackFin Capital Partners et Latour Capital cèderont leurs titres à l’issue de l’opération.

Cette opération reste soumise aux conditions suspensives d′usage, notamment le visa de l′Autorité des Marchés Financiers et l'approbation de l’Autorité de la concurrence.

 
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Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

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La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

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